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  • L'artillerie "impalpable" des djihadistes

    Une très bonne analyse de Gabrielle Cluzel sur le problème de la conversion des otages à la foi de leurs ravisseurs musulmans. Quelques extraits :

    [...] "Peter Kassig, donc, s’était converti à l’islam durant sa captivité. Selon le New York Times« certains comme M. Foley (alias « Abu Hamza ») ont cherché du réconfort dans la foi de leurs ravisseurs, embrassant l’islam et prenant des noms musulmans ». Le journal ajoute même que « la majorité des prisonniers occidentaux s’étaient convertis durant leur captivité. Seuls quelques otages sont restés fidèles à leur religion d’origine, dont Steven Sotloff, un juif pratiquant » (exécuté également). « Il avait gardé le secret face aux djihadistes, prétendant se sentir mal pour expliquer son jeûne de Yom Kippour. »

    Mais la conversion n’a pas réussi à amadouer les bourreaux, pas plus que la supplique, tête voilée, de la mère de Peter Kassig, qui dit aujourd’hui que « le Bien prévaudra, comme Dieu, aux noms divers, prévaudra », tandis que son époux, Ed Kassig, demande aux Américains et à tous ceux qui ont connu « Abdul Rahman » de prier au coucher du soleil pour lui, et organise un service réunissant chrétiens et musulmans à sa mémoire.[...]

    L’Occident peut bombarder les positions stratégiques djihadistes mais n’est pas équipé pour lutter contre leur artillerie impalpable. Steven Sotloff était « pratiquant », il a résisté. Pas les autres, qui n’avaient aucune foi chevillée au corps.

    Si prompt à dénoncer vigoureusement dans ses livres scolaires ses missionnaires au prosélytisme par trop autoritaire ou ses propres« conversions forcées » – durant la Reconquista, par exemple –,l’Occident semble admettre comme bien réelle, indiscutable, admissible, respectable, celle qui s’opère chez des otages pour le moins psychologiquement « fragiles ».[...]

    Comme si, sur le plan spirituel, les islamistes possédaient l’arme nucléaire quand l’Occident s’était débarrassé de la sienne depuis longtemps. Que peut faire celui-ci avec sa religion ultra light en voie de disparition face à la vague de conversions, qu’elle s’opère du côté des victimes ou des bourreaux ? Les athées sont toujours – les experts le rapportent – les premières cibles."

    CQFD.

    Marie Bethanie

  • Parution prochaine du n°4 des Cahiers d’Histoire du nationalisme consacré au Parti des Forces Nouvelles (1974 – 1984)

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    Novembre 1974. A peine un an après la dissolution d’Ordre nouveau, au moment où la France se retrouve plongée dans le centre-mou giscardien, un nouveau parti nationaliste voit le jour. C’est le Parti des Forces nouvelles.

     

    Pendant 10 ans, ce parti va incarner une droite nationale dynamique, moderne, adaptée aux réalités de son époque. Le PFN a été, pour toute une génération de militants, l’un des laboratoires de ce qui allait devenir par la suite, de la fin des années 80 jusqu’à aujourd’hui, le grand retour de la Droite nationale sur le devant  la scène politique française.

     

    En ce quarantième anniversaire de la création du PFN, il nous a semblé intéressant de consacrer ce numéro 4 des Cahiers d’Histoire du Nationalisme à cette aventure qui marqua notre famille d’idée et qui continue à susciter bien des passions…

     

    Nombreuses illustrations, reprise des textes fondamentaux :

     

    ■ Pour une nation nouvelle (1974),

     

    ■ Propositions pour une nouvelle droite politique (1979),

     

    ■ Perspectives d’actions (1982).

