Renaud Lecadre, Histoire secrète de la 5ème République
Rappel : Urba : la « pompe à fric » du Parti socialiste
Renaud Lecadre, Histoire secrète de la 5ème République
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Une nouvelle vidéo publiée par le Center for Medical Progress (CMP) semble montrer comment Planned Parenthood cache, avec deux niveaux de facturation, les profits créés par la vente de tissus foetaux issus de bébés avortés. En anglais :
Le lieutenant colonel René de la Tour du Pin Chambly, marquis de la Charce, est né le 1er avril 1834 à Arrancy, non loin de Laon en Picardie.
Il est issu d’une vieille famille dauphinoise, catholique et royaliste, il entre à Saint-Cyr en 1852. Jeune officier, il sert sous le Second Empire en Crimée, en Italie et en Algérie avant de participer à la guerre contre la Prusse en 1870. Fait prisonnier cette même année, lors de la chute de Metz, il sympathise en captivité avec Albert de Mun. En septembre 1871, de la Commune, alors qu’il est encore capitaine aide de camp du gouverneur militaire de Paris, il s’engage, à la demande de Maurice Maignen (des Frères de Saint Vincent de Paul) dans l’ « Œuvre des cercles catholiques d’ouvriers » avec son ami de Mun. Son action est alors inspirée des travaux de Frédéric Le Play. En 1877 il est nommé attaché militaire en Autriche Hongrie et rencontre le « comte de Chambord », prétendant légitimiste au trône de France, dans son exil de Frohsdorf. À Vienne il est également marqué par l’influence des catholiques sociaux autrichiens, le plus représentatif d’entre eux étant le baron Karl von Vogelsang (1818-1890) qui anime la revue Vaterland.
En 1881, il démissionne de l’Armée et se retire sur ses terres d’Arrancy, dont il sera maire. À la mort du comte de Chambord, en 1883, La Tour du Pin reporte logiquement sa fidélité royaliste sur l'aîné des Orléans, Philippe d’Orléans, comte de Paris qu’il rencontre à Eu. Au début 1885, de passage à Rome, il est reçu par le Pape Léon XIII. En 1891, contrairement à Albert de Mun, il refuse le Ralliement des catholiques français à la République. Le futur maréchal Lyautey, qui publie au même moment son Rôle social de l’officier, largement inspiré de l’expérience des « cercles catholiques » demeurera pareillement fidèle à ses idées royalistes.
En 1892 le marquis épouse sa cousine, Marie de La Tour du Pin Montauban. La même année, il rencontre pour la première fois le jeune Charles Maurras, encore républicain, amorce d’une correspondance qui devait se poursuivre jusqu’à la mort du colonel. Une fois l’Action française fondée en 1899, La Tour du Pin apporte son concours. Il livrera ainsi trois études à la Revue grise d’AF entre 1904 et 1906, sur la noblesse, la représentation professionnelle et l’organisation territoriale de la France. En 1907 il publie son maître livre, imposant recueil d’articles écrits à partir de 1882 : Vers un ordre social chrétien. Le marquis René de La Tour du Pin meurt à Lausanne le 4 décembre 1924 à 90 ans révolus.
L’ Action française constituera la principale postérité de la pensée de La Tour du Pin. Comme dira Charles Maurras : « Ce n’est pas La Tour du Pin qui est à l’Action française, c’est l’Action française qui est de La Tour du Pin. » La pensée de la Tour du Pin marquera également le général de Gaulle. En 1970, Edmond Michelet, ministre du général, faisait remarquer à ce sujet « s’il est un personnage que le général de Gaulle connaît mieux que Marx, c’est peut être le très ignoré aujourd’hui La Tour du Pin »
La Tour du Pin et Albert de Mun sont les grands représentants de l'école des catholiques sociaux. Tous deux s'inspirent dans leurs écrits et dans leur action des travaux de Frédéric Le Play et puisent leur sagesse dans les enseignements spirituels et sociaux de l'Eglise.
