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  • Capitalisme (2/6) : “La richesse des nations”, nouvel évangile ?

    Mais qui a vraiment lu La richesse des nations d’Adam Smith, devenu la bible du libéralisme ? Enfant de la révolution scientifique, son auteur y dénonce en effet la division du travail, ce pilier de l’économie de marché, estimant qu’elle abrutit les hommes.

    De même, la notion de “main invisible” d’Adam Smith a été délibérément sortie de son contexte pour être exploitée à des fins politiques. En revanche, La théorie des sentiments moraux, son livre le plus important selon lui, a été totalement occulté.

    Exemples à l’appui, ce deuxième épisode réexamine dans le texte les théories d’Adam Smith, observateur curieux de son époque et doté d’une foi inébranlable dans le progrès. Mais il rappelle surtout ses préoccupations sociales, délibérément oubliées.

    Réalisé par Ilan Ziv (France – 2014)

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Des bikers hollandais partent en Irak se battre contre les djihadistes

    Troquant leur veste en cuir pour le treillis camouflé, trois courageux membres d’un “gang” de bikersaux Pays-Bas ont rejoint des combattants Kurdes en Irak pour les aider armes à la main dans leur combat contre l’État Islamique.

    Un de leur ami resté au pays, Otto Klaas, a annoncé aux médias hollandais que les trois motards, anciens militaires, se sont décidés à partir en Irak pour rejoindre les kurdes après avoir vu les atrocités commises par les islamistes.

    Originaires de Rotterdam, Amsterdam et Breda, ils font partie des No Surrender, qui est censé être le plus grand groupe de bikers dans le pays.

    Les autorités hollandaises ont confirmé que rejoindre les forces Kurdes n’était pas considéré comme illégal, à l’opposé de tout départ vers les terroristes musulmans de l’EI.

    SourceTime magazine

    http://fr.novopress.info/176854/bikers-hollandais-partent-en-irak-se-battre-contre-les-djihadistes/

  • L’usage de termes de l’idéologie gay fait du mal aux homosexuels

    Joseph Sciambra, né en 1969, quitta une vie de gay extrême à San Francisco, qu’il a eu de 1988 à 1999, et se remit entre les mains de Dieu pour pratiquer la chasteté ; il critique le langage de la ‘relatio’ du Synode parce qu’au-delà du langage en apparence ‘accueillant’ est acceptée l’idéologie gay qui dans la vie réelle meurtrit les personnes homosexuelles.

    Joseph Sciambra a connu les aspects les plus obscurs du monde gay, il fut acteur porno amateur, guide sexuel professionnel et eut des relations avec plus de mille homosexuels. C’est après une violente orgie qui se termina à l’hôpital qu’il expérimenta une vision de la condamnation et de la présence proche de Dieu, et avec l’aide de sa mère et de l’Eglise et il changea sa vie.

    Il est convaincu que l’Eglise doit être accueillante et aimable pour les personnes attirées par le même sexe, mais qu’elle doit être en même temps claire sur la nécessité d’abandonner les pratiques homosexuelles.

    Accueillir et écouter ? oui, c’est le principe.

    ‘J’ai vu un grand nombre de personnes gays malheureuses et loin de la foi à cause d’un excès de jalousie chrétienne les accablant de condamnation mais pas d’amour. Je découvris plus tard que lorsqu’une personne souhaite quitter le monde gay, il n’a souvent besoin que d’un ami désintéressé qui l’écoute. Elle n’a pas besoin à ce moment là de dogme ou de catéchisme, mais d’être reconnue. Une fois la relation établie, viendra le moment de décider quand et comment transmettre la vérité de Jésus Christ. Il faut se souvenir que ces personnes sont profondément blessées, elles souffrent et ont soif de sympathie, de compassion et de prières.’

    Ils veulent changer l’Eglise.