     

     

    200 pages, 20 € (+ 3 € de port) à commander à :

     

    Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris

     

    Chèque à l’ordre de Synthèse nationale

     

    Vous pouvez aussi le commander en cliquant ici

     

    Source Article fromhttp://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2014/11/08/parution-prochaine-du-n-4-des-cahiers-d-histoire-du-nation-5485320.html

  • Marine Le Pen dénonce l’immigration, ce qui a irrité Bernard Cazeneuve (Vidéo)

    Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a déploré mercredi, « les outrances » de Marine Le Pen qui « établit un lien qui n’a pas lieu d’être entre la religion musulmane, l’immigration et le terrorisme, alors que les actes commis par ces terroristes n’ont rien à voir avec la religion musulmane, et que l’immigration est sans lien avec la question du terrorisme », après l’identification de deux Français dans une vidéo du groupe Etat islamique.

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pen-denonce-limmigration-ce-qui-a-irrite-bernard-cazeneuve-video/18610

  • LMPT est un mouvement social qui se traduit par des stratégies différentes

    Gaël Brustier répond aux Inrocks :

    "Madeleine Bazin de Jessey, l’une des fondatrices du courant Sens commun, a dit : “Si l’UMP est opportuniste, soyons sa meilleure opportunité”. Contrairement à 2007, il existe aujourd’hui un courant authentiquement conservateur né de la Manif pour tous, et qui n’est exclusivement lié à aucune figure emblématique de l’UMP. Là où les leaders de l’UMP de 2007 se sentaient obligés d’aller s’exprimer devant GayLib, les candidats à la présidence de l’UMP en 2014 vont devant Sens commun. Regardez l’élection de Bruno Retailleau à la tête du groupe UMP au Sénat face à Roger Karoutchi.

    C’est la victoire de la frange conservatrice de la droite parlementaire et de l’UMP issue de la Manif pour tous.On a affaire à une jeunesse de droite encore plus conservatrice que la génération précédente: en un sens, les “jeunes pops” de 2007 ont été ringardisés par les “ringards”. L’UDI, comme l’UMP et le FN sont soumis à la même pression. Sarkozy ne fait pas exception : il se positionne entre un conservateur libéral assumé, Hervé Mariton, et un candidat d’une droite relativement plus modérée, Bruno Le Maire. Pour gagner le plus de voix possible,Nicolas Sarkozy est obligé de s’adresser à Sens commun. [...]

    La Manif pour tous n’est plus la propriété de l’association qui la porte. Aujourd’hui, ce sont des gens qui ont fait le choix de l’investissement politique: ils se retrouvent à Sens commun à l’UMP, derrière Jean-Christophe Fromantin à l’UDI, ou même autour de Marion Maréchal-Le Pen au FN… Il y a aussi des militants qui ont fait le choix de l’action par l’intellectuel, comme les Veilleurs de Gaultier Bès, qui se tiennent éloignés du pouvoir tout en imposant leurs thématiques. D’autres encore poursuivent leur engagement au niveau associatif. La Manif pour tous a été un mouvement social très vaste qui se traduit aujourd’hui par des stratégies différentes. Le mariage pour tous a permis de cristalliser ces tendances. Maintenant, il y a une lutte pour imposer la vision du monde des Veilleurs.C’est un combat pour l’hégémonie culturelle.

    Pensez-vous que la gauche est responsable de la montée en puissance de ce courant conservateur?

    Oui. Le vrai problème, ce n’est pas tant le pas de deux de Nicolas Sarkozy avec les conservateurs que le silence assourdissant de la gauche. La Manif pour tous a complètement inhibé le camp d’en face. Les Veilleurs ont occupé des lieux emblématiques de Mai 68 comme la place de la Sorbonne sans qu’aucun service d’ordre des organisations de gauche ne les en déloge. C’est nouveau ! Face à une jeunesse conservatrice ultra présente, on cherche les jeunes “progressistes”. Cela va avoir une empreinte sur le pays : quand vous formez 40 000 jeunes de 20-25 ans qui ont en tête l’idéologie de Gaultier Bès, vous allez forcément les retrouver vingt ans plus tard à des postes à responsabilité. Ce n’est pas rien. Même s’ils sont minoritaires sur les questions du mariage ou de l’adoption pour tous, ces futurs cadres restent majoritaire sur la question de la GPA. Surtout, ils ont la capacité d’imposer leurs thématiques. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L'UMP made in Sarkozy se précise

    Lors d'un déjeuner avec une quarantaine de députés UMP de sensibilité centriste ce mercredi, Nicolas Sarkozy a précisé ce qu'il entendait faire du parti une fois président.

