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  • HAARP : les vraies causes des inondations en Serbie – par Laurent Glauzy

    « Le 18 mai 2014, après sa victoire aux Masters 1000 de Rome, le n° 2 mondial de tennis d’origine serbe, Novak Djokovic, s’est exprimé au sujet des inondations qui ravagent actuellement l’ex-Yougoslavie, ayant provoqué la mort de plus de trente personnes et contraint des dizaines de milliers de personnes à évacuer leur maison : « C’est une catastrophe avec des proportions bibliques, je ne comprends pas que les médias internationaux en parlent si peu. »

    Et pour cause ! Le projet Haarp, arme de destruction massive et climatique entre les mains des Illuminati, serait bien, une fois de plus, à l’origine de ces catastrophes.

     

    Dans son livre paru en 1970, Between Two Ages : America’s Role in the Technetronic Era (Entre deux âges : le rôle de l’Amérique dans l’ère technétronique), Zbigniew Brzezinski, un des principaux concepteurs de la politique étrangère américaine, directeur de la sécurité nationale du président Carter, mentionne : « La technologie mettra à la disposition des grandes nations des procédés qui leur permettront de mener des guerres furtives, dont seule une infime partie des forces de sécurité auront connaissance. Nous disposons de méthodes climatiques permettant de créer des sécheresses et des tempêtes, ce qui peut affaiblir les capacités d’un ennemi potentiel et le pousser à accepter nos conditions. Le contrôle de l’espace et du climat a remplacé Suez et Gibraltar comme enjeux stratégiques majeurs. »

    Cette arme secrète abordé par Zbigniew Brzezinski correspond au projet Haarp, qui prépare notre monde à un Nouvel ordre mondial que les occultistes appellent l’« âge d’or » et à propos duquel Henry Kissinger, secrétaire d’État américain de 1973 à 1977 (du président Nixon), a déclaré : « Oui, beaucoup de gens mourront lorsque sera établi le nouvel ordre mondial. Mais ce sera un monde bien meilleur pour tous ceux qui survivront. » [Cf. Extraterrestres, les messagers du New Age ou Du mystère des Crop Circles au Mind Control : Quand la CIA et l’ufologie préparent un nouvel armement, 2009, p. 244.] Ces propos sont d’autant plus troublant lorsqu’ils émanent d’un homme d’origine juive allemande. Mais il est vrai que les satanistes ou les Illuminati sont au-dessus de toutes les religions.

    Voilà l’avenir que nous prépare la secte supra-maçonnique, les survivants des Pike, Weishaupt : des holocaustes auxquels les populations de l’ancienne Yougoslavie, par des pluies diluviennes, ou de l’Afrique, par des périodes de sécheresses sans précédent, sont à présent confrontées.

    Le docteur en science militaire Konstantin Sivkov, qui a travaillé pour l’État-major russe de 1995 à 2007, pense également que l’OTAN a utilisé cette arme climatique dans la massacre rituel contre la Yougoslavie, entre 1991 et 2001. Sirkov atteste qu’il est possible d’engendrer sur une zone limitée des pluies diluviennes comme déjà lors de la guerre du Vietnam, ou d’assurer un temps clair favorable au vol des avions de combat.

    Des journalistes de grande renommée, qui ne se plient pas à la vulgate officielle, ont depuis longtemps ouvert les yeux sur les réalités de ce monde entre les mains de satanistes.

    Ainsi, à propos du projet Haarp et des inondations de Serbie, John Robles, diplômé en russe de l’Université de Pennsylvanie, expose sur le site de la radio The Voice of Russia que « plusieurs de ses contacts en Serbie parlent d’un déluge sans précédent en lien avec le projet américain Haarp. » Il affirme notamment qu’un journaliste de la Pravda serbe a reçu des appels anonyme lui demandant de ne plus écrire sur ce programme d’arme climatique secret et sur une des stations mettant en œuvre le trait discret ELF System qui serait implantée à Barajevo. Cette base de localité proche de Belgrade, est munie d’antennes surdimensionnées.

    On se souvient qu’en 2012, la Serbie menaçait non seulement de ne pas entrer dans l’Union européenne, mais d’accueillir de nouvelles enceintes militaires russes. En outre, sa population refuse les plans mondialistes au Kosovo. Qui plus est, le projet de gazoduc South Stream lancé par le président russe Vladimir Poutine devrait, fin 2015, alimenter l’Europe en gaz par un réseau qui traverse les Balkans, et plus particulièrement la Serbie, qui se trouvera au cœur du dispositif. Peut-être ces faits expliquent-ils les malheurs aussi imprévisibles qu’inégalés qui affligent précisément la Serbie ? »

    Laurent Glauzy

  • Quand Elie Barnavi parle du « lobby juif »…

    Le propos est passé quasiment inaperçu. Dans son édition du 27 avril 2014, le journal L’Opinion évoquait le vieux conflit israélo-palestinien. Et citait Elie Barnavi, ancien ambassadeur d’Israël en France, expliquant que Barack Obama se trouve « coincé par le Congrès et par le lobby juif » !

