Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 17

  • La liquidation invisible de l’économie française

    La France subit un processus de liquidation économique, qui s’est accéléré depuis que l’euro a été mis en service en 2001. Certains aspects en sont bien visibles : balance commerciale structurellement déficitaire, explosion du chômage, baisse du PIB par habitant, etc.

    Très loin d’être convertible en or, comme au bon vieux temps des accords de Bretton-Woods, le dollar US est à 10% du prix de l’or et sa valeur continue de baisser puisque la planche à billets, rebaptisée Quantitative Easing, tourne à plein régime.

    Logiquement, la dépréciation générale du dollar US ne devrait pas affecter la France. Mais le fait est que l’ouverture totale des frontières offre aux entreprises états-uniennes l’opportunité d’acheter ce qu’elles veulent en France. Conséquence du mondialisme prédateur à la sauce dollar US, la liste des entreprises autrefois françaises qui ne sont plus françaises ou ont disparu ne cesse de s’allonger.

    L’évaporation des grandes entreprises réellement françaises est d’autant moins visible que les rachats se font dans une sorte de silence indifférent et que wikipédia, par exemple, continue abusivement de catégoriser comme françaises des entreprises passées sous contrôle étranger.

    Lire la suite

  • Convertis de l’islam

    Il y a 5 ans, 10 ans, 30 ans, jamais ils n’auraient imaginé vivre ce qu’ils ont vécu.
    Ils étaient musulmans, à la recherche de Dieu. Ils sont devenus catholiques.

    Aujourd’hui, ils témoignent à visage caché pour certains, à visage découvert pour d’autres. Ils dévoilent leur foi chrétienne alors même que certains risquent la mort pour cela. Ils évoquent simplement, sans aucune rancœur ni rancune, leur rejet de l’islam par amour de Dieu, leur découverte de la Bible qu’ils ont lue en cachette. Ils ont ainsi fait une rencontre, parfois mystique, avec le Christ et son Eglise, et cette rencontre a bouleversé intégralement leur vie d’alors.

    C’est un document inédit que Reinformation.tv vous propose, loin des clichés habituels diffusés par les médias de masse. Un document animé de l’esprit de vérité, plein d’espérance et de charité pour les musulmans.

    http://www.contre-info.com/

  • Laïcité républicaine : crèches non, chandeliers juifs géants oui !

    crif2Alors que les laïcistes franc-maçons s’étranglent devant le spectacle de quelques crèches trop visibles ça et là en cette période de Noël, on entend moins parler, du côté des médias et des politicards, des chandeliers juifs géants allumés sur les espaces publics à l’occasion de la fête juive de « Hanoucca ».

    Et pour cause : dans de nombreuses villes de France, des responsables juifs et des politiciens flagorneurs ont allumé des bougies, dans des lieux publics symboliques.

    A Strasbourg

    A Paris (photo ci-dessus), le président du CRIF Roger Cukierman « a participé, dimanche 21 décembre 2014 au Champ de Mars, à un allumage des bougies de Hanuka organisé par le mouvement Loubavitch, en présence de la Maire de Paris, Anne Hidalgo, de Jean Daubigny, Préfet de Région, du Grand Rabbin de France Haim Korsia, du Président du Consistoire Joel Mergui et du président du FSJU Ariel Goldmann. »

    La tradition juive d’allumer des bougies remonte à … 1977 ! Créée de toute pièce à New-York, elle s’est ensuite étendue progressivement à l’Amérique puis à l’Europe.

    Comment voulez-vous que nos crèches millénaires rivalisent ?!


    PS : prudent, le maire de Béziers Robert Ménard essaie de se couvrir (après avoir été pris à partie pour l’installation publique d’une crèche) et d’apaiser l’hostilité médiatique en se collant à cette « tradition ».

    http://www.contre-info.com/

  • Janvier : chaud devant

    Pourquoi ? Jugez un peu en lisant le calendrier établi par Tugdual Derville, surFrance catholique :

    • 7 janvier : la Cour Euro péenne des Droits de l’Homme examine le cas Vincent Lambert

    "La CEDH se réunira dans sa formation plénière appelée «  Grand chambre  », composé de 17 juges, pour examiner la requête, déposée le 23 juin 2014 par les parents, la sœur et un demi-frère de Vincent Lambert.

    Ces proches, contre l’avis d’autres membres de la famille du patient toujours hospitalisé à Nancy, demandent la suspension de l’exécution de la décision du Conseil d’État français qui, le lendemain 24 juin, autorisait l’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation de Vincent Lambert, lourdement handicapé depuis 2008. (...) L’examen se fera en audience publique, mais la décision de la CEDH sera rendue ultérieurement. (...)"