    Sold out! Le déjeuner prévu ce mercredi midi à l'Assemblée nationale entre Nicolas Sarkozy et les élus du courant France moderne et humaniste (FMH) a réuni 40 députés. Marc Laffineur, chef de file de cette sensibilité centriste de l'UMP, a même dû refuser du monde. 

    Comme avec le courant gaulliste, l'ancien chef de l'Etat s'est rendu dans les salons de la Questure pour faire la promotion du grand rassemblement qu'il entend bâtir sitôt le parti conquis. Autour de la table, la moitié des convives le soutenait, l'autre se partageant entre l'indécision, Hervé Mariton et Bruno Le Maire. Le public idéal pour montrer qu'il ouvre les bras à tous. 

    Deux sujets ont monopolisé la discussion d'un repas qui s'est étiré de 12h50 à 14h50 - deux heures de déjeuner, une performance pour Nicolas Sarkozy: la réforme territoriale et le visage de la future UMP. 

    Sur le second point, l'ex-président s'est montré "bon" de l'avis même d'un soutien de Bruno Le Maire. Il a répété son envie de refonder la formation politique très rapidement pour être en ordre de marche en vue des élections départementales de mars 2015. Au cours de ce scrutin, les affiches des candidats du premier parti de l'opposition porteront le logo de l'UMP et la nouvelle appellation de l'UMP made in Sarkozy. 

    "Le mot d'ordre, c'est de se bastonner en interne autour des idées pour éviter de se bastonner en externe", résume un participant au déjeuner. Nicolas Sarkozy veut ainsi faire de l'UMP un parti d'idées, en organisant plusieurs conventions et en créant des pôles thématiques (études, international...). 

    Une réforme en profondeur pour le bureau politique

    La véritable nouveauté vient de la composition du futur bureau politique. Cette instance se réunit une fois par semaine pour fixer les positions du parti sur les sujets d'actualité. Sa composition pléthorique l'a rendu inopérant. Nicolas Sarkozy souhaite donc resserrer les rangs en remplaçant le BP par trois collèges: un composé de parlementaires, un deuxième d'élus locaux et un troisième de responsables de fédération. 

    Affaibli par une sortie maladroite sur l'abrogation de la loi Taubira, Nicolas Sarkozy entend poursuivre sa campagne comme si de rien n'était. Le sujet n'a d'ailleurs été évoqué que pendant une poignée de minutes. Juste le temps pour le candidat de justifier son déplacement devant Sens commun, un lobby au sein de l'UMP. A-t-il exprimé des regrets sur le fait d'avoir prononcé le mot "abroger"? "Vous connaissez Nicolas Sarkozy, sourit un convive. Les regrets, ce n'est pas son genre." 

    afp via l'express :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuEyVppAVApENaqgmq.shtml

  • Choc et Civilisation, par Serge Ayoub

    Allocution remaniée de Serge Ayoub lors de la 8ème journée de Synthèse nationale, sur le thème « Nations et Civilisations ».

    Occident

    On ne conçoit généralement la nation que comme une brique d’un super-ensemble, la civilisation. On s’en tient généralement à cette relation conceptuelle de la partie au tout : la civilisation serait l’ensemble des dénominateurs communs d’un groupe de nations. La civilisation a donc souvent ce caractère flou et distant des concepts mous, facilement utilisable comme justificatifs de toutes les politiques. Et rares, même dans le camp national, sont les efforts pour définir en profondeur ce qu’est une civilisation, et surtout, ce qu’est la nôtre.

    Qu’est ce donc que la civilisation ? C’est à la fois la durée et l’histoire. C’est à la fois la permanence d’une identité et un sens, une évolution, donc des changements. Dont les articulations dessinent des séquences et des « ères ». La Rome antique est une « ère » de l’Europe, c’est-à-dire un ensemble de séquences qui ont une cohérence entre elles, ainsi qu’un début et une fin.

