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Européennes : le FN, parti le plus cité sur Twitter
LE SCAN - Selon une étude, le parti de Marine Le Pen arrive en tête des partis les plus cités sur le réseau social pendant la campagne.
Quels ont été les partis et les candidats les plus influents sur Twitter pendant la campagne des européennes? Du 19 avril au 19 mai, l'agence image&dialogue, en partenariat avec le site d'information Contexte et le think-tank Rennaissance numérique, a analysé quelque 400.000 tweets concernant les partis et têtes de listes en lice pour le scrutin de dimanche.
Principal enseignement de cette étude: le Front national est le parti le plus visible sur le réseau social, concentrant à lui seul 22% des citations. Suit l'UMP, avec 15%, le Front de gauche, avec 13%, l'UDI et le Modem, avec 12%, puis le PS et EELV, avec respectivement 11 et 10%.
Même constat du côté des candidats. Parmi les 11 têtes de liste les plus fréquemment citées, trois sont issues du Front national: Marine Le Pen (32%), Florian Philippot (14%) et Aymeric Chauprade (11%). En seconde position derrière la présidente du FN, les candidas les plus visibles sur Twitter sont Christine Boutin, tête de liste Force Vie, et Jean-Luc Mélenchon, du Parti de gauche, ex aequo à 25%. Nadine Morano est citée dans 13% des tweets. La première candidate socialiste est Pervenche Bérès, tête de liste en Ile-de-France.Bien évidemment, impossible d'établir un lien entre la visibilité sur Twitter et le potentiel électoral d'un candidat. Les citations peuvent en effet être aussi bien positives que négatives, et ces données doivent donc être prises avec précaution.
Plus exhaustive, une étude de l'agence Augure mesure l'influence sur le web des candidats à la Commission en se basant sur trois critères: l'exposition médiatique, la faculté à créer l'opinion et le niveau de participation dans une discussuion en ligne. Le président de Parlement européen Martin Schulz arrive en tête du classement, suivi de l'ex-premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker et du Belge Guy Verhofstadt .Le Figaro :: lien
http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EupplFyApVLLpoBIAX.shtml
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Après le porc à la cantine et le petit Jésus à Noël, virons la fête des Mères !
La République, notre mère à tous, est bien embêtée.
Encore un drame ! C’est sûr, avec l’arrivée dimanche de la fête des Mères, il va y avoir besoin de soutien psychologique…
Les psys nous le disent et nous le répètent : on ne saurait confondre géniteur et parent. Papa et maman sont ceux qui nous nourrissent, nous éduquent (en principe), nous nettoient les fesses quand on s’est gavé de pruneaux, nous balancent une taloche quand ils sont excédés, font un câlin quand on a le cœur gros… Bref, ceux qui nous élèvent. Au quotidien. D’accord, autrefois c’était simple : parents et géniteurs se confondaient. Sauf à de rares exceptions – la sauvagerie de la guerre, par exemple, ou la dure mortalité des femmes en couche –, on ne connaissait pas les affres de la séparation. Aujourd’hui, il en va autrement et la République, notre mère à tous, est bien embêtée : soucieuse, au nom de l’égalité, d’envoyer les petits enfants souhaiter une bonne fête à toutes leurs mamans, elle va bientôt, pour cette même raison, ne plus pouvoir en fêter aucune : il y en a trop. C’est bête, hein ?
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Goldofaf : Rare
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Trans-espèces, la nouvelle étape
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Trahison européiste : une belle intervention
de Nicolas Dupont-Aignan à l'Assemblée nationale (quasi vide!) ce jeudi 22 mai 2014.
Quelques noms de traitres français y sont rappelés, chose utile pour ce dimanche !
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Henri VII : "Il faut refaire l’Europe. Comment ? "
L’Europe n’a pas attendu Monsieur Monnet ni Monsieur Delors pour exister. Depuis des siècles l’Europe a tenté de se bâtir selon deux schémas que l’on retrouve encore de nos jours . L’Europe fédérale, celle du Saint-Empire Germanique héritière des Romains, a fait souche avec Charlemagne puis les Habsbourg l’ont poursuivi.