La contribution de marquis de La Tour du Pin à la Contre-Révolution réside essentiellement dans sa doctrine économique et sociale.
Le fil conducteur de cette doctrine est à chercher, comme il en fait la remarque, dans la lutte acharnée qu'il a menée contre le libéralisme sous toutes ses formes et principalement contre sa forme économique. Il a condensé l'essentiel de sa pensée dans un maître-ouvrage intitulé : "Jalon de route vers un ordre social chrétien".
Partageant avec son maître Le Play la conviction que "la vie sociale de l'homme se meut autour d'un axe dont les deux pôles sont le foyer et le métier", le marquis et colonel de la Tour du Pin en a justement déduit que le régime d'économie libérale, qui se fonde sur la loi de l'offre et de la demande, aussi bien en matière d'emploi qu'en matière de ventes et d'achats, " fonctionne à l'inverse de la loi naturelle et divine" .
Cette erreur, au sujet de la loi de l'offre et de la demande, est bien le signe que l'économie d'inspiration libérale repose sur des principes aussi néfastes que faux. Le libéralisme se trompe, en effet, dès l'origine, quand il définit l'économie comme " chrématistique ", c'est-à-dire comme science des richesse car il méconnait ainsi la finalité profonde du travail humain. Le véritable objet de l'économie n'est pas exclusivement ni direstement la richesse mais l'homme car " le travail n'a pas pour but la production des richesses mais la sustentation de l'homme " . Il est vrai qu'en définissant ainsi la science économique les libéraux ne commettent pas une simple erreur, ils procèdent à une opération de diversion et de camouflage car " que signifient dans la vie économique la liberté du travail, la liberté du commerce, la liberté de la propriété, si ce n'est la facilité au déchaînement de toutes les cupidités contre toutes les faiblesses " ?
Comme tous les grands contre-révolutionnaires, La Tour du Pin voit dans l'individualisme la racine du libéralisme. Son originalité consiste à mettre en relation l'individualisme libéral avec une certaine conception matérialiste de la propriété.
Il en résulte que la lutte contre le libéralisme doit passer par le rejet des " erreurs philosophiques, politiques et économiques dont le capitalisme nous a empoisonnés ".
A cette conception de la propriété, il est indispensable d'opposer la conception traditionnelle et chrétienne que le jeune La Tour du Pin avait reçue de son père et fidèlement gardée : " Rappelle-toi toujours que tu ne seras que l'administrateur de cette terre pour ses habitants " .
La solution que La Tour du Pin préconise pour mettre un terme à la question sociale ne consiste évidemment pas à remplacer le libéralisme par le socialisme qui n'en est, à ses yeux, que le " contre-coup " et l'insupportable aggravation.
Elle ne consiste pas davantage dans une attitude exclusivement morale, comme l'était encore le patronage de son maître Le Play, mais dans l'instauration d'un régime corporatiste moderne.
Grâce à La Tour du Pin, les Français devraient aujourd'hui savoir qu'il existe, non pas deux, mais trois écoles d'économie politique :
" celle où l'on considère l'homme comme une chose ",
c'est le libéralisme,
" celle où on le considère comme une bête ",
c'est le socialisme,
" celle ou on le considère comme un frère ",
il s'agit alors du corporatisme.
http://www.royalismesocial.com/index.php?option=com_content&view=article&id=34&Itemid=11
Editions du Lore
Nous recevons des éditions du Lore la présentation du dernier ouvrage de Georges Feltin-Tracol, Eléments pour une pensée extrême. L’auteur s’était déjà signalé en 2014 par son violent réquisitoire – En liberté surveillée – contre le « système liberticide » qui, selon lui, domine l’actuel mode politique français.
Ce livre tenant sa place dans la littérature politique, nous reproduisons ci-après la présentation qu’en fait l’éditeur.
