Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 4

  • Benoît Hamon gêné par les ABCD de l'égalité

    Le prérapport des inspecteurs de l'inspection générale de l'Éducation nationale chargé de l'évaluation des ABCD évoque un bilan mitigé. Ce projet pédagogique ne devrait pas être généralisé.

    «On verra ce que l'on peut tirer de ce machin…» Voilà les mots employés par Benoît Hamon à l'égard des fameux ABCD de l'égalité.

    Lancés dans 10 académies, l'initiative a suscité une vive controverse. 

    Le prérapport de l'inspection générale de l'Éducation nationale évoque un bilan mitigé dans certaines académies. La contestation du dispositif a placé les enseignants en porte-à-faux. La question des limites entre ce qui relève de l'école et de la famille s'est clairement posée. 

    Le 3 juin, Benoît Hamon réunit les inspecteurs d'académie et inspecteurs de l'Éducation nationale des départements où ont eu lieu ces expérimentations pour faire le bilan et déterminer la suite des événements.

    Et cela fait un mois que la demande de rendez-vous de La Manif Pour Tous est «à l'étude» au ministère de l'Éducation. 

    Michel Janva

  • Benoît Hamon gêné par les ABCD de l'égalité

    Le prérapport des inspecteurs de l'inspection générale de l'Éducation nationale chargé de l'évaluation des ABCD évoque un bilan mitigé. Ce projet pédagogique ne devrait pas être généralisé.

    «On verra ce que l'on peut tirer de ce machin…» Voilà les mots employés par Benoît Hamon à l'égard des fameux ABCD de l'égalité.

    Lancés dans 10 académies, l'initiative a suscité une vive controverse. 

    Le prérapport de l'inspection générale de l'Éducation nationale évoque un bilan mitigé dans certaines académies. La contestation du dispositif a placé les enseignants en porte-à-faux. La question des limites entre ce qui relève de l'école et de la famille s'est clairement posée. 

    Le 3 juin, Benoît Hamon réunit les inspecteurs d'académie et inspecteurs de l'Éducation nationale des départements où ont eu lieu ces expérimentations pour faire le bilan et déterminer la suite des événements.

    Et cela fait un mois que la demande de rendez-vous de La Manif Pour Tous est «à l'étude» au ministère de l'Éducation. 

    Michel Janva

  • Du FN au Ukip, quels seront les prochains « séismes politiques » ? Analyse avec Emmanuel Ratier

    Emmanuel Ratier analyse le résultat des élections européennes et envisage les conséquences pour les prochains scrutins en France et en Europe.


