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François Bayrou honore un partisan de la décapitation
L'écrivain-paysan Alexis Arette vice-président de l’Académie de Béarn a écrit le 28 octobre à François Bayrou, suite à l'inauguration d'une allée en l'honneur d'Abd-el-Kader :
"Je ne pense pas que l’inauguration de l’allée Abd-el-Kader améliorera les problèmes de circulation que la précédente municipalité t’a laissés en cadeau, et je doute que le geste soit assez fort pour convaincre les coraniques palois de voter en faveur du Pays de Béarn. Si tu y avais ajouté le geste audacieux d’une circoncision publique, peut-être…
À cette occasion, il m’est revenu à l’esprit qu’Abd-el-Kader était un humaniste tout à fait particulier. Dans la guerre qu’il menait contre les Français, pour les droits de l’homme musulman de conserver un harem et de pratiquer l’esclavage, il y eut quelques trêves, et au cours de l’une d’elle, les Français acceptèrent de rendre à l’émir une centaine de ses esclaves noirs, qui avaient cru trouver la liberté en se réfugiant sous notre drapeau. Abd-el-Kader les fit tous décapiter. Il n’était, ce faisant, qu’un très modeste émule de Mahomed qui, lui, avait fait couper le cou des 900 juifs de la tribu des Banou-Caraïza, pour mettre leurs jolies femmes dans le lit de ses guerriers. Tamerlan devait faire mieux encore en édifiant des pyramides avec les têtes des infidèles tombées sous le cimeterre.
Mais ce ne sont là que des broutilles de l’histoire, et même le Pape François, en accord avec les Imams qui prolifèrent en France comme des champignons, nous affirme que l’Islam est, contrairement à quelques apparences, tolérant et miséricordieux. Bien sûr, les historiens Occidentaux affirment qu’il y eut entre le seizième et le dix huitième siècle, 4 millions de chrétiens razziés sur nos côtes, et plus de 18 millions de noirs réduits en esclavage, et châtrés afin qu’ils ne se reproduisent pas, mais je me demande si ces historiens n’avaient pas été contaminés par le virus Lepéniste ! La bête immonde est partout ! la preuve ? C’est que même quelques mahométans sont gagnés par le virus, tel l’anthropologue Malek Chebel qui écrit : « Parce que je suis un intellectuel musulman (…) je me sens missionné pour dénoncer ce drame de l’esclavage qui a contaminé tous les pays où l’Islam à prospéré ! »
Fort heureusement, des gestes comme l’inauguration de l’allée Abd-el-Kader prouvent que l’on peut être esclavagiste et coupeur de têtes, et tout de même tenu pour un grand homme par la République. Madame Taubira même, a tenu à aller plus loin dans l’humanisme. Dans l’express du 4 Mai 2006 elle affirmait : « Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière Arabo-Musulmane pour que les jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfais de leurs Pères ! » A remarquer que la justice Taubirienne a déjà porté ses fruits : je lis aujourd’hui sur internet qu’un certain Karim vient d’être interpellé par la police pour la 197ième fois ! En voila un au moins qui n’est pas traumatisé par l’héritage de ses pères, et qui pourra revoter Hollande la prochaine fois. Nous n’en avons pas fini de découvrir les beautés du Système !
De leur coté, les humanistes de Boko Haram et quelques autres ne relâchent pas leurs efforts pour arracher la jeunesse Africaine à la déchéance Occidentale. Il y a quelques semaines, c’était 200 lycéennes qui étaient enlevées à Chibok. Avant-hier c’étaient 60 femmes enlevées à Wagga. Hier c’étaient 30 Jeunes razziés à Mafa. La religion d’Abd-el Kader manifeste partout une semblable ferveur, et à mon sens ce n’est pas une simple allée qui devrait garder la mémoire du premier vaincu du Djihad, mais une autoroute !
Avec bien sûr, dès l’entrée, l’emblème du croissant et de l’étoile, pour éclairer les destinées de la république."
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Franck Ferrand : l’Occident ne doit pas rejeter Poutine !