    • 17 janvier  : un nouveau plan pour célébrer les 40 ans de la promulgation de la loi [Veil]

    (...) Marisol Touraine a aussi annoncé pour «  la mi-janvier [2015], à l’occasion de l’anniversaire de la promulgation de la loi, un plan cohérent pour améliorer l’accès à l’IVG sur l’ensemble du territoire  ». Elle menace notamment les médecins qui refusent de pratiquer l’IVG au-delà de l’ancienne limite légale de 10 semaines de grossesse  : «  il est inadmissible de prendre des libertés avec ce droit  ». Pour la ministre de la Santé l’IVG est «  un droit fondamental qu’il faut célébrer et réaffirmer  ».

    A noter que le projet de loi de Santé, retardé pour le mois d’avril, envisage à nouveau la pratique de l’IVG par les sages-femmes, réforme deux fois invalidée par le Conseil constitutionnel.

    • 21 janvier  : un grand débat sur la fin de vie à l’Assemblée nationale.

    Ce débat majeur, quoique sans vote, a été annoncé le 12 décembre 2014 par le président de la République lors de la remise du rapport et de la proposition de loi co-signés par les députés Alain Claeys (PS) et Jean Leonetti (UMP). Ce débat viserait à mesurer le degré d’adhésion des groupes politiques à ces textes qui tentent d’éviter «  les mots qui fâchent  » selon l’expression du Premier ministre, tout en introduisant un «  droit à la sédation profonde jusqu’à la mort  ».

    Le mouvement Soulager mais pas tuer, parrainé par Philippe Pozzo di Borgo, qui a inspiré le film Intouchables, analyse cette expression comme «  ouvrant la porte à certaines formes d’euthanasie, d’autant plus graves qu’elles seraient masquées  ».

    Manuel Valls, qui avait promis un débat consensuel au Parlement, a confirmé depuis son intention de légiférer «  par paliers  » afin, croit-il, de ne pas provoquer un mouvement social comparable à celui qui s’est opposé à la loi Taubira.

    • 29 janvier  : la proposition de loi écologiste pour l’euthanasie débattue par les députés

    Dans le cadre de la niche parlementaire des députés verts est déjà programmé l’examen de la proposition de loi de Véronique Massoneau (EELV) qui vise à légaliser explicitement «  une aide active à mourir [NDLR euthanasie] ou d’un suicide médicalement assisté.  »

    Son colloque avait reçu, le 27 novembre 2014, le soutien remarqué de Jean-Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale. Un fort courant de l’actuelle majorité parlementaire peut en effet être tenté par le vote d’une loi plus permissive que celle proposée par le duo Leonetti-Claeys."

    Autrement dit, quatre bonnes raisons de se rendre à la Marche pour la vie le 25 janvier à Paris, pour dire non à l'avortement, et non à l'euthanasie.

    Louise Tudy

  • La chute de Mossoul: le complot enfin dévoilé

    Un membre de la commission spéciale chargée d’enquêter sur les raisons de la chute de la ville de Mossoul, la capitale de la province de Ninive, au nord de l’Irak, a révélé lundi que certaines personnalités politiques irakiennes ont empêché cette commission d’achever son travail.

    Cité par le site d’information iranien Irib, Majed al-Gharawi a expliqué que les personnalités politiques en question ne veulent pas que leur coopération avec le groupe takfiriste Daesh dans la chute de Mossoul soit dévoilée.

    Al-Gharawi a fait savoir que cette commission d’enquête, qui a été mise en place sur l’ordre du chef du parlement, a jusqu’à présent interpelé quelques chefs militaires et responsables de la direction de la province de Ninive. Elle doit présenter bientôt les résultats de son enquête au chef du parlement Salim al-Jabouri.

    Ce dernier a demandé dimanche à cette commission de faire toute la lumière sur les raisons de la chute de Mossoul, et d’accélérer les efforts pour en trouver les véritables auteurs.

    Daesh a pris le contrôle de Mossoul, le 10 juin 2014, avec la coopération du parti Baath (de l’ancien président déchu Saddam Hussein) et du soutien de leurs alliés étrangers, à savoir les Etats-Unis, la Turquie et l’Arabie saoudite.

    Avant cette alliance entre Daesh et le parti baathiste, le groupe takfiriste avait essayé de s’emparer de la province d’AlAnbar et de la ville de Samarra, mais ce complot a échoué grâce à la réaction appropriée de l’armée irakienne et des forces populaires.

    Mais, selon les rapports irakiens, l’occupation de la ville de Mossoul s’est avérée plus simple, en raison de la trahison du parti baathiste et de quelques militaires corrompus de l’armée irakienne.