    RC 2014.05.27 LJ Emmanuel Ratier « Seisme du 25… par Hieronymus20


    RC 2014.05.27 LJ Emmanuel Ratier « Seisme du 25… par Hieronymus20

  • France : le piège se referme

    A cause des contraintes européennes, les marges de manœuvre de François Hollande et du gouvernement étaient limitées. Mais les mesures engagées ne vont pas dans le bon sens. 
    Le gouvernement français a donc finalement renoncé à demander à Bruxelles un délai supplémentaire pour ramener le déficit public sous la barre des 3 %. Ce qui l’amène à prévoir pour l’an prochain des mesures douloureuses socialement et politiquement difficiles à défendre comme la poursuite du gel du point d’indice des fonctionnaires, le blocage des retraites et des prestations sociales ou encore le report de la revalorisation du RSA prévue dans le cadre du plan de lutte contre la pauvreté. Entre la pression exercée sur la compétitivité française par la course au moins-disant social engagée chez nos voisins et le carcan budgétaire imposé par le traité sur la stabilité, la coordiantion et la gouvernance (TSCG) dans la zone euro, la France se trouve prise dans un double piège : elle est obligée de rentrer dans une spirale déflationniste dont elle ne peut guère tirer de bénéfice.
    Le piège de la course au moins-disant social
    Depuis 2010, la France était un des pays de la zone euro qui avait le moins souffert de la crise parce que sa demande intérieure s’était maintenue. Fort heureusement, car cela a contribué de façon déterminante à éviter que la zone euro ne s’effondre. Il en était ainsi parce que le pays n’avait pas subi jusqu’ici de déflation salariale ni de baisse des dépenses publiques. Ce n’était pas le cas en revanche de la plupart de nos voisins en dehors de l’Allemagne, et notamment des pays les plus en crise : ils ont baissé rapidement leurs coûts salariaux et donc restreint fortement leur demande intérieure. Résultat : alors que l’Espagne par exemple était avant la crise un des pays vis-à-vis duquel la France dégageait le plus d’excédents extérieurs avec un surplus de 6,3 milliards d’euros en 2007, l’Hexagone a enregistré un déficit de 1,9 milliard de mars 2013 à février 2014. Ce mouvement a donc nettement dégradé les comptes extérieurs du pays car, contrairement à l’industrie allemande, l’industrie française exporte peu hors de l’Europe. De plus, la course au moins-disant social engagée chez nos voisins a exercé une forte pression à la baisse sur les prix industriels, d’où une diminution des marges des entreprises françaises. C’est ce double constat qui avait conduit aux 20 milliards d’euros de baisse du coût du travail décidés en 2012 avec le crédit d'impôt compétitivité-emploi (Cice), devenus 30 milliards avec le pacte de responsabilité.
    L’impossible équation budgétaire
    Mais parallèlement François Hollande s’était aussi engagé dans sa campagne présidentielle à ramener les déficits français sous la barre des 3 % dès 2013. Pour ce faire, il avait procédé l’an dernier à un tour de vis budgétaire sans précédent de 30 milliards d’euros (20 milliards d’euros de hausse d’impôts, 10 milliards de baisse des dépenses). Comme c’était prévisible, ce tour de vis a tellement cassé l’activité qu’il n’a finalement pas eu du tout les résultats escomptés en termes de réduction des déficits : ceux-ci ne sont revenus qu’à 4,3 % du PIB. Entre-temps la Commission européenne avait cependant accepté de repousser à 2015 l’échéance à laquelle la France devait ramener ses déficits à 3 %. Mais aujourd’hui, l’échec du tour de vis de 2013 combiné à la montée en puissance rapide du Cice et du pacte de responsabilité, rend de nouveau l’équation budgétaire pour 2015 très délicate. D’où la tentation de demander un nouveau délai. Mais, la France se trouve dans une position difficile : la parole de son président est dévaluée après l’échec de la réduction des déficits en 2013, les textes juridiques laissent peu de marges d’appréciation à la Commission européenne et surtout, au-delà même du gouvernement allemand toujours aussi à cheval sur ces questions, la France n’a aucun allié dans cette affaire. Les autres gouvernements qui ont quasiment tous pris des mesures très impopulaires ces dernières années, ne sont pas prêts en effet à appuyer une demande d’exception française. Même le gouvernement de Matteo Renzi en Italie, qui se trouve dans une situation similaire et aurait pu s’allier avec François Hollande, a indiqué qu’il respecterait les engagements de l’Italie. Il ne restait donc plus d’autre choix que de s’incliner ou de déclencher une crise européenne majeure tout en étant très isolé.
    Une spirale déflationniste

    Le problème c’est que la forte austérité budgétaire désormais programmée pour 2015, va de nouveau ralentir sensiblement l’activité. Cela d’autant plus que les mesures annoncées touchent cette fois principalement les couches populaires et moyennes, contrairement aux hausses d’impôts de 2013. Cela va également limiter les effets positifs attendus du pacte de responsabilité : en l’absence de demande, les entreprises n’ont guère de raison d’investir et d’embaucher même si leurs marges s’accroissent. Tandis que les frustrations engendrées par ces mesures, notamment au sein de la fonction publique, risquent fort de bloquer les indispensables réformes de structure qu’il faudrait mener à bien dans l’appareil d’Etat et l’action publique. Bref les marges de manœuvre étaient incontestablement limitées, mais les mesures engagées ont plus de chances de plonger le pays dans une spirale déflationniste qui l’entraîne vers le fond que de hâter son redressement…

    Alternatives économiques :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EupEFZZAZyVWcRXXcu.shtml