Polémia
Après avoir fait paraître un violent réquisitoire contre le système liberticide en 2014 (« En liberté surveillée », Les bouquins de Synthèse Nationale), Georges Feltin-Tracol revient sur le devant de la scène éditoriale en ce début d’année avec un dense recueil d’articles intitulé Eléments pour une pensée extrême.
Prévenons dès à présent notre lectorat que le contenu de cet ouvrage ne s’adresse en aucune façon aux modérés et à ceux qui tentent inlassablement d’« arrondir les angles». Avec Georges Feltin-Tracol, nous “mettons les pieds dans le plat” et c’est tant mieux car l’année 2016 s’annonce décisive pour l’avenir de notre peuple !
Provocateur, polémique, radical, Éléments pour une pensée extrême vise le bankstérisme, les FemHaine, les sordides valeurs républicaines, le bellicisme humanitaire, la société suédoise, le désordre sécuritaire, l’OTAN, la non-Europe de Bruxelles, les oligarchies politico-mafieuses, les tentatives fallacieuses d’«union nationale», le grotesque Charlie…
Pour découvrir ce livre de l’extrême plus en détails, rendez-vous sans plus attendre au lien ci-dessous:
http://www.ladiffusiondulore.fr/home/622-elements-pour-une-pensee-extreme.html
En savoir plus
« Bien des guerres ont d’abord été pensées dans les bibliothèques », écrivait en 1936 Cioran dansTransfiguration de la Roumanie. La remarque du futur moraliste francophone est pertinente : ce recueil,Éléments pour une pensée extrême en est la preuve flagrante par sa contribution au grand combat des idées.
Georges Feltin-Tracol y démonte aussi bien l’emprise médiatique que la question lancinante de la langue commune des Européens, la fragmentation socio-territoriale de la France que l’émergence désormais imminente de grands espaces civilisationnels, les manifestations et méfaits de la tyrannie républicaine que des exemples de guérilla intellectuelle.
Évoquant quelques-unes des grandes figures dissidentes contemporaines de la dissidence occidentale (Dominique Venner, Maurice Bardèche, Carl Schmitt, Saint-Loup), Georges Feltin-Tracol dissocie volontiers la France charnelle des terroirs enracinés, intégrée dans une Europe des identités autochtones, nationales et populaires, d’une République hexagonale décadente aux valeurs mondialistes mortifères. Par l’intermédiaire des BAD, un modèle de contre-société à promouvoir, il en appelle au rejet impérieux de la seconde pour sauver la première du « Grand Remplacement » en cours.
Provocateur, polémique, radical, Éléments pour une pensée extrême vise le bankstérisme, les FemHaine, les sordides valeurs républicaines, le bellicisme humanitaire, la société suédoise, le désordre sécuritaire, l’OTAN, la non-Europe de Bruxelles, les oligarchies politico-mafieuses, les tentatives fallacieuses d’« union nationale », le grotesque Charlie…
Par ces temps d’incertitude et après l’échec du mouvement trop timoré de la « Manif pour tous », ce recueil se détourne des fausses solutions nationales et conservatrices. Dans l’obscurité des consciences, cette torche doit permettre la prise salutaire du glaive régénérateur.
Les éditions du Lore, Janvier 2016
Georges Feltin-Tracol, Eléments pour une pensée extrême, Editions du Lore, janvier 2016, 440 pages.
http://www.polemia.com/elements-pour-une-pensee-extreme-de-georges-feltin-tracol/
Voici l’analyse d’Hilaire de Crémiers parue dans le dernier numéro de Politique magazine.
"[...] François Hollande se met à parler de patrie, mot qui lui était parfaitement étranger, à lui comme à ses pairs. Or, à aucun moment dans ses propos, il ne la désigne sous ses traits singuliers ; il est évident qu’il ne la comprend pas, qu’il ne la sent pas ; il n’en communique ni l’amour ni le respect. La patrie pour lui, c’est équivalemment la République, une abstraction, et la République en fait, c’est sa chose à lui ; il se l’est appropriée. Valls a la même conception idéologique et totalement subjective ; il suffit de l’écouter pour savoir que dans son esprit domine une équation de la simplicité radicale d’un fondamentalisme religieux : France = République = Valls !
