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  • Interdire l’islamisme donc le Coran ?

    Manuel Valls a donc l’intention d’expulser les « imams radicaux » et Bernard Cazeneuve entend fermer les mosquées qui « prêchent la haine ». Cela signifie que, malgré l’attentat contre Charlie, les imams radicaux avaient toujours pignon sur rue et que les mosquées où l’on prêche la haine restaient ouvertes.
    Dont acte.
    8487-Chard
    Voilà qui témoigne d’une mâle quoique tardive résolution ! Mais, apparemment déterminés sur la fin, ils sont muets sur les moyens et les nécessaires définitions juridiques pour fonder légalement ces légitimes interdictions.
    Qu’est-ce qu’un imam « radical » ? Un salafiste ? Un intégriste ? Et qu’en est-il des imans français inexpulsables ? Où commence le radicalisme musulman, et jusqu’à quel degré est-il tolérable et à partir duquel est-il condamnable ? Le ministre de l’Intérieur a-t-il un étalon-or pour le mesurer ? Il en est de même de la « haine ».
    On a compris qu’il ne s’agit pas d’interdire tous ceux qui prônent la haine et la hurlent, comme en 2002 ceux qui défilaient entre les deux tours de la présidentielle au cri de « Le Pen, salaud, le peuple aura ta peau ! » sous les applaudissements des amis de François Hollande.

    Il s’agit des prédicateurs qui relaient en France et approuvent les méthodes atroces de l’État islamique et celle des terroristes. Mais ceux-là assurent qu’ils ne font qu’appliquer la charia, la loi islamique.
    On nous dit alors qu’ils la comprennent mal, que ce ne sont pas d’authentiques musulmans, les vrais, si l’on croit nos ministres et nos médias, sont plus des disciples de Gandhi que de Mahomet. Or, que dit le Coran ? En le consultant, on voit que les islamistes n’ont rien inventé.
    Les verbes tuer et combattre se trouvent respectivement 62 et 51 fois qui, le plus souvent, constituent des ordres, par exemple : « Après que les mois sacrés se seront écoulés, tuez les polythéistes partout où vous les trouverez, capturez-les, assiégez-les, dressez-leur des embuscades » (sourate 9, verset 5.) »
    Ou encore : « La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués ou crucifiés, ou que soient coupées leurs mains et leurs jambes opposées. » (5,32)

    Les imams radicaux, les prédicateurs de haine qui ne seraient pas de vrais musulmans, citent un vrai Coran et de vraies sourates. Or, selon le Livre lui-même, il ne saurait être interprété. D’après la sourate 43,4 le livre préexistait en Dieu : « Il (le livre) existe auprès de Nous, sublime et sage, dans la Mère du Livre. » Dès lors, si Dieu lui-même est l’auteur de chaque mot et phrase du Coran, il n’y a plus d’espace pour quelque interprétation que ce soit, ou « contextualisation » historique.

    La volonté du gouvernement de combattre le « radicalisme » et les imans qui prêchent la violence devrait, en bonne logique, agir à la source, à savoir le Coran et donc l’interdire. Le pouvoir ne le fera pas. Mais alors, que Hollande cesse de nous sermonner en nous répétant de ne point faire d’amalgame entre l’islam et l’islamisme ! Le lien existe entre l’islam et l’islamisme, c’est le Coran !

    Guy Rouvrais

  • Interdire l’islamisme donc le Coran ?

    Manuel Valls a donc l’intention d’expulser les « imams radicaux » et Bernard Cazeneuve entend fermer les mosquées qui « prêchent la haine ». Cela signifie que, malgré l’attentat contre Charlie, les imams radicaux avaient toujours pignon sur rue et que les mosquées où l’on prêche la haine restaient ouvertes.
    Dont acte.
    8487-Chard
    Voilà qui témoigne d’une mâle quoique tardive résolution ! Mais, apparemment déterminés sur la fin, ils sont muets sur les moyens et les nécessaires définitions juridiques pour fonder légalement ces légitimes interdictions.
    Qu’est-ce qu’un imam « radical » ? Un salafiste ? Un intégriste ? Et qu’en est-il des imans français inexpulsables ? Où commence le radicalisme musulman, et jusqu’à quel degré est-il tolérable et à partir duquel est-il condamnable ? Le ministre de l’Intérieur a-t-il un étalon-or pour le mesurer ? Il en est de même de la « haine ».
    On a compris qu’il ne s’agit pas d’interdire tous ceux qui prônent la haine et la hurlent, comme en 2002 ceux qui défilaient entre les deux tours de la présidentielle au cri de « Le Pen, salaud, le peuple aura ta peau ! » sous les applaudissements des amis de François Hollande.