Franck Ferrand éclaire l’actualité par l’histoire. Les Etats-Unis et l’Europe ont tort de critiquer sans ménagement le président russe, explique-t-il cette semaine.
Jean-Christophe Marmara/Le Figaro.
Le départ précipité du président russe, lors du sommet du G20 à Brisbane, traduit un changement du paysage diplomatique. Que Vladimir Poutine n’ait même pas attendu la publication du communiqué final pour reprendre son avion démontre qu’il se sent de moins en moins contraint. Attaqué de toute part, accusé par son hôte lui-même, le Premier ministre australien Abbott, de vouloir « restaurer la gloire perdue du tsarisme et de l’Union soviétique », celui qui semble devenu la bête noire des Occidentaux aura, de surcroît, subi l’hypocrisie du président français - M. Hollande ayant préféré ne pas évoquer le cas des deux navires de guerre commandés par Moscou et, pour le moment du moins, retenus par Paris. « Les deux parties considéraient que ce n’était pas le sujet du jour », selon le Quai d’Orsay… De son côté, le président Obama a cru bon de préciser que l’attitude de la Fédération russe à l’égard de la Crimée était « une menace pour le monde » - curieuse évaluation des risques, le jour même où la prétendue République islamique revendiquait l’égorgement d’un otage américain et d’une quinzaine de soldats syriens !
La nullité des Etats-Unis en matière diplomatique a été maintes fois démontrée. Pour qui connaît l’Histoire, elle relève du truisme. Du reste, l’actuelle situation en Mésopotamie suffirait, à elle seule, à édifier n’importe qui sur la question. Vu du Pentagone et de la Maison Blanche, le monde se résume à de manichéens jeux de balance, dans lesquelles ne compte en définitive que l’intérêt supposé - à courte vue, le plus souvent - de l’hyperpuissance américaine. Que les « stratèges » de Washington s’aveuglent sur le cas russe n’a donc rien de bien étonnant. Ce qui surprend davantage - et ne manque pas d’effrayer certains observateurs - c’est l’alignement sans condition des membres de l’OTAN sur ces positions rigides. Il fut un temps, pas si lointain, où le président Chirac, avec son ministre des Affaires étrangères, Dominique de Villepin, se permettait encore de faire la leçon aux Etats-Unis, et de clamer à la face du monde que le président Bush fils, en Irak, s’apprêtait à faire fausse route. Il faut croire que ces temps-là sont révolus…[.....]
La suite sur Le Figarovox
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Rassembler les Français des deux rives
Lors d’une conférence de presse tenue à l’issue du sommet du G20 hier à Brisbane (Australie), François Hollande a affirmé qu’il n’avait toujours pas décidé de livrer ou non les navires Mistral à la Russie: «Je prendrai ma décision en dehors de toute pression, d’où qu’elle vienne et en fonction de deux critères, les intérêts de la France et l’appréciation que j’ai de la situation», a-t-il déclaré. Quel est l’intérêt de la France de faillir à sa parole ? Quel est l’intérêt de la France d’accabler la Russie au moment d’ailleurs ou celle-ci doit faire face à des difficultés économiques, difficultés que les sanctions décrétées par les pays de l’Otan et/ou sous le coupe de Washington ne peuvent qu’aggraver ? Ce sommet du G20 s’est déroulé dans un climat glacial de quasi « guerre froide » sur fond de crise ukrainienne a souligné la presse. Si Vladimir Poutine y était présent –contrairement au précédent sommet du G8-, celui-ci a essuyé une pluie de critiques et de récriminations. Donnant le ton, le Premier ministre australien Tony Abott a brutalement attaqué le président russe dés le vendredi lui reprochant de de vouloir restaurer «la gloire perdue du tsarisme ou de l’Union soviétique». Vouloir restaurer la gloire perdue de son pays, l’horreur absolue… M. Poutine fut le premier a quitter ce G20 évoquant avant son départ des « discussions constructives » et n’hésitant pas à remercier finement le Premier ministre australien pour son accueil…Si l’on imagine