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  • États-Unis : La ruée vers l’or (Docu)

    À l’été 1848, alors que le Mexique vient de céder la Californie aux États-Unis après la guerre entre les deux nations, on découvre des pépites d’or sur ces terres encore négligées par les autorités américaines.

    C’est alors un défilé d’hommes de tout le continent et bientôt d’Europe, d’Australie et de Chine qui migrent vers la Californie dans l’espoir de s’enrichir. Si certains font fortune, d’autres se ruinent et la ruée vers l’or va séparer des familles, engendrer violence et xénophobie…

    Le film retrace le développement spectaculaire d’une société multiéthnique et multiculturelle en Amérique. Il montre également comment la ruée vers l’or a contribué à transformer le 31e État des États-Unis en une terre d’opportunité et de libre entreprise, mais aussi à justifier le massacre des autochtones.

    Évoquant le destin d’individus qui ont pris part à la ruée vers l’or entre les années 1848 et 1900, le documentaire mêle reconstitutions, lettres manuscrites, journaux intimes et images d’archives. On y découvre l’histoire d’un aristocrate chilien déchu et avide de recouvrer la fortune familiale, d’une femme du Missouri qui a suivi son mari atteint de la fièvre de l’or ou encore d’un forgeron new-yorkais qui s’est résigné à se séparer de sa femme et de ses sept enfants dans l’espoir de trouver le bon filon.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Promotion de la débauche à l'école : Bompard interroge Hamon

    M. Jacques Bompard appelle l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche sur les programmes littéraires (incluant le latin et le grec) du baccalauréat 2014.

    "Sur quatre oeuvre obligatoires, trois sont éminemment discutables. "Les Mains libres" de Paul Eluard et Man Ray. Entre herméticité des vers d'Eluard et les dessins de Man Ray représentant des femmes nues dans des positions provocantes, que d'aucuns qualifieraient à juste titre de pornographiques. Dans les "Vies des douze Césars" de Suétone que les étudiants latinistes sont priés d'étudier, sont relatés en détails tous les crimes prêtés à Néron par l'auteur ; tout y passe : les relations incestueuses, les orgies, la castration d'un certain Sporus pour en faire une femme, etc.

    Si la promotion de la transsexualité bon chic bon genre est très tendance de nos jours, notre siècle ayant ceci de particulier de vouloir renverser les valeurs morales qui jadis prévalurent des siècles durant, il est tout à fait anormal que les élèves soient contraints à étudier une telle oeuvre jusque dans ses passages les plus litigieux.

    Toujours dans le même ordre d'idée, le ministère a cru bon de faire la promotion du mariage pour tous en mettantau programme du grec le Livre I des "Histoires vraies" de Lucien de Samosate qui imagine une planète sans femmes où les hommes s'unissent et ont des enfants...

    Et que dire du programme de SVT des 1ères ES et L, qui s'appuie sur desmanuels de propagande au service de la théorie du genre et de l'enseignement de la non-reproduction... Ainsi le manuel Bordas dont la troisième partie s'intitule "Masculin Féminin", laquellevante toutes les méthodes pour ne pas avoir d'enfants(de l'avortement à la pilule en passant par toutes sortes de contraceptifs) etprésente la théorie du genre comme une vérité scientifique incontestable au mépris de la science elle-même et du bon sens le plus élémentaire. Quoi qu'en disent certains pontes qui sévissent dans les milieux de l'enseignement, défenseurs autoproclamés de la liberté d'enseigner ce type de programmes au nom de la liberté artistique ou selon les disciplines sous couvert de science, quoi qu'en disent aussi les responsables politiques, cet enseignement est un scandale.

    Ce déferlement malsain d'une sexualité débridée, quasi-frénétique, dans les programmes scolaires, et ce dès les classes primaires, donne une image de la sexualité dégradante totalement à l'opposé de la pudeur et du respect qu'il sied d'avoir lorsque ces sujets délicats sont abordés avec des adolescents.L'école est devenue l'antichambre de la pornographie ambiante, un lieu où l'on prépare ou plutôt conditionne les enfants à devenir à des consommateurs du sexe et à considérer toutes les formes d'unions sexuelles comme équivalentes et normales. Par ailleurs, il est légitime de s'étonner de la virulence avec laquelle les ministres de l'éducation nationale successifs affirment que ces choses, le "gender" notamment qu'on cache sous l'étrange vocable de "lutte contre les stéréotypes".

    Aussi, M. Jacques Bompard demande-t-il à M. le ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche s'il compte venir clarifier devant la représentation nationale la position du gouvernement sur ces questions et ainsi mettre un terme à plusieurs mois de dénégations malgré les preuves qui s'accumulent et qui contredisent le discours des responsables politiques aujourd'hui au pouvoir. Il lui demande également s'il envisage de changer le contenu et l'esprit des programmes scolaires pour tout ce qui touche à la sexualité.

    Michel Janva

  • Européennes : et maintenant ?

    Ni l'UMP-UDI ni le PS n'ont le moindre « plan B ».   

    Le décrochage du PS, à force de déni fantastique du réel, ne peut que diviser et marginaliser plus encore une gauche désertée par les couches populaires (ou en voie de déclassement) ainsi que par ses électeurs de remplacement. Dilemme de Hollande : trancher, c’est mourir, d’un côté ou de l’autre (clientèle ou rigueur européiste). De plus, personne à gauche ne pourra jamais poser réellement le problème de l’immigration, désormais au cœur de la réaction électorale…

    Pour l’UMP, ripoliner en surface ne pourra pas suffire ; il lui faudra trancher sa contradiction native : la France ou l’européisme. Or, c’est mortel d’un côté comme de l’autre, de façon assez analogue à ce qui arrive à Hollande.

    Enfin, ni l’UMP-UDI ni le PS n’ont le moindre « plan B ». Ils ne peuvent dépasser leurs contradictions internes. Ils sont à court « d’habillage ». Sarkozy a épuisé les trucs. Hollande a décrédibilisé ce qui subsistait.

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  • UMP : Guillaume Peltier et ses formations à 20.000 euros

    En plus des bureaux de l'UMP, les policiers ont perquisitionné lundi le siège de l'Association nationale pour la démocratie locale (ANDL), affirme "Le Parisien" mercredi 27 mai. Présidée depuis 2011 par la député-maire UMP du Cannet Michèle Tabarot, une proche de Jean-François Copé, cette association est mise en cause à son tour. S'agit-il d'une autre affaire de surfacturation, après Bygmalion ?

    L'ANDL organise des formations pour les collectivités sur les finances publiques ou le droit électoral. Des professionnels de la formation aux élus, interrogés sous couvert d'anonymat par le quotidien, dénoncent "le mélange des genres" et les tarifs "prohibitifs" pratiqués par l'ANDL.

    Exemple : six journées de formations facturées plus de 100.000 euros au conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur en 2011, révèle un mail interne consulté par "Le Parisien". Parmi les formateurs figure Guillaume Peltier, vice-président de l'UMP. Ce responsable de la "droite forte" dispensait plusieurs séances, dont la plus chère, sur le "développement économique", facturée 21.120 euros. Sur cette somme, 70% environ seraient revenus à COM+1, la société de conseil dirigée par l'élu.

    "21.120 euros la journée, il faut être sérieux", dénonce le président d'une société agréée par le ministère de l'Intérieur, toujours interrogé par le quotidien. Une société similaire offrirait des prestations comparables pour une fourchette allant de 4.500 à 6.000 euros.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/2014/05/ump-guillaume-peltier-et-ses-formations.html

  • PAS l’Info : Les infos que l’on vous cache ! Saison 4 Émission N°34 (25/05/14) (VIDEO)


    National : Le traité transatlantique : un enjeu primordial ! ; Révélations fracassantes ; Islamophobie montante ! — International : Syrie Hamas : Le virage de Khaled Mechaal ; Le gaz de schiste algérien ; Près de 50000 logements saisis par les banques en Espagne – Brèves : Boko Haram ; Palestine ; Les OGM chez McDonald ! ; Le salut hitlérien en Suisse.

     

    Le saviez vous : Nos amis les bêtes !

    Facebook/PASLINFO

    Freebox, rubrique « vidéo perso »

    http://paslinfo.blogspot.fr/

  • France : Le CSA dresse la liste de ce qu’il veut contrôler sur Internet

    Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) a publié lundi son rapport annuel 2013, dans lequel l’autorité administrative confirme sa demande de ne plus réguler uniquement la télévision et la radio, ou leurs déclinaisons « à la demande », mais bien tout le web audiovisuel en France. Et surtout de créer un label « Site de Confiance » que les logiciels de contrôle parental et de filtrage auraient l’obligation de respecter pour s’assurer que la censure du web est effective.
    Le rapport
    Le CSA demande ainsi au gouvernement de Manuel Valls, ce qui devrait être traduit dans la loi Création d’Aurélie Filippetti, de « donner au CSA une compétence de régulation des services audiovisuels numériques« , lesquels auraient une définition particulièrement large inspirée des travaux du rapport Lescure — ce qui n’est pas une surprise puisque le coordinateur du rapport Lescure qui proposait d’étendre les pouvoirs du CSA s’est fait ensuite embaucher comme directeur de cabinet du CSA.
    Ainsi, les « services audioivisuels numériques » serait entendus comme « les services de communication au public par voie électronique mettant à disposition du public ou d’une catégorie de public des contenus audiovisuels ou sonores« . En clair, ce sont tous les sites qui diffusent des vidéos ou des podcasts audio, y compris les sites de vidéos personnelles comme YouTube ou Dailymotion, ou les services d’hébergement de musique comme Deezer ou SoundCloud. Ce ne sont plus seulement les vidéos professionnelles qui seront soumises à la régulation du CSA, mais aussi vos vidéos personnelles.
    Toujours très flou dans ses demandes, le CSA se contente de proposer que ses règles soient appliquées « selon des modalités adaptées à la nature des services audiovisuels numériques« .
    Un pouvoir de mise à mort
    Sur le fond, le CSA demande à appliquer son pouvoir de censure dans de nombreux domaines, dont il dresse la liste. Il s’agit de domaines à tiroirs, dont l’application risque d’être extrêmement large et soumise à aucun contrôle démocratique.
    Tout d’abord, l’ensemble des services, qu’ils signent on non une convention avec le CSA, risqueront des sanctions en cas de manquements à :
    La protection de l’enfance et de l’adolescence ;
    La dignité de la personne humaine ; (on rappellera à ce sujet que le CSA considère que les vidéos de quenelles sont une atteinte) ;
    L’interdiction de l’incitation à la haine ou à la violence pour des raisons de race, de sexe, de moeurs, de religion ou de nationalité ; (sur ce point, certaines vidéos de rap pourraient être censurées)
    Les services qui signent une convention avec le CSA — ils y seront incités pour obtenir des avantages, dont le fait de ne pas voir leur accès bloqué par les outils de filtrage qui bloqueront les sites n’ayant pas de label « site de confiance », devront aussi respecter des règles complémentaires en matière de :
    Déontologie des contenus ; (peut-on faire plus flou ?)
    Pluralisme des courants sociaux culturels ;
    Qualité et variété des contenus ;
    Image de la femme ;
    Diversité ;
    Exposition de la création européenne et d’expression originale française ;
    Contribution au financement de la création ;
    Tarifs sociaux / gratuité
    Le rapport précise que les « services audiovisuels numériques » qui ne respectent pas les règles du CSA pourront être sanctionnés selon les modalités prévues à l’article 42-1 de la loi audiovisuelle du 30 septembre 1986. Celui-ci prévoit notamment la possibilité pour l’autorité administrative de prononcer « la suspension de l’édition, de la diffusion ou de la distribution du ou des services d’une catégorie de programme, d’une partie du programme« , ou encore « une sanction pécuniaire assortie éventuellement d’une suspension de l’édition ou de la distribution du ou des services ou d’une partie du programme« .
    En clair, un pouvoir de mise à mort de n’importe quel site web qui diffuse de la vidéo ou du son, et qui déciderait de ne pas se soumettre à la censure administrative.

    wikibusterz :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_antiamerique/EupEFlZZkptChkVJOt.shtml

  • Cellules souches : la France en train de perdre la partie

    Les partisans des recherches sur les cellules souches embryonnaires (Peschanski de l’AFM et le Pr Menasché cardiologue) n’ont connu que des échecs. Pour se justifier, ils expliquent que les recherches sur les cellules souches venant du cordon ombilical ou surtout les cellules souches iPS de Yamanaka n’ont pas fait leurs preuves et peuvent être dangereuses à terme.

    Le site Hope Therapies Treatments nous donne un certain nombre de témoignages de l’efficacité des traitements par les cellules souches dites adultes (notamment du cordon) :

    • Jackie Tolfuss guérie d’une maladie auto-immune grave appelée lupus a pu être enceinte
    • L’enfant Terry Killman 4 ans, guéri d’une leucémie
    • Tony Underhill et Amy Daniels atteints de sclérodermie, une maladie mortelle qui rétrécit et durcit la peau.
    • Rob Wadell atteint d’une maladie rénale le conduisant à la mort
    • Marie Lou Rusco une enfant atteinte de leucémie
    • Barry Brown, insuffisance cardiaque décompensée
    • Cloe, infirme motrice cérébrale
    • Barry Goudy, sclérose multiple lenticulaire (atteinte du cerveau)
    • Laura Dominguez paralysée des membres inférieurs
    • Josef David atteint de drépanocytose (maladie sanguine mortelle)

     

    Pour tous ces témoignages il y a une vidéo (en anglais) pour ceux qui veulent consulter le site.

    Pas moins de 73 maladies dont l’impressionnante liste est donnée, sont en cours d’expérimentation ; elles concernent tous les systèmes (sanguin, cérébral, oculaire, osseux etc…).

    Il va de soi que toutes les personnes atteintes de ces maladies ne peuvent être mondialement soignées à brève échéance. Mais par exemple en Espagne les leucémies des enfants sont pour la plupart soignées et guéries depuis cinq années.

    Et la France dans tout ça ? Elle reste prisonnière de l’idéologie socialiste de Hollande. Rappelons que son gouvernement a voté la libéralisation quasiment totale de l’expérimentation sur les cellules souches embryonnaires. Chargé de ce travail, Peschanski payé par l’Inserm, l’Europe, le Généthon, le génopole d’Evry, et de manière générale par l’AFM du Téléthon, mène des expériences sur les embryons. Des sommes colossales qui sont englouties pour pratiquement rien. Le gouvernement Sarkozy a mis la main sur les stocks de cellules souches venant du cordon, il les a « nationalisés » ( l’idéologie jacobine centralisatrice). On sait ce que cela veut dire…

    La France est en train de perdre une gigantesque bataille pour la santé, pour l’économie nationale, pour le bonheur terrestre de ses concitoyens.

    Dr Jean-Pierre Dickès

    http://medias-presse.info/cellules-souches-la-france-en-train-de-perdre-la-partie/10556

  • Comment la CIA déstabilise les entreprises françaises

    Côté pile, Alcatel. Depuis trois semaines, le dossier est classé confidentiel défense . Les services secrets français ont acquis la conviction qu'une tentative de déstabilisation du géant des télécoms a été orchestrée depuis les Etats-Unis par un grand rival. 
    Côté face, Schneider. Selon les milieux du contre-espionnage, les démêlés de Didier Pineau-Valencienne, le patron du groupe, avec la justice belge auraient été attisés par un souffleur d'outre-Atlantique. En ligne de mire : le cabinet d'investigation Kroll. Derrière ce superprivé, habitué à ne pas laisser de preuves sur son passage, les Français ont vu la patte de l'ennemi héréditaire de Schneider. Une fois encore, c'est un géant américain. 
    Troublant... Dans les deux cas, deux affaires retentissantes, deux leaders mondiaux, férocement combattus sur leurs marchés. Et le même soupçon à l'égard d'une même puissance étrangère. 
    L'Amérique a beau crier à la paranoïa, les autorités françaises n'en démordent pas. Sur le terrain économique, le grand allié n'a plus de scrupule. Que ce soit les petites phrases de Bill Clinton prononcées à Seattle dans la cour de Boeing, accusant Airbus de voler des emplois , celles de Ron Brown, le secrétaire d'Etat au Commerce, insistant sur les liens désormais inextricables qui doivent exister entre la sécurité nationale et la sécurité économique , ou encore celles de James Woosley, l'ancien chef de la CIA, racontant aux géants de l'automobile à Detroit comment la mobilisation des forces de la nation avait permis d'engranger 20 milliards de dollars à l'exportation... Les vibrants appels au patriotisme économique ne laissent aucun doute. La machine de guerre américaine est en marche. 
    Et tous les coups sont permis. Surtout ceux capables de briser les reins des derniers porte-drapeaux industriels de l'Europe. Fini les barbouzes à la grand-papa ! Terminé les cravates des visiteurs trempées dans les solutions chimiques des laboratoires ou les semelles de crêpe destinées à recueillir les copeaux de métal le long d'une ligne de production ! L'espionnage a changé d'âge et gagné en perversité. Place à la déstabilisation ! Que pèse désormais un vol de brevets face au préjudice inestimable que fait supporter à son entreprise l'image souillée d'un grand patron ? Dans cette nouvelle partie d'échecs, la France est devenue une cible de choix. Pour une raison simple : ses intérêts vitaux recoupent en tous points ceux du grand protecteur : la défense, l'aéronautique, le secteur spatial, l'agriculture, les télécommunications... Aucun autre pays d'Europe n'offre aux Américains une telle concurrence frontale dans des métiers aussi stratégiques , tranche François David, président de la Coface et ancien directeur général des affaires internationales d'Aérospatiale. Conscient du problème, le Centre français du commerce extérieur (CFCE) tente de bâtir une grande centrale d'intelligence économique à destination des entreprises (nom de code R3I). Il est grand temps. 

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