Ils sont tous pareils, dans le même état d’esprit, à droite, à gauche, au centre. Lisez leur bouquin à chacun, quel qu’en soit le titre : partout le même narcissisme républicain ! L’intelligence, c’est moi ; l’action, c’est moi, l’État fort, c’est moi ; la liberté, c’est moi ; la sincérité, c’est moi… moi, moi, moi ! Pas des hommes d’État, des moi, tous du même acabit.
Patrie et nation
Or la patrie a, d’abord, une signification charnelle : elle est la terre des pères ; elle est un sol, un territoire, un paysage, un patrimoine incorporé aux lieux aimés ; elle parle des générations qui se sont succédé, d’un art de vivre, de la religion, des mœurs et du labeur de nos familles. Bref, tout ce que la République a décidé – et encore récemment – de ne plus connaître, voire de supprimer. Et la nation dit, d’abord, la naissance : c’était vrai déjà dans les acceptions du langage courant dès le XVIe siècle. La nation, avant d’être un contrat, est un fait. Nous appartenons tous à une nation et ce caractère distinctif marque à tout jamais notre origine et, sauf exception, détermine notre avenir. Il est possible, sans doute, de changer de nationalité, de s’insérer dans une autre nation ; encore faut-il le faire en respectant cette donnée de fait qu’est la nation. Il n’est pas besoin d’évoquer Taine, Renan, Barrès, Maurras ou Péguy pour adhérer d’esprit et de cœur à ces claires certitudes, le plus beau partage qui nous soit échu et qui établit en France notre communion historique. Car l’histoire est là, prégnante.
Le grand problème de nos dirigeants, c’est qu’il y a longtemps qu’ils ont jeté cet héritage aux orties. Ils sont internationalistes, mondialistes, européistes. En même temps qu’attachés au jacobinisme d’État le plus archaïque qui justifie leurs prébendes ! D’où leur indifférence profonde pour la paysannerie qui se meurt, pour l’artisanat de chez nous, pour tous les métiers de nos pays, pour nos industries et notre écologie vraie qui est constituée de terroirs, de clochers, de traditions, de populations qui ne sauraient être submergées par l’étranger. Vendre des Rafale et des Airbus, ça ne suffit pas !
Leurs lois s’inscrivent toutes dans la médiocrité d’une défense républicaine et non dans l’élan d’une reconquête française.Comment dans ces conditions avoir une politique intérieure de sécurité et de justice, quand tout n’est plus que clientélisme de parti et de syndicat et quand des banlieues entières, bientôt des villes, telle Calais, sont littéralement abandonnées à cause de leur incurie ? Comment opérer les réformes nécessaires quand l’esprit public est perverti ? La réforme du travail ? Allons donc, un rapport de plus pour le vieux Badinter ! Plus gravement, comment faire la guerre, la soutenir dans la durée, s’obliger au sacrifice nécessaire, quand les moyens sont continuellement rabotés ? Comment mener une politique extérieure quand on ne sait même plus ce que sont les intérêts du pays et quand on renie l’âme de la France ? Comment enfin sauver nos finances quand plus aucune décision souveraine n’est possible qui mette à l’abri des cataclysmes à venir ?
Leur œuvre aboutit au néant, mais ils tiennent la République et sa loi. Ils sont contents ; ils sont comme des enfants gâtés. Ce sera leur joujou jusqu’au bout."
C'est peu de le dire, Les Filles au Moyen Âge est aux antipodes de ce que produit depuis trente ans le cinéma d'auteur français, trop souvent embourbé dans un pseudo-naturalisme qui peine à saisir les vraies questions du temps, à l'évidence aveuglé par le narcissisme des auteurs eux même, qui préfèrent raconter leur petite vie triviale, plutôt que de tenter de distiller la grande, celle de tout le monde, disons celle du peuple. Analyse socio-politique : néant !