    L’extrait de l’article :

    Selon l’historien Elie Barnavi, ancien ambassadeur d’Israël en France, seuls les Etats-Unis pourraient imposer une solution politique, mais, dit-il, « ils n’ont pas fait le boulot ! Le secrétaire d’Etat John Kerry s’est contenté de se balader entre Ramallah et Jérusalem. Il n’a même pas pu obtenir un accord-cadre… Coincé par le Congrès et le lobby juif, Barack Obama n’a tout simplement pas la force politique pour le faire. »

    Source

    http://www.contre-info.com/quand-elie-barnavi-parle-du-lobby-juif

  • Histoire du mal : l’intégralité de l’entretien de l’abbé de Tanoüarn à L’Action Française

    L’abbé de Tanoüarn a fait l’amitié d’accorder un entretien approfondi sur son Histoire du Mal, publié récemment aux Editions , que nous n’avons pas été en mesure de publier intégralement dans la version papier du journal. Voici donc, comme promis, l’intégralité de cet entretien. Un grand moment d’intelligence.

     

    Pourquoi avoir écrit une Histoire du mal ?

    Abbé Guillaume de Tanoüarn - J’ai écrit cette histoire du mal à force de prêcher. Lorsque l’on parle aux gens chaque dimanche, on finit par deviner ce qui les intéresse à la qualité du silence qui accueille vos paroles. Je me suis rendu compte assez vite qu’une assistance dominicale n’est jamais plus silencieuse, plus attentive que lorsque on lui parle du péché. Pourquoi ? Parce que le péché, nous en avons tous l’expérience. Mais que signifie notre expérience du mal ? Cela veut-il dire que le monde n’a pas de sens et que la question de l’Absolu et de notre participation à l’Absolu (c’est-à-dire la question de notre salut) ne se pose pas ? C’est ce que l’on entend souvent. S’il y a du mal, Dieu n’existe pas. C’était au fond la grande objection de Maurras, qui se heurte au problème du mal à travers le drame de sa propre surdité, drame qui, lorsqu’il vient d’avoir 14 ans, semble l’éloigner du monde des vivants.

    Cette Histoire du mal est une sorte d’enquête dans le texte biblique, ancien et nouveau Testament. Je suis parti de l’idée simple que la Bible ne nous offrait pas une philosophie, pour nous expliquer ce qui est, mais qu’elle résonnait de toutes les réponses éplorées que l’homme fait à l’Invitation divine, réponses qui se modulent selon la manière dont l’homme comprend le mal dont il est affecté, le mal de sa mortalité, la souffrance de cet être sentant qu’il est, enfin la faiblesse et la fragilité de son vouloir, l’incapacité où il se trouve d’apporter à Dieu une réponse claire et stable. C’est de tout cela que parle la Bible, et dans la Bible des figures aussi connues qu’Adam et Eve, Caïn et Abel, Noé ou Job.

    Les réponses de l’homme à ce grand drame de l’existence ont leur intérêt… Mais ce qui est vraiment passionnant, c’est de discerner la réponse divine à ce mal qui est dans l’homme. Cette réponse est une personne : Jésus-Christ, lumière à travers laquelle toute la Bible s’éclaire. Et Jésus-Christ est venu sur la terre pour son heure, il est venu pour souffrir et mourir, pour assumer et partager le mystère du mal, pour nous montrer comment transformer le mal en amour. Jésus-Christ, Dieu fait homme, est la seule réponse au problème du mal. Je ne dis pas cela parce que je serais animé par je ne sais quel dogmatisme. Je dis cela parce que les philosophes n’ont pas de réponses. Platon qui pense que le mal vient de l’ignorance est faible sur ce point. Spinoza qui explique que le mal a la même nécessité rationnelle que le bien est non seulement faible mais inquiétant avec sa façon de confondre le bien et le mal dans le même absolutisme rationnel. Je pourrais parler des calculs de Leibniz, de la foi athée de Nietzsche ou de la folle idée sartrienne d’une rédemption de l’homme par l’homme avec le même scepticisme. Il n’y a qu’une seule réponse au problème du mal, c’est cette débauche de souffrance qu’est la crucifixion du Fils de Dieu, prenant le mal sur lui parce qu’il est seul capable, par son sacrifice, de le transformer en amour.

    On dit que le mal est la principale objection à l’existence de Dieu. Je prétends au contraire que le mal est l’explication la plus profonde du mystère de l’Incarnation. Il n’y a pas de religion chrétienne sans le mystère du mal.

    Comment ce livre s’inscrit-il dans vos précédents travaux, sur Cajétan et Pascal ?

