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  • Le député Marc Le Fur s’interroge sur le silence qui a entouré l’agression de Laurence Rossignol par des militants LGBT

    Médias Presse Info vous avait signalé l’agression du secrétaire d’Etat Laurence Rossignol par des militants LGBT la semaine dernière.

    Hier, lors de  la discussion de la proposition de loi sur l’autorité parentale et l’intérêt de l’enfant, le député Marc Le Fur (UMP) s’est adressé à Laurence Rossignol à ce sujet.  «Je voudrais, à la suite de l’agression dont vous avez été victime voilà quelque temps de la part du réseau LGBT, vous exprimer ma solidarité et mon soutien».

    «Cette agression était d’autant plus surprenante qu’elle était déplacée et vulgaire. Ce soutien s’adresse donc tant à votre personne qu’à la fonction que vous exercez. Ce qui m’étonne, madame la secrétaire d’État, c’est de ne pas avoir entendu d’expression de solidarité de la part de beaucoup de membres du gouvernement, non plus que du Premier ministre, qui fut pourtant un ministre de l’Intérieur particulièrement répressif

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  • Affaire Karachi : L’argent, le sang et la démocratie

    Le 8 mai 2002, à Karachi, au Pakistan, un attentat tue onze employés des constructions navales de Cherbourg. En 2012, dix ans après les faits, l’enquête va faire surgir une seconde affaire : un éventuel financement illicite lors de la campagne présidentielle d’Édouard Balladur en 1995.

    Quatre contrats d’armement avec l’Arabie Saoudite et le Pakistan auraient servi à financer celle-ci, moyennant le versement de commissions dont les bénéficiaires auraient rétrocédé un pourcentage au staff de Balladur. Le non-versement d’une partie des sommes après le départ de ce gouvernement en 1995 aurait provoqué l’attentat de Karachi.

    Réalisé par Jean-Christophe Klotz et Fabrice Arfi (France 2013)

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Philippe de Villiers fait un pas vers le Rassemblement

    Communiqué de 
    Paul-Marie Coûteaux

    Président de SIEL

    Souveraineté Indépendance et Libertés

    Philippe de Villiers fait un pas vers le Rassemblement 

    Il est regrettable que, mis à part Valeurs Actuelles et le Figaro, les médias n'aient pas relevé le soutien que vient d'apporter Philippe de Villiers à Aymeric Chauprade, nommé par Marine le Pen tête de liste en Ile-de-France. Il est pourtant notable que, au moment de quitter le Parlement européen, celui qui reste président du MPF se soit exprimé en ces termes : "Marine Le Pen n’est pas Jean-Marie Le Pen ; je comprends parfaitement votre engagement et je vous soutiens. Si j’avais votre âge, je ferais la même chose". Ces propos sont très proches de ceux que M. de Villiers m'a tenus lors de notre dernière entrevue le 9 décembre dernier à Paris.

    Philippe de Villiers va-t-il rejoindre le RBM ?  C'est douteux aussi longtemps que ce rassemblement n'aura pas de réalité, ce que je regrette publiquement depuis des mois. Du moins son ouverture esquisse-t-elle des perspectives. Il va de soi que le SIEL va s'employer à les préciser, notamment en proposant à Marine Le Pen un autre rassemblement, plus franchement ouvert à tous les patriotes de la droite nationale. C'est l'un des enjeux des prochains congrès du SIEL, le 25 octobre, puis celui du FN le 27 novembre. Pour l'heure, saluons le pas bienvenu que vient de faire Philippe de Villiers, homme opiniâtre et constant, dont le SIEL répète qu'il garde un rôle important dans la construction d'un vaste rassemblement national à vocation gouvernementale qui seul peut redresser la France.  

    Quel contraste avec l'impuissance de J-P Chevènement qui, pris au piège d'une gauche incapable d'assurer l'héritage républicain, en est réduit à prôner l'abstention ! Cette impasse prouve une fois encore que l'Union des Patriotes, que prône le SIEL depuis sa création, ne peut avoir d'autre réalité que l'union de toutes les familles de la droite nationale, à laquelle il est tant souhaitable que Philippe de Villiers comme Nicolas Dupont-Aignan se joignent à leur tour, sans pour autant se confondre.

    list@souverainisme.org

  • Sarkozy critique l'UE qu'il a construite avec le Traité de Lisbonne

    Nicolas Sarkozy, qui a violé le "non" du peuple français au traité constitutionnel européen, arrive dans la campagne sur les élections européennes, tel un chien dans un jeu de quilles, face à une UMP qui ne sait pas quoi penser de l'UE, tiraillée entre l'européiste Lamassoure et le souverainiste Guaino. Valeurs Actuelles révèle la stratégie de l'ancien président, qui aurait déclaré :

    « Peu importe ce que dit l’UMP sur l’Europe. La question n’est pas de savoir s’il faut plus d’Europe ou moins d’Europe, la question est de savoir quelle Europe nous voulons. Quand j’ai présidé l’Union européenne, en 2008, les Français n’étaient pas « eurosceptiques ». Aujourd’hui la question est de savoir quelle Europe leur proposer. » [...]

