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  • [Grenoble] Antoine de Cremiers au Centre Lesdiguières

    Le Centre Lesdiguières en collaboration avec l’ARD et DDC vous invite à la conférence de Antoine de Crémiers

    Conférencier, conseiller éditorial de la « Nouvelle Revue Universelle », animateur du café d’actualités d’Aix en Provence, Sur ;

    La post-modernité ou le triomphe du libéralisme.

    Lundi 17 novembre 2014 à 20 h.

    10 place Lavalette, 38000 Grenoble - salle du 1er étage (Tram : arrêt « Notre-Dame »)

    La conférence sera suivie d’un buffet convivial (Participation aux frais)

    Centre Lesdiguières - 6 rue Berthe de Boissieux - 38000 - Grenoble

    Ce qu’il est convenu de baptiser « crise » n’est autre qu’un formidable basculement de civilisation dont nous sommes les spectateurs, rageusement impuissants, et qui nous contraint à revoir nos « logiciels » d’analyses, formatés par des siècles de Tradition et de Modernité, l’une et l’autre disparues corps et biens. La post-modernité qui leur succède se présente comme ectoplasme, protéiforme, insaisissable, qui inaugure une nouvelle cage de fer, celle du totalitarisme de la dissolution et d’un retour de la fatalité. Est-ce irréversible, et n’aurions-nous le choix qu’entre la guerre civile et le meilleur des mondes ? Terrible question qui mérite toute notre attention…

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Grenoble-Antoine-de-Cremiers-au

  • Euthanasie : François, ne fais pas comme la Hollande

    L'ADMD a lancé sa campagne pour l'euthanasie en appellant François Hollande à faire comme aux Pays-Bas, où l'euthanasie est légalisée. Mais ce pays n'est pas une exception et connait des dérives tout comme la Belgique : plus de 300 euthanasies sont réalisés chaque année. Une note de l'Institut Renaissance indique :

    • "Une interpellation du Comité des Droits de l’homme de l’ONU

    En juillet 2009, le Comité des Droits de l’homme de l’ONU s’est inquiété du nombre élevé de cas d’euthanasies et de suicides assistés. Il a demandé aux Pays Bas de réviser la législation pour se mettre en conformité avec les dispositions du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de 1966. Deux sujets ont été abordés en particulier :

    - Le nombre important d’euthanasies et de suicides assistés, et sa progression chaque année ;

    - Certaines modalités posent question : le fait d’autoriser un médecin à mettre fin à la vie d’un patient sans recourir à l’avis d’un juge, et le fait que le deuxième avis médical requis puisse être obtenu au travers d’une ligne téléphonique d’urgence.

    • Des euthanasies clandestines persistantes

    Courant 2008, des députés français se sont rendus aux Pays-Bas dans le cadre de l’évaluation de la loi fin de vie de 2004. Le Rapport d’information de novembre 2008 relève que le taux de signalement des cas d’euthanasie est en constante augmentation depuis 2002. Cela n’empêche pas un fort tauxd’euthanasies clandestines, estimé par le Ministère de la Santé néerlandais à 20% qui pose donc la question de la transparence de cette législation.

    En 2012 le  journal néerlandais De Volkskrant révèle que près de300 euthanasies avaient été réalisées sans demande explicite de la part du patient ou de ses proches au cours de l’année.

    • Un manque de respect et de contrôle des procédures

    Cette loi présente plusieurs caractéristiques qui interrogent :

    - Les critères d’évaluation du degré de la souffrance du patient sont flous. Le contrôle qui se fait à posteriori vérifie plus le respect de la procédure que la réalité des motifs médicaux justifiant cette euthanasie ;

    - l’appréciation du médecin est subjective et la méconnaissance de la loi n’est pas sanctionnée ;

    • Sédations inappropriées

    Selon une étude du Centre Intégral du Cancer néerlandais (IKNL), les soins apportés aux patients en phase terminale ne sont pas appropriés. Chaque année, 1700 cas de sédations en fin de vie relèveraient d’une pratique inadéquate pouvant cacher des euthanasies.

    • Exil de personnes âgées

    L’Ordre des médecins allemands fait état de l’installation croissante de personnes âgées néerlandaises en Allemagne voisine. S’y sont ouverts des établissements pour personnes âgées accueillant des Néerlandais. Ces personnes craignent en effet que leur entourage ne profite de leur vulnérabilité pour abréger leur vie. Elles n’ont plus confiance dans les praticiens hollandais. Les pratiques médicales hollandaises sont mal vécues par une partie de la population.

    • Des euthanasies sur des personnes ne remplissant pas les conditions

    Le rapport 2009 des commissions régionales de contrôle néerlandaises fait état de 12 cas d’euthanasie pratiquée pour des maladies neurologiques, dont des personnes démarrant la maladie d’Alzheimer.

    • Les soins palliatifs ne sont pas suffisamment utilisés.

    Les pouvoirs publics n’ont pas prêté l’attention nécessaire aux soins palliatifs et à l’accompagnement des mourants.

    L’ADMD semble donc avoir choisi un bien mauvais exemple pour promouvoir sa demande de légalisation de l’euthanasie. Cette loi, loin de ne faire qu’encadrer des euthanasies déjà existantes, les a démultipliées, et n’a pas réussi à toutes les encadrer. Dans ce pays où plus de 300 euthanasies par an sont réalisées sans l’accord du patient  les personnes âgées n’ont plus confiance envers le personnel médical. Tout comme la Belgique les Pays-Bas sont présentés comme un exemple à suivre sur les questions de fin de vie mais commencent à donner un aperçu sérieux de dérives jugées inconcevables dans un premier temps. Et cela se manifeste seulement treize ans après l’entrée en vigueur de cette loi sur l’euthanasie active. La majorité des demandes d’euthanasie seraient liées à une souffrance physique insupportable et donc à de mauvaises pratiques médicales dans le traitement de la douleur. Les Pays-Bas semblent avoir fait le choix de former ses médecins aux maniements des produits létaux plutôt qu’aux soins palliatifs. Dès lors le malade n’a donc le choix qu’entre souffrir ou demander l’euthanasie. Il faut lui offrir un troisième choix : être soulagé de sa douleur. Il est donc primordial, avant toute chose, de poursuivre le programme de développement des soins palliatifs en France et d’empêcher toute loi sur l’euthanasie qui entrainerait automatiquement ces terribles dérives."

    Michel Janva   http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Dites au Courrier à quel point il est à l'Ouest

    Comme l'avait fait le Salon beige avant-hier, la Manif pour tous 49 invite les défenseurs de la famille à s'indigner auprès du Courrier décidément très à l'Ouest :

    "Mardi 28 octobre 2014, le Courrier de l'Ouest a consacré sa Une à un patchwork de faits et d'événements [ndlt : voir ce précédent post]. Dans ces pages Le collectif La Manif Pour Tous a fait l'objet d'un amalgame qu'il ne peut que dénoncer et condamner fermement.

    Le titre même de la page "Des relations qui se crispent en Anjou" ne laisse aucun doute sur les objectifs du quotidien : se payer à nouveau La Manif Pour Tous d'une manière partiale qui nous laisse songeur sur leur conception de la déontologie du journalisme.

    Nous rappelons à ces journalistes que La Manif Pour Tous est un mouvement national et non local. Et sur les sujets qui nous préoccupent actuellement, la crispation est nationale (Abrogation du MPT, retrait de la circulaire incitant la naturalisation des enfant nés par GPA réalisées à l'étranger, PMA, Plan d'Action pour l'Egalité entre les garçons et les filles, plus connu sous le nom ABCD de l'égalité).

    Pour ce qui est des autres événements cités dans ce quotidien il ne nous appartient pas de les commenter.

    Vous qui défendez les valeurs de la famille et des intérêts de l'enfant, n'hésitez pas à contacter ledit journaliste (william.mauxion@courrier-ouest.com ) pour lui signifier votre indignation."

    Louise Tudy http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le scénario des aides à la polygamie

    Ce 30 octobre sur le site du quotidien turc Hürriyet, figurait un émouvant album de photos : celui d'une famille qui compte à ce jour 32 enfants. L'heureux papa, Halit Tekin est aujourd'hui âgé de 52 ans. Il déclare, bien évidemment qu'i les aime tous autant. Fort de ses 4 épouses il escompte bien arriver à 50 descendants immédiats.

    Les démographes ne manqueront pas d'observer son cas avec intérêt. Après avoir eu 5 enfants seulement avec sa première femme, épousée en 1982, alors que lui-même n'avait que 15 ans, on ne dit pas l'âge des dames, il a eu respectivement 14 enfants avec la seconde, 5 avec la troisième et 8 avec la quatrième. Les 4 mères vivent dans quatre maisons séparées, mais on nous assure que tout le monde s'entend très bien.

    Cette grande famille, ou cette petite tribu, recense déjà aussi 18 petits-enfants.

     Cela se passe certes dans une province un peu lointaine, le Hatay. Les lecteurs de mon livre sur la Turquie n'ignorent pas dans quelles conditions la France radicale-socialiste a cédé à Ankara ce territoire pour lequel elle avait reçu un mandat de la Société des Nations, et qu'on appelait alors le sandjak d'Alexandrette. (1)⇓

     Les Turcs n'y constituaient qu'une minorité, selon les recensements officiels des années 1930. Grâce à quelques bons citoyens comme celui-là, assistés par d'excellentes citoyennes, l'ingénierie démographique n'a pas eu besoin de procéder à des massacres pour transformer la minorité en majorité.

    Qui n'entend qu'une cloche n'entend qu'un son. Je consulte donc régulièrement deux journaux turcs, Hürriyet et Zaman. Le second est proche des milieux musulmans-libéraux, c'est-à-dire de l'honorable confrérie inspirée par Fethullah Güllen, qui, après avoir soutenu un temps l'ascension d'Erdogan se trouve aujourd’hui en opposition directe avec l'homme fort du pays.

    Or, ni dans Hürriyet ni dans Zaman je ne trouve la trace de réserves quant à cette famille qu'en France, et dans les 28 pays de l'Union européenne, tout le monde jugerait monstrueuse.

    Le premier journal "Hürriyet" passe, pourtant, pour beaucoup plus proche, au moins en apparence, de ce nous appelons les "valeurs" européennes. Il se veut "laïc", kémaliste, etc.

    Soulignons au besoin qu'il est supposé incarner aussi une vision moderne de la femme.

    Voilà, par exemple, ce qu'écrivait en 1970, à propos des héritières d'alors du groupe Dogan propriétaire de cet organe de presse le Figaro, en 1970 : "Les quatre filles Dogan symbolisent la femme turque moderne et active, aux antipodes des clichés habituels sur le machisme ottoman." (2)⇓

    L'héritière de la génération suivante, Arzuhan Dogan Yalcindag s'inscrit dans la continuité. Études au lycée français puis dans une université anglaise. Elle fut de 2007 à 2010, la première femme présidente de la confédération patronale Tüsiad.

    Or depuis 2009 c'est, en même temps que la vision de la femme turque, l'indépendance de la presse qu'ébranle de dangereuse façon la dérive autoritaire du régime Erdogan. De très fortes pressions sont exercées sur le groupe d'affaires et de presse. (3)⇓

    On se trouve obligé de rapprocher cette évolution de l'absence totale de critiques à l'endroit de la situation qu'ils décrivent.

    Il faut consulter le rival "Zaman" pour retrouver à ce sujet l'information clef : les 3 femmes surnuméraires de cet heureux chef de famille, bientôt de tribu, n'ont pas été épousées "officiellement". Car, rappelle le journal, la polygamie n'est pas reconnue en Turquie.

    La nuance est très importante. Car on va le voir, elle s'applique exactement à la France, où la législation est semblable.

    Ce père polygame turc contrevient aux dispositions du code civil. Il s'en moque sans doute puisqu’il a pour lui le droit coranique, qui lui permet traditionnellement quatre épouses. On ne va pas attenter à sa liberté religieuse, que diable ! 

    Et c'est ainsi que raisonne la branche famille de la sécurité sociale française.

    Rappelons que si le code civil ne permet pas, en France comme en Turquie, de procéder à des mariages polygames, le code pénal ne sanctionne pas vraiment l'état de polygamie comme délictueux.

    De temps en temps on entend parler ainsi, dans des journaux mal pensants, de familles très nombreuses, un père, trois femmes, douze enfants. Le père reçoit la délégation pour encaisser des "allocs", d'autant plus considérables que celles des femmes surnuméraires comportent des allocations aux parents isolés.

    Ces dispositifs sociaux, sous prétexte d'aider "toutes les familles", en commençant, comme il se doit, par "les plus démunies" subventionnent donc la démographie des familles polygames.

    Ne pourrait-on pas se pencher sur les réductions de dépense publique qui permettraient de résorber cette curiosité ?

    JG Malliarakis
    Apostilles

    1.  cf. "La question turque et l'Europe"
    2.  cf. Le Figaro du 1er juillet 1970 repris sur le site du Figaro-Magazine le 19 juillet 2008. Ce groupe de presse, traditionnellement pro-turc, laisse désormais percer quelques critiques. Elles sont rédigées comme si, bien entendu, il avait toujours informé ses lecteurs sur les "ambiguïtés" de la relation franco-turque. Ça ne s'est jamais trompé un journal bourgeois.
    3.  cf. La protestation de Reporters sans frontières en 2010 contre "l'amende" de 2009, fixée d'abord à 9 milliards de livres turques, soit 1 milliard d'euros. Dictée par le pouvoir exécutif aux juges elle avait été revue à la baisse moyennenant des "concessions" 

    http://www.insolent.fr/2014/10/le-scenario-des-aides-a-la-polygamie.html

  • « Les Etats-Unis ont créé ce Daesh, s’ils voulaient le détruire, il suffirait d’un mot »

     Excellente interview réalisée par Reinformation.tv qui éclaire un peu plus sur la situation syrienne et le rôle déterminant des USA, d’Israël et des monarchies du Golfe dans ce conflit qui tourne au génocide.

    Pierre Merjaneh est chrétien et député de la ville d’Alep, dans le nord de la Syrie, depuis 2012.

    Ancien joueur de basket et conseiller municipal, il bénéficie d’une excellente réputation à Alep comme partout en Syrie, et chose plus rare, chez les partisans de Bachar el Assad comme dans l’opposition…

    De passage par la France, il répond aux questions de Réinformation.tv au sujet de la guerre qui ravage son pays depuis presque quatre ans.

    Quelle place a eu la majorité des Syriens dans cette guerre ?

    Au début, beaucoup de Syriens étaient avec ceux qui réclamaient des réformes, beaucoup ont même manifesté mais petit à petit, ils ont compris que ce n’étaient pas les réformes qui étaient prioritaires dans le combat, mais bien la destruction de l’Etat syrien et de l’armée syrienne. Ceux qui ont compris que ces manifestations allaient finalement conduire au chaos se sont retirés de ce combat qu’ils pensaient juste.

    D’ailleurs, lors des dernières élections présidentielles, les Syriens ont été très nombreux à venir voter, mais tous ne sont pas venus voter pour la personne de Bachar el Assad mais pour dire : « l’Etat syrien existe, laissez-nous discuter nous-même notre avenir ».

    Y’avait-il à Alep des manifestations comme ailleurs en Syrie dès le début ?

    Non pas tellement, il y avait quelques vagues manifestations ici où là de temps en temps. Mais la ville d’Alep est plus ou moins encerclée par des zones d’habitats illégaux dans lesquelles se sont déroulées les premières manifestations.

    Il semblait alors que quelque chose se passait là-bas, il y a eu des trahisons à plusieurs niveaux de sorte qu’ils ont pu faire entrer des armes et lorsque les « rebelles » ont voulu attaquer la ville d’Alep c’était donc plus facile…

    La première manifestation a été provoquée dans le quartier An-Ansari avec un but bien précis… Il y avait des snipers « rebelles » sur les toits de la place par laquelle la manifestation devait passer.

    Et lorsque la police est arrivée, sans aucune autre arme que les matraques habituellement prises lors de manifestations, les manifestants se sont soudainement dispersés. Dix-sept policiers ont alors été tués par les hommes postés sur les toits.

    Je peux l’assurer, je me suis immédiatement rendu sur les lieux.

    Et c’est exactement l’inverse qui a été raconté par Al Jazeera, Al Arabiya et France 24…

    Vous dites que les manifestations « ont été créées », pouvez-vous nous préciser, selon vous, le rôle des Etats-Unis ?

    C’est exactement la même chose que ce qu’il s’est passé en Tunisie, en Lybie, en Egypte et même au Soudan, en Irak, au Yemen… Dans toute la région.

    L’économie joue toujours un rôle essentiel dans de tels conflits et les Etats-Unis s’intéressent au pétrole et au gaz de la région.

    Les Etats-Unis sont les plus à mêmes de savoir les quantités et les capacités pétrolières et gazières de la Syrie…

    Ils cherchent donc à placer un gouvernement qui travaille à 100 % pour les Etats-Unis.

    Sinon, il lui suffirait de dire un seul mot à la Turquie pour que cette dernière ferme les frontières et cesse d’envoyer armes et djihadistes et ce serait fait.

    Et Israël ?

    Israël entretient désormais des relations amicales avec Al Nosra ! Ses frontières sont désormais ouvertes pour leurs combattants. Israël les protègent, les soignent et le Premier Ministre va même leur rendre visite à l’hôpital…

    Al Nosra qui a été se mettre dans la zone du Golan dans laquelle ni l’armée syrienne ni l’armée israélienne ne peuvent pénétrer…

    Que voulez-vous que je dise de plus ? La destruction de l’armée syrienne réjouit Israël qui est d’ailleurs le grand profiteur de tout ce qui se passe dans la région et de l’effondrement des Etats…

    Quel est donc le but de l’Etat Islamique ? Et celui de la coalition partie le combattre ?

    Le but de l’EI est de créer un Califat dans la région et même au delà, jusqu’en Espagne d’ailleurs…

    Les Etats-Unis, par l’intermédiaire du Qatar, de l’Arabie Saoudite, des pays du Golfe présents dans cette coalition, ont créé ce Daesh…

    S’ils voulaient le détruire, il leur suffirait d’un mot pour fermer le robinet financier, les arrivées d’armes et de djihadistes… Il leur suffirait d’exiger la fermeture des frontières et de donner un an à l’armée syrienne.

    http://www.contre-info.com/les-etats-unis-ont-cree-ce-daesh-sils-voulaient-le-detruire-il-suffirait-dun-mot#more-35250

     

  • Ils participent aux Assises de la Remigration (3) : Damien Rieu

    Le 15 novembre prochain, le Bloc identitaire organise les Assises de la Remigration. Plusieurs personnalités interviendront lors de ces assises. Novopress diffuse régulièrement leur portrait. Troisième d’entre eux : Damien Rieu (photo).

    Damien Rieu est l’un des porte-parole du mouvement de jeunesseGénération Identitaire qui s’est notamment fait connaître pourl’occupation du chantier de la mosquée de Poitiers. Pour cette action spectaculaire mais pacifique, il est mis en examen et soumis à un contrôle judiciaire strict.

    Les pressions du pouvoir socialiste ne l’effraient pas, et c’est au nom de tous les « petits blancs » que Damien Rieu interviendra le 15 novembre 2014 à Paris dans le cadre des Assises de la Remigration.

    http://fr.novopress.info/177553/participent-aux-assises-remigration-3-damien-rieu/