bien que Vladimir Poutine, en bon joueur d’échecs, sait garder son sang froid, nos voisins italiens manifestent eux de manière bien compréhensible leur ras-le-bol devant la poursuite de l’invasion d’immigrés clandestins. Le site de RFI rapporte que les débarquements de plusieurs centaines d’immigrés ont repris à haute fréquence sur les côtes italiennes ces derniers jours, lesquels « augmentent les tensions et les protestations anti-immigrées ». « Brandissant le drapeau tricolore, des centaines de riverains vivant dans des banlieues bien trop négligées par l’Etat et la commune de Rome, sont descendus samedi dans les rues du centre de la capitale pour dire Basta! , Non à l’immigration! . Actuellement, l’Italie héberge dans des centres d’accueil 75 000 demandeurs d’asile ou réfugiés, contre 20 000 à la même époque en 2013 ».Non à l’immigration ? C’est le refrain entonné mezzo voce par François Fillon soucieux de rebondir après l’affaire Jouyet et de se replacer dans la lumière à l’approche de la primaire UMP pour la présidentielle de 2017.« Les intentions pèsent moins que les situations» notait Bertrand de Jouvenel et à l’évidence la situation présente, à savoir un FN et une Marine Le Pen en position de force dans l’opinion, commande aux prétendants de l’UMP de jouer le registre de la fermeté. Comme ses concurrents rapporte Le Figaro, « (F. Fillon) durcit le ton » « sur le thème de l’immigration ». « Quotas répartis selon l’origine des migrants, suppression de l’aide médicale d’Etat (AME) ou encore réduction de l’accès aux prestations sociales ».Une radicalisation pour tenter de retenir les électeurs « qui amène les trois candidats (UMP) à la frontière de l’extrême droite, sur des sujets longtemps défendus par le Front » affirme le quotidien : « l’exemple de l’AME en témoigne: jusqu’alors, seul le FN prônait sa suppression. Désormais, trois des candidats à la primaire de l’UMP veulent mettre un terme à cette aide, qui permet aux sans-papiers (clandestins, NDLR) de se faire soigner gratuitement (…). Nicolas Sarkozy a lui aussi évoqué la suppression de l’AME, lors de son discours à Marseille, le 28 octobre. Une mesure qu’il défendait pourtant lorsqu’il était au pouvoir»…« La radicalisation est-elle devenue une tendance à l’UMP? Pas tout à fait. (le politologue de gauche, NDLR) Thomas Guénolé préfère employer le mot tension. Cette tension, pour ou contre Nicolas Sarkozy, a été appelée ligne Buisson. C’est la ligne de lepénisation, explique-t-il. Elle coupe l’UMP en deux. 50% des électeurs UMP sont prêts à s’allier au FN, 50% non ».En attendant, il semblerait que ce soit le plus mou d’entre eux, ou à tout le moins peut être le moins menteur car ne cherchant pas à faire des promesses dans ce domaine qu’il sait qu’il ne tiendra pas , a savoir Alain Juppé, qui creuse l’écart dans les sondages vis-à-vis de son principal adversaire.Selon un sondage Ifop pour Dimanche Ouest-France, ce chantre de la poursuite de l’immigration dite légale serait préféré comme candidat UMP à la présidentielle par 36% des personnes interrogées (+7 points par rapport au début octobre) contre 21% à Nicolas Sarkozy (-1 point). L’écart qui était de 7 points début octobre entre les deux hommes, est désormais de 15 points, relève l’institut de sondage. Parmi les sympathisants UMP, Nicolas Sarkozy fait toujours la course en tête en tête (52%) par rapport au maire de Bordeaux (33%), mais l’ancien chef de l’Etat enregistre « un tassement de 7 points » par rapport au début octobre.Si M. Sarkozy ne décolle pas, il met cependant les bouchées doubles pour séduire (tromper) le peuple de droite. Nous l’avons encore constaté à l’occasion de son passage vendredi devant un collectif proche de l’UMP, Sens commun, pour une réunion publique sur la loi Taubira, à laquelle étaient aussi conviés ses concurrents Bruno Lemaire et Hervé Mariton.Sommé vertement par les auditeurs/sympathisants de l’UMP présents de clarifier sa position ambiguë , pour la première fois, le