    Par opposition, la répétition cyclique d’un même état n’est pas une civilisation, de même par exemple que la photocopie d’une même journée ne fera jamais une vie.

    Autre exemple : les générations de chasseurs cueilleurs du paléolithique ne sont pas une civilisation.

    Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont que le présent. Sans conscience du passé, ils ne se projettent pas dans l’avenir. Dire qu’il y a une civilisation européenne âgée de 30 mille ans est un abus de langage, car la possibilité d’une civilisation naît avec l’agriculture et la sédentarité, il y a environ 10 mille ans. Une civilisation, comme une nation et un homme, ça nait, ça vit, et ça meurt. Pour autant, l’identité, la permanence, la substance, est tout autant constitutive d’une civilisation que son évolution. S’il y a évolution, il faut bien qu’il y est un sujet de cette évolution, autant qu’un prédicat ne fera jamais une proposition à lui seul. La question de la civilisation ne peut logiquement se départir de la question de ce qui demeure à travers ces grandes ères que sont les civilisations.

    Ce qui caractérise, notre civilisation occidentale, c’est à la fois son histoire (donc l’histoire de ses évolutions) et sa permanence, donc son identité.

    Cette identité est, de manière primordiale, indo-européenne. Depuis près de 2000 ans, elle est de culture pagano chrétienne, et gréco-latine. Elle existe sur un territoire donné, l’Europe, et avec des peuples déterminés, pour l’essentiel des slaves, des celtes, des germains, des gréco-latins. Ce qu’on appelle l’Occident n’est en ce sens qu’une excroissance de la civilisation européenne, auquel nous avons annexé l’Amérique du Nord et une partie de l’Océanie.

    Intéressons nous maintenant à notre ère, puisque c’est elle qui définit précisément notre civilisation. Elle est le fruit d’une mutation radicale, qui influence la perception même du temps au sein de notre civilisation.

    Cette rupture historique, ce n’est ni la Révolution française, ni les lumières, mais à la révolution industrielle que nous la devons. Notre civilisation est l’Europe industrialisée, l’Europe des modes de vie capitaliste. L’industrialisation est la caractéristique dominante de notre civilisation occidentale actuelle. En moins de deux cent ans, elle a changé profondément nos modes de vie.

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  • L’éducation nationale socialiste LGBT

    L’enseignement « religieux » LGBT et la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT au sein de l’école socialiste ne sont que des « enfantillages » des bobos LGBT, les riches profiteurs de la république socialiste qui prônent les jeux sexuels à l’école, au risque de pédophilie. Le problème est que la société des bobos LGBT de la république socialiste ne parvient pas à mûrir et à dépasser sa propre immaturité mentale.

    Il lui faudrait devenir adulte pour éviter de tourner en dérision la réalité humaine du milieu scolaire.

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    lgbt-école-10

    Parti socialiste théorie du genre

    La propagande socialo-populiste, relayée sans cesse par la télé officielle digne des « JT de la Corée du Nord« , vise à la « destruction socialiste de la famille traditionnelle » qui fait obstacle à la tyrannie idéologique de la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT au sein de l’éducation nationale socialiste et de l’école soviétisée de la république socialiste. Le risque de la propagande socialo-populiste LGBT, qui vise à la « destruction socialiste de la famille« , est que l’institution scolaire disparaisse, du fait de l’idéologie et de la dictature des « ABCD de l’égalité« . Plus il sera possible de favoriser la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT, aux dépens des enseignements essentiels, moins les classes moyennes sauront quoi penser de cette étrange décision, de la société socialiste, de faire bénéficier très tôt les enfants les plus jeunes de la plus grande variété des perversions sexuelles des bobos LGBT, avancée sous le couvert pernicieux du « droit à l’égalité pour tous« .

    http://www.medias-presse.info/leducation-nationale-socialiste-lgbt/18528