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  • 5 femmes, 2 hommes et 2 associations déposent un recours contre la réduction du Congé Parental

    Communiqué de l'Union des Familles en Europe et du Mouvement Mondial des Mères :

    "Depuis le 1er janvier, le père ou la mère qui veut prendre un congé parental est contraint de le partager avec son conjoint : 2 ans pour l’un, 1 an pour l’autre. Avec plusieurs parents révoltés, le Mouvement Mondial des Mères et l’Union des Familles en Europe viennent de déposer devant le Conseil d’Etat un recours pour excès de pouvoir contre cette réforme, au nom des 400 000 familles pénalisées.

    C’est une loi de 2014 qui a posé le principe d’un partage obligatoire du congé parental entre les deux parents. Officiellement pour « déconstruire les stéréotypes de genre ». En réalité pour faire des économies. Et pour faire plaisir au lobby qui ne supporte pas qu’une femme puisse choisir de s’occuper elle-même de son enfant.

    Décidés à se battre, 5 femmes, 2 hommes et 2 associations ont porté l’affaire au contentieux, au soutien des 400 000 familles pénalisées par cette nouvelle réglementation. On estime que 80% des parents seront dans l’incapacité de le partager. Les arguments qu’ils soulèvent sont de trois ordres :

    1. les décrets ne respectent pas la loi: lors du vote de la loi, le Gouvernement avait indiqué que le partage se ferait sur la base de 2 ans ½ pour l’un et 6 mois pour l’autre. Les décrets ont porté ces durées à 2 ans / 1 an. De plus, la loi prévoyait que le congé de maternité ne serait pas compté dans les 2 ans. Or, les décrets prévoient qu’il l’est.

    2.le partage obligé du congé parental crée des discriminations entre les familles: un couple de deux fonctionnaires n’aura pas beaucoup de difficulté à partager car les deux parents ont la garantie de l’emploi. Mais le partage est impossible lorsqu’un des conjoints est artisan : va-t-il fermer son entreprise pendant un an ? Impossible aussi de partager lorsqu’un des conjoints gagne nettement plus que l’autre, ou qu’il est travailleur frontalier, soumis à une autre législation. Les exemples abondent.

    3. enfin, selon les requérants, le partage du congé parental est contraire au principe du respect de la vie privée : l’Etat n’a pas à se mêler des choix que font les personnes au sein de leur couple pour choisir qui doit s’occuper de garder leur enfant. Pour l’Union des Familles en Europe et le Mouvement Mondial des Mère-France, le paternalisme dont fait preuve le gouvernement est intolérable. Ils dénoncent le dédain idéologique des pouvoirs publics à l’égard des milliers de familles – généralement très modestes – qui avaient recours au Congé Parental et qui s’en trouvaient très bien."

    Michel Janva

  • Frontex : l’Europe submergée par la vague de clandestins

    Tout le monde le constate. Jean Raspail avait raison d’écrire le Camp des Saints. En effet tous les signes sont là. Ces signes rappellent la vague de réfugiés que décrit l’auteur dans son ouvrage. Ce qu’on constate, c’est que les quartiers sont surpeuplés d’étrangers, ce sont les images terribles de Lampedusa, ce sont les bénéficiaires de l’Aide médicale de l’Etat attribuée en priorité aux étrangers. On imagine la vague mais on ne peut se la représenter… Depuis hier, nous en avons des preuves par les chiffres ! L’agence européenne Frontex a dévoilé hier son dernier rapport. Accablant.

    Que racontent ces chiffres ?

    L’agence européenne Frontex est l’agence de coordination des Etat sur les frontières extérieures. Elle a dévoilé hier les chiffres de l’immigration illégale en Europe. (L’immigrationnisme n’est plus un problème national) Car, c’est toute l’Europe qui est touchée, atteinte et submergée. Les entrées clandestines ont presque triplé par rapport à l’année précédente. Cela concerne plus de 274 000 immigrés. Pour rappel en 2013, ils n’étaient — que — 100 000. Et ce ne sont que les entrées clandestines détectées.

    Autre chiffre en hausse : le nombre de séjours illégaux qui a dépassé le record. 400 000 séjours illégaux détectés en un an.

    Mais alors ce flux est organisé ?

     

    Oui. Il est organisé par l’absence de politique frontalière. D’abord parce que les Etats ont perdu le contrôle de leurs frontières. Mais aussi et surtout par incohérence et dogmatisme européen. Les administrations ne sont pas directement responsables des entrées massives sur le territoire. C’est parmi les immigrés qu’il faut trouver les responsables. Les passeurs, ces hommes qui vendent une place sur un bateau de la mort. Ils vendent une place au paradis, mais l’immigré n’y trouve que l’enfer. Le nombre de passeurs interpellé a augmenté de 31 % par rapport à l’année dernière. L’arrivée de l’immigré illégal n’est pas seulement liée au laxisme de la police aux frontières.

