Documentaire archéologique sur la pierre volcanique obsidienne et son incroyable histoire. L’étude de cette pierre a révolutionné les connaissances scientifiques sur notre histoire.
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Documentaire archéologique sur la pierre volcanique obsidienne et son incroyable histoire. L’étude de cette pierre a révolutionné les connaissances scientifiques sur notre histoire.
Pétitions trouvée à cette adresse : http://petitions.soseducation.org/non-au-zizi-sexuel/
Lien du site internet qui présente cette horreur : http://www.cite-sciences.fr/fr/au-programme/expos-temporaires/zizi-sexuel/
Madame le Ministre de l’Éducation,
Comme les 60 000 membres de SOS Éducation, je m’inquiète des sorties qui vont être organisées dans le cadre scolaire pour emmener des élèves voir l’exposition « Zizi sexuel », qui vise un public d’enfants dès 8 ou 9 ans à la Cité des Sciences :
En effet, à l’heure où les savoirs fondamentaux, lire, écrire et compter sont de moins en moins maîtrisés, est-il réellement judicieux de prélever encore une demi-journée sur le temps d’apprentissage des élèves pour aller leur faire humer des effluves de pieds ou d’aisselles, leur faire appuyer sur une pédale permettant de dresser un « zizi piquet » qui éjacule, ou leur enseigner la masturbation ?
Sur des sujets si intimes touchant leurs enfants, les parents doivent par ailleurs être informés et consultés. Or cette exposition les tient à l’écart de manière on ne peut plus explicite puisqu’elle comporte même un espace « interdit aux adultes ».
Je vous demande donc solennellement :
1. D’exiger de tous les directeurs d’école qui décideront d’envoyer des classes à l’exposition « Zizi sexuel » d’informer préalablement les parents du contenu de cette exposition, y compris de la présence de mannequins qui simulent l’érection et l’éjaculation, et de donner aux parents le droit de s’opposer à ce que leurs enfants s’y rendent.
2. De souligner, à l’heure ou plus de 20% des élèves de 6e sont touchés par l’illettrisme, que ces sorties scolaires ne doivent en aucun cas être prises sur le temps consacré aux apprentissages fondamentaux.
Je compte sur vous, Madame le Ministre, pour me tenir informé, personnellement ou par voie de presse, de ce que vous entreprendrez pour protéger nos enfants.
Tout comme 18031 parents d’élèves, professeurs et citoyens mobilisés contre l’éducation à la sexualité par le « Zizi sexuel ».
Avec mes sentiments distingués.
http://www.contre-info.com/non-a-lexposition-pour-enfants-zizi-sexuel
François Hollande avait annoncé en août une « adaptation de la réglementation sur l'ouverture des magasins le dimanche ». Le projet de loi présenté mercredi 15 octobre par le ministre de l'économie, Emmanuel Macron, met en œuvre cette annonce et prévoit l'élargissement des dérogations à la règle du repos dominical :
"La législation sur l’ouverture dominicale dans les commerces doit répondre aux enjeux du développement du territoire dans les zones disposant d’une forte attractivité économique et touristique. Elle doit s’appuyer sur les propositions du rapport Bailly pour réduire les distorsions entre les commerces, et améliorer la compensation pour les salariés volontaires et en la complétant en particulier s’agissant des gares et des zones touristiques à vocation internationale et à fort potentiel économique. Cela permettra ainsi de clarifier et de rationaliser la législation existante, de sortir de l’insécurité juridique du cadre actuel, tout en permettant de libérer les énergies là où les gains économiques seront possibles pour les entreprises, les salariés et les territoires.
Le ministre de l'Économie Emmanuel Macron veut proposer que cinq dimanches par an au moins soient travaillés au moins, et jusqu'à 12.
Le libéralisme est paré par les uns de toutes les vertus, par les autres de tous les vices. Mais le libéralisme existe-t-il vraiment ? Y a-t-il un ou des libéralismes ? Les différents libéralismes partagent-ils un fonds commun ? Y aurait-il un « bon » et un « mauvais » libéralisme ? Existe-t-il une critique libérale du libéralisme ? Et l’antilibéralisme ? Est-il un ou y en a-t-il plusieurs ? S’ils ont le même adversaire, les différents antilibéralismes sont-ils pour autant convergents ? C’est à ces questions que notre série tâchera de répondre ; Falk van Gaver, qui en est l’initiateur et le maître d’œuvre, pose ici les jalons de cette enquête qui se prolongera une année durant en collaboration avec l’Observatoire socio-politique (OSP) du diocèse de Fréjus-Toulon (http://osp.frejus-toulon.fr/).
Comme le souligne Alasdair McIntyre : « Les débats contemporains au sein des systèmes politiques modernes opposent presque exclusivement des libéraux conservateurs, des libéraux centristes et des libéraux de gauche. Cela ne laisse que peu de place pour la critique du système lui-même, c’est-à-dire pour la remise en question du libéralisme » (1). Ainsi, de même que les courants du « nouveau libéralisme » anglais, du libéralisme progressiste américain ou du libéralisme républicain français, un libéral critique comme John Dewey (1859-1952), philosophe pragmatiste américain dont le maître ouvrage sur la question a été récemment édité en français (2), critique l’individualisme abstrait du libéralisme classique et participe de la genèse du « social-libéralisme » qui est la version de gauche du libéralisme, ou des libéralismes nés de l’empirisme britannique (Locke, Hume…), de l’utilitarisme anglo-saxon (Bentham, Mill…), de l’économie politique des mercantilistes et physiocrates français (Montchrestien, Quesnay…) et des économistes dits classiques (Smith, Ricardo, Malthus, Say…) – et plus largement des Lumières françaises (Montesquieu, Voltaire…) et de l’Aufklärung germanique (Kant, Fichte…). Bref, qu’on le loue ou qu’on le déplore, il est possible de déceler dans cette époque de cristallisation de la modernité un libéralisme général, à la fois philosophique, politique, économique… qui voit l’émergence de l’homo oeconomicus unissant dans une même anthropologie l’autonomie du sujet et son intérêt bien compris.
Il y a cependant, distincts dès la Révolution française, un libéralisme « de droite », davantage girondin, et un libéralisme « de gauche », plus jacobin, et les remises en cause du libéralisme ne se sont faites qu’aux marges du système – dans les socialismes et communismes révolutionnaires, écrasés aussi durement par la République (la « Conjuration des Égaux » de Gracchus Babeuf en 1796) que les oppositions contre-révolutionnaires. Cette opposition entre jacobins et girondins, libéraux de gauche et de droite, favorisa momentanément d’un côté comme de l’autre des alliances avec les extrêmes – ainsi girondins et royalistes s’allièrent lors des soulèvements fédéralistes de Marseille, Lyon, Bordeaux, Nantes, Rouen, Toulon…
À droite, toute une tradition s’inspire ainsi d’un conservatisme libéral parfois revendiqué (ainsi aujourd’hui le site Nouvelles de France se définit comme « portail libéral-conservateur ») qui allierait un libéralisme classique voire aristocratique (Constant, Tocqueville…) à des éléments plus contre-révolutionnaires (Chateaubriand, Burke, etc.). Cette cristallisation d’un libéralisme conservateur, voire réactionnaire ou contre-révolutionnaire, souvent de sensibilité royaliste ou du moins loyaliste, partisan longtemps de la monarchie constitutionnelle, dans lequel on pourrait marquer l’acte de naissance de la droite avec toutes ses nuances – et avec, à sa marge, la contestation légitimiste –, fait face à celle d’un libéralisme républicain, voire révolutionnaire qui marquerait la naissance de la gauche avec toutes ses nuances – et avec, à sa marge, la contestation socialiste puis communiste.[....]
Falk van Gaver
La suite sur La Nef
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Une-critique-necessaire
Le match entre les deux équipes a été arrêté après le survol du stade de Belgrade par un drone muni d’un drapeau albanais. Des incidents ont éclaté entre joueurs et le match a été définitivement interrompu.
La rencontre entre la Serbie et l’Albanie, comptant pour les qualifications à l’Euro 2016, a été arrêtée à la 41e minute. Un drone muni d’un drapeau albanais a alors survolé le stade de Belgrade, où se tenait la rencontre, provoquant la fureur du public et l’interruption du jeu. Le défenseur serbe Stefan Mitrovic a réussi à agripper le drapeau et à le mettre à terre, provoquant de très vives réactions des joueurs albanais. Des incidents ont immédiatement éclaté entre footballeurs et officiels des deux camps sur le terrain.
Quelques spectateurs ont réussi à s’introduire sur le terrain et auraient vraisemblablement participé aux incidents. Les joueurs albanais ont ensuite rejoint les vestiaires sous des jets de projectiles tandis que la police a été déployée dans le stade.
La rencontre - qui a été définitivement arrêtée par l’arbitre Martin Atkinson - avait été interdite aux supporters albanais pour des questions de sécurité.
Vu dans L’Equipe.fr
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Serbie-Albanie-interrompu
Lorsque Léa Salamé interrogea Éric Zemmour à propos de Robert Paxton, je gage que les téléspectateurs familiers de ce nom-là étaient peu nombreux. Et pourtant, rares sont les historiens qui ont eu autant d’influence sur notre mémoire collective. Sans lui, Bernard-Henri Lévy n’aurait sans doute pu écrire son pamphlet L’Idéologie française (Grasset, 1981), qui a tant contribué à formater la pensée « politiquement correcte » contemporaine. Sans lui, Serge Klarsfeld ne serait probablement pas devenu ce parangon de la bien-pensance vénéré par les médias. Sans lui, Jacques Chirac n’aurait pas pu prononcer son fameux discours du Vel’ d’Hiv’ (1995) et le décret Jospin d’indemnisation des orphelins des déportés juifs (2000) n’aurait pas eu de base légale. La thèse de Paxton développée dans La France de Vichy (Seuil, 1973), vous la connaissez : il n’y a pas eu double jeu de la part de Vichy, et le régime n’a pas joué l’effet de « bouclier » en épargnant certaines souffrances aux Français.
Incomparablement plus fouillée et malgré son énorme succès auprès du public, La Grande Histoire des Français sous l’Occupation d’Henri Amouroux (Stock, 1976) fut loin d’avoir le même impact, un paradoxe qui préfigurait la fracture consacrée par la loi Gayssot entre une histoire officielle et figée et une histoire en permanente évolution.
Ni juif, ni français, Paxton présentait a priori tous les attributs du parfait historien sans parti pris. Sauf que Paxton, comme il se définissait volontiers, était un intellectuel engagé de gauche, de cette gauche iconoclaste omniprésente dans les campus américains des années 60, et notamment à Berkeley où il enseignait. Cinq ans après mai 1968, trois ans après la mort du général de Gaulle, un an après la sortie (confidentielle) du Chagrin et la Pitié, son timing était parfait ! Paxton s’insérait avec un opportunisme remarquable non seulement dans une nouvelle phase de l’histoire de l’Occupation que l’historien Henry Rousso appelle fort à propos « le miroir brisé », mais aussi au sein d’un grand courant de résurrection de la mémoire de l’Holocauste orchestré aux États-Unis à la fin des années 60 (voir Peter Novick, The Holocaust in American Life, 1999).
Nul ne saura jamais si Robert Paxton n’a fait que documenter une thèse qu’il voulait défendre a priori où s’il est parvenu à sa conclusion de bonne foi, mais là n’est pas la question. Les archives relatives à l’histoire de la France sous l’Occupation sont inépuisables. La seule documentation léguée par Henri Amouroux représente une bibliothèque large comme un terrain de football. Pourquoi la recherche historique devrait-elle s’arrêter aux travaux vieux de plus de quarante ans, d’un seul individu ?
Alain Michel, historien israélo-français, résidant en Israël et rabbin de son état, a publié Vichy et la Shoah – Enquête sur le paradoxe français (CLD 2012). C’est à cet ouvrage qu’Éric Zemmour se réfère dans son Suicide français. Sa conclusion prend le contre-pied de la thèse de Paxton. « L’historien peut montrer les faits, l’engrenage des situations, les choix possibles, mais en tant qu’historien, il n’a aucune capacité pour juger véritablement du bien et du mal, ni de la responsabilité des hommes au regard de lois éthiques comme la définition du crime contre l’humanité… le mélange des deux points de vue, celui du professionnel de l’histoire et celui du jugement moral, entraîne une déformation de la vérité historique que l’on retrouve, finalement, à la base même de cette “doxa” que j’ai tenté de dénoncer dans cet ouvrage comme obstacle principal d’une véritable compréhension du comportement de Vichy face à l’application de la solution finale en France. »
Avant de faire d’Alain Michel un nouveau Faurisson, les inconditionnels de Paxton devraient y réfléchir à deux fois. Asher Cohen – Juifs et Français sous l’Occupation et sous Vichy (Armand Colin, 1993) – ou encore Maxime Steinberg – Le Vel’ d’Hiv’ français dans la solution finale en Europe, dans Points critiques, n° 306, mai 2010 –, eux aussi, ont défendu la thèse dite du « moindre mal ».
Christophe Servan
source : Boulevard Voltaire
http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuEFEllFkpCuUtqzdA.shtml
Juppé a toutes les chances d’être élu et il écrasera Marine Le Pen au deuxième tour.
Juppé est déjà le candidat de la gauche en 2017. La gauche a compris que le candidat socialiste ne ferait rien et elle ne veut pas de Sarkozy. Elle a donc déjà gagné les présidentielles.
Juppé a toutes les chances d’être élu et il écrasera Marine Le Pen au deuxième tour. On a donné cette dernière en tête au premier tour, mais les choses peuvent changer (et elle-même reculer). Au second tour, Marine prendrait 64 % contre elle et on aurait le jeune premier bordelais comme énième président.
Il faut regarder le visage d’Eric Zemmour de ces derniers jours pour comprendre que quelque chose s’est passé. Que quelque chose est passé. Sur lui, et aussi, par lui.
Je me rappelle son visage lors de ses premières années en tant que star médiatique : Zemmour parvenait, en toutes circonstances, à conserver son air bon enfant, ses yeux rieurs et complices, y compris avec d’infâmes invités à qui il venait juste d’assener deux ou trois vérités. Zemmour, c’était le gentil mec, le sympathique, le seul qui pouvait faire rimer réactionnaire avec débonnaire, celui qui n’était pas d’accord avec la guimauve de la pensée télévisuelle, mais qui terminait toujours en riant, comme si, au final, tout cela n’était pas si grave. On a beaucoup glosé sur la judéité de Zemmour qui seule, semblait-il, le protégeait dans l’espace médiatique, compte tenu de tout ce qu’il pouvait y dire. On a beaucoup entendu que si Zemmour avait été un catholique blond aux yeux bleus d’un mètre quatre vingt, il eut été catalogué comme "nazi" et aussitôt exclu du PAF. Je crois que l’essentiel n’était pas là ; sa longévité, il la tenait plutôt de son côté accommodant, de son air bienveillant : il la tenait de son visage souriant. N’importe quel personnage issu de son école de pensée (gaullo-bonapartiste, en somme : patriote), en face d’un BHL ou d’un Edwy Plenel, à l’écoute des mensonges des uns ou des naïvetés des autres, eut fini par sévèrement froncer les sourcils, par hausser la ton, par croiser les bras ou au contraire les déplier pour atteindre le nez de ceux d’en face. Pas Zemmour. Depuis 2003 qu’on le voit à la télévision jusqu’à aujourd’hui, jamais il ne fut grave, ou très rarement. On obtient tout avec une arme à la main disait Al Capone ; à la télévision, on obtient tout avec un sourire plaisant. [....]
La suite sur Rochedy.fr
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-visage-d-Eric-Zemmour
Considéré aujourd’hui comme une évidence, le capitalisme n’a, de fait, pas toujours existé… Cette série documentaire, tournée dans vingt-deux pays, offre des clefs de compréhension du système capitaliste. Ce premier volet remonte à Adam Smith, philosophe écossais du XVIIIe siècle, considéré comme le “père du capitalisme”.
Son livre, La richesse des nations, best-seller mal lu depuis plus de deux siècles, aurait posé les bases du libre marché, à la veille de la révolution industrielle. Or, si Adam Smith, philosophe écossais du XVIIIe siècle, considéré comme le “père du capitalisme”, croyait aux lois naturelles de l’économie et à l’inclination des hommes au commerce, le capitalisme ne résulte pas d’un concept, mais bien d’un processus historique, amorcé avec la découverte de l’Amérique, la colonisation et le commerce triangulaire.
Un Nouveau Monde où les Aztèques n’accordaient d’ailleurs aucune valeur matérielle à l’or. Considéré aujourd’hui comme une évidence, le capitalisme n’a, de fait, pas toujours existé.
Réalisé par Ilan Ziv (France – 2014)
http://fortune.fdesouche.com/358745-capitalisme-16-adam-smith-lorigine-du-libre-marche
La loi « pour l’activité et l’égalité des chances économiques » est en cours d’élaboration et ses grandes lignes sont déjà connues. Elle souhaite s’attaquer aux «trois maladies» de l’économie française qui empêchent, selon le ministre de l’économie, de « libérer, investir et travailler » !
S’il est vrai qu’il est devenu quasiment impossible de « libérer, investir et travailler » en France, la faute en revient en premier lieu à l’Etat qui étouffe l’économie par une fiscalité écrasante rendant le coût du travail exorbitant et la consommation difficile.
Mais non, plutôt que de revoir le système dans son ensemble, M. Macron préfère stigmatiser des professions, celles que son collègue Montebourg qualifiait de « profession à rente ». Non pas que des réformes ne soient pas nécessaires quant à ces métiers qui ont aussi besoin de s’adapter certes, mais les réformes proposées en la matière visent à les déstructurer au profit de la haute finance.