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  • Les agriculteurs français souffrent de l'embargo russe

    Lu sur Sputniknews :

    "La nuit de colère, organisée par les agriculteurs bretons, a été provoquée par les résultats des sanctions économiques et financières imposées par l'UE à la Russie. La Bretagne est une région qui est très touchée par les contre-sanctions russes. Les éleveurs porcins subissent un effondrement des cours. Les revenus moyens des éleveurs sont inférieurs à 12 000 euros par an. Selon Paul Auffray, président de la Fédération nationale porcine, "on perd un éleveur de porc par jour depuis des mois".

    "Malheureusement, dans le différend qui oppose l'Union européenne à la Russie, on a laissé les producteurs tous seuls payer l'addition", a déclaré Jean-François Jacob, président de la SICA dans une interview accordée à Sputnik.

    Selon M.Jacob, malgré les grandes déclarations que fait l'Europe sur l'accompagnement des producteurs qui subissaient en effet le contrecoup des décisions politiques, rien n'a été fait.

    "On a menti à l'opinion et on a laissé les producteurs dans la détresse subir les conséquences des décisions qui n'étaient pas les leurs. Il n'y a pas eu de solidarité de la part de l'Europe, on a laissé tomber les agriculteurs et notamment en France", ajoute le président de la SICA.

    Avant l'embargo, 25% des exportations de viande de l'UE étaient destinées au seul marché russe. A ce jour, les cours du porc en France sont retombés sous le seuil de rentabilité, à 1,32 euro le kilo. Ce qui explique d'ailleurs en partie la montée en puissance des revendications dans ce pays."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Sarkozy fait la leçon à Tsipras (Présent 8389)

     

    Avec lui, ça ne se passerait pas comme ça ! Sarkozy ne laisserait pas le Premier ministre grec organiser un référendum pour approuver ou non les propositions bruxelloises. Il vient de rappeler qu’en 2011, Papandréou avait eu la même idée que Tsipras et pour le même motif. Ça n’a pas traîné, avec sa complice, Angela, Sarkozy a convoqué l’impertinent, à Cannes, pour lui remettre les idées en place. Décider un référendum, sans demander poliment la permission, mais où va-t-on !
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    Et Papandréou céda à l’injonction du duo Sarkozy-Merkel, mettant son référendum dans la poche et son mouchoir par-dessus, il est reparti, tête basse ! Or, voilà qu’aujourd’hui, s’indigne l’ex-chef d’Etat, Tsipras, lui, ne veut pas faire « le choix de la raison ». Car, pour lui, demander au peuple son avis sur ce qui le regarde n’est pas le choix de la raison, c’est de la folie. Dans son aveuglement, l’ancien président ne se demande même pas si son attitude, en 2011, à l’égard de Papandréou, n’est pas la cause lointaine de la révolte du peuple grec, en 2015, las de voir son pays traité comme une colonie bruxelloise et même pire, puisqu’on reconnaît aux nations colonisées le droit de disposer d’elles-mêmes… par référendum.

    Nicolas Sarkozy, quoique se réclamant du gaullisme, n’aime pas ce type de consultation. Quand il ne peut pas l’empêcher, il en bafoue le résultat. Ainsi, il fit adopter par la fenêtre du Parlement ce que les Français avaient mis dehors par la porte du référendum : leur non à la Constitution européenne devint oui par la grâce du traité de Lisbonne, grand-œuvre sarkozyste.

    Notre homme s’en prend à Alexis Tsipras en termes vifs, et même insultants. C’est « un Premier ministre qui a menti au peuple grec, qui a promis des choses qu’il savait ne pas pouvoir tenir ». Quoi ? Il a osé faire cela ? Est-ce que le candidat Sarkozy, lui, a promis ce qu’il savait ne pas pouvoir tenir ? Par exemple : « Si je suis élu, d’ici à deux ans, il n’y aura plus un seul SDF dans les rues », celles de Paris, pas d’Athènes. Tsipras, lui, ne l’a jamais annoncé. Sarkozy avait promis, en 2007, qu’il allait nettoyer les cités au Kärcher, promouvoir le plein emploi, tandis que le pouvoir d’achat des Français allait tutoyer les sommets. En 2012, ce sont ces promesses non tenues, ces mensonges électoraux que les électeurs ont sanctionnés. Ce politicien exténué est le dernier à pouvoir faire la leçon à Tsipras ou à quiconque.

    Bien entendu, son propos vise Hollande. Sarkozy entend montrer combien il est nul, tandis que lui a fait merveille hier et qu’il fera encore mieux demain. Il est vrai que le chef de l’Etat donne des verges pour se faire battre : tandis que l’Europe brûle, il se précipite en Afrique… Sans doute parce qu’avec ses lunettes il voit mieux de loin. Or, pas plus que Hollande n’a fustigé la corruption et les falsifications de ses camarades socialistes au pouvoir sous Papandréou, Sarkozy n’a dénoncé les mêmes vices pratiqués par ses amis libéraux sous Caramanlis. Entre eux, c’est toujours l’hôpital qui se moque de la charité.

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/

  • Islamo-bolchevisme

    6a00d8341c715453ef01bb084d2bb9970d-320wi.jpgLe Premier ministre dénonce ce qu'il appelle l'islamo-fascisme. C'est sans doute son droit. Nous nous trouvons en guerre avec un adversaire totalitaire. Et il exista certes, par le passé des jonctions ponctuelles entre "fascistes" et "islamistes". Mais à force d'être utilisé à tort et à travers le vieil épouvantail fasciste, fabriqué par le Komintern en 1935, ne sert plus qu'à discréditer celui qui le dénonce.

    En septembre 1920, en effet, sur les bords de la mer Caspienne, s’est forgée une alliance"islamo-bolchevique" autrement plus significative entre communistes et nationalistes musulmans. C'est cette alliance, réactivée dans les années 1960, qui a donné naissance à l'islamo-terrorisme.

    Ce "Premier congrès des Peuples de l'orient" avait été réuni à Bakou, par les bolcheviks, à l'appel du Komintern. Il s'agissait de donner une base stratégique à une révolution, certes victorieuse en Russie, mais qui n'avait pas réussi à s'exporter en Europe. Quelques jours à peine avant le Congrès elle avait échoué en Pologne.

    À défaut de se développer à l'ouest, Lénine et ses camarades entreprirent de s'allier à l'est aux nationalistes musulmans, de se servir de leurs luttes et de les enrôler sous leur bannière.

    Dans le volume "la Faucille et le Croissant" qui vient de paraître je présente l'intégralité du compte rendu, devenu introuvable [j'ai dû commander mon exemplaire personnel de travail chez un bouquiniste de … Caracas !] des débats de ce Congrès.

    Qu'on en juge.

    Il appartint au chef des révolutionnaires hongrois Béla-Kun, alors mondialement connu mais que sa défaite en 1919 avait contraint de se réfugier à Moscou de justifier le nouvel impérialisme soviétique qui se profilait déjà sous la bannière artificielle de"l'Internationale communiste". Il déclarera ainsi : "Camarades, bien que je ne m’exprime que très difficilement en russe permettez-moi de vous saluer dans cette langue qui est celle de la révolution internationale. (p. 31)

    Zinoviev, orateur enflammé, faisait figure de président de l'Internationale. C'est lui qui proclamera dans son discours inaugural : "Nous vous appelons à la guerre sainte, à la guerre sainte tout d’abord contre l’impérialisme anglais !" Le compte rendu du Congrès note alors que cette proclamation du djihad fut suivi d'un "Tonnerre d’applaudissements. Tumulte. Les assistants se lèvent en brandissant leurs armes. Pendant un assez long moment l’orateur ne peut pas continuer son discours. Les délégués, debout, applaudissent. Cris : Nous le jurons !" (p. 58)

    Au lendemain de cette première guerre mondiale qui avait vu le génocide des Arméniens perpétré par les Jeunes-Turcs, le congrès accueillit les thèses de leur ancien chef Enver-Pacha. On entendit même un rapport proclamant par la voix de Vagardin-Schakir : "La Turquie ne poursuivit jamais une politique impérialiste et n’eut à aucun moment des buts annexionnistes." (p. 81)

    Karl Radek, stratège et secrétaire général du Komintern : "Camarades, en vous appelant à la guerre sainte contre l’Entente et en premier lieu contre le capitalisme anglais, nous savons que ce n’est pas aujourd’hui que nous vaincrons, que notre lutte sera longue parce que les masses populaires de l’Orient seront lentes à se développer. Les nouvelles des victoires de l’Armée Rouge et des luttes du prolétariat anglais, français et italien mettront longtemps à franchir les ravins et les montagnes désertes avant d’arriver au paysan de l’Inde et de l’Égypte, auquel elles diront : debout, peuple des travailleurs, lève-toi ! (p. 75)

    Dans sa péroraison Radek lancera encore : "Et quand nous vous remettons, camarades, l’étendard de la lutte fraternelle contre l’ennemi commun, nous savons qu’ensemble nous créerons une civilisation cent fois meilleure que celle des esclavagistes de l’Occident."

    "Nous le savons, camarades, nos adversaires diront que nous faisons appel au souvenir de Gengis-Khan et des conquérants, les grands califes musulmans.

    "Mais nous sommes convaincus que ce n’est pas dans des buts de conquête et pour faire de l’Europe un cimetière que vous avez tiré hier vos poignards et vos revolvers ; vous les avez tirés pour créer avec les ouvriers du monde entier une nouvelle civilisation, la civilisation du travailleur libre. Et c’est pourquoi, quand les capitalistes disent qu’une nouvelle vague de barbarie, une nouvelle horde de Huns menace l’Europe, nous leur répondons : vive l’Orient rouge qui, avec les ouvriers d’Europe, créera la civilisation nouvelle sous l’étendard du communisme. (Vifs applaudissements.)" (p. 76)

    JG Malliarakis

    Vient de paraître: "La Faucille et le Croissant" – Islamisme et Bolchevisme au congrès de Bakou présenté par Jean-Gilles Malliarakis ••• ce livre de 225 pages au prix de 20 euros port gratuit est à commander aux Éditions du Trident vente par correspondance 39 rue du Cherche Midi 75006 Paris tel 06 72 87 31 59 ••• on peut commander ce livre:

    - en ligne sur la page catalogue des Éditions du Trident et régler par carte bancaire→ http://www.editions-du-trident.fr/catalogue.htm

    - ou par chèque en téléchargeant un bon de commande

    http://www.insolent.fr/

  • L’Ukraine, ou 20 ans d’hypocrisie américaine

    Vladimir Poutine est méchant. Et les méchants ne comprennent que la manière forte. Ainsi, après des rumeurs persistantes, les États-Unis ont annoncé ce 23 juin l’envoi de chars et de matériel militaire en Europe de l’Est. Le hasard du calendrier a aussi voulu que le gouvernement ukrainien soumette ce mardi au Parlement un projet sur la « coopération en matière de consultations, de gestion, de liaison, de reconnaissance et d’observation dans le cadre du programme de l’OTAN Partenariat pour la paix (PPP) et de la réalisation du projet de fonds fiduciaire de l’Alliance pour soutenir l’Ukraine ». Coïncidence ? Je ne crois pas. Élémentaire, mon cher Watson !

    Les dirigeants russes ont toujours clairement indiqué que l’intégration de l’Ukraine dans l’OTAN serait inacceptable. Et rien ne pourra les faire changer d’avis. En tout cas, tant que l’organisation internationale sera perçue comme une tête de pont occidentale, s’inscrivant en droite ligne de la politique d’ingérence américaine dans les régions d’Europe de l’Est. Et les derniers événements n’ont pas conduit à infléchir l’opinion de la Russie à cet égard. D’abord la révolution orange de 2004 ; ensuite le coup d’État de 2014 contre le président, certes pro-russe, mais démocratiquement élu, Viktor Ianoukovytch. Et maintenant ça… Une mesure qui permet de « montrer la détermination américaine à répondre aux agressions de la Russie dans la région », si l’on en croit le Wall Street Journal.

    Mais qu’en est-il de la responsabilité américaine ? On avait certifié en son temps à Gorbatchev que l’Alliance atlantique ne s’étendrait pas de façon impromptue (et sans l’avis des Russes !). Or, depuis vingt ans, les États-Unis ne cessent de soutenir une avancée toujours plus irrésistible vers l’est de cette dernière. Et ce, toujours à coups de « valeurs démocratiques » et autres idéaux qui ont récemment conduit à l’envoi de 500.000 « observateurs » en Irak.

    Les « protecteurs du monde libre » ont profité de l’état végétatif du pays durant le chaos eltsinien pour agir en ce sens, arguant déjà à l’époque que la Russie devait absolument être contenue. Mais une puissance faible ne constitue jamais une menace ! En revanche, profiter allègrement de cette impuissance temporaire ne peut favoriser de réaction favorable une fois la crise surmontée.

