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  • Pour Erdogan, ce sont les musulmans qui ont découvert l’Amérique, pas Christophe Colomb

    Le président « islamo-conservateur » turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé samedi, très sûr de lui, que le continent américain avait été découvert par des musulmans dès le XIIe siècle, et non pas par le navigateur génois Christophe Colomb plus de deux siècles plus tard (sans parler des Vikings des siècles avant).

    Des élucubrations « révisionnistes » qui nous rappellent celles du cacique mondialiste Jacques Attali qui affirmait que l’islam était présent dans certaines régions de France avant le christianisme, ou de la vedette de télévision Jamel Debouzze qui affirmait que l’islam est « en Europe depuis 3 000 ans », ou de Jacques Chirac qui parlait des « racines musulmanes de la France », etc.

    « Les contacts entre l’Amérique latine et l’islam remontent au XIIe siècle. Les musulmans ont découvert l’Amérique en 1178, pas Christophe Colomb », d’après Erdogan lors d’un discours télévisé à Istanbul prononcé à l’occasion d’un sommet des chefs musulmans des pays d’Amérique latine organisé par les autorités turques. « Colomb mentionne l’existence d’une mosquée sur une colline le long de la côte cubaine », a-t-il insisté. Sur sa lancée, il s’est même dit prêt à participer à la construction d’une mosquée à l’endroit cité par le marin génois. « Je voudrais bien en parler à mes frères cubains, une mosquée irait parfaitement bien sur cette colline aujourd’hui aussi », a poursuivi le chef de l’Etat turc.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • USA : fêtes religieuses supprimées du calendrier scolaire après des pressions musulmanes

    Une école du Maryland a voté mardi dernier une suppression de toutes les références religieuses des jours chômés dans le calendrier scolaire, tels que Noël, Pâques, Yom Kippour et Rosh Hashana, répondant à la pression de chefs de la communauté musulmane.

    Ces derniers n’ont pas été apaisés par cette décision : elle est selon eux indélicate envers leur communauté qui attendait au contraire que l’on inscrive les fêtes musulmanes au calendrier.

    Reinformation.tv

    http://www.contre-info.com/

  • Cités françaises : le retour de la féodalité et du règne des seigneurs dealers ! - Par Adrien Abauzit

    Une énième fois une cité de la banlieue française s’est embrasée. Il était évident que ce type d’évènement se reproduise, de même qu’il est tout aussi évident qu’il se reproduira encore.

    Même une amélioration de la situation économique de la France n’y changerait rien.

    Pour en être convaincu, il suffit de comprendre le processus auquel nous assistons dans les cités, de banlieues et de certaines grandes villes, depuis plusieurs décennies.

    De nombreuses cités françaises sont des bastions d’économies parallèles. C’est un fait. Parler de la question de la délinquance, comme le font les tartufes qui nous gouvernent, sans évoquer l’économie parallèle, c’est volontairement passer à côté du problème.

    Les émeutes de Trappes, comme celle d’Amiens en 2012, celles de Villiers le Bel en 2007 et celles de 2005, n’avaient qu’un seul but. Un but identique à celui des caillassage de pompiers, d’ambulanciers, de médecins et de policiers.

    Ces émeutes ont pour but de faire reculer la frontière de l’autorité publique. De redélimiter les frontières à partir desquelles les dealers font la loi, à proprement parler, à la place de l’Etat français.

    Ces émeutes ne sont pas le fruit du hasard ou de la spontanéité. Le moindre prétexte est utilisé par les dealers pour embraser leur ville, car c’est à ce prix qu’ils annexent des territoires.

    Médusé, le peuple français assiste à la privatisation de l’espace public par des seigneurs de guerre. Ceci est l’exact reflet d’un processus que la France a déjà connu : l’émergence et le triomphe de la féodalité. En effet, entre le milieu du IXème siècle et le XIIème siècle, la France a vu son territoire s’atomiser au profit de seigneurs de guerres qui chassaient de leur futur fief toute autorité royale, afin d’imposer leur autorité.

    En clair, la féodalité est en train de faire son grand retour dans les cités françaises. L’analogie n’est pas trop forte. On retrouve des grandes familles régnantes. Du guetteur au dealer, qui est en relation avec le grand banditisme, on retrouve également différents statuts, différents grades.

    Si le gouvernement français le voulait, ce phénomène serait enraillé dans les vingt-quatre heures. L’Etat dispose de tous les moyens logistiques et techniques pour une telle opération. Alors pourquoi ne fait-on rien ?