    Il s’agit des prédicateurs qui relaient en France et approuvent les méthodes atroces de l’État islamique et celle des terroristes. Mais ceux-là assurent qu’ils ne font qu’appliquer la charia, la loi islamique.
    On nous dit alors qu’ils la comprennent mal, que ce ne sont pas d’authentiques musulmans, les vrais, si l’on croit nos ministres et nos médias, sont plus des disciples de Gandhi que de Mahomet. Or, que dit le Coran ? En le consultant, on voit que les islamistes n’ont rien inventé.
    Les verbes tuer et combattre se trouvent respectivement 62 et 51 fois qui, le plus souvent, constituent des ordres, par exemple : « Après que les mois sacrés se seront écoulés, tuez les polythéistes partout où vous les trouverez, capturez-les, assiégez-les, dressez-leur des embuscades » (sourate 9, verset 5.) »
    Ou encore : « La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués ou crucifiés, ou que soient coupées leurs mains et leurs jambes opposées. » (5,32)

    Les imams radicaux, les prédicateurs de haine qui ne seraient pas de vrais musulmans, citent un vrai Coran et de vraies sourates. Or, selon le Livre lui-même, il ne saurait être interprété. D’après la sourate 43,4 le livre préexistait en Dieu : « Il (le livre) existe auprès de Nous, sublime et sage, dans la Mère du Livre. » Dès lors, si Dieu lui-même est l’auteur de chaque mot et phrase du Coran, il n’y a plus d’espace pour quelque interprétation que ce soit, ou « contextualisation » historique.

    La volonté du gouvernement de combattre le « radicalisme » et les imans qui prêchent la violence devrait, en bonne logique, agir à la source, à savoir le Coran et donc l’interdire. Le pouvoir ne le fera pas. Mais alors, que Hollande cesse de nous sermonner en nous répétant de ne point faire d’amalgame entre l’islam et l’islamisme ! Le lien existe entre l’islam et l’islamisme, c’est le Coran !

    Guy Rouvrais

  • 28 novembre : 113 veillées pour la vie

    Il est toujours temps d'en organiser pour le renouveau de la culture de Vie.

    Michel Janva

  • Les OGM en France, c’est pour bientôt !

    L’Assemblée nationale a de nouveau voté, mardi 17 novembre, le projet de loi transposant les nouvelles règles européennes d’autorisation de mise en culture des OGM.

    Vous avez bien compris, il s’agit d’autoriser la culture OGM sur le sol français. Ce texte sera définitivement adopté par le Sénat le 14 décembre, puisque députés et sénateurs se sont déjà entendus sur la rédaction de ce texte en commission.
    Le texte de ce projet de loi, consultable sur le site du Sénat, prévoit de nombreuses mesures encadrantes. Et en cas de contamination de parcelles non OGM non souhaité par l’exploitant, l’Etat proposera une indemnisation financière…

    http://fr.novopress.info/

  • Qui peut encore les croire ?

    Les attentats du 13 novembre auraient-ils pu être évités? Mercredi Yves de Kerdrel, le directeur de la publication de Valeurs actuelles, annonçait au micro de France Inter «des informations  susceptibles de faire sauter un certain nombre de personnes en France». Il évoquait l’entretien accordé,  dans le numéro de son  magazine paru hier, de Bernard Squarcini, successivement directeur de la  de la Surveillance du Territoire (DST) puis, en 2008, de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), née de la fusion de la DST et de la Direction centrale des Renseignements généraux (DCRG). Il y a deux ans affirme M. Squarcini, «les services secrets syriens sont venus  lui proposer  la liste de tous les djihadistes français opérant en Syrie (…). Mais hélas dit-il,  Manuel Valls a dit « pas question, nous n’échangeons pas de renseignements avec un régime tel que la Syrie.» «Comment arrêter les djihadistes français qui partent en Syrie s’il n’y a plus de contacts, plus de négociations?» s’alarmait l’ex patron du renseignement français dans Marianne fin 2013…

    Autre interrogation pour les Français, même si ce n’en est plus vraiment  une pour la totalité de spécialistes note Bruno Gollnisch, le rôle de certaines pétromonarchies dans le soutien financier et logistique à l’Etat islamique.  Une question de  nouveau évoqué implicitement par Vladimir  Poutine, lors de la dernière réunion du G20 en Turquie – voir notre article publié hier.

    Des accusations  qui sont désormais au cœur du débat public et qui ont obligé Laurent Fabius à se fendre d’une déclaration  mercredi devant l’Assemblée nationale : «la lutte contre le financement du terrorisme est une nécessité absolue et une clé si nous voulons éradiquer Daech (…). S’agissant de l’accusation de financement des terroristes portée contre certains pays du Golfe: nos services ont procédé aux vérifications nécessaires et les éléments dont nous disposons (…) ne nous permettent pas de porter des accusations contre les gouvernements de ces pays (…). Nous avons toujours dit en revanche que si à l’avenir des éléments montraient l’inverse, il est évident que nous changerions nos relations du tout au tout et je veux le réaffirmer solennellement, il ne saurait y avoir et il n’y aura pas la moindre complaisance à l’égard de gouvernements qui aideraient financièrement les terroristes.»