    Sciambra critique le langage de la ‘relatio’ qui n’aide pas les homosexuels à changer et à sortir de l’idéologie gay. Au contraire, les activistes gays au sein du monde catholique se réjouissent de la ‘relatio’, comme Francis de Bernardo du lobby Bew Ways Ministry, condamné par la doctrine de la foi en 1999, qui dit : ‘un changement dans le langage déclenche une réaction en chaîne, il entraînera un changement dans la pratique pastorale puis dans l’enseignement.’ Les gays militants ne veulent pas se changer eux-mêmes, ils veulent changer l’Eglise pour qu’elle accepte leur style de vie malsain.

    Sciambra explique la base psychologique de ce phénomène.

    ‘Le peu de gens en dehors du monde gay qui comprennent la mentalité gay, sont très sensibles à la manipulation et à certaines pensées de groupes. L’immense majorité des homosexuels furent abîmés petits, par l’absence du père, ou l’abus d’une figure d’autorité. Sans thérapie nous traînons cela jusqu’à la vie adulte. Pour cette raison les hommes gays se méfient des figures paternelles, tout en désirant leur amour et leur approbation. L’Eglise Catholique, avec sa hiérarchie masculine et son leader (le Pape) agitera toujours et fascinera les hommes gays. Nous voulons que l’Eglise, qui tient lieu de notre père naturel, nous accepte… mais avec nos conditions.’

    Sciambra, qui depuis de nombreuses années annonce l’Evangile en missionnaire, fait promotion de la chasteté et de la transformation auprès des homosexuels, dit que du moins aux USA il y a une multitude de groupes, ‘pasteurs, missions, communautés de foi, organisations’ proposant aux gays une spiritualité sans chasteté, sans les encourager à changer de vie, ‘peu importe combien cette vie est nocive pour leur corps, leur esprit et leur âme.’ Pour cette raison l’Eglise Catholique ne doit pas imiter ces groupes et se doit d’annoncer la vérité.

    Ce que Sciambra a vu en tant que missionnaire est que les gays sont justement attirés par sa chasteté et son renoncement aux relations sexuelles. L’Eglise, pour attirer et aider les gays, doit maintenir sa position radicale et exigeante. ‘C’est la vérité crue du catholicisme qui captive, elle ne doit pas être emballée’, insiste-t-il.

    Le Salon Beige

  • Allemagne : les hooligans veulent « chasser les djihadistes »

    En Allemagne, le phénomène inquiète : des hooligans de plusieurs clubs enterrent leurs différences pour «combattre» ensemble les islamistes radicaux.

    Nombre de ces hooligans sont affiliés à des partis d’extrême droite, qui soutiennent leur rhétorique islamophobe depuis longtemps. Mais récemment, c’est le mode d’action qui a changé, relate le journal allemandDie Zeit.

    D’habitude peu organisés, les hooligans cherchent désormais de nouvelles formes de protestation. Pour Erich Rettinghaus, chef du syndicat de la police de Rhénanie-du-Nord-Westphalie cité par le journal Kölner Stadt-Anzeiger: «Les fans de foot capitalisent sur la fenêtre d’opportunité et se font passer pour des gens bien afin de rallier plus de monde à leur causes», par le biais, notamment, de manifestations.

    «Hooligans Contre Salafistes»

    Le mouvement «Hooligans Contres les Salafistes» (HoGeSa) est entre autre porté par Dominik Horst Roseseler, un membre du parti d’extrême droite Pro-NRW (ndlr: les initiales du land Nordrhein-Westfalen). Son mot d’ordre: «Séparés par les couleurs, unis pour la cause», explique Die Welt.

    Les forces de l’ordre s’intéressent de près à une manifestation prévue à Cologne le 26 octobre prochain. Trois cents participants sont prévus, mais ils pourraient être beaucoup plus nombreux compte tenu de la popularité du hashtag #HoGeSa sur les réseaux sociaux. Une contre-manifestation «anti-fasciste» s’organise actuellement sur Twitter.

    Les combats de rue entre hooligans et islamistes radicaux sont d’ores et déjà redoutés par la police, qui est en état d’alerte – A Hambourg, une manifestation pro-kurde avait déjà tourné à l’émeute le 8 octobre suite à un face à face avec des islamistes radicaux.

    Source : lematin.ch

    http://www.contre-info.com/allemagne-les-hooligans-veulent-chasser-les-djihadistes

  • "Les imams qui portaient plainte contre Asia Bibi ont promis des sucreries aux musulmans"

    Marc fromager, directeur de l'AED en France, s'émeut de la condamnation à mort, confirmée en appel, de la Pakistanaise Asia Bibi, poursuivie pour blasphème :

    "Depuis 5 ans, nous avons essayé d’aider Asia Bibi, nous avons pensé à elle, prié pour elle. Nous avons collecté plus de 11.000 signatures pour demander sa libération que nous avons apportées au Quai d’Orsay, nous avons soutenu la Commission Justice et Paix de la Conférence des Evêques au Pakistan qui s’occupait concrètement d’elle. Dans un second temps, nous avons cessé d’en parler car elle était devenue une « icône » et que la meilleure manière de l’aider à ce stade était de la faire oublier mais au final, sa condamnation à mort est confirmée.

    Les imams qui portaient plainte contre elle ont promis de distribuer des sucreries aux musulmans car selon eux, c’est une grande victoire de l’islam. On a parfois un peu de mal à comprendre. D’un autre côté, nous souhaitons rappeler le témoignage de Salman Taseer. Gouverneur musulman du Pendjab, il avait publiquement défendu Asia Bibi et avait été assassiné pour cela. Conformément aux Béatitudes, le Royaume des Cieux est à lui car il a été persécuté pour la justice, une justice qui, nous le voyons, a encore du chemin à faire dans ce pays."

    Louise Tudy

  • Affaire Bygmalion : Le livre qui fait trembler la droite

    C’est un livre qui va faire du bruit. “Bigmagouilles”, qui sort le 22 octobre chez Stock, regorge de détails croustillants et de témoignages inédits sur l’affaire Bygmalion, du nom de la société de communication qui a organisé les meetings de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012.

    La justice a déjà mis en examen trois responsables de l’entreprise (dont deux proches de Jean-François Copé) et trois cadres de l’UMP. Cette enquête est signée Violette Lazard, la journaliste qui avait révélé, en mai, dans “Libération”, le système de fausses factures mis en place à l’UMP, lançant l’un des plus gros scandales politico-financiers de la Ve République. Extraits.
    Ce vendredi 20 avril, Nicolas Sarkozy se rend en meeting sur des terres favorables, à Nice [...]. Dans les coulisses du palais Nikaia, c’est un buffet de victoire qui attend le candidat et les VIP invités à trinquer avec le président à l’issue de son discours. Deux grandes tables ont été installées, l’une dans les coulisses et une autre dans la grande loge du candidat.

    Un ingrédient a été agrémenté à toutes les sauces : la truffe. Tous les privilégiés invités ce soir-là à cette after de luxe s’en souviennent, car l’une des particularités de ce champignon hors de prix, même ceux qui n’en ont jamais mangé le savent, c’est son odeur entêtante et capiteuse. 

    Ça sentait la truffe dans tous les couloirs, se souvient un des membres de l’équipe de campagne de Nicolas Sarkozy. Je me suis senti très gêné… Je me suis même demandé si l’odeur n’allait pas jusque dans la salle, et quelle image ça allait donner de nous.” 

    Des dizaines d’invités déambulent entre les bouchées de brouillade d’oeufs et de spaghettis à la truffe. Les personnalités du parti et plusieurs membres du gouvernement, François Fillon, Jean-François Copé, Brice Hortefeux sont présents. Bernadette Chirac a fait le déplacement. Quelques people, Enrico Macias ou encore Didier Barbelivien, ont également répondu présent. Du champagne, du Ruinart blanc, a été débouché pour arroser ce cocktail de luxe. 

    Nous sommes nombreux à avoir halluciné ce soir-là, nous mangions de la truffe et buvions du champagne alors que nous n’avions pas gagné…”, commente, amer, un membre de l’équipe de campagne.

    Coût de cette petite sauterie, qui a duré le temps d’un cocktail ? 5.460,90 euros, soit plus de 50 euros par tête pour un grignotage. [...] 

    Ce jour-là, personne n’a rien dit, personne n’a moufté, commente Jérôme Lavrilleux, se rappelant ce buffet somptueux. Tous ceux qui aujourd’hui jurent haut et fort qu’ils ne savaient rien sur les dépassements des comptes de campagne, qu’ils n’ont pas compris que le train des dépenses s’était emballé, ils ont tous bouffé des pâtes à la truffe et bu du champagne. Ce soir-là, ils ne se sentaient pas gênés du tout.“ [...]

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  • Dissolution du groupe dirigé par Nigel Farage au Parlement européen

    Un groupe dirigé par Marine Le Pen pourrait voir le jour

     Le groupe eurosceptique « Europe de la liberté et de la démocratie directe », créé à l’initiative du président du parti britannique UKIP, a été dissous.

    Formé en juin 2014 à la suite des élections européennes, il regroupait 48 députés de 6 partis, issus de 7 pays :

    24 de l’UKIP (Royaume-Uni) 
    17 du Mouvement 5 étoiles (Italie) 
    2 Démocrates suédois (Suède) 
    1 de l’Union des paysans de Lettonie (Lettonie) 
    1 du Parti des citoyens libres (République tchèque) 
    1 indépendant (Joëlle Bergeron, ex-FN) 
    2 de Ordre et justice (Lituanie)

    La défection d’un seul de ces membres, la lettone Iveta Grigule de l’Union des paysans de Lettonie, a suffit à la désintégration du groupe (la règle d’avoir des représentants venant de 7 pays différents n’étant plus respectée).

    Europe de la liberté et de la démocratie directe accuse le président du groupe PPE, Manfred Weber, et le président du Parlement européen, Martin Schulz, d’avoir proposé un arrangement à Mme Grigule : son départ du groupe eurosceptique en échangé de la présidence de la délégation parlementaire pour l’Asie mineure (Kazakhstan, Kirghizistan, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan et Mongolie).

    Nigel Farage n’a pas tardé à faire connaître son mécontentement :

    « Mme Gridule a signé sa lettre de démission ce matin dans le bureau de M. Schulz. Si nous comprenons bien ce qui s’est passé, M. Schulz serait plus à sa place comme président d’un Parlement dans une République bananière ! »

    Le dirigeant du UKIP et Beppe Grillo, le chef du Mouvement 5 Étoiles, avaient réussi leur pari de constituer un groupe au Parlement européen, contrairement au Front national avec lequel ils avaient refuser de négocier. Désormais M. Farage et les autres membres de son groupe devront siéger aux côtés de Marine le Pen et des 23 eurodéputés frontistes au sein des non-inscrits (100 élus), devront partager le temps de parole avec eux et dire adieu à 4 millions d’euros de budget.

    Le PPE (dont fait partie notamment l’UMP et l’UDI) s’est rejoui du succès de sa petite manipulation en tweetant :

    « Première défaite pour les Eurosceptiques ! Le groupe EFDD disparaît avec le départ de la lettone Iveta Grigule »

    Dans ce contexte et afin que leur présence ne relève pas du témoignage, certains éléments du groupe dissout pourraient être tentés de rejoindre une alliance composée du Vlaams Belang belge, de la Ligue du Nord italienne, du FPÖ autrichien, du Parti de la liberté néerlandais et du Front national français. Ainsi, les conditions pour la création d’un groupe seraient respectées et ce nouveau groupe, probablement dirigé par Marine Le Pen, confirmerait le pronostic de l’eurodéputé et vice-président du FN, Florian Philippot, qui ne donnait pas longtemps au groupe de M. Farage pour disparaître car « fait dans la précipitation » et « ne tenant pas à grand-chose ». Il avait également assuré : « Nous aurons un groupe avant la fin de l’année. »

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    Le Parlement européen avant le départ d’Iveta Grigule

     

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    Le Parlement européen après le départ d’Iveta Grigule
  • Ne parlez pas du Coran, lisez-le !

    Magistral article en accès libre de notre confrère Politique Magazine :

    "Notre Premier Ministre a récemment déclaré que l’islam était une « religion de tolérance, de respect, de lumière et d’avenir. » Puisqu’il est apparemment versé en théologie, nous aimerions obtenir de Manuel Valls un petit commentaire des versets suivants du Coran :

    • XLVII, 4 : Lorsque vous rencontrez ceux qui ont mécru, frappez-les à la gorge.
    • IX, 5 : Quand les mois sacrés seront expirés, tuez les infidèles où que vous les trouviez !
    • VIII, 39 : Combattez-les jusqu’à ce que la religion soit entièrement à Allah !
    • VIII, 67 : Un prophète ne devrait pas faire de prisonniers avant d’avoir prévalu sur la terre.
    • IX, 73 : Ô Prophète, mène le combat (jihâd) contre les infidèles et les hypocrites, et sois dur à leur égard.
    • IX, 30 : Les chrétiens disent : « le Christ est le fils d’Allah » –qu’Allah les anéantisse !

    Normalement, à ce moment précis de l’exposé, je suis interrompu par une voix qui dit : « Oui, mais si tu veux aller par là, dans toutes les religions on trouve des appels au meurtre ! » Je lance donc un grand jeu-concours : trois kilos de cochonnaille à celui qui trouve un seul verset de l’Évangile qui invite les chrétiens à tuer les incroyants pour accélérer l’expansion du christianisme. Derrière l’objection de la petite voix, on trouve le préjugé contemporain typique selon lequel toutes les religions sont également bonnes sauf quand elles sont appliquées à fond (version G.L.F.), ou toutes également mauvaises mais tolérables quand elles sont peu appliquées (version G.O.F.). Le problème est que la religion chrétienne appliquée à fond consiste à imiter Jésus-Christ, qui est mort crucifié en pardonnant à ses bourreaux, tandis qu’appliquer l’islam consiste à imiter Mahomet, chef de guerre qui, entre autres choses, égorgeait les infidèles de ses propres mains. Les religions ne se ressemblent pas. C’est ainsi. Que la plupart des musulmans vaillent infiniment mieux que leur religion (qu’ils ignorent bien souvent, et appliquent assez mollement), nous n’en doutons pas. Mais c’est une autre question. Notre problème, ce sont ceux qui l’appliquent sérieusement.

    Avant de se jeter dans la consultation fébrile des évangiles pour y chercher des versets homicides, mon objecteur tentera sans doute une parade : « Bon d’accord, mais tu extrais trois versets du Coran, qui est un livre de 600 pages, c’est un peu facile. » Ici, pas de jeu-concours, je donne la réponse d’entrée : sur les 6236 versets que compte le Coran, 800 sont des injures et des malédictions contre les Juifs, les Chrétiens, les infidèles en général, ou encore des appels à la guerre, au meurtre, à la mutilation. Faites l’expérience : ouvrez le Coran à n’importe quelle page, vous trouverez une malédiction et une ou deux menaces de « châtiment humiliant » et de « punition avilissante » (crucifixion, amputation, eau bouillante, coups de fouet). Cela représente donc environ 13% du texte total ! Pour trouver un tel degré d’agressivité dans un livre, il faut se tourner vers la propagande politique. Et encore.

    Et maintenant, venons-en au cœur du problème.

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    Paula Corbulon