  • Ukraine : les Américains s'inquiètent des capacités militaires des rebelles

    La Maison Blanche a exprimé son inquiétude à propos de l'accès des rebelles prorusses en Ukraine à des armes sophistiquées, après la mort jeudi 29 mai de 12 soldats ukrainiens dans un hélicoptère abattu par les insurgés.
    Le porte-parole de l'administration Obama a déclaré dans la journée :
    « Nous nous inquiétons des violences qui se poursuivent dans l'est de l'Ukraine, dont des informations sur le fait que des séparatistes ont abattu un hélicoptère militaire ukrainien. (...) Nous sommes préoccupés de voir que cela signifie que les séparatistes continuent à avoir accès à des armes sophistiquées et à une assistance de l'extérieur. »

    Le Mi-8 ukrainien abattu a été visé par un lance-missiles sol-air portatif russe près du bastion prorusse de Sloviansk, avait affirmé plus tôt le président ukrainien par intérim, Olexandre Tourtchinov. Si les Etats-Unis et l'Ukraine sous-entendent que la Russie fournit du matériel militaire aux rebelles, Moscou a plusieurs fois démenti de telles informations.
    Le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, a par ailleurs indiqué jeudi avoir pris connaissance du fait que « les troupes [russes] qui étaient à la frontière reculent vers Moscou, pas vers Kiev ». Il a toutefois déclaré à la télévision publique américaine avoir des preuves que « le personnel de Tchétchénie entraîné en Russie franchit la frontière [entre la Russie et l'Ukraine] pour attiser les choses, pour engager le combat ».
    Plusieurs médias ukrainiens ont affirmé dans la semaine que des soldats tchétchènes étaient présents à Donetsk, bastion des insurgés prorusses. Mercredi, le président tchétchène, Ramzan Kadyrov, a démenti avoir envoyé des militaires combattre aux côtés des rebelles dans l'est de l'Ukraine, sans exclure toutefois que des Tchétchènes aient pu s'y rendre de leur propre gré.

    Le Monde :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EupEuFVlEAlfpAPoVb.shtml

  • Vers une recomposition de l'échiquier politique en France?

    européennes.jpg

    Le scrutin des européennes de dimanche dernier annonce-t-il la mort des partis tels que nous les connaissons ?

    Cette question, je me la posais déjà il y a plusieurs semaines et le scrutin de dimanche, qui complète celui des municipales, la rend d’autant plus intéressante.

    Tout d’abord un constat évident, les partis ont évolué très largement depuis la fin des années 1990 à la faveur de l’intégration européenne et de la chute du bloc communiste. Ainsi progressivement le parti communiste a disparu pour laisser place à une coalition nommée aujourd’hui « Front de gauche » et qui est assez éloignée dans son ADN du PC historique, satellite de Moscou. Le PS, qui était déjà un produit bâtard de la SFIO et qui a entamé progressivement une dérive libérale depuis 30 ans n’est plus aujourd’hui que le très lointain descendant de l’internationale socialiste. Le PS est un parti « social-libéral » ou « social démocrate » tel qu’il en existe dans de nombreux pays d’Europe (on pensera au Royaume-Uni, à l’Italie ou à l’Allemagne où l’étiquette socialiste n’apparaît pas). Les Verts ont profité de l’importance du développement durable pour s’affirmer progressivement sur l’échiquier politique. 
    A droite, l’UMP a succédé au très conservateur RPR, lui-même successeur du gaullisme. Ici aussi, la filiation gaulliste paraît assez lointaine et nous avons plutôt un parti à tendance « libéral-conservatrice » ou « libérale-sécuritaire » sur son aile droite. Le centre semble ne pas avoir trop bougé, bien que le qualificatif de « démocrate-chrétien » paraît ne plus lui convenir. Quant au Front National, son tournant social l’éloigne du parti libéral et anti-communiste des années 80 pour un faire un parti de rassemblement populaire, au-delà de la droite et de la gauche avec la souveraineté nationale et populaire comme socle. Il s‘agit d’un parti souverainiste plus que véritablement nationaliste dans le sens où il n’y a pas de conception véritablement charnelle de la nation.

    Ce préalable posé, les européennes ont, malgré le fort taux d’abstention, continué de dessiner un redécoupage de l’échiquier politique. Aujourd’hui trois pôles semblent se matérialiser, un pôle progressiste à gauche, un pôle libéral-conservateur au centre-droit et un pôle populiste que l’on place habituellement à l’extrême-droite, bien que cela ne recouvre pas la réalité sociologique de ce vote. Cela devrait se traduire tôt ou tard par la disparition du PS. Europe-Ecologie paraît par exemple bien plus proche de l’électorat actuel de gauche : lutte contre les discriminations, développement durable, intégration européenne, défense des droits de l’homme, ce parti incarne le corpus de la gauche de progrès. Bien que souvent résumé comme parti de « bobos » urbains faisant du vélo et mangeant dans des resto bio à 30€ l’assiette de graines, il dispose également d’une base électorale dans le monde rural. Il faudra voir si ce parti intègre une composante « décroissante » ou si il se conforme à sa ligne actuelle d’écolo-capitalisme. A sa gauche, le FdG est plus marqué par  la lutte contre l’austérité et dispose également d’une assise populaire et rurale. Il est aussi proche d’un certain nombre d’intellectuels et de personnalités. http://www.humanite.fr/politique/1000-intellectuels-derriere-jean-luc-melenchon-494708 Le FdG va devoir assumer sa composante altermondialiste pour sortir de la crise postcommuniste que traverse son camp. C’est autour de ces deux partis et des déçus du PS que pourrait voir le jour une coalition « de gauche ». C'est-à-dire conservatrice sur le plan économique et libérale sur le plan sociétal. Une nuance toutefois, la personnalité de Manuel « El Blanco » Valls pourrait retarder l’affaire, lui qui se voit un destin présidentiel et comptera sur la vieille machine du PS, qu’il pourrait vouloir renommer, pour atteindre ses objectifs. Les Verts et le FdG vont donc devoir s‘attaquer tant au premier ministre qu’au FN s’ils veulent faire triompher rapidement leur ligne. Sinon ils devront se contenter une nouvelle fois de strapontins et de quelques cacahouètes. Leur score minable aux élections pourrait même les mettre en péril financièrement.

    A droite, tout porte à croire que les affaires mettant en cause la campagne de Nicolas Sarkozy et qui ont déjà conduit à la démission de J.F. Copé, vont profiter à l’aile centriste et sonner le glas de la droite forte, c'est-à-dire des libéraux qui ne veulent pas de l’islam ni des racailles mais qui tolèrent qu’on exploite les travailleurs (hop, ça, c’est fait). Il faudra surveiller leur trajectoire, vont-ils chercher à contrebalancer le triumvirat Fillon-Raffarin-Juppé ou vont-ils tenter un exil vers le FN ? L’UDI et le Modem pourraient poser certaines conditions pour former une coalition avec l’aile modérée de l’UMP. Mais il paraît certain que la « droite » actuelle ressemble plus à l’UDF de l’époque qu’à un parti gaulliste : cette droite est européiste, libérale, conservatrice (et encore…) sur le plan sociétal. Il se peut même que l’UDI et le Modem profitent dans un premier temps des déboires de l’UMP. C’est aujourd’hui le centre qui pourrait attirer la « droite », renforcé par l’échec de la « droite forte » et la montée irrésistible du FN.