    Dans son dernier livre, qui caracole en tête des ventes, Philippe de Villiers, rappelait cependant les collusions  coupables, la soumission des gouvernements de droite ( traditionnellement  plutôt liés au Qatar) et de  gauche (plus en relations avec l’Arabie saoudite) devant les  pétrodollars généreusement distribués pour endormir lesconsciences, les velléités de résistance.

    Courrier international publiait dans son dernier numéro un article paru dans The Daily Telegraph tout aussi éclairant : « La semaine dernière, alors même que l’émir du Qatar jurait ses grands dieux que le pays n’avait jamais financé l’EI, le Trésor américain a apporté la première preuve que l’argent du Qatar avait bien permis à Djihad John (égorgeur d’otages tristement célèbre, NDLR)  et à d’autres Britanniques de rejoindre la Syrie.»

    En septembre, selon le Trésor américain, Tariq  Al-Harzi a permis à l’EI de recevoir 2 millions de dollars d’un intermédiaire financier de l’EI basé au Qatar, à condition que cet argent soit affecté uniquement à des opérations militaires. L’intermédiaire financier basé au Qatar avait également recruté Al-Harzi pour lever des fonds au Qatar. »

    « Doha rétorquera (comme MM. Fabius, Sarkozy et consorts, NDLR)  qu’il s’agit d’individus privés et non du gouvernement. Mais tout Etat, et encore plus une autocratie du Golfe, a les moyens d’empêcher ce genre de chose, à condition de le vouloir. »

    «Par ailleurs, les preuves des liens du gouvernement qatari avec les extrémistes (dont certains ont réussi à lever des fonds alloués par la suite à l’EI) sont irréfutables. Entre huit et douze personnalités éminentes au Qatar ont récolté des millions de dollars pour les djihadistes, a déclaré un diplomate occidental local. Et ils ne s’en cachaient guère (…). L’engagement du Qatar auprès des extrémistes est sans doute un moyen d’assurer ses arrières en Syrie. Le Qatar est un pays qui a toujours cherché à multiplier les alliances : des talibans à Israël, avec qui il était un temps le seul pays du Golfe à entretenir des relations commerciales. Le Qatar accueille le Hamas, les milices islamistes libyennes et les Frères musulmans de toute la région».

    Dans ce contexte de tensions, d’inquiétudes, de graves accusations portées contre des partis dits de gouvernement en charge de la sécurité des Français, la première des libertés faut-il le rappeler, les derniers sondages enregistrent une nouvelle poussée du FN aux élections régionales.

    Selon l’ enquête  de Harris Interactive pour 20 Minutes publiée  aujourd’hui , le Front National recueillerait  en moyenne de  27 % des intentions de vote, devant  l’alliance  PS-PRG-MRC  (26 %),  le conglomérat LR-UDI-MoDem-PCD (25%), EELV (7 %) ;  les listes DLF  et  FG-PCferment la marche,  créditées pareillement de 5 % de suffrages.

    Sur le site de l’Express il y a deux jours, Emmanuel Rivière, directeur de l’unité stratégies d’opinion de TNS Sofrès, analysait les conséquences possibles des attentats du 13 novembre sur les élections de décembre. Il  jugeait que l’hypothèse « la plus vraisemblable » n’était pas que la tuerie du 13 novembre  permette au PS de sauver les meubles, lequel pourrait être  porté par un réflexe légitimiste «qui profite mécaniquement au pouvoir en place». Ce scénario voyant des Français  se «ressouder autour des partis de gouvernement» « face à une épreuve de cette nature »,  est a contrario plutôt défendu par le politologue Pascal Perrineau. Celui-ci estime que le FN  sera impacté à terme (en 2017)   par son image encore mal établi de parti ayant les compétences pour assumer  les plus hautes fonctions de l’Etat.

    M. Rivière juge qu’à l’instar du PS, les Républicains ne profiteront pas forcément du drame du 13 novembre dans les urnes « car ils  sont eux-mêmes divisés: Alain Juppé n’est pas sur la même ligne que l’ancien chef de l’Etat » A contrario, « il est clair que ces attentats confortent des thèmes classiques du FN: les liens supposés (sic) entre immigration et insécurité; L »Europe-passoire; une demande de sécurité accrue, quitte à limiter les libertés publiques... ».

    « (La) vraie cible (du FN, de Marine, NDLR) poursuit-il, ce sont les abstentionnistes, d’une part, les électeurs de Debout la France et une partie des sympathisants de la gauche de la gauche, d’autre part. Des citoyens qui, par colère, pourraient préférer voter FN que Républicain ou Socialiste, contre lesquels ils ont un ressentiment global. C’est une hypothèse que l’on ne peut pas exclure.»