    Cajétan est un grand optimiste, il n’est pas scolastique et rationnel pour rien, mais j’avais remarqué, dans ses commentaires sur le péché, qu’il ne pouvait pas supporter l’idée – courante dans nos catéchèses et dans nos cercles apologétiques – que le mal soit juste une absence. Dans un Sermon prononcé devant le pape Alexandre VI Borgia sur la puissance du mal, il a le courage de souligner que le mal est une création divine – ce que les scolastiques appelleront le « mal de nature »… Au fond, Dieu a pris le risque de nous créer dans un monde en proie à la souffrance et à la mort. L’un des objectifs de ce livre était de rompre avec cette espèce de gêne et cette culture de l’excuse qui devrait résoudre le problème du mal. A quoi sert de dire que Dieu ne veut pas mais permet le mal ? Cela signifierait soit qu’il n’est pas tout puissant comme l’imagine l’apologétique juive d’aujourd’hui soit qu’il a un petit côté permissif qui confine au sadisme. J’emprunte à Pascal, à une méditation du texte de Pascal l’idée que Dieu est joueur et que c’est pour lui la seule manière de respecter notre liberté. Il a pris un double risque en nous créant : le risque que nous lui disions « non », car il nous a fait à son image, comme les dieux du monde ; et le risque que nous ne puissions pas nous sortir du monde matériel dans lequel nous nous trouvons immergés par notre nature. L’histoire d’Adam et Eve montre bien, sur un mode imagé, que l’homme et la femme ne parviennent pas à se sauver par eux-mêmes. Dieu alors, dans cette situation extrême où pourrait se dessiner un échec universel de son dessein créateur, joue son va tout : il vient en personne. C’est ce que Pascal appelle « le mystère de Jésus » qui est le mystère de l’histoire humaine, de son sens et du salut pour l’homme qui peut émerger en elle.

    N’y allez-vous pas un peu fort en déclarant d’emblée qu’ « il fallait le péché » pour que l’homme « quitte » sa nature « et se laisse diviniser » ?

    Mais qu’est-ce qui aurait pu faire que l’homme se laisse diviniser, sinon le dégoût qu’il éprouve pour sa propre nature ? « Heureuse faute qui nous a valu un tel et un si grand rédempteur » chante l’Eglise depuis la nuit des temps dans l’Exsultet pascal. Qu’est-ce que signifie cette « heureuse faute », comment pouvons nous déclarer que la faute est heureuse ? C’est la faute qui permet le salut, c’est-à-dire la divinisation de l’homme.

    L’incarnation de Dieu et la divinisation de l’homme dépendaient-elles du péché originel ?

    Je crois vraiment que le thème de Duns Scot expliquant que l’incarnation ce mystère si beau ne saurait dépendre du péché de l’homme ce fait si laid, ce thème, cette thèse n’est pas tenable du point de vue d’une métaphysique critique. Il n’y a pas de reprise du plan divin. Il n’y a qu’une seule idée divine qui contient et manifeste l’histoire de l’homme et cette idée comporte en elle bien évidemment le péché. Comment imaginer que Dieu ne l’ait pas prévu ? Certains théologiens font de Dieu une sorte de dindon de la farce à force de le déclarer innocent du mal. Mais la réalité est une et Dieu n’a certainement pas été mis devant le fait accompli du péché comme le cocu de l’histoire. De ce point de vue, je suis étroitement thomiste.

    Quelle est la place de la femme dans l’histoire du mal et donc du salut ?

    Une place capitale comme le montre le récit de notre scène primitive à tous, cette histoire d’arbre de la connaissance du bien et du mal. Pour Philon d’Alexandrie et pour les gnostiques, la distinction du masculin et du féminin est une conséquence du péché, comme notre être charnel. Au commencement l’homme est spirituel et unisexe et c’est sa révolte contre Dieu qui l’enferme dans un corps. Ces gens sont incapables de penser le féminin comme une donnée fondamentale de l’anthropologie. En revanche, beaucoup plus près de nous, les naturalistes envisagent le masculin et le féminin comme deux natures inégales entre elles, mais ordonnées l’une à l’autre. Julius Evola me paraît très représentatif de cette conception totalement machiste d’une masculinité apollinienne et d’une féminité sélénienne, juste capable (c’est la lune) de refléter les rayons du soleil. Triste perspective ! J’ai essayé de montrer que le récit de la Genèse – contrairement à une idée reçue – n’avait absolument rien de misogyne et qu’au contraire, c’est peut-être une femme qui s’est subrepticement glissée dans la peau de l’Auteur sacré. La femme semble avoir constamment l’avantage sur ce gros benêt d’Adam : elle est plus active que lui (n’en déplaise à Evola), elle porte en elle quelque chose de sa propre rédemption : c’est sa maternité, qui explique l’inimitié durable entre elle et ce grand agent de la culture de mort qu’est le Serpent.