    Selon Nouri al-Maliki, le vice-président irakien, la chute de Mossoul était le résultat d’un complot, et on ne peut pas dire que l’armée a perdu, mais qu’elle s’est retirée, conformément à des accords passés entre des partis.

    Maliki a ajouté que ce qui s’est passé à Mossoul était le résultat d’un accord conclu dans une chambre d’opération commune entre des groupes politiques pour faire tomber cette ville.

    Selon ses dires, la tête de cette chambre d’opération commune est Ezzat Ibrahim al-Douri, l’adjoint de Saddam, l’ex-dictateur d’Irak.

    A part Al-Douri, quelques responsables de la province de Ninive et des militaires liés au parti baathiste, qui s’étaient infiltrés dans l’armée irakienne sont également accusés de collaboration avec Daesh, dans la chute de Mossoul.

    En réaction, le Premier-ministre irakien, Haïdar Abadi, a procédé à une purge au sein de l’armée irakienne, et a mis à l’écart plusieurs généraux et chefs de l’armée.

    Soutenus par des pays étrangers, quelques groupes irakiens ont essayé de profiter de l’occasion de la chute de Mossoul pour déclencher une guerre tribale et religieuse, mais ce complot a été mis en échec lorsque les musulmans sunnites ont été visés par Daesh.

    Reste à dire que la chute de Mossoul est sans doute le résultat d’un complot, compte tenu des efforts visant à entraver l’enquête en cours.

    al manar avec irib :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuEAFklZFEVzcYKgNB.shtml

  • [Tribune] Le Grand Remplacement : théorie ? Non, réalité ! – par Stella Costanzo

    Pour définir le « Grand Remplacement », il faut se replonger en 2010, lorsque Renaud Camus utilise pour la première fois cette formule. Selon lui, c’est un phénomène qui tend à faire des « minorités ethniques » la majorité future, notamment à cause de l’immigration massive et du taux de fécondité beaucoup plus important chez les populations immigrées extra-européennes.

    Autrement dit, le Grand Remplacement, c’est le remplacement progressif de la population autochtone française, et a fortiori européenne, par une population étrangère. Plus précisément, il s’agit de la substitution de notre peuple par des vagues toujours plus croissantes d’immigrés dont il entre légalement un nombre équivalent à des villes comme Lille ou Bordeaux chaque année. Aujourd’hui, la population d’origine extra-européenne est estimée à 12 millions de personnes, soit à peu près 18% de la population de notre pays.

    Généralement résumé à des suites de pourcentages, le Grand Remplacement est pourtant, et avant tout, une réalité sensible que les Français subissent au quotidien. Le Grand Remplacement, c’est ouvrir la petite brochure contenant l’état-civil de sa commune et réaliser que le paragraphe des naissances ne contient plus que des prénoms et noms à consonance africaine et maghrébine, alors que le paragraphe des décès nous est plus familier. Comment pourrait-il en être autrement alors que 27% des naissances en 2011 étaient d’origine extra-européenne ?

    Le Grand Remplacement, c’est se retrouver dans une rame de tramway et se sentir étrangère dans une masse de personnes d’origine immigrée, qui ne nous ressemble plus. C’est se retrouver perdue, isolée, au milieu d’une foule qui parle toutes les langues sauf le français.

    Le Grand Remplacement, c’est prendre le métro ou le RER un beau matin, et se rendre compte, les arrêts filant, que l’on est la seule « Blanche », la dernière « babtou » sur le chemin ; c’est se dire qu’il n’y a décidément plus de place pour le blanc dans cette France « Black-Blanc-Beur » que les politiciens, de gauche comme de droite, nous ont vendue, nous faisant croire, inlassablement, que le multiculturalisme était un modèle de société où il ferait bon vivre.

     

    Le Grand Remplacement, c’est aussi voir l’ancienne église qui trônait autrefois au bout de la rue n’être désormais que le vaste terrain de construction…d’une nouvelle mosquée. Faut-il rappeler qu’en 1965, il y avait 5 mosquées…et qu’elles sont désormais 2400 sur le territoire français ?

    Le Grand Remplacement, c’est se promener dans sa ville natale et observer le changement substantiel qui s’est produit en quelques années. En effet, difficile de retrouver sa librairie antique préférée puisqu’elle est devenue une échoppe de vêtements orientaux traditionnels ; difficile de déguster – et de trouver – une tranche de jambon, pour laquelle l’on risque désormais l’agression, comme à Reims l’an dernier, ou quand sa boucherie favorite s’est transformée en restaurant à kebab ; difficile de reconnaître ses voisins d’enfance quand hijab et niqab sont dès lors de rigueur ; difficile de se sentir chez soi quand les murs ont été défigurés par des « Nik la France » ou encore « Chasse aux blancs » à la peinture noire. Difficile de se sentir français quand la France disparaît.