    Notons enfin, l’éditorial particulièrement honteux commis hier sur France Inter par  un vieil adversaire de l’opposition nationale , le journaliste Renaud Dély. «Réclamer la démission du gouvernement a-t-il dit, et pourquoi pas du Président, alors que nous sommes en guerre, une expression que Marine Le Pen répète elle aussi, c’est évidemment ravir les terroristes, qui veulent déstabiliser l’Etat français. Mais vous l’aurez compris, ce n’est pas franchement étonnant (…). Il y aurait quelques convergences de vue entre le FN et les terroristes ou du moins, quelques indices troublants (…). Marine Le Pen ne condamne pas ces attentats. Au contraire. En sous-main, elle les encourage (…).  Alors, certes, on ne dira pas que le FN vote Daech, non bien sûr. Mais en revanche, ce qui est clair, c’est que Daech vote FN ».

    Cette pathétique «analyse» de M. Dély, qui prête à ceux qui n’ont eu de cesse d’alerter nos compatriotes des conséquences  tragiques des démissions des partis au pouvoir, dans tous les domaines, une complaisance tactique avec les djihadistes, est particulièrement immonde. Mais ne nous y trompons pas, cette logorrhée  sera  développée  par la Caste aux abois pour tenter de circonscrire le vote FN.  Après tout, n’est-ce pas là la  vraie priorité du  Système ?

    http://gollnisch.com/2015/11/20/qui-peut-encore-les-croire/

  • Qui peut encore les croire ?

    Les attentats du 13 novembre auraient-ils pu être évités? Mercredi Yves de Kerdrel, le directeur de la publication de Valeurs actuelles, annonçait au micro de France Inter «des informations  susceptibles de faire sauter un certain nombre de personnes en France». Il évoquait l’entretien accordé,  dans le numéro de son  magazine paru hier, de Bernard Squarcini, successivement directeur de la  de la Surveillance du Territoire (DST) puis, en 2008, de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), née de la fusion de la DST et de la Direction centrale des Renseignements généraux (DCRG). Il y a deux ans affirme M. Squarcini, «les services secrets syriens sont venus  lui proposer  la liste de tous les djihadistes français opérant en Syrie (…). Mais hélas dit-il,  Manuel Valls a dit « pas question, nous n’échangeons pas de renseignements avec un régime tel que la Syrie.» «Comment arrêter les djihadistes français qui partent en Syrie s’il n’y a plus de contacts, plus de négociations?» s’alarmait l’ex patron du renseignement français dans Marianne fin 2013…

    Autre interrogation pour les Français, même si ce n’en est plus vraiment  une pour la totalité de spécialistes note Bruno Gollnisch, le rôle de certaines pétromonarchies dans le soutien financier et logistique à l’Etat islamique.  Une question de  nouveau évoqué implicitement par Vladimir  Poutine, lors de la dernière réunion du G20 en Turquie – voir notre article publié hier.

    Des accusations  qui sont désormais au cœur du débat public et qui ont obligé Laurent Fabius à se fendre d’une déclaration  mercredi devant l’Assemblée nationale : «la lutte contre le financement du terrorisme est une nécessité absolue et une clé si nous voulons éradiquer Daech (…). S’agissant de l’accusation de financement des terroristes portée contre certains pays du Golfe: nos services ont procédé aux vérifications nécessaires et les éléments dont nous disposons (…) ne nous permettent pas de porter des accusations contre les gouvernements de ces pays (…). Nous avons toujours dit en revanche que si à l’avenir des éléments montraient l’inverse, il est évident que nous changerions nos relations du tout au tout et je veux le réaffirmer solennellement, il ne saurait y avoir et il n’y aura pas la moindre complaisance à l’égard de gouvernements qui aideraient financièrement les terroristes.»

    Dans son dernier livre, qui caracole en tête des ventes, Philippe de Villiers, rappelait cependant les collusions  coupables, la soumission des gouvernements de droite ( traditionnellement  plutôt liés au Qatar) et de  gauche (plus en relations avec l’Arabie saoudite) devant les  pétrodollars généreusement distribués pour endormir lesconsciences, les velléités de résistance.

    Courrier international publiait dans son dernier numéro un article paru dans The Daily Telegraph tout aussi éclairant : « La semaine dernière, alors même que l’émir du Qatar jurait ses grands dieux que le pays n’avait jamais financé l’EI, le Trésor américain a apporté la première preuve que l’argent du Qatar avait bien permis à Djihad John (égorgeur d’otages tristement célèbre, NDLR)  et à d’autres Britanniques de rejoindre la Syrie.»

    En septembre, selon le Trésor américain, Tariq  Al-Harzi a permis à l’EI de recevoir 2 millions de dollars d’un intermédiaire financier de l’EI basé au Qatar, à condition que cet argent soit affecté uniquement à des opérations militaires. L’intermédiaire financier basé au Qatar avait également recruté Al-Harzi pour lever des fonds au Qatar. »

    « Doha rétorquera (comme MM. Fabius, Sarkozy et consorts, NDLR)  qu’il s’agit d’individus privés et non du gouvernement. Mais tout Etat, et encore plus une autocratie du Golfe, a les moyens d’empêcher ce genre de chose, à condition de le vouloir. »

    «Par ailleurs, les preuves des liens du gouvernement qatari avec les extrémistes (dont certains ont réussi à lever des fonds alloués par la suite à l’EI) sont irréfutables. Entre huit et douze personnalités éminentes au Qatar ont récolté des millions de dollars pour les djihadistes, a déclaré un diplomate occidental local. Et ils ne s’en cachaient guère (…). L’engagement du Qatar auprès des extrémistes est sans doute un moyen d’assurer ses arrières en Syrie. Le Qatar est un pays qui a toujours cherché à multiplier les alliances : des talibans à Israël, avec qui il était un temps le seul pays du Golfe à entretenir des relations commerciales. Le Qatar accueille le Hamas, les milices islamistes libyennes et les Frères musulmans de toute la région».

    Dans ce contexte de tensions, d’inquiétudes, de graves accusations portées contre des partis dits de gouvernement en charge de la sécurité des Français, la première des libertés faut-il le rappeler, les derniers sondages enregistrent une nouvelle poussée du FN aux élections régionales.

    Selon l’ enquête  de Harris Interactive pour 20 Minutes publiée  aujourd’hui , le Front National recueillerait  en moyenne de  27 % des intentions de vote, devant  l’alliance  PS-PRG-MRC  (26 %),  le conglomérat LR-UDI-MoDem-PCD (25%), EELV (7 %) ;  les listes DLF  et  FG-PCferment la marche,  créditées pareillement de 5 % de suffrages.

    Sur le site de l’Express il y a deux jours, Emmanuel Rivière, directeur de l’unité stratégies d’opinion de TNS Sofrès, analysait les conséquences possibles des attentats du 13 novembre sur les élections de décembre. Il  jugeait que l’hypothèse « la plus vraisemblable » n’était pas que la tuerie du 13 novembre  permette au PS de sauver les meubles, lequel pourrait être  porté par un réflexe légitimiste «qui profite mécaniquement au pouvoir en place». Ce scénario voyant des Français  se «ressouder autour des partis de gouvernement» « face à une épreuve de cette nature »,  est a contrario plutôt défendu par le politologue Pascal Perrineau. Celui-ci estime que le FN  sera impacté à terme (en 2017)   par son image encore mal établi de parti ayant les compétences pour assumer  les plus hautes fonctions de l’Etat.

    M. Rivière juge qu’à l’instar du PS, les Républicains ne profiteront pas forcément du drame du 13 novembre dans les urnes « car ils  sont eux-mêmes divisés: Alain Juppé n’est pas sur la même ligne que l’ancien chef de l’Etat » A contrario, « il est clair que ces attentats confortent des thèmes classiques du FN: les liens supposés (sic) entre immigration et insécurité; L »Europe-passoire; une demande de sécurité accrue, quitte à limiter les libertés publiques... ».

    « (La) vraie cible (du FN, de Marine, NDLR) poursuit-il, ce sont les abstentionnistes, d’une part, les électeurs de Debout la France et une partie des sympathisants de la gauche de la gauche, d’autre part. Des citoyens qui, par colère, pourraient préférer voter FN que Républicain ou Socialiste, contre lesquels ils ont un ressentiment global. C’est une hypothèse que l’on ne peut pas exclure.»

    Notons enfin, l’éditorial particulièrement honteux commis hier sur France Inter par  un vieil adversaire de l’opposition nationale , le journaliste Renaud Dély. «Réclamer la démission du gouvernement a-t-il dit, et pourquoi pas du Président, alors que nous sommes en guerre, une expression que Marine Le Pen répète elle aussi, c’est évidemment ravir les terroristes, qui veulent déstabiliser l’Etat français. Mais vous l’aurez compris, ce n’est pas franchement étonnant (…). Il y aurait quelques convergences de vue entre le FN et les terroristes ou du moins, quelques indices troublants (…). Marine Le Pen ne condamne pas ces attentats. Au contraire. En sous-main, elle les encourage (…).  Alors, certes, on ne dira pas que le FN vote Daech, non bien sûr. Mais en revanche, ce qui est clair, c’est que Daech vote FN ».

    Cette pathétique «analyse» de M. Dély, qui prête à ceux qui n’ont eu de cesse d’alerter nos compatriotes des conséquences  tragiques des démissions des partis au pouvoir, dans tous les domaines, une complaisance tactique avec les djihadistes, est particulièrement immonde. Mais ne nous y trompons pas, cette logorrhée  sera  développée  par la Caste aux abois pour tenter de circonscrire le vote FN.  Après tout, n’est-ce pas là la  vraie priorité du  Système ?

    http://gollnisch.com/2015/11/20/qui-peut-encore-les-croire/

  • Banlieue et terrorisme : « rien à voir » ?