    Critiquant les deux voies du féminisme que sont l’enfermement dans le genre ou au contraire la volonté de détruire les genres, vous rejoignez l’actualité brûlante en évoquant « l’unidualité du couple » : « le masculin et le féminin » n’ont de sens que dans la perspective « du couple et de la famille ». Serait-ce là le « mystère de la femme » et, conjointement, de l’homme ?

    L’enfermement dans le genre, c’est bien le programme de Julius Evola, qui va jusqu’à penser une nature masculine et une nature féminine. Je trouve à ce monsieur bien peu d’expérience de la biodiversité humaine. Depuis des années je répète en préparation au mariage qu’il y a des couples modèles mais qu’il n’y a pas de modèle de couple. Chaque couple est une histoire, avec deux tempéraments qui ont trouvé une modulation sur laquelle ils s’entendent et se répondent. Chacun a ses qualités et ses défauts et, contrairement à une idée trop répandue, les époux se choisissent autant sur leurs défauts que sur leurs qualités. L’unidualité de « l’une seule chair » c’est cela : chacun accepte non seulement les défauts de l’autre, mais les siens propres dans un jeu de compensation où l’amour devra avoir toujours le dernier mot. Et dans cette harmonie duelle pourquoi faudrait-il que les rôles soient fixés à l’avance, que l’homme fassent les comptes et la femme la cuisine ? C’est absurde. Il y a sans doute un mystère de la femme, c’est celui de sa maternité. Mais il y a aussi un mystère du couple, mystère inaccessible à la raison et qui défie toutes les prévisions. De ce point de vue, je dirais volontiers qu’il y a deux sortes de divorce, le divorce qui n’est qu’un constat d’immaturité persistante et le divorce qui exprime un refus de ce mystère du couple, de cette alchimie du couple, une volonté de tout rationaliser qui se transforme en instinct de destruction et d’autodestruction…

    Ecrire une Histoire du mal fondée principalement sur la lecture de la Genèse pourrait sembler une provocation pour la modernité, dont toute la vocation semble être de résoudre la question du mal avec des moyens humains, trop humains. Puisque l’enfer c’est les autres, selon la célèbre formule de Sartre, le faux universalisme de l’Empire du bien ne vise-t-il pas à éradiquer le mal en promouvant paradoxalement une diversité passée sous les fourches caudines de la standardisation démocratique ?

    L’échec des métaphysiques affrontant le problème du mal n’a pas découragé l’homme. Au XVIIIème siècle, il a simplement remplacé ces métaphysique peu convaincantes (pensez à Voltaire et à son Candide) par une Métapolitique dont le premier inventeur est Jean-Jacques Rousseau. L’auteur du Contrat social imagine que le mal, puisqu’il n’a pas de cause métaphysique puisque les explications théologiques ne sont plus à la mode, doit avoir une justification sociologique. Il s’agissait pour lui d’excuser l’homme du mal, en imaginant que tout venait de la société. Au fond, il a démarqué l’histoire chrétienne du mal en distinguant l’état de nature et l’état social et en imaginant une rédemption qui aurait consisté à ramener l’individu à l’état de nature. Pendant un siècle, la science politique nous a raconté à nouveaux frais l’histoire du salut, qui devait se terminer aussi bien chez les socialistes français comme Charles Fourier que chez les marxistes dans une sorte de société idéale d’où le mal aurait miraculeusement disparu. Cette fable mystico-politique a duré longtemps. Mais néanmoins très vite la métaphysique a repris le dessus (chez un Victor Hugo par exemple) et là Philippe Muray a raison de dire que le résumé du XIXème siècle tient en trois mots : « Tout est bien ». Je ne pense pas que l’universalisme de l’empire du bie n vise à éradiquer le mal…

    Je crois qu’il n’y a d’empire du bien que lorsque l’on a nié la nature théologique du péché originel, en imaginant un monde où ce péché ne serait pas, où le mal ne serait pas, où l’homme serait roi sans partage. C’est ce que le même Muray a appelé la post-histoire, l’impossible histoire sans le mal. Il s’agit évidemment d’un fantasme. La post-histoire, cette standardisation démocratique que vous évoquez, n’existe pas, comme tous les fantasmes, et c’est quand on commence à essayer d’en réaliser l’épure que l’on s’en rend compte. La post-histoire ? C’est l’humanité mourant tyrannisée de la démocratie, ce dont parle Platon aux livres 8 et 9 de la République. C’est ce que Maurras appelait « le triomphe du pire et des pires » : le mal et la mort, couple infernal.

    On sait que la question du mal a taraudé toute sa vie Maurras, que la lecture précoce de Pascal — cher à vous-même comme à Boutang — a éloigné de la foi. S’il est impossible de « rendre raison » du mal, comment une Histoire du mal peut-elle répondre à un cœur qui a « besoin de comprendre pour croire » ?

    Je crois vraiment que Maurras a été victime du rationalisme théologique qui sévissait sous pavillon néo-thomiste en son temps (de cela il s’est souvent plaint) et qui imposait, à l’égard du mal, une culture de l’excuse totalement inefficace. Le Père de Tonquédec, si bon technicien de la métaphysique soit-il, n’a pas su ébranler le doute de Maurras. Mais je crois vraiment que Maurras a fait semblant de ne pas comprendre ce que Pascal appelle le cœur. Dans La Musique intérieure, il parle pourtant « des faims muettes du cœur » ; c’est sa poésie qui les satisfait le moins mal.

    Propos recueillis par Axel Tisserand

    Abbé Guillaume de Tanoüarn, Une Histoire du mal, Via Romana, 274 pages, 24 euros.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Histoire-du-mal-l-integralite-de-l

  • Les jeunes de plus en plus séduits par les théories du complot

    Conspirations, mensonges et sociétés secrètes: les professeurs sont de plus en plus souvent confrontés à la remise en cause de leurs enseignements par des élèves convaincus d'être au coeur d'un grand complot.
    Selon le site Conspiracy Watch, un observatoire des théories du complot, le phénomène est difficilement quantifiable. Mais "de plus en plus d'enseignants et d'éducateurs témoignent pour dire que quelque chose se passe chez des jeunes de plus en plus nombreux à adhérer aux théories du complot, qu'ils découvrent sur internet", assure son fondateur Rudy Reichstadt.
    La plupart des jeunes interrogés par l'AFP se montrent prolixes sur le sujet.
    "Les droits de l'homme sont une création maçonnique", lâche un étudiant de Valenciennes. Léon, 19 ans, est lui "quasi-sûr qu'il y a des complots politiques, financiers". Quant à Clément, il est convaincu de l'existence d'une "secte puissante", mais cet étudiant parisien reconnaît qu'il y a "un peu de mythe autour de ses activités".
    Tous, en tout cas, disent connaître les Illuminati, prétendue société secrète oeuvrant pour l'avènement du nouvel ordre mondial, symbolisée par un triangle et dont la dénonciation est en vogue chez les jeunes. D'après des données consultables sur Google, le nombre des recherches sur les Illuminati a connu une forte croissance en France après 2011 et, à nouveau mais dans une moindre mesure, début 2014.
    "Y'a des stars comme Jay-Z, Kanye West ou Rihanna qui mettent des triangles dans leurs clips, parce qu'ils en font partie", assène Antoine, en seconde dans un lycée parisien. "Et si on écoute certaines de leurs chansons à l'envers, il y a un message. "Quel message? Les réponses se font vagues: "satanique", ose un élève, "subliminal", répond un autre.
    Ce genre de discours a aussi fait irruption dans les salles de classe. "Si on prend un billet d'un dollar et qu'on dessine une étoile de David sur la pyramide surmontée de l'oeil de la providence, les branches de l'étoile désignent les lettres M.A.S.O.N. comme francs-maçons", argumente ainsi Michael à son prof d'histoire, après un cours de terminale sur les accords faisant du dollar le pilier du système monétaire international. "Ça prouve qu'il y a un complot", insiste-t-il.
    - 'Une autre vérité'-
    Le phénomène reste difficile à cerner, tout comme le profil des jeunes concernés. "Il n'y a pas de gourou, ni de lieu, rien de caractérisé qui permette l'ouverture d'une enquête", juge-t-on à la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes).
    Sur la quarantaine d'élèves qui suivent les cours de Stéphane François, professeur à l'Institut de préparation à l'administration générale (Ipag) de Valenciennes, "environ un quart sont perméables aux théories du complot". "Globalement, ceux qui adhèrent à cette vision conspirationniste du monde ne sont pas les meilleurs" et sont "généralement issus de l'immigration et des quartiers populaires", estime ce politologue chercheur au CNRS.
    Mais pour le directeur de l'Observatoire des radicalités politiques (Orap) Jean-Yves Camus, cet engouement n'est pas confiné à un seul profil. "Certains adhèrent au discours antisémite proche de Dieudonné, d'autres à un discours catholique conservateur proche du Printemps français et il y a aussi un renouveau du discours islamique radical", énumère-t-il.
    Selon le sociologue Jean-Bruno Renard, spécialiste des rumeurs et des légendes urbaines, les jeunes sont particulièrement réceptifs aux théories complotistes. "Autrefois, ils respectaient les institutions en tant qu'autorité. Aujourd'hui, ils expriment une méfiance envers la vérité officielle, sous-entendu il y a une autre vérité", explique le coauteur du livre "100% rumeurs", ajoutant, à l'endroit de ceux qui entretiennent ces thèses avec des visées politiques, que "l'idée de manipuler les jeunes a toujours existé".
    "Les élèves mènent une vie à part et, dans les milieux clos, les choses se répandent", souligne l'autre auteur, Véronique Campion-Vincent, anthropologue à la Maison des sciences de l'homme (FMSH). En outre, "les thèses complotistes apportent des réponses faciles pour comprendre un monde soumis à une complexification des processus de décisions politiques, économiques et sociales".
    "Les complots existent: ils font partie du pouvoir", nuance Véronique Campion-Vincent. "Ce qui n'existe pas, c'est un complot général qui aurait pour seul objectif d'être maître du monde", mais "la société ne va pas s'effondrer parce que des gens croient à ces théories".