    Les Français qui osent voir le Grand Remplacement en face ne sont pas victimes d’hallucinations. Ce sont des Français pour qui l’immigration ne se résume pas à de longs tableaux de chiffres, mais à une dure réalité. Ce sont des Français qui ont leur pays, la France, à cœur, et qui refusent de voir leurs identité et civilisation se fragmenter, se dissoudre au profit de cultures qui ne sont pas les leurs. Ce sont des Français qui souhaitent vivre sur leur terre, selon leurs coutumes et refusent de devenir une minorité. Ce sont des Français qui ne désirent plus reculer et qui ont fait leur le slogan que les Identitaires crient depuis plus de 10 ans: « ICI, C’EST CHEZ NOUS ! »

    Stella Costanzo, militante à Génération Identitaire, @JeuneAthena

    http://fr.novopress.info/180138/tribune-le-grand-remplacement-theorie-non-realite-par-stella-costanzo/#more-180138

  • Immigration

  • Najat Vallaud-Belkacem s'acharne contre les étudiants méritants

    Un article de Sophie Coignard dans Le Point, qui démontre, si besoin était, la duplicité de Najat Vallaud-Belkacem, qui n'aime les pauvres que s'ils ne sont pas trop brillants :

    "En octobre 2014, quelques nouveaux étudiants remportent une grande victoire. Alors que le gouvernement a décidé de supprimer en douce, au creux de l'été, les bourses au mérite pour les bacheliers de l'année (1 800 euros par an pour les boursiers qui ont obtenu mention très bien), le Conseil d'État ordonne, en référé, de payer. Enjeu : un peu plus de 15 millions d'euros. Deux mois plus tard, le gouvernement n'a pas bougé. Les étudiants d'origine modeste méritants se voient privés depuis la rentrée universitaire de près de 200 euros de revenu chaque mois.

    Pendant ce temps,Najat Vallaud-Belkacemne cesse de répéter qu'elle prend "à bras-le-corps" le problème des inégalités scolaires. Au lieu de beaux discours, de coûteux états généraux sur l'évaluation, pour savoir s'il faut noter les élèves avec des chiffres, des lettres ou des pastilles de couleur, la ministre pourrait commencer par lutter concrètement contre les inégalités sociologiques. Et permettre aux étudiants d'excellence issus de milieux modestes de ne pas s'épuiser en petits boulots en même temps qu'ils entament leurs études supérieures.

    L'État méprise les décisions de justice

    Son immobilisme représente un triple scandale.Scandale matériel tout d'abord. Les étudiants, en attendant cette allocation qu'ils ont méritée et qui leur est due, recherchent des emplois à temps partiel ou contractent des emprunts - quand ils peuvent, car les banques ne se précipitent pas pour leur prêter de l'argent.Scandale judiciaire ensuite. Leministère de l'Éducationnationale s'assoit confortablement sur une décision de justice, rendue par la plus haute juridiction administrative. Cet arrêt a été pris en référé, autrement dit selon une procédure d'urgence : les juges ont estimé qu'au regard de la situation matérielle de ces étudiants, chaque semaine compte. L'État, lui, n'a cure.Scandale symbolique enfin. Quel message envoie un gouvernement qui refuse d'aider ceux qui incarnent l'espoir de mobilité sociale, et qui tient tellement à ne pas leur tendre la main qu'il méprise une décision de justice ?

    Il est impossible que la ministre de l'Éducation nationale ne soit pas informée de ce triple scandale. Me Henri de Beauregard, l'avocat des étudiants, lui a envoyé un courrier pour lui rappeler qu'elle était dans l'obligation de verser ces bourses au plus vite pour ne pas se mettre hors la loi. Il la prévenait qu'un "référé provision" serait déposé au Conseil d'État en cas de non-paiement. Cette procédure, employée contre les mauvais payeurs, avec astreinte à la clé, devrait être engagée fin janvier. Il reste à espérer qu'une telle perspective réveillera Mme Vallaud-Belkacem, l'amie des pauvres (à condition qu'ils ne soient pas excellents)."

    Marie Bethanie

  • [Paris] L’AFE à Tolbiac

    Vendredi dernier, une quinzaine d’étudiants sont allés vendre le journal et tracter à l’entrée de la fac de Tolbiac.

    10858368_320374388163171_5451140609699777467_n.jpg

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Paris-L-AFE-a-Tolbiac