    Comment croire, dès lors, que cette affirmation n’est pas provocante ? Une grande puissance n’accepterait jamais le déploiement de forces militaires dans sa zone d’influence. Comment réagirait Washington si la Chine décidait, du jour au lendemain, d’établir des bases au Canada ou au Mexique ? Quoi qu’on en dise, la Russie n’entend pas enfiler les bottes d’un hégémon qui, à l’image des États-Unis, pratiquerait l’interventionnisme à l’échelle planétaire. Le pays ne peut qu’espérer au mieux demeurer une puissance régionale, mais dont le droit de regard et l’avis sur les affaires d’Europe de l’Est devra toujours être pris en compte. C’est mal parti…

    Quentin Jacquet

    Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuFVlFpkVpWOSoRoIq.shtml

  • Bastiat reviens ils sont devenus fous

    Les 25 et 26 juin Paris a connu les violences les plus inadmissibles commises par les défenseurs du monopole des taxis à l'encontre de leurs concurrents : tabassages, dégradations des véhicules, et aussi obstruction à la circulation.

    Officiellement, ces méthodes des voyous monopolistes ont fait l'objet de désaveux par les autorités de l'État. Hypocrisie lamentable.

    Car, dans le même temps, se prononçant sur le fond du dossier, le ministre de l'Intérieur n'a pas hésité à s'enrôler aux côtés des mêmes monopolistes, interprétant de façon totalement discutable la loi malencontreusement affublée du patronage de Thomas Thévenoud. Promulguée en octobre 2014, elle attend encore l'analyse judiciaire de son article 12. Mais le pouvoir exécutif, violant de la sorte la séparation des pouvoirs, anticipe sur les arrêts futurs de l'autorité judiciaire et proclame illégale l'offre concurrentielle, etc.

    Bien plus, le 29 juin on a pu apprendre le placement garde à vue de deux dirigeants de la société Uber. Ils avaient répondu à une simple convocation dans une procédure en cours depuis plusieurs mois. Mais le gouvernement ne voyait que des avantages à laisser communiquer sur une forme de répression qui frappe en définitive les victimes de la violence monopoliste.

    Quelle que soit l'issue des procédures, quel que soit le sort que les juridictions compétentes leur réserveront, on s'enfonce dans les messages désastreux et dommageable.

    Or, le message désastreux et dommageable de Cazeneuve n'est pas seulement adressé aux Français.

    Il sera entendu par bien des touristes qu'il dissuadera un peu plus de visiter un pays aussi archaïque.

    Mais il pourrait bien servir, aussi, d'argument dissuasif dans le cadre de la candidature du pays aux Jeux Olympiques de 2024. Le banc d'essai du championnat d'Europe de football de 2016 pourrait bien infliger une leçon à nos législateurs.

    Si énergiques, si inventifs en matière de répression, les représentants de l'ex-UMP en particulier et de la droite en général, n'ont pas su se réveiller pour défendre la liberté d'entreprendre : dans la campagne des régionales on aurait aimé les entendre défendre l'offre privée concurrentielle de transports. Il faudra attendre des jours meilleurs.

    Parmi les rares acquis positifs de  la présidence précédente le statut des auto-entrepreneurs était aussi en cause. Oublié, ce statut ! on a même entendu que le président des républicains regrettait cette réforme.

    Nous avons tous pu apprécier dans un tel contexte, le message passé en boucle sur France Inter par le président d'un syndicat des taxis. Il nous rappelait que nous sommes dans le mois de Ramadan, ce qu'on avait presque tendance à oublier, et que, cette période portant sur les nerfs des pratiquants, ceci expliquerait compte tenu de leur nombre élevé parmi les syndiqués, une part de la tension manifestée par ceux-ci.

    Mais alors, se demandera-t-on, pourquoi avoir choisi cette date pour leur mobilisation ? Pourquoi dès lors ne pas avoir attendu la fin du jeûne et la tombée de la nuit ? On devrait bien trouver dans le coran à ce sujet des passages fort poétiques. Cette lecture permettra aussi de revisiter quelques promesses de châtiments exemplaires, du genre de ceux que les adeptes du Takfir exercent ces temps-ci dans leur terrain de chasse sous le nom d'État islamique.

    La république exemplaire, celle qui ne recule pas, le pouvoir qui prétend condamner le vandalisme des Taxis monopolistes, le régime qui a mis la liberté en tête de ses tags impunis sur les immeubles, a donc une fois de plus capitulé.

    En acceptant l'interprétation forcée, sur le papier du moins, d'une loi mal rédigée, le ministre Cazeneuve, ce technocrate bien habillé n'a pas fait son métier : il n'a pas empêché les violences à la fois prévisibles et programmées des défenseurs de ce monopole malthusien et archaïque.