    Le Nouvel Observateur avec AFP :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_antiamerique/EuppZVAFlZtDOQoyXj.shtml

  • 25 % des futurs eurodéputés français prêts à défendre la famille et l’enfant

    Communiqué de La Manif Pour Tous :

    "Europe for Family de La Manif Pour Tous estime que 25 % des futurs eurodéputés français défendront la famille et l’enfant lors de la prochaine législature. En effet,220 candidats ont répondu favorablementaux « Principes européens pour la famille et pour l’Enfant ». Parmi eux, on dénombre 34 têtes de listesprovenant tant de grands partis (UMP, FN, DLR) que de collectifs de citoyens (tels Nous Citoyens ou Force Vie). Ces principes concernent notamment l'adoption et le mariage pour les couples homme/femme, la GPA, la PMA pour les couples de même sexe, la liberté d’éducation des parents et l’idéologie du genre.

    Un vote capital pour l’émergence d’une impulsion pro-famille

    La Manif Pour Tous, mouvement citoyen non partisan, rappelle qu’elle ne soutient aucune liste ni aucun candidat. En revanche, dans un esprit citoyen et constructif, elle invite à voter après avoir consulté le siteeuropeforfamily.euafin de connaître les candidats qui ont clairement manifesté leur volonté d’agir en faveur de la famille et de l’enfant au Parlement européen.

  • La franc-maçonnerie se réunit le 28 mai pour « tirer les enseignements du scrutin européen »

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    La franc-maçonnerie ne perd pas un instant, elle a déjà planifié pour le 28 mai un forum sur les enseignements à tirer du scrutin européen.

    Il s’agira du 1er Forum des Obédiences maçonniques libérales et adogmatiques de l’Union Européenne. Cela se passera rue Cadet au siège du Grand Orient de France.

    Sans être devin, on peut déjà imaginer le discours d’épouvante à propos de la montée des partis « populistes » et « extrémistes » qui n’auront pas manqué de faire un tabac dans plusieurs pays de l’UE.

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    Pour mieux connaitre et comprendre la Franc-Maçonnerie, lisez La franc-maçonnerie d´après ses documents secrets de Léon de Poncins.

    A commander sur www.livres-et-idees.com

    http://medias-presse.info/la-franc-maconnerie-se-reunit-le-28-mai-pour-tirer-les-enseignements-du-scrutin-europeen/10310

  • Aux urnes citoyens!

    C’est une confirmation pointée par les instituts et les politologues dans les toutes dernièes enquêtes d’opinion, mais nous n’avions pas besoin qu’elle soit réitérée pour le savoir:  le taux d’abstention sera bien la clé de ce scrutin. Selon un sondage  OpinionWaypour 20 Minutes publié hier sur le site du quotidien gratuit,« l’abstention s’élèverait à 60% en France (dimanche prochain) , en baisse de 3 points par rapport au 17 mai». «Ce regain civique est-il expliqué,  ne profite pas aux deux partis qui arrivent à égalité en tête des intentions de vote avec 21%, l’UMP (-2%) et le FN (-1%). Avec une si faible participation, difficile de dire qui pourra finalement virer en tête». Pour autant analyse Bruno Jeanbart, directeur général d’Opinionway, «plus la participation sera élevée, plus les chances du FN d’arriver premier seront élevées car l’électorat sociologique du FN, plutôt jeune et plutôt CSP - ,est le plus abstentionniste. Tout dépendra de la volonté de l’électorat de Marine Le Pen, le plus eurosceptique, de la placer en tête, s’il pense que ça peut constituer un tournant dans la vie politique française. L’UMP, elle doit se battre avec la démobilisation de ses électeurs, qui souffrent d’un effet post-municipales et peuvent être séduits par une offre électorale plus conséquente. C’est d’ailleurs un des échecs de l’UMP dans cette campagne, dit Bruno Jeanbart, mais l’intervention de Nicolas Sarkozy (sa longue  tribune pro  européiste publié hier dans Le Point et Die Welt, NDLR) peut servir de déclencheur»

    La question est en effet de savoir si les Français oublieront  que Nicolas  Sarkozy a soutenu, accompagné, validé toutes  les  dérives  et les tares de l’Europe de Bruxelles qu’il dénonce aujourd’hui…sans la remettre en question.  Les Français ont-ils compris que  lelangage patriotique tenu aux Français sur le thème Je vous ai compris,  est une   posture habituelle de  l’UMPS avant  les  élections,  pour mener une fois  celles-ci passées  les mêmes politiques mortifères ,  pour  empêcher le FN  d’accéder  au pouvoir?  Français, vous avez la mémoire courte?