    « Il faut continuer dans la veine de ma campagne de 2012. Vous vous souvenez du discours de Villepinte ? (le discours de Villepinte, prononcé le 11 mars 2012, au début de sa campagne présidentielle, promettait que la France pourrait remettre en cause les accords de Schengen si l’Union européenne ne luttait pas efficacement contre l’immigration clandestine, NDLR). C’était un magnifique discours. Tout y était. Aujourd’hui, il faut proposer une autre Europe aux Français. Sur l’immigration, ce n’est plus possible. » C’est là la déclinaison du thème du « périmètre » de l’Union européenne, sur lequel Sarkozy n’hésite pas à se montrer critique. [...]

    La question du leadership, aussi, inquiète l’ex chef de l’Etat, accusant ceux qui refusent le leadership en Europe (comprendre François Hollande) d’avoir « peur d’assumer leur responsabilités ». Même charge contre cette Europe qui détient « trop de compétences »incapable de se faire adopter par les citoyens de l’Union européenne. Son credo : plus d’ « intégration monétaire » dans la zone Euro, qu’il se félicite encore d’avoir sauvée en 2008, et moins d’intégration dans le périmètre de la zone de libre circulation qui comprend les 28 pays membres.

    [...] « Quand je reviendrai, je reviendrai avec un discours sans ambiguïté sur le sujet. Je reviendrai en proposant un Schengen 2, sans les défauts de la zone de libre circulation, plus efficace en termes de lutte contre l’immigration clandestine. Vous verrez, quand je proposerai ça, Marine Le Pen dégonflera instantanément. »"

    Belles promesses. A ceci près que pour réaliser ce programme, il est nécessaire de remettre en cause le Traité de Lisbonne, que Nicolas Sarkozy a fait adopter de force.

    Michel Janva

  • Sarkozy critique l'UE qu'il a construite avec le Traité de Lisbonne

    Nicolas Sarkozy, qui a violé le "non" du peuple français au traité constitutionnel européen, arrive dans la campagne sur les élections européennes, tel un chien dans un jeu de quilles, face à une UMP qui ne sait pas quoi penser de l'UE, tiraillée entre l'européiste Lamassoure et le souverainiste Guaino. Valeurs Actuelles révèle la stratégie de l'ancien président, qui aurait déclaré :

    « Peu importe ce que dit l’UMP sur l’Europe. La question n’est pas de savoir s’il faut plus d’Europe ou moins d’Europe, la question est de savoir quelle Europe nous voulons. Quand j’ai présidé l’Union européenne, en 2008, les Français n’étaient pas « eurosceptiques ». Aujourd’hui la question est de savoir quelle Europe leur proposer. » [...]

    « Il faut continuer dans la veine de ma campagne de 2012. Vous vous souvenez du discours de Villepinte ? (le discours de Villepinte, prononcé le 11 mars 2012, au début de sa campagne présidentielle, promettait que la France pourrait remettre en cause les accords de Schengen si l’Union européenne ne luttait pas efficacement contre l’immigration clandestine, NDLR). C’était un magnifique discours. Tout y était. Aujourd’hui, il faut proposer une autre Europe aux Français. Sur l’immigration, ce n’est plus possible. » C’est là la déclinaison du thème du « périmètre » de l’Union européenne, sur lequel Sarkozy n’hésite pas à se montrer critique. [...]

    La question du leadership, aussi, inquiète l’ex chef de l’Etat, accusant ceux qui refusent le leadership en Europe (comprendre François Hollande) d’avoir « peur d’assumer leur responsabilités ». Même charge contre cette Europe qui détient « trop de compétences »incapable de se faire adopter par les citoyens de l’Union européenne. Son credo : plus d’ « intégration monétaire » dans la zone Euro, qu’il se félicite encore d’avoir sauvée en 2008, et moins d’intégration dans le périmètre de la zone de libre circulation qui comprend les 28 pays membres.