    Diverses raisons l’expliquent selon l’auteur : crainte d’une explosion qui se terminerait en guerre civile, lâcheté et peut-être aussi corruption. Mais il se peut qu’il y ait un motif encore plus pervers : on laisse se développer cette néo-féodalité, car grâce à elle, naît une délinquance qui permet d’exercer une véritable stratégie de la tension sur le peuple. En effet, le peuple français baisse les yeux de nos jours devant les petites têtes blondes de nos racailles d’origines scandinaves et non devant une quelconque Tcheka.

    Un vieil adage dit que les rois ont fait la France. Il paraît incontestable que la République soit décidée à favoriser sa décomposition.

    Adrien Abauzit, 14.11.2014
    Billet initialement publié sur La Gauche m'a tuer

    http://www.scriptoblog.com/index.php/blog/societe/1588-cites-francaises-le-retour-de-la-feodalite-et-du-regne-des-seigneurs-dealers-par-adrien-abauzit

  • Pas d’amalgames… quoique

    Il y a des amalgames qui, visiblement, dérangent moins que d'autres.   

    Il est de bon ton, lorsqu’on veut montrer sa pleine dévotion à la bienséance moderne, de s’émouvoir ostensiblement devant un cas (plus ou moins flagrant) de l’odieux « amalgame ». Dans ce théâtre des émotions filmées et relayées sur Internet, on déploie mieux son énergie à s’indigner avec la meute – qu’importe si tel « amalgame » est avéré ou non – qu’à s’enquérir des éléments du récit pour décider si, finalement, notre émoi est justifié. On dit que les amalgames sont contraires aux « valeurs républicaines », insultent l’égalité, foulent aux pieds les droits de l’homme et, pour toutes ces raisons, méritent d’être âprement combattus. On ne trouve pas une seule personnalité de l’appareil politique français en place qui ne soit adepte du « padamalgamisme ».

    On s’émeut que la dénonciation de l’islamisme puisse nuire à la réputation des musulmans ; on craint que les forfaits éventuels d’un homosexuel puisse porter préjudice à la communauté gay et lesbienne ; on rappelle inévitablement que « les casseurs sont une toute petite minorité » et « qu’il ne faut pas faire d’amalgames » entre eux et les populations des banlieues. 

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  • L’Etat Islamique, un repaire d’apostats! Le parcours révélateur de Maxime, égorgeur en Syrie

    Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a indiqué aujourd’hui qu’il y avait une «très forte probabilité» qu’un Français apparaisse sur la vidéo de l’État islamique dévoilée hier matin et sur laquelle on voit des djihadistes égorger plusieurs prisonniers.

    Depuis hier, la vidéo propagandiste de l’Etat Islamique, qui montre l’égorgement monstrueux de 18 soldats syriens a rebondi vers une autre propagande plus insidieuse: un Français d’origine, converti à l’Islam, serait probablement l’un des égorgeurs. Tous les médias ne cessent de répéter que cet assassin serait issu d’une famille catholique. D’abord si c’est le cas qu’on cesse de le présenter comme converti, mais plutôt comme apostat, c’est le terme qui convient lorsqu’on voit la chose du point-de-vue catholique. Ensuite réfléchissons à l’enchainement des trahisons qui  conduisent des jeunes influençables à devenir les idiots utiles du mondialisme à travers l’Islam.

    Cette apostasie n’aurait jamais eu lieu sans la politique du Grand remplacement menée depuis la Présidence de Valéry Giscard d’Estaing en 1975 en France par les traîtres qui ont pris le pouvoir.  

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  • Le Sénat a supprimé la modulation des allocations familiales

    Le Sénat a supprimé dans la nuit de vendredi à samedi la modulation des allocations familiales pour les revenus élevés votée par l'Assemblée, dans le cadre du projet de budget de la Sécurité sociale.

    Contre l'avis du gouvernement, les sénateurs ont adopté une série d'amendements de suppression déposés par la majorité de droite (UMP et centristes), mais aussi par des sénateurs de gauche, comme les groupes Communiste, républicain et citoyen (CRC) et écologiste, ou la socialiste Marie-Noëlle Lienemann.

    Le texte fera l'objet, le 18 novembre, d'une commission mixte paritaire (CMP, 7 sénateurs, 7 députés) chargée de trouver une version commune aux deux chambres. En cas de désaccord, c'est l'Assemblée, qui devrait rétablir la modulation des allocations, qui aura le dernier mot.

    Michel Janva