    Une autre enquête, Harris Interactive pour  le Parisien -  Aujourd’hui en France   et LCPréalisée cette semaine,  place pour sa part le FN, avec 23% des intentions de vote devant l’UMP (21%) et le PS (16%), le quotidien relevant que «l’annonce des baisses d’impôts pour les ménages les plus modestes la semaine dernière par Manuel Valls n’a visiblement pas eu d’effet positif sur l’électorat. Pas plus que les appels répétés des responsables du PS et de l’UMP à faire barrage au populisme et à l’extrême droite.»

    Mercredi, le site du JDD, a rappelé  avec raison, à la lecture des «intentions de vote exprimées au niveau national via l’eurorolling, publié chaque jour sur le site de Paris Match, que «ces sondages reflètent un état des rapports de force sur l’instant et non une prédictiondes résultats de l’élection. Le niveau de l’abstention, en premier lieu, est la principale inconnue du scrutin».

    Ce qui est pour le coup de l’ordre de la certitude, c’est que le mauvais procés fait au FN dans les tous derniers jours de cette campagne des élections européennesn’aura  certainement pas l’effet escompté sur l’électorat par ses initiateurs. L’ association intitulée Maison des potes, sous-bidule de la coquille vide socialiste  SOS racisme,  a déposé plainte jeudi contre le Front National qui, dans un  guide pratique  à usage des élus municipaux, recommande de prôner la « priorité nationale » pour les familles françaises  dans l’attribution des logements sociaux. Le site du Monde, dans un article mis en ligne hier, indique que la  Maison des Potes, qui a saisi le procureur de Nanterre en charge des dossiers de discriminations, vise dans sa plainte les  personnes qui ont publié  le  petit guide pratique de l’élu municipal FN , paru en septembre 2013 et rendu public à l’automne». «Selon elle,  Commettre une discrimination dans les attributions de logements sociaux en priorisant les Français sur les étrangers est passible de 75 000 euros d’amende et 5 ans d’emprisonnement pour un dépositaire de l’autorité publique, en l’occurrence un élu qui siège dans une commission d’attribution de logement d’un organisme HLM. »

    Si vouloir que ses compatriotes soient prioritaires dans leur propre pays est en effet un délit pour l’UMP, le PS et les autres partis du Système, le microcosme politico-médiatique tente aussi, avec à notre avis la même maladresse, de susciter l’indignation des Français avec les derniers rebondissements de l’affaire Leonarda. En l’espèce, il est reproché au vice-président du FN, Florian Philippot, d’avoir diffusé sur le réseau social une   photo de la désormais célèbre jeune fille Rom, sur laquelle elle    apparaît  faisant  le V de la victoire, sur fond de drapeau européen  et assorti dans une bulle des propos   qu’elle a tenus le 21 mai surFrance Info : «On attend que notre passeport croate soit prêt et on est libre, on peut aller où on veut après.» Tweet qui tire de ceux-ci la conclusion suivante:  Le 25 mai, votez Front National. 

    Dans les faits, l’hebdomadaire Valeurs actuelles qui s’est procuré  une note du service de sécurité intérieure de l’ambassade de France au Kosovo, explique dans son dernier numéro que  le père de Leonarda a  entrepris des démarches pour changer de nom – une possibilité de changer de patronyme qui est offerte au Kosovo tous les cinq ans!- et acquérir nationalité croate. Un changement de nationalité et de nom dont profiterait  la très vindicative léonarda Dibrani, qui affirme, la Croatie étant membre de l’UE,  qu’elle reviendra «en France un jour ou l’autre», et  qui prendrait ainsi le nom de son père ( «Tahiri») .