    [...] « Quand je reviendrai, je reviendrai avec un discours sans ambiguïté sur le sujet. Je reviendrai en proposant un Schengen 2, sans les défauts de la zone de libre circulation, plus efficace en termes de lutte contre l’immigration clandestine. Vous verrez, quand je proposerai ça, Marine Le Pen dégonflera instantanément. »"

    Belles promesses. A ceci près que pour réaliser ce programme, il est nécessaire de remettre en cause le Traité de Lisbonne, que Nicolas Sarkozy a fait adopter de force.

    Michel Janva

  • L'Inde est de retour

    Oublions Jules Verne. Un tour d'horizon mondial, au XXIe siècle, se révèle facile à accomplir en moins de 80 minutes. Il suffit de passer par les sites des grands journaux du monde entier. Or, en les survolant ce lundi 19 mai, du "Washington Post" au "South China Morning Post", en passant par le "Times" ou le "Daily Telegraph" de Londres, "die Welt" de Berlin ou "La Repubblica", une chose pouvait frapper le visiteur. Chacun de ces titres prestigieux affichait 20 ou 30 articles de première page.

    Mais on n'y trouvait aucune évocation, de la principale nouvelle politique mondiale. Elle était pourtant connue, discrètement mentionnée la veille, dimanche 18. Idem les jours suivants.

    Elle glisse, inaperçue et anecdotique.

    Elle était pourtant pressentie depuis plusieurs semaines : il s'agit du basculement à droite de l'Inde sous la conduite de Narendra Modi.

    Le vieux parti hérité de Gandhi et de Nehru, le parti du Congrès a été balayé. Le BJP, parti du peuple Hindou, avec 172 millions de voix a doublé le nombre de ses électeurs de 2009. Sa victoire de 1999 avait porté au pouvoir Atal Bihari Vajpayee, avec seulement 86,6 millions de suffrages. Aujourd'hui, avec 282 sièges, il détient la majorité absolue à l'assemblée législative fédérale, la Lok Sabha. Pour la première fois depuis 1984, un chef de gouvernement va pouvoir diriger cet immense pays de manière homogène sans dépendre d'une coalition.

    La victoire éclatante du BJP ne se limite pas en effet à une simple alternance électorale, comme il en existe dans toutes les démocraties.

    Évoquons d'abord ce qui passionne les économistes, lesquels considèrent trop souvent les ratios financiers sans percevoir le modèle de développement social. Churchill le disait avec humour : "je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même trafiquées". Car les agrégats inventés au cours du XXe siècle, et adulés des technocrates du FMI, du monde bancaire, etc. devraient en vérité n'être pris en compte qu'à titre indicatif. En particulier le taux de croissance du produit intérieur brut ne nous informe que de la santé relative, instantanée, approximative et quantitative de l'évolution prévisible de la richesse des nations, certainement pas des perspectives des sociétés.

    Le parti qui vient de l'emporter en Inde peut dès maintenant se prévaloir de l'expérience gestionnaire d'un État, le Gujarat, peuplé de 60 millions d'habitants sur 196 000 km2. À comparer avec l'Allemagne de l'ouest, qui comptait 63 millions d'habitants sur 248 000 km2 avant l'unification, on ne saurait parler d'un simple galop d'essai local. Dès lors la réussite incontestable de son ministre-président, Narendra Modi de 2001 à 2014, pratiquement sans faute économique, a servi de premier argument pour la conquête du pouvoir fédéral à New Delhi. On l'a, certes, exprimé en termes de croissance. On a pu évaluer que cet État, pendant les 12 années de gestion de Narendra Modi et de ses "modinomics" a bénéficié d'un taux de croissance très supérieur à la moyenne nationale, une tendance durable accentuée depuis 10 ans. Etre exécrées par la gauche c'est toujours bon signe. Cela tient à une double préoccupation due au parti BJP en général et à Narendra Modi en particulier, celle de l'équipement et de la formation en liaison avec les nouvelles mais aussi à une moindre intervention redistributrice et dirigiste de l'État. Telle Margaret Thatcher, ce politique est issu de la classe moyenne, où on travaille dur dans l'échoppe paternelle et où on ne dépense que ce que l'on a gagné.

    On pourrait, à certains égards, comparer la prospérité qu'il a développée dans le Gujarat, à celle de la Bavière en Allemagne, sans doute la région la plus traditionnelle du pays, et cependant en pointe dans l'économie.

    Dans un cas comme dans l'autre il ne s'agit pas d'un paradoxe. Le nouveau Premier ministre indien est né en 1950. Il pratique et milite ardemment pour l'Hindouisme depuis l'âge de 13 ans. Cela déplaît fortement au courant dominant du monde actuel comme le catholicisme des dirigeants bavarois irrite ses détracteurs. Un article du "Courrier international" le dit de façon cocasse. On lui reconnaît d'innombrables qualités, y compris le sens de l'humour et l'élégance, mais on l'étiquette de l'épithète, supposée éliminatoire, de "controversé". La grammaire journalistique du New York Times, en France celle d'Anne Sinclair, appliquée au sous-continent indien, cela devrait faire sourire.