    Quelles sont les causes des départs ?

    L’Europe n’est pas tant coupable de l’arrivée que du départ. Cette année, le pays d’origine massivement représenté, c’est la Syrie. 62 550 Syriens ont atteint l’Europe. Ne soyez pas étonnés. La France est coupable d’avoir aidé les terroristes rebelles et d’avoir déstabilisé le pays. L’Union européenne a installé la guerre civile en Syrie depuis 2011. Si des Syriens sont arrivés illégalement en Europe, nos gouvernants actuels sont responsables de leur départ.

    http://fr.novopress.info/183344/frontex-leurope-submergee-vague-clandestins/

  • Certaines villes ont la réputation d’être sous la coupe du Grand Architecte

    Nice, Cannes, Nîmes, Montpellier, Bordeaux, Béziers, Le Puy, Lyon, Nancy, Toulouse... L’ancien juge Alain Marsaud, frère pantouflant aujourd’hui chez Vivendi, raconte qu’à Limoges, sa ville natale, « celui qui refuse de se faire initier est suspect ». A Clermont-Ferrand, c’est bien simple : la quasi-totalité de la vie politique locale se résume à un jeu entre loges locales, à droite comme à gauche. Lille fait également partie de ces villes sous influence. Mais une affaire récente apporte à la capitale du Nord une petite touche méridionale qu’on ne lui soupçonnait pas. 
         Roger Dupré, entrepreneur en bâtiment, gérant de boîtes de nuit, a tissé un surprenant réseau de relations en tout genre, au sein d’une fraternelle locale. Avant d’être finalement incarcéré en 1999 et de collectionner depuis les mises en examen, Roger la Banane – son surnom en hommage à son exubérance capillaire – était copain avec tout le monde. Et notamment avec Benoît Wargniez, longtemps doyen des juges d’instruction à Lille avant d’être promu à la cour d’appel de Douai, à qui l’ami Roger aurait, selon certains éléments du dossier, signé des chèques (200 000 francs au total) pour boucler ses fins de mois en échanges d’informations sur les procédures en cours : il sera finalement brièvement incarcéré et suspendu de la magistrature. Bernard Flottin, secrétaire général de la mairie de Lille ? Un autre camarade qui a reçu 100 000 francs en liquide pour soutenir un projet immobilier des amis de Roger : mis en détention provisoire, il a plaidé que l’enveloppe n’était pas pour lui, mais destinée à un élu socialiste, avant de se rétracter. Alain Gravelines, agent des impôts, soupçonné de distribuer les indulgences fiscales aux amis dans le tourment ? Mis en examen. Lucien Aimé-Blanc, ex-patron du SRPJ de Lille : ce grand policier à l’ancienne, qui avait poursuivi Mesrine dans les années 70, a toujours jugé qu’un bon flic devait fréquenter les voyous, ce qui lui a valu d’être critiqué. Ce bon vieux Lucien n’est pas poursuivi, tout comme son successeur à la police judiciaire lilloise, Claude Brillault, bien que plusieurs témoins aient leur interventionnisme en faveur de la bande à Roger la Banane. On peut se demander si l’affaire n’a pas été en partie verrouillée : deux femmes gênantes, deux policières, Sibylle Chaisières et Paule-Hélène Girard, l’une en charge de l’enquête, l’autre sur le point de mettre en cause son directeur à la PJ, ont été promptement mutées. 
         Un procureur adjoint du parquet de Lille, initié comme les autres, a lui aussi été mis en cause pour ses connivences avec le réseau de Roger la Banane. Mais comme la planète lilloise tourne décidément à l’envers, c’est l’un de ses collègues, Alain Lallement, qui a été muté : en pleine audience du tribunal correctionnel, ce dernier avait dénoncé un « système organisé de malversations qui gangrène, et je pèse mes mots, un certain immobilier lillois, où le truand côtoie le fonctionnaire, l’entrepreneur, le policier, voire le magistrat ». Précisant sa pensée, Lallement indiquait que le directeur du SRPJ, Claude Brillault, était intervenu en faveur d’un copain de Roger la Banane, Gaetana Schiliro, poursuivi pour fraude fiscale. Et d’assener : « Il y a des policiers intègres qui veulent faire passer à table les truands ; il y en a d’autres qui passent à table avec les truands. » Ce magistrat courageux paiera cher sa dénonciation de la république « bananière ». 
         En effet, en dépit de ses apparences folkloriques, l’affaire Roger la Banane n’est pas drôle du tout. Elle démontre l’état du délabrement des principales institutions françaises, police, justice et politique confondues. Et surtout l’absence d’anticorps. L’inspection générale de la Police nationale (IGPN, la Police des polices), chargée par le ministère de l’Intérieur de faire la lumière sur les drôles de mœurs du SRPJ de Lille, s’en est prise à... Sibylle Chaisières, la seule à relever l’honneur de la police dans cette affaire. Quant au ministère de la Justice, il n’a assuré que le service minimum en suspendant Benoît Wargniez. En revanche, le parquet de Lille, du moins sa frange prête à en découdre avec les réseaux occultes, est décimé : outre Alain Lallement, Samuel Laine, substitut du procureur, a été déchargé du dossier au motif que sa compagne travaillait à la mairie de Lille. Déontologie à géométrie variable : les accointances maçonniques ne seraient pas répréhensibles ; par contre, une petite copine... Tout dépendrait donc des intérêts bien compris du club ? 
    Ghisaine Ottenheimer, Renaud Lecadre, Les frères invisibles

  • Au Forum n°3 : Le magazine des rapatriés, harkis, pieds-noirs et anciens combattants

  • Paroles de soldat

    C'est le titre d'un ouvrage consacré aux témoignages de soldats français de tous grades sur leur perception des conflits et opérations qu'ils ont vécus. Il est publié par Antoine Sabbagh et Hubert le Roux. Ce dernier est officier d'active et a naguère publié la première biographie de Jean Lartéguy.

    Affiche PDS

    Paula Corbulon

  • Le chiffre choc : il y a 7 millions d’algériens en France | Par Adrien Abauzit.

    « Le nombre de Français ayant un lien direct avec l’Algérie avoisine les sept millions », a déclaré le 3 février, Bernard Emié, l’ambassadeur de France en Algérie, en visite dans le wilaya de Tlemcen.

    Lorsque l’on retire les œillères politiquement correctes, on devine que l’ambassadeur parle des Algériens présents en France, que ces derniers aient ou non la nationalité française.

    Les zélateurs de l’idéologie dominante ne cessent de nous dire que le taux d’étrangers présents dans la société française est le même depuis un siècle.

    Excepté quelques puceaux du réel et les cerveaux lessivés par la gauche, personne ne peut croire une affirmation aussi fantaisiste. Il suffit de prendre la ligne 13 à Paris, à partir de la station Guy Moquet pour s’en rendre compte. Nous invitons également les sceptiques à faire un petit tour à la station Gare du Nord, le soir. On y compte les « souchiens » sur les doigts d’une main.

    Le grand remplacement n’est pas une théorie c’est une réalité, une évidence. A ces 7 millions d’Algériens, nous savons qu’il faut ajouter des millions de Suédois, d’Islandais, de Suisses, d’Autrichiens et de Bavarois, de Piémontais…

    Il n’est pas exagéré d’estimer à près de 15 millions le nombre personnes non-culturellement françaises résidant sur notre territoire et qui forment ce que cette chère Houria Bouteldja appelle justement la « nation dans la nation ».

    Bien entendu, on ne manquera pas de trouver des tartuffes pour nous opposer qu’un grand nombre d’étrangers dispose de la nationalité française. Mais soyons clair : qu’importe qu’un individu soit administrativement français s’il ne l’est pas culturellement.

    Si demain la nationalité française était donnée à l’ensemble des étrangers vivant en France, le choc des cultures découlant de l’immigration de masse et du multiculturalisme ne disparaitrait pas pour autant. La contrecolonisation persisterait. Le « ressenti » migratoire ne bougerait pas d’une virgule.

    Les prêches d’Aymeric Caron, d’Hervé Le Bras, de Claude Askolovitch, d’Edwy Plenel ou de Nicolas Domenach pourront nous casser les oreilles, mais elles ne reverseront pas la tendance : les Français souffrent de la défiguration de leur pays par l’immigration.

    A l’heure actuelle, l’immigration de masse n’a pas produit le dixième de ses nuisances potentielles.

    Désormais, il est impossible de se dire patriote français sans être partisan de la remigration des personnes non culturellement françaises. L’urgence ne permet plus les demi-mesures.

    Adrien Abauzit
    5 février 2015

    Billet initialement publié sur La Gauche m'a tuer.

    Lien : http://www.lexpressiondz.com/actualite/210070-7-millions-de-franco-algeriens.html

    http://www.scriptoblog.com/index.php/blog/politique/1669-le-chiffre-choc-il-y-a-7-millions-d-algeriens-en-france-par-adrien-abauzit