Cette Europe s’appuyait sur des conquêtes éphémères, mais surtout sur la puissance de l’économie, celle des marchands et des banquiers, ainsi de la ligue Hanséatique Germanique, de la Banque füeger Autrichienne et du Zollvereine de Bismarck, premières ébauches modernes d’une Europe sans frontières, que nous retrouvons de nos jours au travers de la Banque centrale Européenne et de ses affidées aux ordres de Berlin.
Face à cette Europe, dès le Moyen Âge, des gens riches ou pauvres, artisans, artistes ou étudiants parcouraient ce continent d’un bout à l’autre, à la recherche du savoir, ils ne craignaient ni les intempéries ni les brigands. L’Europe de la culture, spirituelle ou sacrale a toujours existé et les maîtres enseignaient le beau, le bon et le juste . N’oublions pas tous ceux qui allaient révérer les reliques des lieux saints d’Espagne, de Russie, de France ou d’ailleurs. Nous avons de la difficulté à comprendre, à appréhender, avec nos esprits matérialistes étroits, ce formidable mouvement qui poussait les hommes, les femmes et les enfants à la recherche de la connaissance et de la foi. C’était éblouissant. Cette autre Europe fut encouragée par les Rois Capétiens protégeant cette recherche culturelle sans frontières et cette foule de gens en quête de leur vérité et de besoin de savoir. [...]
La suite sur La Couronne
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Henri-VII-Il-faut-refaire-l-Europe
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Russie : Réunion spéciale de « dé-dollarisation », la Chine et l'Iran prêts à abandonner le dollar américain
Évènement historique, tout indique que nous sommes sur le point d'assister à l'effondrement de l'économie américaine, signifiant par la même la fin de l'empire hégémonique étasunien. Cette « mise à mort » doit se concrétiser sous la forme d'un accord énergétique russe avec la Chine qui devrait être signé par Vladimir Poutine lui même lors de sa prochaine visite à Pékin le 20 mai prochain.
J'avais récemment partagé avec vous des informations relatant cet accord et ces implications économiques, mais il est compréhensible que les multiples rumeurs du net relatant la fin de l'économie américaine ces derniers mois vous aient poussés à devenir méfiants, et ce à juste titre. Cette fois ci, le contexte est radicalement différent, et fait office de « réponse » de la part de la Russie face aux sanctions et allégations occidentales à son encontre dans le cadre de la crise ukrainienne.
Il ne pouvait en être autrement ! Obama a osé défié Poutine sur son propre territoire, l'injuriant, maltraitant son peuple, et le menaçant par l'intermédiaire de sanctions burlesques ressemblant à s'y méprendre à une grotesque partie de poker. Seulement voilà, l'ours russe lui, ne bluffe pas ! Il n'en a de toutes manières pas le besoin, puisqu'il a en main toutes les bonnes cartes... Le veilleur
Que la Russie ait fait pression pour que les accords commerciaux minimisent l'influence du dollar américain depuis le début de la crise en Ukraine (et avant) n'est pas un secret : ce qui a été largement couvert dans nos articles précédents (voir Gazprom prépare l'émission « symbolique » d'obligations en yuans chinois ; Alerte pétrodollars : Poutine se prépare à annoncer le « Saint Graal » : un deal sur le gaz avec la Chine; la Russie et la Chine s'apprête à signer « Saint Graal » : un deal sur le gaz ; 40 banques centrales prédisent quelle sera la prochaine monnaie de réserve ; Du pétrodollar au yengaz, et ainsi de suite).
Mais jusqu'à présent, une grande partie de cela resta dans le domaine de la pensée magique et du ouï-dire en général. Après tout, il est certainement « ridicule » qu'un pays puisse sérieusement envisager d'exister en dehors des limites idéologiques et religieuses du pétrodollar... parce que si un seul peut le faire, tout le monde peut le faire, et la chose que vous savez tous si ça se passe, est que les États-Unis iront vers l'hyperinflation, l'effondrement social, la guerre civile et toutes les autres résultats obtenus dans les autres républiques bananières socialistes, comme le Venezuela, qui hélas n'a pas une monnaie de réserve mondiale a malmener.
Ou alors les économistes keynésiens, les prêtres aka titulaires de ladite religion du pétrodollar, exigeraient que le monde y croit. Cependant, autant que ça puisse troubler les étatistes, la Russie pousse activement ses plans pour mettre le dollar américain dans le rétroviseur et le remplacer par un système libre du dollar. Ou, comme on l'appelle en Russie, une « dé-dollarisation » du monde.