mari de Carla Bruni s’est dit favorable à l’abrogation du mariage pour tous…et la mise en place d’un mariage homo distinct du mariage hétéro. « Si vous préférez qu’on dise (qu’il faut) abroger la loi Taubira pour en faire une autre… En français, ça veut dire la même chose… Ca aboutit au même résultat. Mais enfin, si ça vous fait plaisir, franchement, ça coûte pas très cher » a-t-il ainsi déclaré.Ca ne coûte pas très cher en effet, surtout dans la bouche d’un candidat qui a trahi la plupart de ses promesses quand il fut au pouvoir. Comme ses collègues et amis du Système, Nicolas Sarkozy est un émule assez caricatural du corrézien radical-socialiste Henri Queuille, trois fois président du Conseil sous la quatrième république, lequel déclarait : «les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent » (formule favorite en son temps de Charles Pasqua) ou encore « la politique n’est pas l’art de résoudre les problèmes, mais de faire taire ceux qui les posent »…Pour faire taire les Français, les caciques de l’UMP estiment qu’il suffit de leur dire ce qu’ils veulent entendre le temps d’une campagne électorale. Mais c’est méconnaitre l’ampleur de la fracture entre le peuple et les partis dits de gouvernement largement démonétisés.Relatant cette réunion, Gabrielle Cluzel écrivait hier sur Boulevard voltaire : « Sans doute peut-on ricaner des contorsions verbales de l’homme élastique Nicolas Sarkozy : abroger la loi Taubira, pour en faire une autre… instituer un mariage pour les homos et un pour les hétéros (qu’est-ce qui changera, la figurine de la pièce montée ?), bref, la politique façon roi Salomon, la chèvre et le chou auront chacun leur bout et tant pis si on a tué le mariage (…). Mais il ressort surtout clairement de ce meeting, des allocutions de ses responsables comme des réactions du public que le seul, le vrai enjeu est celui de l’identité ».« Une identité que cette France bourgeoise, cette France bien élevée qui a manifesté l’an passé, défend à travers la famille, la filiation, l’identité sexuée. Une identité que la France populaire – la France périphérique, comme l’appelle le géographe Christophe Guilluy – veut conserver, elle, en luttant contre l’immigration massive. Christophe Guilluy et Renaud Camus ont raison : la fracture politique n’est plus entre la gauche et la droite, elle est identitaire ».Un diagnostic établi depuis beaucoup plus longtemps par le Front National qui, comme l’affirme Bruno Gollnisch, entend bien rassembler les Français des deux rives. -
"Chesterton a vu que le libéralisme ferait tout pour permettre à l’islam de pénétrer chez nous" - Entretien avec Philippe Maxence 3/3
Journaliste et écrivain, rédacteur en chef du bi-mensuel catholique conservateurL’Homme nouveau, Philippe Maxence est également l’un des meilleurs connaisseurs français de l’œuvre de Gilbert Keith Chesterton (photo). C’est afin de mieux connaître ce penseur original et profondément iconoclaste que nous avons souhaité interroger Philippe Maxence.
Propos recueillis par Pierre Saint-Servant
Pourquoi Chesterton, vivant dans l’Angleterre de 1900, a priori peu concernée, s’est-il préoccupé de l’Islam ?
D’abord parce que l’Angleterre étant un empire, était confrontée directement à la réalité de l’islam. Mais l’aspect prophétique de Chesterton tient au fait d’avoir compris que l’islam étant par nature une religion conquérante, menacerait les vieilles nations occidentales chez elles. Mais il faut aller plus loin : il voyait aussi que notre propre lâcheté favoriserait cette conquête. Il a vu que le libéralisme ferait tout pour permettre à l’islam de pénétrer chez nous, ou pour le laisser pénétrer chez nous, dès lors que les intérêts financiers s’en trouveraient confortés. C’est le cas aujourd’hui. Le patronat a fait appel massivement aux immigrés dans les années 1970. Et, aujourd’hui, nous sommes confrontés à une alliance objective entre les grandes surfaces et l’islam qui passe par la vente des produits halal.
Chesterton s’attaque à l’islam avant tout en tant qu’hérésie, en faisant un parallèle avec l’unitarisme britannique très vivace à son époque, pouvez-vous développer ce point ?
Au fond de toute erreur politique se trouve une erreur théologique. C’est fort de cette conviction que Chesterton aborde l’islam, qui est d’abord une religion. L’unitarisme n’était pas particulièrement répandu en Angleterre à l’époque, mais il se trouve que venant de l’unitarisme, avant sa conversion, Chesterton perçoit que l’islam est une hérésie chrétienne et que cette hérésie refuse toute idée de relation en raison même de sa conception de Dieu. Au Dieu unique en trois personnes des chrétiens, l’islam comme l’unitarisme, hérésie chrétienne, oppose le Dieu unique et seul. Son passé unitarien permet à Chesterton de saisir l’essence même de l’islam.
Il voyait aussi que notre propre lâcheté favoriserait cette conquête. Il a vu que le libéralisme ferait tout pour permettre à l’islam de pénétrer chez nous, ou pour le laisser pénétrer chez nous, dès lors que les intérêts financiers s’en trouveraient confortés. C’est le cas aujourd’hui. Le patronat a fait appel massivement aux immigrés dans les années 1970. Et, aujourd’hui, nous sommes confrontés à une alliance objective entre les grandes surfaces et l’islam qui passe par la vente des produits halal.
Il décrit ailleurs l’islam comme“un théisme forcené qui ne voit partout que la divinité et qui renie complètement les principes de la personnalité et de la volonté humaines”. Ce dont le djihadisme actuel donne un cruel exemple aujourd’hui …
Oui, effectivement. Il y a une pesanteur de la divinité dans l’islam alors que Dieu dans le christianisme, en s’incarnant, sauve l’homme et le restaure dans son innocence. Le djihadisme est toujours au terme d’un islam qui s’impose de plus en plus, même si au point de départ, il peut apparaître comme pacifique et tolérant.
Le musulman est celui qui fondamentalement “offre aux hommes le choix entre le Coran et l’épée”. Au-delà de la théologie, n’est-ce pas cette dimension liberticide qui repousse le fils de la civilisation européenne qu’est Chesterton ?
Ce n’est pas au-delà de la théologie ! La vision théologique que Chesterton pose sur l’islam lui permet d’en saisir le fondement irréductible. Irréductible parce que théologique. Seul un regard vraiment théologique sur l’islam permet de comprendre la profondeur de ce danger.
Dans le petit florilège que vous donnez dans votre ouvrage, vous consacrez une entrée au mot “frontière”, que ne connait justement pas l’islam. N’est-ce pas un fait que devraient considérer tous les apôtres de la “réconciliation” et de “l’union des croyants” qui font ici preuve d’autant de naïveté que la gauche bobo mondialisée ?
Oui, vous avez raison ! Dans l’islam, la seule frontière qui existe est celle entre la communauté des croyants et le reste du monde. L’unicité anti-trinitaire de la conception de Dieu dans l’islam l’empêche de saisir ce qui relève du Ciel et ce qui est de la terre, et de travailler à l’union des deux. Comme le dit Chesterton, la seule paix que connaît l’islam est la paix des cimeterres qui conduit à la paix des cimetières.
Première partie de l’entretien
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Grands stades : Ce très cher Euro 2016
En juin 2016, la France accueillera l’Euro. Pour cette occasion, rien n’est trop beau. Presque tous les stades où se joueront les 51 matches de la compétition ont été rénovés, voire entièrement reconstruits. Coût total de l’opération : 1,7 milliard d’euros. Mais comment a-t-on financé tout cela à Bordeaux ou à Marseille ?
http://fortune.fdesouche.com/
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Deux nouveaux terroristes sur le sol français
Hassan Diab Le principal suspect dans l’attentat contre la synagogue de la rue Copernic qui avait fait quatre morts en 1980 est arrivé en France samedi matin. L’ancien terroriste du FNL, assassin du peuple algérien et de nombreux français, Abdelaziz Boutéflika, ,est en France lui aussi,, hospitalisé à Grenoble depuis la semaine dernière.