    La contagion du fanatisme était inévitable. Ses dérives bellicistes prévisibles.
    C’est Claude Bartolone qui le dit : « Il ne faut pas qu’on établisse de lien entre les classes populaires, les banlieues populaires et ces terroristes qui n’ont rien à voir avec ces populations qui n’aspirent qu’à vivre normalement. » 129 morts et 352 blessés plus tard, le député de Seine-Saint-Denis, candidat PS à la région Île-de-France, voudrait nous convaincre qu’il n’existe aucune corrélation entre les banlieues « sensibles » françaises et la barbarie islamiste qui a orchestré deux séries d’attentats dévastateurs en moins d’un an. Clientélisme électoral, quand tu nous tiens…

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  • Regard sur l’actu #22/1 : Faits et acteurs du Vendredi 13

    Vendredi 13. Une date que l’on retiendra et les superstitieux ne manqueront pas d’y voir un signe. A croire que ce n’était pas un hasard… Non, effectivement. Nous le verrons dans cette série d'articles. En ce jour noir, la France a connu la pire attaque terroriste de son histoire. En six attaques quasiment simultanées à Paris et au Stade de France, notre pays est revenu à la réalité. Il faut dire que les attentats de Janvier n’avaient pas réellement touché les Français eux-mêmes mais une caste journalistique hautaine et moralisatrice. Celle-ci, bien qu’étant portée aux nues par nombre de nos compatriotes lobotomisés, n’avait finalement pas grand-chose à voir avec eux. Les gens ont bien vite zappé et « l’esprit Charlie » s’était évaporé depuis des mois… Cette fois, c’est différent. Le peuple, Monsieur tout le monde, a été visé. Et touché. Au restaurant, au stade, en concert, dans la rue. L’homo festivus a été la victime de l’immigré terroriste dans un pays qui paraît incapable de protéger sa population. De multiples raisons l’expliquent : idéologiques et politiques. Au cœur d’un système globalisé, le pays légal (la République) a tout fait pour étouffer le pays réel (les Français). Cela dure depuis des décennies. Les « élites » qui nous dirigent nous ont menés dans le mur, à un point de non-retour, à une guerre avec un ennemi qui est à la fois intérieur et extérieur. Elles sont responsables et nous avons tout à craindre des évolutions futures de la situation, tant vis-à-vis d’éventuelles nouvelles actions terroristes sur notre sol et en Europe qu’au niveau du renforcement du pouvoir étatique par le biais de lois liberticides qui ne risquent pas d’être limitées à des fondamentalistes qu’on commence seulement à inquiéter alors que leur dangerosité est connue depuis toujours.

    Comme nous l’avions fait pour les attentats de Janvier ou, plus récemment, sur la question des « migrants », nous diviserons la question en plusieurs Regard sur l’actu. Notre propos y gagnera en clarté, d’autant que la masse d’informations à traiter est énorme. Il va sans dire que nous ne prétendons ici aucunement à l’exhaustivité.

    Quelques éléments importants de l’affaire

    Les faits, tout le monde les connaît et il serait laborieux de revenir en détail sur eux. Au-delà du nombre énorme de morts et de blessés, c’est la méthode employée qui fait froid dans le dos : mitrailler, tuer de manière directe et indistincte pour finalement se faire exploser. Psychologiquement, pour les agresseurs, c’est autre chose que de poser une bombe à distance. Pour les agressés et la société dans laquelle ils vivent, également. Rien de mieux pour toucher les esprits et terroriser la population. La barbarie dont ont fait preuve les terroristes est allée très loin car non contents de tirer sur les gens, ils ont également eu recours à leurs couteaux pour « torturer leurs victimes blessées en tranchant leur estomac quand elles gisaient sur le sol » raconte une survivante anglaise du massacre du Bataclan.

    Les victimes, quant à elles, n’avaient pas été choisies par hasard. Les tueurs voulaient éliminer des Blancs, des Français, des « croisés ». On s’en doutait bien mais le Parisien nous le confirme avec ce passage éclairant sur la tuerie du Bataclan :

    « Les tueurs sont impitoyables. Ils ont pourtant épargné Alexis*, un jeune majeur « typé », comme le décrit une amie, dont la peau mate le fait souvent passer pour un jeune d'origine maghrébine. « Ils l'ont visé, puis se sont repris, explique cette proche. Ils lui ont dit : Toi, t'es des nôtres !, et ils ont tiré sur un autre jeune à ses côtés. »

    Les victimes, on peut les voir en détail ici. On se rend compte que la grande majorité d’entre elles est blanche, d’un niveau social plutôt élevé et âgée globalement de 25 à 40 ans. Certes, beaucoup sont des bobos… Mais ces personnes n’ont pas été tuées pour cela. C’est le fait d’être Européens qui les a condamnées à mort sur leur propre sol. Les quelques victimes issues de la diversité sont donc des dommages collatéraux pour des terroristes dont la fureur meurtrière a sans doute été aidée par la prise de drogue. Des seringues ont été trouvées dans la chambre d’hôtel louée par Salah Abdeslam. Par ailleurs, un témoin présent vendredi soir devant le Bataclan avait repéré le comportement louche des fous d’Allah « Ils avaient des têtes de morts-vivants », a-t-il assuré.

    Le captagon, la fameuse drogue des djihadistes dont on parle tant depuis des semaines a-t-elle été utilisée ? Surnommée la « drogue des djihadistes », on peut l’absorber « par voie orale [via des cachets] ou à l'aide d'une seringue. Le Captagon est principalement utilisé, comme toutes les amphétamines, en tant qu'excitant, stimulant et anorexigène».

    "La drogue est normalement proscrite par la religion des djihadistes. Mais ces derniers en prennent pour voir leurs performances décupler et leur peur disparaître lors des combats. Outre l'euphorie, le produit permet de ne pas ressentir le sommeil ou la faim. Les effets peuvent durer jusqu'à 48 heures. Les témoignages de personnes ayant croisé des drogués au Captagon sont édifiants. "On les frappait et ils ne ressentaient pas la douleur. La plupart d'entre eux rigolaient même alors qu'on les bourrait de coups forts", décrit un officier syrien.

    A propos des assassins

    Cette prise de drogue ne serait pas surprenante étant donné le profil des terroristes (voir ici). Les frères Abdelslam en consommaient et en trafiquaient. Salah, délinquant notoire, avait déjà fait de la prison pour cette raison et il tenait avec son frère Brahim un bar à Molenbeek où sont attestés des trafics de stupéfiants. Comme souvent, on est aux frontières troubles entre islamistes radicaux et racailles. Voyez le cas de Bilal Hafdi, 20 ans, l’un des kamikazes du Stade de France. Un article du Point nous apprend que : « ce Français résidant en Belgique, qui a participé aux attentats les plus sanglants que la France ait connus, publie [sur Facebook] des photos d'une étonnante banalité : soirées shit-PlayStation en jogging Adidas, cocktail en maillot au bord de la piscine, doigts d'honneur en pagaille, avec « le petit frère » habillé aux couleurs du Real Madrid, photos avec la bande en bas des tours... Quelques clichés de post-ado, aussi, dopés à la testostérone : des liasses de billets neufs, en euros, ou une photo d'émeutes urbaines en France, qu'il titre « Nique la police ».

    Que l’Islam radical semble loin ! Et pourtant ! Ce lien entre racailles et islam radical est indéniable et certaines petites frappes passent de l’un à l’autre en quelques mois comme ce fut le cas pour Hafdi. Ismaël Omar Mostefaï, l’un des tueurs du Bataclan, avait 8 condamnations à son actif mais n’était jamais allé en prison comme de bien entendu. Conduite sans permis, outrages et rébellion, détention de stupéfiants... le C.V. normal de la racaille d’origine extra-européenne… D’ailleurs, le look de toutes ces charmantes personnes, même s’il se devait d’être discret pour ne pas se faire remarquer, ressemblait d’après les témoins davantage à Monsieur tout le monde qu’à Ben Laden. « Des mecs de 25-30 ans, maghrébins avec une barbichette, pas du tout le look salafiste » d’aprèsun survivant du Bataclan.

    Ismaël Omar Mostefaï et Samy Amimour étaient originaires de la région parisienne et bénéficiaient des avantages de la doulce France : un logement social payé par vos impôts pour le premier et un emploi à la RATP, gangrénée par les radicaux, pour le second. Tous deux étaient allés faire leurs armes en Syrie sans être vraiment inquiétés par la justice. Même chose pour les « belges » : Bilal Hafdi et les frères Abdelslam, surveillés et fichés mais laissés suffisamment tranquilles pour venir assassiner chez nous. Même chose pour Ahmad Ad Mohammad, 25 ans, clandestin, euh migrant, qui a traversé l’Europe à partir de la Grèce et a même eu le temps de s’amuser dans un camp de réfugiés serbe.

    Molenbeek connection

    On le constate, on a affaire à des réseaux internationaux qui profitent de l’absence de frontières et du délit de faciès pour planifier assez tranquillement leurs actions terroristes. Les attaques du vendredi 13 ont, en effet, été planifiées en Belgique. Le commanditaire aurait été Abdelhamid Abaaoud, tué avec la femme kamikaze (sa cousine ?) lors de l’assaut de Saint-Denis. Décrit récemment comme le djihadistes le plus recherché de Belgique, il est lié à bien d’autres affaires de terrorisme. Allez regarder cette vidéo où il se vante des atrocités qu’il a commises en Syrie. Comme ses amis les frères Abdelsam, il est originaire de Molenbeek en Belgique, commune de 100.000 habitants située à deux pas de Bruxelles.

