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  • Épidémie de grève chez les médecins

    Le gouvernement aurait certainement souhaité une fin d’année plus festive. Malheureusement pour lui, alors que l’épidémie de grippe se fait attendre, le voici confronté à une épidémie de grève des médecins.

    Les urgentistes, tout d’abord. Médecins hospitaliers, leurs motifs de grève sont totalement différents de ceux des médecins libéraux. Il y a longtemps que la colère grondait dans les services d’urgence où les médecins sont confrontés à des horaires de travail que peu de professions accepteraient. Il y eut un petit progrès, il y a quelques années en adoptant le principe du repos compensateur qui devait suivre un jour de garde, car il n’était pas inhabituel de travailler 48 heures non-stop, puis d’enchaîner sur une semaine de travail ordinaire ! J’ai le souvenir de gardes aux urgences, où nous débutions le samedi matin pour ne finir que le lundi après-midi, en espérant pouvoir dormir quelques heures par-ci, par-là.

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  • Conférence: La Serbie et l'UE, destin national et perspectives continentales

  • Livre : Parution : Les Années Sarkozy (Éditions de l’Æncre)

    Entretien avec Yves-Marie Laulan

    « Nicolas Sarkozy veut furieusement prendre sa revanche sur le destin qui l’a privé d’un second mandat où son immense talent aurait pu s’épanouir à loisir… sur les Français, ingrats, qui ne l’ont pas réélu… et surtout sur ses “amis de l’UMP” qui ne l’ont pas assez soutenu. »

    Votre livre est un véritable réquisitoire contre Nicolas Sarkozy…
    Il a fait croire aux Français qu’il allait redresser notre pays alors qu’il l’enfonçait encore davantage. Il n’a vécu que par et pour l’image, les « coups » médiatiques et les sondages. Il a été un magicien de l’illusion médiatique, vivant dans l’instant, sans vision d’ensemble ni projet de long terme. Était-il vraiment fait pour être président de la République ? Il incarne malheureusement à la perfection tous les travers de l’homme politique de notre temps.
    Vous dressez un constat radical des « années Sarkozy »… N’y a-t-il rien eu de positif durant celles-ci ?
    Tout a été en trompe-l’œil : la réforme de l’université ? « À côté de la plaque » : le vrai problème est celui de leur gestion beaucoup plus que le « faux nez » de leur indépendance… La sécurité ? L’affaire Neyret, les ripoux de la police marseillaise, le serial-killer Mérah ou encore l’islamisme radical ont mûri sous le mandat Sarkozy… La réforme de la justice ? Parfaitement inutile au point d’en être dérisoire, tout en laissant de côté les vrais problèmes de la justice en France, injuste et partiale, comme jamais au cours de notre histoire… La réforme de l’école ? Toujours en chantier, avec inchangés le collège unique et la méthode globale, d’où en grande partie l’échec scolaire… Les 35 heures ? Malgré un replâtrage, fiscalement coûteux, elles ont été pieusement conserves… La pénible réforme des retraites laissée en jachère ? Il va falloir la reprendre très bientôt sous peine de faillite… Celle de la Sécurité Sociale ? À peine effleurée… Et ne parlons pas, cerise sur le gâteau, de l’immigration clandestine qui déferle toujours…
    Le chantier des réformes Sarkozy ressemble à s’y méprendre à ces friches industrielles du régime soviétique : jonchées d’équipements laissés à l’abandon sous le soleil et la pluie. Oui, Nicolas Sarkozy aura été le champion toutes catégories des innombrables réformes en trompe-l’œil, toujours entreprises, jamais achevées, mais médiatiquement présentées devant l’opinion comme de grandes victoires de l’ex-président. En d’autres termes, il nous a fait prendre des vessies pour des lanternes. J’en apporte la démonstration, preuves à l’appui.
    Aura-t-il été pire que ses prédécesseurs… et que son successeur François Hollande ?
    Oui, pire ! Parce qu’il nous a fait perdre 5 années qui ne se rattraperont pas… Dans peu d’années, l’immigration massive et intense – au rythme infernal de 250 000 entrées par an –remettra en cause, et pour toujours, la survie de la France, de son histoire, dont elle va être dépouillée, de son identité, de ses traditions et de ses valeurs… C’est un crime majeur, impardonnable ! Car un pays peut se relever d’une guerre perdue, on l’a fait ; d’une crise économique, on l’a vu. Il ne se relève jamais d’une guerre démographique perdue. Et nous sommes en train de la perdre, largement en raison de l’ineptie, et des mensonges de Nicolas Sarkozy, lequel passera devant l’histoire comme un des principaux fossoyeurs de notre patrie.
    Un retour à l’Élysée de Nicolas Sarkozy vous semble-t-il envisageable ?
    Il ne vit que pour cela. Et ceux qui soutiennent le contraire n’ont rigoureusement rien compris au personnage. Il veut furieusement prendre sa revanche sur le destin qui l’a privé d’un second mandat où son immense talent aurait pu s’épanouir à loisir… sur les Français, ingrats, qui ne l’ont pas réélu… et surtout sur ses « amis de l’UMP » qui ne l’ont pas assez soutenu…
    Une des pierres d’achoppement pourrait provenir de l’UMP elle-même qui se cabrerait contre le chef déchu dans lequel elle ne croierait plus et déciderait que « cela suffit comme cela » pour regarder ailleurs. C’est ce qui est arrivé à Valéry Giscard d’Estaing… À moins que l’UMP n’existe bientôt plus

    Le livre

    Note :

    Yves-Marie Laulan a été successivement au cabinet de Michel Debré, secrétaire national du RPR, président du Comité économique de l’OTAN et professeur à Sciences Po, à l’ENA et à Paris II. Il préside aujourd’hui l’Institut de Géopolitique des Populations. Mais, couronnement de sa vie, sa chronique à Radio Courtoisie est venue là pour le consoler de ses malheurs.

    Propos recueillis par Fabrice Dutilleul

    http://www.voxnr.com/cc/d_france/EuEAuylpuVnIIlaUZa.shtml

  • Des crèches partout ! C'est fini...

    En cette veillée de Noël, où chacun se prépare corps et âme à l'accueil de l'Enfant-Dieu Sauveur du monde, l'heure est au bilan de l'opération "Des crèches partout" sur le Salon beige.

    J'entends d'ici les "ouf" de soulagement des rares d'entre vous qui ont trouvé cette rubrique un peu (très ?) envahissante. Quatre très exactement l'ont exprimé ouvertement, et leur franchise doit être saluée (et plus encore ceux qui ont su garder pour eux ce désagrément !)

    Mais ce qui doit être surtout salué, c'est la participation massive des lecteurs, grâce auxquels nous avons pu constater qu'en France, malgré les efforts d'un régime politique sans foi ni loi, la crèche était... vraiment partout. Loin d'une opération de propagande ou de provocation, comme certains ont pu le penser, la rubrique "des crèches partout" était destinée à prouver que dans la France entière, Noël, c'est encore et toujours la crèche.

    La crèche c'est vrai, appartient au patrimoine des Français, croyants ou non, pratiquants ou non. Mais aussi, la crèche, à travers la Sainte Famille, permet à chaque famille d'être publiquement représentée. C'est peut-être cela qui dérange tant nos politiques "fanatiquement laïques" : cette résistance à travers des personnages de terre cuite, de bois, de plastique, de paille ou de plomb, d'une entité qu'ils s'acharnent à détruire avec tant d'inventivité, LA Famille. La Famille, composée d'un homme et d'une femme. Et l'Enfant, qui est don de la vie, qui est la Vie. La fête de Noël, la vraie, celle du mystère secret du don total de l'Amour, rejaillit sur les époux, qui sont aussi parents, dans cette trinité qui les dépasse, et leur donne cette force mystérieuse car si faible en apparence : ceux qui n'y croient pas, ne l'acceptent pas, n'y comprennent rien. Ils utilisent des armes qu'ils croient imparables : la loi, le paravent de la laïcité, la force brutale, la prison peut-être un jour. Mais c’est en vain qu’ils brandissent leurs armes dérisoires, car quoiqu'ils en veuillent, l'Enfant est né pour toujours, et par/avec/en Lui, chaque famille devient la Sainte Famille.

    Noël n'est pas mort, tant que nous aurons au coeur la tranquille sérénité de la crèche et que nous aimerons et défendrons la Famille, faite à son image.

    Alors, merci à tous d’avoir joué le jeu des « crèches partout ». Je présente mes excuses à ceux dont les photos n’ont pas été publiées : elles étaient si nombreuses que je n'ai pas pu les publier toutes. Joyeux Noël !

    Marie Bethanie

  • La délation, arme totalitaire, bientôt de retour en France au profit du Gender?

    D'une lectrice :

    "Bulletin de réinformation sur radio courtoisie :

    Offensive des partisans de la théorie du genre au Sénat.

    Cette semaine la délégation aux droits des femmes, présidée par Chantal Jouanno sénatrice UDI, a rendu public un rapport d’information consacré aux jouets.

    Ce rapport propose la création d’un label pour les jouets intitulé, je cite, première initiation à l’égalité. Cela permettrait, je cite encore, d’en finir avec les stéréotypes sexués véhiculés par l’industrie du jeu. Il est prévu par ailleurs la suppression des signalétiques « garçon » et « fille » dans les magazines et les magasins de jouets. Je cite toujours : la présentation des métiers devra être faite sur un modèle égalitaire de type infirmier infirmière. Un site officiel sera même mis en place sur lequel les internautes pourront dénoncer publiquement les fabricants et vendeurs qui ne respecteraient pas ces bonnes pratiques.

    Nos élites essaient d’imposer la théorie du genre par  la sanction , la dénonciation ou le chantage commercial .

    Le sénat va bientôt se prononcer sur ce rapport (rapport sénat).

    Elle est jugée suffisamment préoccupante pour que la délégation aux droits des femmes du Sénat, présidée par Chantal Jouanno (UDI), se penche sur le sujet dans un rapport publié jeudi 18 décembre.

    La délégation propose une série de mesures pour y parvenir : mettre en place une charte de bonnes pratiques dans les grandes enseignes, valoriser celles qui la mettent en œuvre et, au contraire, dénoncer les pratiques contestables, privilégier les jouets non sexistes dans les commandes publiques ou encore formerdes professionnels de l’enfance sur les moyens de favoriser le « jouer ensemble ».

    voici venu le temps du site qui dénonce les vendeurs de jouets sexistes sur Internet. Et l’initiative ne vient pas d’une quelconque association féministe mais de 2 sénateurs via un rapport parlementaire".

    Le Salon Beige

  • Un petit conte de Noël très...royal : " Le Noël du Président "

    Un petit conte de Noël royaliste, en ces temps où l’on interdit même les crèches : "Le Noël du Président " :

    Noël approchait et pourtant la féérie du rêve n’arrivait pas à dissiper la morosité ambiante. Au sein du gouvernement tout allait de travers et la trêve des confiseurs se faisait attendre. Le palais bruissait d’un bourdonnement sourd et le Président tournait vainement en rond à la recherche d’une recette, d’une solution, de la potion magique qui restaurerait la magie de Noël en France. Rien n’y faisait ! Alors, il rêvait, retrouvait ses songes d’enfant…

    Si seulement le Père Noël existait ; on pourrait lui commander le bonheur, le moral, l’amour du pays et toutes ces choses qui nous font aduler par le peuple. Mais vers qui se tourner ? Les amis n’étaient pas très sûrs, tous plus ou moins capables de trahir à la première occasion, quant aux ennemis de l’opposition, ils étaient eux aussi dans un tel marasme qu’on aurait pu presque les plaindre. Le Président était seul, assis à son bureau, devant lui une belle feuille de papier à en-tête, il sourit, une idée facétieuse venait de lui traverser l’esprit. Il avait toujours eu le sens de l’humour et le goût des blagues. Alors de sa plus belle écriture, il commença sa lettre.

    Mon cher Père Noël, Tu seras certainement très surpris de recevoir cette lettre. Non, non ce n’est pas une plaisanterie, c’est on ne peut plus sérieux. Je ne sais plus vers qui me tourner, j’ai fait le vide dans ma tête, j’ai retrouvé mon âme d’enfance et j’ai décidé de faire comme des milliers d’enfants du pays, de faire ma lettre au Père Noël. Non pas que je veuille que tu me gâtes personnellement ; j’ai déjà ma récompense en me retrouvant à la tête de ce merveilleux pays. Non, je t’écris pour la France, pour les français. Cette année, ce Noël, je veux leur faire une surprise et toi seul pourrait m’aider…

    Je voudrais qu’ils retrouvent la fierté d’être français et la joie de vivre dans ce beau pays qu’est la France. Qu’ils retrouvent l’amour et abandonnent la méfiance, la jalousie et l’envie. Les français sont un grand peuple et ils méritent un grand destin, bien sûr ils l’ont déjà par héritage, mais aujourd’hui ils faiblissent, doutent et perdent confiance. Ils n’osent plus être cocardiers, le coq gaulois risque de finir en poule mouillée… Cher Père Noël, voici mes souhaits, je te promets de suivre scrupuleusement les conseils que tu voudras bien me prodiguer. Je te prie cher Père Noël…

    Une fois la lettre terminée, le Président s’esclaffa comme après une bonne blague…Qu’allait-il faire de sa lettre ? Il n’allait pas l’envoyer à l’adresse postale qui reçoit toutes les lettres des enfants et assure une réponse. La joie de ce petit coup d’éclat s’estompait, et l’ombre de la contrariété envahissait son visage. Il allait la déchirer, la passer à la déchiqueteuse. Et, et dehors la neige tombait, Noël était dans six jours, il laissa tout en plan, fit fermer son bureau derrière lui à double tours et s’en alla se coucher. [....]

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  • Il y aurait bien une vie après la mort

    ... d'après une étude scientifique relayée par 20 minutes :

    [...] Selon une étude de l’Université de Southampton, il serait possible d'avoir une sensation de conscience plusieurs minutes après l’arrêt du cœur. [...]

    Selon ces scientifiques qui ont mené pendant quatre ans, une étude sur 2.060 patients ayant subi un arrêt cardiaque, près de 40% des survivants ont décrit une sensation étrange de conscience alors qu’ils étaient en état de mort clinique, avant que leur cœur ne se remette à battre.

    Parmi eux 2% ont même expérimenté un état de «pleine conscience» ou de «sortie de leur corps». Un travailleur social âgé de 57 ans déclaré en état de mort clinique pendant trois minutes, a ainsi expliqué avoir quitté son corps et assisté à sa résurrection depuis le coin de la pièce. Il était capable de raconter de manière assez détaillée les soins qu’il a reçus et le bruit des machines autour de lui. Des affirmations qui ont pu par la suite être vérifiées.[...]

    «Dans ce cas, l’état de conscience semble s’être poursuivi durant les trois minutes où le cœur du patient avait cessé de battre, alors que le cerveau «s’éteint» généralement dans les 20 à 30 secondes après que le cœur a cessé de battre», expliquait au Daily Mail le Dr Sam Parnia, qui a mené cette étude. C'est une avancée importante car jusqu’à présent, les médecins «supposaient que les expériences relatées de vie après la mort étaient en réalité des hallucinations survenant soit avant que le cœur se soit arrêté, soit après que le cœur a été redémarré avec succès», poursuit-il, mais pas une expérience correspondant à des «événements réels lorsque le cœur du patient ne battait plus».  

    «Les preuves suggèrent que, dans les premières minutes après la mort, la conscience n'est pas annihilée. Nous ne savons pas si elle s'estompe ensuite mais directement après la mort, la conscience n’est pas perdue», ajoutait le scientifique. «Alors qu’il n’est pas possible de prouver absolument la réalité ou la signification des expériences de ces patients et de leur prétendue «conscience» (en raison de leur faible incidence -2%), il était impossible de les réfuter et plus de travail est nécessaire dans ce domaine», concluait-il."

    Les scientifiques vont peut-être prouver un jour qu'il y a une vie après la mort et que ceux qui y croient ne sont pas en état d'hallucination !

    Marie Bethanie

  • La Chine offre son aide financière à la Russie en crise

    Pékin met en avant le rôle du yuan comme source de liquidités alternative pour les entreprises russes.

    Un accord conclu en octobre, en pleine défiance entre Moscou et l’Occident, permet de changer des roubles contre des yuans sans passer par le dollar. Crédits photo : KIM KYUNG-HOON/REUTERS

    La Chine a tendu la main à la Russie, en vue d’enrayer la dégringolade de son économie et de limiter les retombées qui pourraient l’affecter. Pékin est prêt à venir à la rescousse de son voisin frappé par la chute du prix du pétrole et les sanctions internationales en offrant une aide économique « dans la mesure de ses moyens », a déclaré le ministre des Affaires étrangères chinois Wang Yi ce week-end. Pour la première fois depuis l’effondrement du rouble, la seconde économie mondiale est sortie de son silence pour officiellement offrir son appui à son allié Vladimir Poutine.

    Lundi, le rouble poursuivait sa remontée entamée après la panique de lundi et mardi dernier. Il a repris 24 % depuis le 16 décembre contre le dollar mais perdu 40 % depuis le début de l’année.

    L’offre de services chinoise avait d’abord une portée psychologique, visant à rassurer les marchés paniqués par le décrochage de la devise russe. Elle est un appel du pied en direction de Moscou qui refuse de quémander de l’aide. « Le problème c’est que les Russes sont trop fiers ! », juge Ding Yifan, du Centre de recherche pour le développement, à Pékin. La Russie n’a pas encore actionné un accord de « swap » rouble-yuan portant sur 24 milliards de dollars qui pourrait offrir d’urgence des liquidités à l’économie russe. Cet accord conclu en octobre, en pleine défiance entre Moscou et l’Occident, qui permet de changer des roubles contre des yuans sans passer par le dollar, pourrait être élargi, a laissé entendre le ministre du Commerce, Gao Hucheng. Il contribuerait un peu plus à l’internationalisation de la devise chinoise qui joue déjà un rôle clé dans le commerce sino-russe depuis l’imposition de sanctions occidentales. La Chine est le deuxième partenaire commercial de la Russie derrière l’Union européenne. [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-Chine-offre-son-aide-financiere