Citant des sources de presses russes, La Voix de la Russie rapporte que le ministère des Finances du pays est prêt à donner le feu vert à un plan visant à augmenter radicalement le rôle du rouble russe dans les opérations d'exportation, tout en réduisant la part des transactions libellées en dollars. Les sources gouvernementales estiment que le secteur bancaire russe est « prêt à traiter le nombre accru des transactions libellées en roubles ».
Selon l'agence prime news, le 24 Avril, le gouvernement a organisé une réunion spéciale consacrée à la recherche d'une solution pour se débarrasser du dollar américain dans les opérations d'exportation russes. Les meilleurs experts au niveau du secteur de l'énergie, les banques et les agences gouvernementales ont été convoqués et un certain nombre des mesures ont été proposées en réponse aux sanctions américaines contre la Russie. Eh bien, si l'ouest voulait la réponse de la Russie sur l'escalade des sanctions contre le pays, elle est sur le point de l'obtenir.
La « réunion dé-dollarisation » a été présidée par le premier vice-Premier ministre de la Fédération de Russie Igor Chouvalov, qui prouve que Moscou est très sérieuse et grave dans son intention de cesser d'utiliser le dollar. Une réunion ultérieure a été présidée par le vice-ministre des Finances Alexeï Moiseev qui a dit plus tard au canal TV Rossia 24 que « le montant des contrats en roubles sera augmenté », ajoutant qu'aucun des experts interrogés et des représentants des banques n'ont trouvé des problèmes avec le plan du gouvernement visant à accroître la part des paiements en roubles.
Pour le bénéfice de nos lecteurs russophones, l'entrevue avec Moiseev est ci-dessous et la transcription peut être trouvée sur le site vestifinance.ru (russe - voir la vidéo). En outre, si vous pensiez que seul Obama pouvait régner par décret seul, vous avez eu tort - les Russes peuvent faire tout aussi bien.
Entrez l'ordre exécutif (loi) « commutateur de monnaie » :
Il est intéressant de noter que dans son interview, Moiseev a mentionné un mécanisme juridique qui peut être décrit comme ordre exécutif (loi) « commutateur de monnaie », disant que le gouvernement a le pouvoir légal d'obliger les entreprises russes à négocier un pourcentage de certaines marchandises en roubles. se référant au cas où ce problème pouvait être réglé à 100%, le responsable russe a déclaré que
« C'est une option extrême et il est difficile pour moi de dire dès maintenant comment le gouvernement va utiliser ces pouvoirs ».
Eh bien, tant que les options existent ; Mais plus important encore, rien de ce que projette la Russie n'aurait concrètement une chance de mise en oeuvre si il n'y avait pas d'autres pays prêts à se désengager des relations bilatérales de libre-échange en USD. La volonté de ces pays cependant existe, ce ne sera une surprise pour personne que les deux pays qui ont déjà répondu d'une manière positive et significative ne sont autres que la Chine et l'Iran.
Bien sûr, le succès de la démarche de Moscou pour basculer le commerce sur des roubles, ou d'autres monnaies de la région dépendra de la volonté de ses partenaires commerciaux à se débarrasser du dollar. Les sources citées par Politonline.ru ont mentionné deux pays qui seraient prêts à soutenir la Russie : l'Iran et la Chine. Vladimir Poutine se rendant à Pékin le 20 mai, on peut supposer que les contrats de gaz et de pétrole seront signés entre la Russie et la Chine, libellés en roubles et yuans, mais pas en dollars.
En d'autres termes, d'ici une semaine devraient être annoncés non seulement l'accord gazier du « Saint-Graal » décrit précédemment entre la Russie et la Chine, mais également ses termes financiers, et il semble maintenant pratiquement certain qu'ils seront réglés exclusivement en roubles russes RUB et en yuans chinois CNY, et non en dollars USD.
Et comme nous l'avons expliqué à plusieurs reprises dans le passé, plus l'antagonisme de l'ouest contre la Russie sera élevé, avec des sanctions économiques accrues, plus la Russie sera contrainte de quitter un système commercial libellé en dollar américain vers un système qui fait face à la Chine et l'Inde. C'est pourquoi l'annonce de la semaine prochaine, aussi révolutionnaire qu'elle sera, ne sera que le début.