    Cela dénote une méconnaissance du problème central de l'Inde depuis son indépendance.

    Ce pays, hindou à 80 %, cherche à effacer les traces de l'épouvantable oppression musulmane subie pendant des siècles sous la domination moghole puis perse. Le parti du Congrès, politiquement correct, parfaitement adapté aux mots d'ordre mondialistes a toujours voulu nier ce problème de l'identité nationale. N'y voyons pas un hasard de l'Histoire.

    Dans cette lutte terrible contre l'islamisme, tant pakistanais qu'intérieur, on a voulu interdire les enjeux mémoriels et stigmatiser le "suprémacisme" des Hindous dans leur pays. En 2002 les États-Unis sont allés jusqu'à refuser à ce titre un visa à Narendra Modi. Il faudra bien pourtant que l'occident s'habitue à respecter ce choix qui n'attentera pas à la condition de 13 % de musulmans que compte le pays. On verra s'affirmera en Inde les valeurs éternelles et l'identité profonde de nos lointains cousins indo-européens, la plus ancienne religion du monde, assez voisine de celle des héros de l'Iliade.

    Convenons à l'évidence que deux nouvelles grandes puissances ont principalement émergé dans le monde depuis 20 ans, à taille à peu près égale : la Chine et l'Inde. Chacune de ces deux nations compte plus d'un milliard d'hommes. Chacune pèse plus que les 57 États musulmans additionnés. Elles se sont toutes les deux adaptées, résolument, à l'économie de marché. Mais elles ont abordé cette évolution de manière très différente.

    Et il n'entre pas dans le propos de la chronique d'aujourd'hui sous-estimer la réussite technique de l'Empire du Milieu dans de nombreux domaines. Non seulement les chiffres parlent mais une visite dans les rayons de nos grands magasins suffirait à éclairer ceux que l'étude de la pensée chinoise et des séjours espacés à Pékin ou Shanghai, à défaut de la campagne, n'auraient pas amenés à comprendre l'importance de ce pays.

    Reste une immense différence entre le développement de ce très grand pays, toujours gouverné par un parti unique, qui se dit encore communiste, et qui demeure imperturbablement oppresseur, etc. et l'émergence de l'Inde, terre de liberté et de diversité.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/2014/05/linde-est-de-retour.html

  • Le PS et l’Europe sociale : 35 ans d’une promesse non tenue

    La récente tribune de François Hollande,« L’Europe que je veux » (1), suscite l’ironie mordante du Blog de Nico (2). Aux « très mauvais arguments » du président de la République que relève Denis Sieffert dans son édito cette semaine (3), ce blogueur oppose sa mémoire d’archiviste des promesses non tenues. Et ça décape ! Surtout quand il rassemble des extraits vidéo des plus grands ténors du PS, nous promettant tous depuis trente-cinq ans l’Europe sociale pour demain.


    Tout au long de ces années, Politis n’a pas manqué d’aborder cette question. Voici ce que nous écrivions déjà en ouverture d’un dossier sur l’Europe sociale, le 30 juin… 1989 :
    « On cause, on cause… et puis rien ne vient. Le droit du travail et la protection sociale restent à la traîne du projet européen, peut-on lire en introduction. La difficulté d’une harmonisation des législations ou les différences réelles de culture sociale qui existent d’un pays l’autre suffisent-elles à expliquer cette lenteur ? 
    Lire > Europe : l’Arlésienne sociale (4)
    Le fait que l’Europe sociale soit encore à bâtir, rappelions nous en 2009, « vaut aveu d’échec pour les sociaux-démocrates », qui ont fait preuve d’une singulière inconséquence, car, « si l’on veut une Europe sociale, le préalable est de commencer par ne pas se lier les mains avec des traités, comme celui de Lisbonne, qui la rendent impossible ».
    Lire > Europe sociale ? Quelle blague ! (5)

    (1) http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/05/08/francois-hollande-l-europe-que-je-veux_4413580_3214.html

    (2) http://blogdenico.fr/35-ans-de-promesses-deurope-sociale-ca-suffit-non/

    (3) http://www.politis.fr/Europe-de-tres-mauvais-arguments,26954.html

    (4) http://www.politis.fr/Europe-l-Arlesienne-sociale,6148.html

    (5) http://www.politis.fr/Europe-sociale-Quelle-blague,7230.html

    Politis :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuppZVpVEZewNDzrEY.shtml