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  • Présidence de la Commission européenne : les européistes ont menti

    D'Yves Daoudal :

    "Ils mentaient, et la preuve en a été donnée hier soir. Ils, c’est-à-dire tous ceux qui prétendaient que l’élection européenne permettait aux citoyens, pour la première fois, d’élire le président de la Commission européenne en même temps que les députés européens. Quelques chefs d’Etat et de gouvernement l’avaient proclamé, dont François Hollande (mais je me demande s'il n'a pas été le seul). Tous les politiciens européens qui s’étaient dit têtes de listes européennes (Juncker, Schulz, Verhofstadt, Bové, Tsipras) avaient fait campagne sur ce thème. La plupart des « spécialistes » de l’Europe dans les médias brodaient, ou plutôt matraquaient, sur le même thème.

    Le PPE a, sans surprise, gagné les élections. Donc le chef de file du PPE, Jean-Claude Juncker, a été élu président de la Commission européenne.

    Eh bien non. Parce que le traité dit que ce sont les chefs d’Etat et de gouvernement qui choisissent le président de la Commission européenne. Ils se sont réunis hier. Et ils ont pris la décision de demander à Herman Van Rompuy, le président du Conseil européen, de mener des discussions exploratoires afin de dresser une liste de noms de personnalités susceptibles d’occuper le poste de président de la Commission européenne. Sans même commenter la décision de la conférence des présidents de groupes au Parlement européen, de faire de Jean-Claude Juncker le candidat officiel du Parlement…"

    Michel Janva

  • Merci l’Europe !

    Les médias vont enfin envoyer des micros et des caméras à Strasbourg, où l'installation de 24 députés FN va aiguiser curiosités et commentaires.   

    Enfin on va parler de l’Europe !

    Il aura fallu cet ultime tir de sommation très gros calibre des Français pour que les partis, élus, commissaires et technocrates polyglottes tombent de leur hautaine et lointaine arrogance. Et entendent la détonation !

    Les aquaphobes de Paris l’appellent « tsunami », les vulcanophobes de Strasbourg « séisme, les frileux encartés « la République en danger ». Tous sont terrifiés par une nouvelle que les pythies les moins averties et les oracles sondagiers avaient pourtant clairement annoncée, bien que minorée.

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  • Marseille : passé à tabac après l'agression d'une mamie

    L'homme a, ces temps-ci, des sursauts de citoyenneté. Pour un peu, il en viendrait presque à prendre son prochain sous son aile... Naguère, alors qu'il assistait à une agression, il se taisait, se terrait, faisait mine de n'avoir rien vu et prenait la fuite sans barguigner. Aujourd'hui, il vole au secours de l'un de ses semblables sans que l'on puisse s'expliquer ni pourquoi ni comment. Il suffit parfois de volontés conjuguées. 

    Mercredi après-midi, il est 16h30, avenue du Cap-Pinède, dans le quartier des Crottes à Marseille (15e), à deux pas du marché aux puces. Un homme de 43 ans vient de repérer sa proie. Il ne s'attaque pas, comme d'ordinaire, à un passant aux allures de colosse gonflé aux stéroïdes. Il choisit bien évidemment une vieille dame de 82 ans, qui trace un chemin douloureux vers son domicile. 

    "Pour une fois, la foule a réagi" 

    L'homme tire sur son sac, la dame résiste, il tire encore. Il la traîne sur plusieurs mètres et s'empare de l'objet tant convoité. Non, elle ne sort pas de la Poste. Elle ne vient pas davantage de retirer toutes ses économies. Dans son sac, elle n'a que 10 petits euros. Mais à cet instant, des passants repèrent l'agresseur. Plusieurs lui sautent dessus, le rouent de coups et parviennent à l'immobiliser. 

    Il faudra toute la diplomatie d'un équipage de police secours du 14e arrondissement et celle du Service interdépartemental de sécurisation des transports en commun (SISTC) pour que l'agresseur ne soit pas achevé sur place. 

    Déjà connu pour des faits identiques 

    "Pour une fois, la foule a réagi", confiait hier un des enquêteurs de la sécurité publique. L'octogénaire est grièvement blessée. Elle est aussitôt prise en charge et conduite à l'hôpital Nord où les médecins diagnostiquent une fracture du col du fémur. Heureusement, le pronostic vital de la victime n'est pas engagé. L'enquête a été confiée par le parquet de Marseille au Groupe vols avec violences de la Division Nord. 

    L'auteur présumé des faits a été placé en garde à vue. Il était toujours interrogé hier soir par les hommes de la sécurité publique dans le cadre d'une enquête ouverte pour "vol avec violence". Une spécialité pour le suspect, puisqu'il était, selon nos sources, déjà connu des services de police pour des faits identiques. Il devrait être déféré au parquet aujourd'hui. Aura-t-il cependant retenu cette leçon de vie ?

    Source : http://www.laprovence.com/article/actualites/2889502/lynche-par-la-foule-apres-une-agression.html

    http://www.oragesdacier.info/

     
  • Fêter ramadan à la mairie de Paris aux frais du contribuable ? Pour le FN et l’UMP, ça suffit !

    ramadan-invitation-delanoe-2013-mpi

    Depuis 2001, la mairie de Paris a pris l’habitude d’organiser une fête dans les salons de l’Hôtel de Ville de Paris pour célébrer le début du Ramadan. C’est bien sûr le socialiste Bertrand Delanoë qui avait pris cette décision et la socialiste Anne Hidalgo qui lui succède à la mairie de Paris n’a pas l’intention d’y mettre fin. Le 9 juillet 2014, l’islam devrait une fois de plus être à l’honneur à l’Hôtel de Ville.

    Cette année, un appel d’offre prévoyant une enveloppe budgétaire de 70.000 euros a été lancé par la mairie à destination des prestataires. «Les concerts refléteront la diversité des cultures de l’Islam, avec une programmation comprenant des artistes de renom», annonce la mairie.

    ramadan-hidalgo-mpi

    Bertrand Dutheil de La Rochère, conseiller de Marine Le Pen, a réagi par un communiqué publié ce mercredi.

    Le Front national réclame l’annulation de la fête, organisée «aux frais du contribuable». Une demande partagée par Jérôme Dubus, conseiller UMP.

    http://medias-presse.info/feter-ramadan-a-la-mairie-de-paris-aux-frais-du-contribuable-pour-le-fn-ca-suffit/10618

  • Fêter ramadan à la mairie de Paris aux frais du contribuable ? Pour le FN et l’UMP, ça suffit !

    ramadan-invitation-delanoe-2013-mpi

    Depuis 2001, la mairie de Paris a pris l’habitude d’organiser une fête dans les salons de l’Hôtel de Ville de Paris pour célébrer le début du Ramadan. C’est bien sûr le socialiste Bertrand Delanoë qui avait pris cette décision et la socialiste Anne Hidalgo qui lui succède à la mairie de Paris n’a pas l’intention d’y mettre fin. Le 9 juillet 2014, l’islam devrait une fois de plus être à l’honneur à l’Hôtel de Ville.

    Cette année, un appel d’offre prévoyant une enveloppe budgétaire de 70.000 euros a été lancé par la mairie à destination des prestataires. «Les concerts refléteront la diversité des cultures de l’Islam, avec une programmation comprenant des artistes de renom», annonce la mairie.

    ramadan-hidalgo-mpi

    Bertrand Dutheil de La Rochère, conseiller de Marine Le Pen, a réagi par un communiqué publié ce mercredi.

    Le Front national réclame l’annulation de la fête, organisée «aux frais du contribuable». Une demande partagée par Jérôme Dubus, conseiller UMP.

    http://medias-presse.info/feter-ramadan-a-la-mairie-de-paris-aux-frais-du-contribuable-pour-le-fn-ca-suffit/10618

  • Les participants français au groupe de Bilderberg 2014

    Le groupe Bilderberg, aussi appelé conférence de Bilderberg ou club Bilderberg, est un rassemblement annuel et informel d'environ 130 membres, essentiellement américains et européens, et dont la plupart sont des personnalités de la diplomatie, des affaires, de la politique et des médias. Ce forum n'est pas médiatisé et ses discussions sont confidentielles.

    Cette année, la réunion de ce groupe aura lieu du 29 mai au 1er juin. Parmi les participants, on trouve les Français :

    • Henrie de Castries, PDG d'AXA Group
    • François Baroin, député (UMP); maire de Troyes
    • Nicolas Baverez, membre du comité d'organisation de la conférence, essayiste
    • Pierre-André Chalendar, PDG de Saint-Gobain
    • Emmanuel Macron, secrétaire général adjoint de l'Elysée
    • Natalie Nougayrède, qui vient de démissionner de la direction du journal Le Monde
    • Fleur Pellerin, Secrétaire d'Etat au commerce extérieur

    Michel Janva

  • La Commission européenne bafoue les peuples d'Europe

    Comme le CESE en son temps, la Commission de l'UE a rejeté, par veto, les 2 millions de signatures de l'initiative "Un de Nous". Rappelons que les membres de cette Commission ne sont pas alus, mais désignés par les chefs d'Etat et de gouvernement des pays membres de l'UE.

    Communiqué de l'Initiative citoyenne Un de Nous :

    "Ce 28 mai, au dernier jour de son mandat, l’ancienne « Commission Barroso » a opposé son veto à l'Initiative citoyenne « UN DE NOUS / ONE OF US», la plus grande pétition de l’histoire des institutions européennes. Cette Initiative, portée par deux millions de citoyens, demande l’arrêt du financement public européen des pratiques impliquant la destruction volontaire de vies humaines avant la naissance. L'Initiative citoyenne européenne (ICE) est un mécanisme de démocratie participative créé par le Traité de Lisbonne par lequel un million de citoyens peut introduire un projet législatif dans les rouages bruxellois.

    Le Comité de UN DE NOUS exprime sa profonde déception face à une Commission sourde qui prend ce jour une décision contraire aux exigences éthiques et démocratiques. Alors que chaque projet d‘Initiative est contrôlé en amont par la Commission avant d'être ouvert à la signature, la Commission Barroso prétend en outre exercer un droit de veto en aval, à l'encontre des initiatives ayant pourtant obtenu avec succès le soutien populaire requis. Un tel pouvoir de veto est illégitime et anti-démocratique, car c’est au législateur européen qu’il appartient de se prononcer politiquement sur le fond de l’Initiative, et non pas à la Commission.

    UN VETO injustifié qui ne tient pas compte de l’objet même de la demande : La réponse de la Commission est hypocrite et dédaigneuse car elle fait semblant de ne pas comprendre l’objet de la demande et consiste en trente pages d’autosatisfaction sur sa propre politique. La Commission souhaite continuer à financer des pratiques biotechnologiques non éthiques et qui se sont révélées sans avenir et, à financer l’avortement dans les pays en développement y compris dans des pays où il est pénalement interdit.

    UN VETO injustifiable qui bafoue le processus démocratique : La Commission, plutôt que de constater le succès de l’initiative et de la transmettre au Parlement et au Conseil européens a abusé de son pouvoir de contrôle formel pour porter un jugement sur l’opportunité politique de « Un de Nous » et pour bloquer la procédure. La Commission essaie ainsi de défendre son privilège de pouvoir d’initiative, car elle était jusqu’à la création du mécanisme d’ICE la seule à pouvoir initier des procédures législatives. La Commission européenne a fait ainsi du mécanisme d’ICE un simulacre alors que les députés voulaient au contraire en faire un véritable instrument de démocratie participative. La Commission donne ainsi un nouveau témoignage de son absence de culture démocratique.

    Pour le Comité de Citoyens de « UN DE NOUS», la procédure n’est pas close : d’une part, la décision de la Commission est susceptible d’un recours auprès de la Cour de Justice de Luxembourg – qui a reconnu quant à elle le respect dû à la vie humaine dès la conception -, et d’autre part, le nouveau Parlement va auditionner la prochaine Commission, permettant de replacer le respect de l’Initiative citoyenne au cœur des débats, en demandant aux institution européennes plus d’éthique et plus de démocratie."

    Michel Janva

  • Belgique: le chef des nationalistes flamands chargé de former un gouvernement

    Le chef des nationalistes flamands de la N-VA, Bart De Wever, a été chargé mardi par le roi des Belges Philippe de mener pendant une semaine des consultations pour tenter de dégager une coalition et former "rapidement" un nouveau gouvernement.
    Vainqueur dimanche des élections, avec plus de 30% des voix côté néerlandophone, le président de la Nouvelle alliance flamande a été reçu pour la seconde fois en 24 heures par le souverain, qui en Belgique organise les discussions entre responsables politiques en vue de la formation d'une coalition fédérale.
    Le roi "a chargé (M. De Wever) d'une mission d'information visant à examiner les conditions dans lesquelles un gouvernement peut être formé rapidement", indique un bref communiqué du Palais royal, qui précise que le chef de la N-VA a "accepté cette mission" et qu'il "fera rapport au roi sur l'avancement de sa mission le mardi 3 juin".
    Bart De Wever, qui n'a jamais pris part à un gouvernement fédéral, a clairement indiqué que sa préférence allait à un coalition de droite avec, côté néerlandophone, les chrétiens-démocrates du CD&V et/ou les libéraux de l'Open VLD. Ces deux partis, membres de la coalition sortante, se sont jusqu'ici contenté d'indiquer qu'ils écouteraient les propositions de la N-VA.
    Mais Bart De Wever devra aussi convaincre des formations francophones de le rejoindre au gouvernement fédéral. Or, la tâche ne sera pas facile, a convenu le chef des nationalistes flamands dès dimanche soir.
    Une alliance avec les socialistes francophones du Premier ministre sortant, Elio Di Rupo, semble difficilement envisageable, tant est grand le fossé entre le programme néo-libéral de la N-VA et celui, social-démocrate, du PS, qui a remporté les élections côté francophone.
    D'autres partis francophones, comme le Mouvement réformateur (MR, libéral) du ministre des Affaires étrangères Didier Reynders ou le parti centriste CDH de la ministre de l'Intérieur Joëlle Milquet, pourraient rejoindre une coalition dirigée par Bart De Wever. Mais ils n'ont pas caché pendant la campagne leur réticence à pactiser avec M. De Wever dont le programme, qui prévoit à terme l'éclatement du royaume, fait figure d'épouvantail côté francophone.
    Les observateurs estiment naturel que Bart De Wever entame ces discussions préliminaires mais soulignent qu'en cas d'échec du dirigeant nationaliste, une reconduction de la large coalition sortante, composée de libéraux, de socialistes et de démocrates-chrétiens, tiendrait la corde.

    https://fr.news.yahoo.com/belgique-chef-nationalistes-flamands-charg%C3%A9-former-gouvernement-115306445.html

  • [Paris, 6 juin 2014] Colloque sur la Charte de 1814

    Le vendredi 6 juin 2014 de 9h à 17h

    l’Institut Michel Villey organise une journée d’études intitulée

    La Charte constitutionnelle du 4 juin 1814 Réflexions pour un bicentenaire

     

  • UMP : le Jour des longs couteaux

    Qu’est-ce donc que ce parti, qu’est-ce que ces hommes dont les noms apparaissent plus souvent dans la chronique judiciaire que dans la rubrique politique ?   

    Faut-il y voir, comme on n’aurait pas manqué de le faire au Moyen Âge, la main et le jugement de Dieu ou, plus banalement, l’illustration, somme toute morale, du vieil adage, si souvent démenti, selon lequel un bien mal acquis ne profite jamais ? Quoi qu’il en soit, la démission – ou plutôt l’éviction – de Jean-François Copé de ce fauteuil présidentiel qu’il avait décroché à la force des dents au terme d’une compétition déloyale et faussée ne saurait tirer des larmes qu’à des crocodiles et à Mme Nadine Morano. Voilà au moins une chose, dira le bon sens populaire, que l’aigle déplumé de Meaux n’aura pas volée, et François Fillon peut savourer une légitime vengeance qui a eu tout le temps de refroidir depuis les heures brûlantes de novembre 2012.

    Hier encore tout-puissant exécuteur des hautes et des basses œuvres de l’UMP, directeur de cabinet de Copé et tout juste élu au Parlement européen, mais soudain précipité du Capitole bruxellois au bas de la Roche tarpéienne, la tête basse, des sanglots dans la voix et les larmes aux yeux, Jérôme le pathétique a craché le morceau, et quel morceau ! Plus de dix millions d’euros de fausses factures ont donc financé les débordements financiers d’un Nicolas Sarkozy prêt à tout, et d’abord à violer la loi pour gagner la partie. Quelque soin qu’ait mis ce fidèle serviteur d’une mauvaise cause à tout prendre sur lui, qui peut croire que le président-candidat et celui qui, secrétaire général de l’UMP, contrôlait déjà l’appareil du parti, aient pu ignorer les manœuvres frauduleuses auxquelles recourait l’un de leurs plus proches collaborateurs, qui peut croire qu’ils n’aient pas connu, autorisé et couvert des malversations qui étaient obligatoirement soumises à la signature de quatre hauts responsables du mouvement ? L’UMP, si opulente qu’elle soit, le serait-elle au point de n’être pas à quelques millions près ?

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