La simultanéité des deux événements est elle fortuite ou bien témoigne-t’elle d’un zèle nouveau de nos services de sécurité ? Car , sans être rabat joie, si aujourd’hui la culpabilité d’Hassan Diab n’est pas encore juridiquement établie, on ne peut oublier les bombes dans les bars et devant les écoles même, qui explosèrent à l’instigation du FNL, dans les rues d’Alger d’Oran ou de Constantine il ya à peine plus de cinquante ans. On ne peut oublier non plus la disparition de milliers d’Européens après la signature des accords d’Evian sensés assurer leur sécurité, pour ne parler que de cela sans s’attarder sur les plus atroces barbaries qui émaillèrent ce qu’on a fini par appeler la guerre d’Algérie. D’autant moins que le personnage, devenu président, ne cesse de réclamer réparation à la France à chacun de ses déplacements. Depuis la grave maladie qui l’affecte, ce boucher recyclé semble toutefois avoir baissé, ces derniers temps, d’un ton, comme si soumettre son corps à des scalpels français l’invitait à une attitude moins polémique. On sait cependant que le vieillard n’est plus aujourd’hui qu’une marionnette exténuée de l’armée algérienne, laquelle fait de son mieux pour maintenir un semblant de cohésion dans ce pays en proie aux appétits multiples des capitalistes d’outre atlantique et des islamistes les plus radicaux qu’elle contient au sud , se positionnant ainsi comme un rempart de l’Occident. Garder le vieux en couveuse le plus longtemps possible, permet de gagner du temps pour préparer l’après Boutéflika qui entame à l’article de la mort son quatrième mandat. « La vacance du pouvoir – énergiquement niée par l’entourage du chef de l’Etat – exaspère et inquiète. L’élite se dit humiliée, » nous rapporte Florence Baugé envoyée spéciale du monde à Alger (15/11). Il manquerait plus qu’avec son brio habituel, et sa connaissance fine de la politique étrangère en Méditerranée, dans ce contexte algérien fragile, la CIA nous concocte, avec l’appuie de la France, un « printemps arabe » dont elle a le secret, histoire de rejouer à nos portes la calamiteuse affaire lybienne.. Je doute que l’armée algérienne gouterait ce genre de plaisanterie. Elle n’aurait, en outre, aucun complexe à écraser dans le sang toute velléité de révolte. Mais il faut toujours se méfier des docteurs Folamour téléguidés par Washington, on n’imagine pas le plaisir qu’ils ont à jouer aux allumettes sur les poudrières. Compte tenu par ailleurs, de la nullité actuelle du locataire de l’Elysée et de celui du quai d’Orsay, j’ai du mal à croire que ces messieurs mesurent l’importance capitale que revêt aujourd’hui encore la question algérienne. Du reste, il semble bien que rien n’ait plus beaucoup d’importance, puisque depuis Sarkozy, les ordres viennent d’outre atlantique. Ainsi, la politique globalement et plus particulièrement la diplomatie ne consistent t’elles pas à toutes fins à régler nos comptes avec l’Histoire, aussi légitimes soient-ils, encore moins, dans la tradition française, de se mettre au service d’un empire, mais d’assurer le bien commun général et plus précisément celui de notre patrie en tenant compte des données objectives et actualisées. Une France forte avec à sa tête un état indépendant et durable, n’aurait aucun mal à mener une politique méditerranéenne cohérente et féconde.