    Ce dernier, qui est bien plus que la droite « de gouvernement » dans la tradition bonapartiste, doit maintenir sa stratégie « ni droite, ni gauche » pour éviter de se transformer totalement en une sorte de nouveau RPR. Il doit tenir cette ligne pour ne pas perdre les déçus de la gauche, qui ne trouvent pas dans le discours actuel des réponses à leurs préoccupations identitaires et qui cherchent à être protégés face à la mondialisation. La gauche a commis l’erreur de confondre le progrès des travailleurs avec le progressisme (la religion du progrès). Elle s’est donc mise à dos son électorat populaire qui se sent menacé par ceux-là même qui auraient dû la défendre. Cette évolution explique qu’on soit passé d’une gauche des travailleurs à une gauche de la bourgeoisie et du fonctionnariat. Le FN doit se poser comme une force antimondialiste (et non alter), ce qui sera sa plus grosse bataille avec le FdG (en dehors des simagrées sur le fascisme et le racisme dont tout le monde se balance). La « démondialisation » ne doit cependant pas rimer avec l’acceptation de l’ordre économique capitaliste. La réindustrialisation ou la lutte pour « les parts de marché » et le « pouvoir d’achat » ne sont pas des signes très positifs qu’envoie le FN dans la lutte contre le Leviathan capitaliste. Par exemple, le problème ce n’est pas « l’Europe », c’est le fait que l’UE soit capitaliste. Il faut clairement inventer un nouveau système, post-capitaliste, dont l’enracinement et le localisme peuvent être deux éléments clefs.

    Il faudra également analyser dans ce contexte comment se distribue l’électorat d’origine immigrée qui est puissamment travaillé par les réseaux d’EELV et du FdG alors même que leur conservatisme pourrait les pousser au centre-droit. Il en est de même pour les participants à la Manif pour Tous qui aimeraient s’agréger à un bloc de centre-droit « démocrate-chrétien » qui assume sa différence sur les valeurs face à la gauche. Ces conservateurs sont pour la plupart hostiles au FN, soit par intérêt de classe soit parce que l’Eglise condamne tout simplement le FN comme un parti du rejet et du repli.

    Nous assistons donc à une recomposition de l’échiquier politique. Mais cette recomposition couve en réalité depuis le début des années 2000. Paradoxalement, le 21 avril 2002 aura servi les intérêts du PS et le passage furtif de Sarkozy aura ralenti ce mouvement. Seul Manuel Valls paraît être aujourd’hui en mesure de retarder les ajustements que nous percevons (souvenons nous du score de Bayrou en 2007 et de celui d’EELV aux européennes de 2009). Les mouvements de la périphérie politique ne peuvent pas se permettre d’avoir une lutte de retard, il n’y a pas plus de dictature socialiste que de « péril fasciste ». Il y a des libéraux qui se séparent en deux familles et des souverainistes-populistes autour du FN. Le socialisme historique est mort et n’existe même plus à l’extrême-gauche. En sommes, si on additionne FN + DLR , UMP + UDI/Modem et PS + EELV + Fdg nous obtenons à chaque fois environ 30%.

    Jean/C.N.C

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Coupe du monde de football : le Bloc identitaire veut en finir avec les violences

    À l’approche du début de la Coupe du monde de football, le Bloc identitaire tire le signal d’alarme face aux risques d’incidents graves entraînés par les supporteurs algériens et demande à l’État d’appliquer à leur encontre l’arsenal législatif existant. Depuis le tristement célèbre match entre la France et l’Algérie en 2001, pratiquement chaque rencontre de l’équipe algérienne entraine des débordements violents.

    À Paris, Marseille, Lyon, Toulouse, Roubaix, et dans plusieurs centaines de villes françaises, on ne compte plus les affrontements avec les forces de l’ordre, les incendies volontaires de voitures et les dégradations de mobiliers urbains, les pillages de magasins et de boutiques, les agressions anti-françaises et les insultes, provoqués par les supporteurs algériens. Pourtant, le gouvernement socialiste n’a rien prévu face à cette bombe à retardement de violence qui a de fortes chances d’exploser dans deux semaines, comparable aux émeutes de 2005, envoyant les policiers et gendarmes colmater les brèches de leur lâcheté.

    Le Bloc identitaire demande aux pouvoirs publics, afin de préserver la paix civile, d’appliquer aux supporteurs algériens les lois existantes et déjà mises en place avec fermeté à l’encontre des fans de football français.

    DOSSIER DE PRESSE COMPLET : bloc-identitaire.com/docs/CoupeduMonde_Supporters-Algerie.pdf

    L’intégralité du communiqué du Bloc identitaire est disponible en cliquant ici : bloc-identitaire.com