    Conscient que tout aveu de faiblesse dans le dossier Rom, incarné symboliquement par le cas de la famille Dibrani-Tahiri, accélèrerait se descente aux enfers dans les urnes, le gouvernement joue la partition de la fermeté. L’Express le rapportait mercredi, «le  ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, répond d’un simple non à cette possibilité» d’un retour de cette famille. «Manuel Valls a lui aussi écarté la possibilité d’un retour en France via un changement de nationalité de la famille. Cette famille, la famille Dibrani -vous savez quelle était ma position lorsque j’étais ministre de l’Intérieur- n’a rien à faire en France, donc elle ne viendra pas en France

    De mâles déclarations qui visent à effacer le souvenir  de l’humiliation subie en octobre dernier par  François Hollande, et à travers lui de  la fonction qu’il incarne si mal,  qui avait choqué les Français . Il avait jugé  habile d’offrir à Leonarda de rentrer en France, mais sans sa famille, ce qui   lui avait  valu un tacle sévère  de la collégienne affirmant avec hauteur vouloir   se réinstaller chez nous  avec tous les siens.  Or, L’express a beau jeu de rappeler que désormais  «ce retour serait légal. En effet,une fois membre de l’Union, la famille de Leonarda pourrait venir en France pour 90 jours maximum, la Croatie n’étant pas membre (pas encore, NDLR) de Schengen».

    Ce nouveau développement de l’affaire Leonarda peut paraître  anecdotique  au regard du laxisme délirant , plus général, dans la gestion des flux migratoires, notamment non européens. Une tiers-mondisation de notre pays que les   contribuables  français,  impitoyablement étranglés,  matraqués ,  payent également au   prix fort. Cet immigrationnisme teinté de pseudo-justifiications économiques et droit-de-l’hommistesillustre parfaitement le double langage des partis d’un  Systéme débile (au sens étymologique du terme)  qui s’est débarassé, par idéologie et/ou lâche soulagement des instruments du pouvoir garanrtissant la préservation de  nos libertés, de notre  souveraineté, de notre identité.

    Ce déclin, Bruno Gollnisch le réaffirme, n’est pas une fatalité, un coup d’arrêt, avant la nécessaire reconquête,  peut lui être porté dés dimanche prochain.  Pour la France et les Français d’abord, l’Europe des nations libres, aux urnes citoyens! 

    http://gollnisch.com/2014/05/23/aux-urnes-citoyens-2/

  • Une bonne nouvelle : Fillon laisse entendre que l’UMP pourrait ne pas survivre à l’affaire Bygmalion

    LE SCAN - « Il y a une famille politique qui préexistait à l’UMP, et qui continuera de s’exprimer », a déclaré l’ancien premier ministre. Il souhaite construire « un projet de rupture » qui« n’est aujourd’hui porté par personne ». 

    Invité jeudi matin sur iTélé par Bruce Toussaint à choisir une chanson de Charles Aznavour reflétant son état d’esprit à l’occasion des 90 ans du chanteur, François Fillon désigne sans hésiter Non, je n’ai rien oublié .

    Effectivement, l’ancien concurrent de Jean-François Copé pour la présidence de l’UMP semble nourrir un vif ressentiment contre le maire de Meaux. Il estime avoir anticipé les dérives révélées par l’affaire Bygmalion : « Cela correspond à des inquiétudes et des craintes que j’avais moi-même formulées. C’est désormais devant la justice. J’espère que la justice va faire son travail pour que notre famille politique retrouve sa sérénité ». [...]

    La suite sur Le Figaro

     
  • Hollande et Valls vont-ils achever la destruction de l’armée française ?

    Budget des armées : la mise en garde de Jean-Yves Le Drian à Manuel Valls

    EXCLUSIF - Dans une lettre que Le Figaro a consulté, le ministre de la Défense signifie au premier ministre sa grande préoccupation face aux graves conséquences militaires, industrielles et sociales d’un coup de rabot supplémentaire. 

    Le constat est alarmant et l’argumentaire implacable, au moment où la mobilisation des acteurs de la Défense ne faiblit pas devant les menaces de nouvelles coupes budgétaires. Dans une lettre envoyée le 9 mai à Manuel Valls (et adressée en copie à Michel Sapin), Jean-Yves Le Drian signifie au premier ministre sa très forte préoccupation face aux graves conséquences militaires, industrielles et sociales d’un coup de rabot supplémentaire.

    Mardi 13 mai, appuyant leur ministre, les officiers généraux cinq étoiles dirigeant les trois armées (terre, air, marine) et le chef d’état-major des armées, le général Pierre de Villiers, ont mis leur démission sur la table, lors d’une réunion. Ces responsables demeurent jusqu’à aujourd’hui dans ce même état d’esprit, et se disent peu convaincus par les messages venus de Bercy ou de l’Élysée, même s’ils ont noté quelques infléchissements de ton dans la bouche du ministre des Finances, Michel Sapin. Samedi 17 mai, la rencontre autour de François Hollande à l’Élysée, entre Manuel Valls et Jean-Yves Le Drian n’a pas été conclusive, le chef de l’État se drapant dans le respect des grands principes stratégiques et laissant le soin à son premier ministre de régler la problématique budgétaire. Or, à Matignon comme à Bercy, on fait plus que jamais la chasse aux milliards… [...]

    La suite sur Le Figaro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Hollande-et-Valls-vont-ils-achever