    Sorte de Roubaix en pire, surnommée « Mollahbeek », cette ville est considérée comme la plaque tournante du djihadisme francophone. Ville musulmane, ethniquement perdue, Molenbeek est liée de près ou de loin à bien des attentats récents en France (le Thalys) en Belgique et ailleurs (Madrid en 2004). Mais que s’est-il passé pour qu’on en arrive là chantent en cœur les médias du système ? Réponse intéressante d’un politicien belge :

    "Pendant vingt ans, une sorte d’omerta a régné. Ceux qui tentaient de la briser étaient traités d’islamophobes ou de racistes. Au cœur de ce système figurait le puissant Philippe Moureaux, coqueluche des médias, qui a longtemps exercé un véritable magistère moral et politique sur la politique bruxelloise. A la fois Bourgmestre de Molenbeek, Président de la Fédération socialiste de Bruxelles et Vice-Président du PS national, il faisait régner un climat de terreur intellectuelle contre lequel peu osaient se lever. Bien avant que le think tank « Terra Nova », proche du Parti socialiste français, ne le théorise, Philippe Moureaux avait compris que l’avenir du socialisme (bruxellois) passait par les immigrés qui allaient devenir, symboliquement, le nouveau prolétariat, remplaçant une classe ouvrière autochtone en rapide diminution."

    Zone de non-droit où les islamistes sont rois, Molenbeek fait partie de ces dizaines de villes européennes où la jeunesse immigrée et déracinée s’est tournée vers la délinquance, les trafics et/ou le fondamentalisme religieux. Vous me direz, au moins, ils prouvent que l’intégration à grande échelle est un mythe… Dans une tribune récente dans le Figaro, Pierre Vermeren, professeur spécialiste de l'histoire du Maghreb contemporain à l'université de Paris-I Panthéon-Sorbonne, décrit l'histoire, l'origine et les activités des Marocains de Belgique qui expliquent le sanctuaire salafiste de Molenbeek :

    "Austérité ancestrale et culture insulaire, hostilité viscérale au régime marocain et à son islam, rejet de l'Etat qui rappelle la Sicile, liberté religieuse à tous vents, réseaux mafieux structurés par 40 ans de business (10 milliards de $ de chiffre d'affaires annuel) au profit des maffias du Rif et de leurs obligés, du Maroc au Benelux, liberté de mouvement depuis Schengen, absence de surveillance policière efficace, antécédents historiques désastreux, ressentiment, culture de la violence dans un univers hostile, chômage de masse… la base arrière de Molenbeek a une très longue histoire."

    Ceci explique que :

    "Une partie de cette jeunesse belge (NDLR: non: étrangère) frappée par le chômage et la crise se tourne vers le fondamentalisme religieux, alors que la police belge n'a aucune expérience en la matière, à l'inverse de la police française plus expérimentée, et qui laisse travailler les services marocains auprès de leurs ouailles".

    Devant les évènements, la classe politique se réveille et n’a plus de mots assez durs pour fustiger, à l’image de Lydia Guirous, porte-parole des Républicains, ces Molenbeek qu’ « il y a partout en France ». Qui a fait venir ces immigrés ? Qui leur a permis de faire la loi sur un sol n’étant pas le leur par lâcheté et bas intérêts politiques ? Poser la question implique la réponse.

    Alors que les interpellations se poursuivent en Belgique dans l’entourage des terroristes « belges », Salah Abdelslam, toujours en fuite, aurait été aperçu à… Molenbeek. Où il doit se sentir suffisamment en sécurité. L’habitude. Des Molenbeek, effectivement, il y a partout en France et en Europe. L’Etat Islamique étant bien implanté en certains de ces lieux, il a tout à disposition pour agir. Autant dire que les vers sont dans le fruit et que ces territoires hostiles alliés aux dizaines de millions de musulmans présents sur notre continent ne vont pas faciliter la lutte anti-terroriste dans le futur. Le système a laissé prospérer ces lieux où réseaux islamistes et délinquants se côtoient et s’entraident. Il n’a pas fini d’aller y perquisitionner... à l’image de l’action policière qui s’est déroulée àHem (Nord) pour trouver un fabriquant d’explosifs suspecté d’avoir des liens avec Salah Abdeslam…

    L'Etat Islamique "a vraisemblablement choisi d'utiliser des combattants étrangers européens pour lancer les attaques de Paris, car ces combattants maintiennent des connexions avec des réseaux radicaux et criminels dans leurs pays. Ces réseaux aident à fournir les armes et la logistique nécessaires à la mise en œuvre d'une opération comme les attaques de Paris" affirme une spécialiste.

    Nous sommes dans de beaux draps... et pour longtemps!

    Dans quelques jours, notre prochain Regard sur l'actu: Vendredi 13: L'Etat coupable!

    Rüdiger / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/