    D'excellents adeptes pourraient bientôt convaincre les gens de Sud et de la CGT d'exercer, par exemple, les même talents dans les postes, avec l'appui des technocrates de la banque postale : pourquoi ne pas interdire le courrier électronique. Ces innombrables courriels qui arrivent à jet continu, ne se contentent pas de polluer nos boîtes aux lettres. Ils privent d'emploi les facteurs ruraux, aggravant la désertification. Plus de lettres à distribuer ! Bientôt plus de factures non plus ! Notons, autre conséquence d'internet que le commerce en résultant surcharge d'un travail déjà harassant le service public de la distribution des colis.

    Toujours aussi pertinent, le satirique Gorafi ‏du 24 juin annonçait, presque convaincant, une excellente nouvelle sur le front du travail français : "Uber cède aux revendications des taxis et demande à ses chauffeurs d’être moins aimables".

    Et tout cela se passe dans un pays qui se réclame de la liberté et qui a fait de la liberté du commerce et de l'industrie ce que les juristes appellent un principe général du droit.

    Bastiat reviens, ils sont devenus fous !

    → à redécouvrir Frédéric Bastiat aux Éditions du Trident

    http://www.insolent.fr/

  • « Comment être ministre et parler comme un tract d’étudiant gauchiste attardé ? »

    Entretien avec Robert Ménard

    Le procureur de la République de Béziers vient de classer sans suite la procédure ouverte à l’encontre de Robert Ménard dans le cadre de l’affaire du pseudo-« fichage » d’écoliers musulmans. Boulevard Voltaire a recueilli les réactions de l’intéressé…

    Le procureur vient de classer sans suite la pseudo-affaire du « fichage » des écoliers musulmans. Rien de très étonnant ?

    Au regard du droit, à l’examen des faits, aucune surprise. En revanche, pour l’opinion publique ce doit être, ce matin, la stupéfaction. Car enfin, en mai dernier, durant plusieurs jours, j’ai subi avec ma ville une véritable hystérie médiatique. 160.000 occurrences dans le moteur de recherche Google ! À la demande du gouvernement, mes bureaux ont été perquisitionnés. J’ai été interrogé par le SRPJ à Montpellier. Les plus hautes autorités de l’État, dès la première heure de « l’affaire », m’ont jeté en pâture à la vindicte publique. Comment les Français pouvaient-ils penser que je n’étais pas un coupable absolu ?

    Or, que reste-t-il de tout cela ce matin ? Rien ! Absolument rien ! La justice confirme ce que je disais dès le premier jour : il n’y a pas, il n’y a jamais eu de fichiers d’élèves musulmans en mairie de Béziers.

    On a encore en tête les réactions outragées des responsables politiques, jusqu’à la tête de l’État…

    Outragées, oui, comme le sont les personnages du théâtre de boulevard qui surjouent leur texte. Outragées, oui, mais de cette tragique et banale sottise qui irrigue les cerveaux de gauche dès lors que certains sujets sont abordés. Ainsi, Mme Taubira parlant de retour des années 30, Najet Vallaud-Belkacem affirmant « vouloir protéger les enfants », sans doute avant de leur dire « Au revoir » comme dans le film de Louis Malle sur la déportation des juifs.

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  • Hellfest : le collectif se dote de nouveaux outils

    Le Collectif se dote de nouveaux outils opérationnels et invite celles et ceux qui veulent s'investir dans l'un ou l'autre pôle à entrer en contact via provocshellfestcasuffit@hotmail.fr
    • Un pôle "Juridique": Etudier et mettre en oeuvre des actions en justice
    • Un pôle "Politique" : Mener une campagne dans la perspective des élections régionales
    • Un pôle "Communication" : En particulier internet via les réseaux sociaux
    • Un pôle "Culture" : Mettre en perspective et en valeur la richesse de la culture chrétienne tant dénigrée
    • Un pôle "Religieux" : En direction des responsables et pasteurs de l'Eglise catholique
    • Un pôle "Prière et Evangélisation" : Mettre en musique une chaîne sipirituelle et des actions concrètes d'annonce de l'Evangile
    • Un pôle "Education et famille" : Informer et alerter sur les dangers liés à un certain metal
    • Un pôle "Action publique" : Mise en oeuvre de manifestations visibles, en particulier débat public et colloque.

    Michel Janva