Olivier Perceval
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Deux-nouveaux-terroristes-sur-le
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Marchandisation du corps : des morceaux de bébés dans des colis
L'inimaginable escalade du mépris de la vie et de l'homme :
"C’est en passant les colis au scanner que les employés du transporteur DHL ont fait la terrible découverte. Dimanche, la police de Bangkok a annoncé que les restes humains de plusieurs bébés avaient été trouvés alors qu’ils devaient être envoyés vers les Etats-Unis. Le «Bangkok Post» indique que dans le premier paquet se trouvait une partie de la tête et du visage d’un enfant. Dans le second se trouvait un pied droit coupé en trois morceaux. Le dernier colis était de son côté rempli de morceaux de peau et d’un coeur. Un morceau de peau prélevé sur un adulte et arborant un tatouage a également été retrouvé. Les paquets avaient été enregistrés comme contenant des «jouets».
Deux suspects ont été arrêtés. Les deux hommes, considérés comme les expéditeurs, ont été interrogés pendant plus de trois heures samedi. Ils ont expliqué avoir acheté les restes des corps et d’autres organes dans un marché de nuit près de Saphan Phut" (suite).
Posté le 17 novembre
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Allemagne : des élus de gauche veulent 50% de « feux tricolores féminins » dans leur ville…
17 novembre 2014 par CharlotteOLa prétendue « égalité » de gauche fait prendre bon nombre de décisions ridicules et plus ou moins grave, mais les élus socialistes et écologistes de la petite ville de Dortmund, dans l’est de l’Allemagne, font fort : ils veulent désormais que 50% des feux tricolores de leur ville représentent des femmes…
Une petite dizaine de villes ont déjà installé des « feux féminins », mais aucun élu n’avait été jusqu’à demander la parité !
Comble du grotesque, des féministes ont déjà protesté contre ces feux, non parce que l’idée est idiote, mais parce que le pictogramme féminin… porte une robe !
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Familles plumées : une cinquantaine de manifs dimanche
Le collectif des «Familles plumées», créé pour protester contre la modulation des allocations familiales, entend coaguler l'opposition de droite avec les syndicats, le Front de gauche et les frondeurs du PS qui ont tous voté contre cette mesure. Julie Graziani écrit dans le Figaro :
"[...] Contrairement à ce que le gouvernement essaye de faire croire, toutes les familles sont concernées et non uniquement les plus aisées. A partir du moment où le principe de l'universalité des allocations est supprimé et leur versement conditionné à un niveau de revenus il suffira au gouvernement d'un simple décret pour abaisser les seuils au gré de ses besoins. Désormais les familles seront suspendues à l'annonce d'un nouveau décret susceptible d'abaisser le seuil et de réduire ainsi comme peau de chagrin les allocations familiales souvent indispensables pour boucler un budget familial. Comment prévoir son budget dans ces conditions? [...]
Il est temps de réagir face à ce matraquage fiscal qui cible une nouvelle fois les familles. Pourquoi? Parce qu'elles ne constituent pas une corporation avec ses syndicats chargés de les défendre.Mais la familles étant à la base de la société, il est de la responsabilité de chaque citoyen de la préserver et donc de défendre une politique qui ne dot pas avoir de «familiale» que le nom. C'est pourquoi Les Familles Plumées invitent chaque Français à écrire à son député pour l'alerter sur les conséquences du projet du gouvernement et l'inciter à faire preuve de responsabilité et de bon sens lors de la suite de l'examen du PLFSS.
Ce week-end, des opérations de tractage et de collages ont démarré dans toute la France pour informer et sensibiliser tous les Français.
Les familles refusent d'être mises à contribution pour la troisième année consécutive alors le gouvernement rechigne à mettre en œuvre les grandes réformes structurelles dont notre pays a besoin. Elles ne signeront donc pas de chèque en blanc au gouvernement car la note est d'ores et déjà bien trop salée.
Contre un gouvernement qui chercher à dresser les familles les unes contre les autres nous appelons à la solidarité de toutes les familles et les invitons à venir faire entendre leur ras-le-bol fiscal devant les préfectures dimanche 23 novembre 2014 de 14h30 à 16h30. Ce sera une journée de mobilisation de proximité. Une cinquantaine de manifestations sont déjà programmées partout en France. Alors, dimanche prochain, tous dans la rue pour faire entendre la voix des familles."