Source Zero Hedge - Traduction resistance authentique
Note du veilleur
De son coté, Reuters (ndv: traduction par nouvelordremondial) révèle l'information complémentaire selon laquelle Andrei Kostin, le président de VTB, la deuxième plus grande banque de la Russie, a soutenu l'idée de paiement en rouble le mois dernier en tant qu'étape pour réduire l'influence de l'Occident sur l'économie russe. Kostin a fait référence aux
« appels lancés par de hauts dirigeants occidentaux à isoler la Russie, à pratiquement détruire le secteur bancaire russe, en utilisant « l'arme nucléaire » moderne - les paiements en dollars »
, a t-il déclaré lors d'une conférence, dans les commentaires cités par le journal Vedomosti. (...)
Mise à jour
La Voix de la Russie vient de publier à l'instant une information intéressante qui confirme la tendance, augmentant par la même occasion la pression économique russe sur les Etats-Unis, et ce par la liquidation massive de bons du Trésor de la dette publique américaine. Devant cet état de fait, il y a fort à parier que la planche à billets de l'oncle Sam va devoir redoubler d'efforts (quantitative easing) afin de racheter cette dette, occasionnant par la même occasion un nouvel impact négatif sur leur économie déjà au bord du gouffre.
États-Unis : baisse record des investissements russes dans la dette publique (Trésor)
Les investissements russes dans les bons du Trésor des Etats-Unis se sont réduits en mars de 20% par rapport à février dernier pour atteindre le niveau le plus bas depuis septembre 2008, indique le département américain du Trésor.
En mars 2014, le montant des investissements se chiffrait à 100,4 milliards de dollars contre 126,2 milliards en février. Ce facteur a fait de la Russie le plus grand vendeur de bons du Trésor parmi les détenteurs souverains de ces titres.
Les investissements russes dans la dette publique américaine se réduisent depuis quatre mois d'affilée. En octobre 2013, leur montant a diminué de près de 50%, ce qui a fait que la Russie a perdu sa place parmi les dix plus grands détenteurs de bons du Trésor américain.
L'une des raisons qui ont amené Moscou à vendre la dette publique américaine consiste dans les efforts de la Banque centrale de Russie visant à maintenir le cours du rouble : à cet effet, le régulateur est obligé de vendre massivement des dollars sur le marché intérieur, donc de les retirer des actifs dans lesquels ils sont engagés, à savoir des obligations américaines, estime James Bianco, président de Bianco Research LLC, cité par l'agence Bloomberg.• Russie : La riposte de Poutine aux sanctions de Washington
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Reportage de 1987 sur les étudiants du GUD (Paris 2 Panthéon-Assas)
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L’armée de Bachar el-Assad fait une nouvelle percée à Alep
Syrie – À deux semaines de la réélection attendue de Bachar el-Assad, les forces du régime ont marqué hier un point décisif dans la ville-clé d’Alep, en bloquant l’une des principales routes d’approvisionnement des rebelles.
L’armée syrienne, avec l’aide des Forces de défense nationale (FDN) et du Hezbollah, est parvenue à briser le siège qui durait depuis plus d’un an à la prison centrale d’Alep. Cuisante défaite pour le Front al-Nosra. « Ce succès est important, car il resserre l’étau autour des cellules terroristes à l’est et au nord-est d’Alep, et coupe la route que les terroristes utilisaient pour relier la campagne septentrionale à Alep », a annoncé le porte-parole de l’armée.Les djihadistes ne disposent plus que d’une seule voie de ravitaillement entre Alep et la frontière turque sur la route de Castello, dans le nord-ouest de la ville.
Par ailleurs, dans l’est du pays, les groupes djihadistes autrefois alliés contre Bachar el-Assad se mènent désormais une guerre féroce. Daech (l’État islamique d’Irak et du Levant, EIIL) s’est emparé d’un champ pétrolier à Kharata, à 40 km au sud-ouest de Deir ez-Zor, et 26 combattants du Front al-Nosra et du Front islamique ont été tués.
http://medias-presse.info/larmee-de-bachar-el-assad-fait-une-nouvelle-percee-a-alep/10336