Ce curieux film prend pour trame narrative la chronologie des évolutions sociales et religieuses (on y parle que de Dieu !) qui ont rythmé pendant les mille ans du Moyen Âge, l'émancipation grandissante et inattendue des femmes. Du concile d'Ephese en 431 qui consacre Marie, "Mère de Dieu", jusqu'à l'apothéose de l'Amour Courtois, en passant par les prouesses scientifiques d'une Hildegarde de Bingen, les fondatrices d’hopitaux et d’écoles publics, sans oublier la pucelle de Domremy ; le scénario est librement adapté de La Femme au temps des Cathédrales, ouvrage de la médiéviste Régine Pernoud, grande réhabilitatrice de l'époque féodale, ennemie jurée des féministes de gauche des années 60/70 pour qui l'équation Christianisme = Machisme était malheureusement le béaba…
Librement adapté, c’est le moins qu’on puisse dire, car non content de nous raconter l’Histoire comme l’aurait fait un mauvais docu fiction du service public, ou encore un vulgaire téléfilm du genre Les Rois Maudits, Hubert Viel (l’auteur/réalisateur) propose ici un dispositif de mise en scène des plus rafraichissant et surtout des plus étonnants. En effet, tous les personnages historiques sont ici joués par six enfants (3 filles, 3 garçons) d’une dizaine d’année, le tout filmé en noir et blanc avec une caméra pellicule 16mm, ce qui donne un ton étrangement naïf et ludique au film, qui n’est pas sans rappeler la série animée Il était une fois les hommes, ou simplement un tableau du douanier Rousseau.
Sur le papier l’idée paraît saugrenue et presque grotesque, mais cela donne à ce procès en réhabilitation une tournure toute légère et joviale. Car c’est à un Moyen Âge lumineux, joyeux et drôle auquel on à affaire ici, dans ce qu’il est permis d’appeler une comédie historique. Pour couronner le tout on notera la présence permanente d’un conteur qui pose son vieux timbre de voix enchanteur et malicieux sur cette succession de saynètes comiques : le grand Michael Lonsdale.
Jouant la carte de la comédie dans les situations comme dans les dialogues, Hubert Viel, caché derrière sa douceur et sa naïveté, n’en fait pas moins passer un propos tout à fait sérieux ; qui serait de montrer en quoi les femmes furent bien plus respectés au Moyen Âge que dans les périodes qui lui ont succédé. En effet à partir du XIVème siècle, le Moyen Âge entre en décadence et plusieurs phénomènes concomitants viennent mettre à mal la prospérité de cette civilisation florissante : On commence à tolérer le capitalisme et l’usure, On sombre dans la Guerre de Cent, On subit la peste noire, et le rois de France tombent dans l’obsession de constituer un état centralisé en infantilisant les petits seigneurs et en taxant le peuple à son profit. La bourgeoisie d’affaire tenue à l’écart jusqu’à alors devient une classe grandissante et influente. Bref, une chute sévère qui pourrait se résumer en un mot : Matérialisme. Les femmes ne s’en remettront pas et perdront une grande part de leurs prérogatives, pour devenir jusqu’au XXème siècle de simples mères au foyer qui dépendent pleinement de leur mari qui a tout pouvoir de décision dans les affaires sociales.
Courez donc au cinéma voir ce film à la foi pédagogique, poétique et drôle. Film généreux et accessible à tous, même aux plus jeunes. Un grand bol d’air frais dans sa forme comme dans son fond.
Au cinéma depuis le 27 Janvier.
Euphrosine
http://www.agoravox.tv/culture-loisirs/culture/article/les-filles-au-moyen-age-un-autre-52188
http://www.oragesdacier.info/2016/02/nous-allons-devoir-reapprendre-vivre.html
Déçus par leur vie en Belgique, des clandestins décident de faire marche arrière et de rentrer chez eux. C’est le cas de centaines d’Irakiens, qui préfèrent regagner Bagdad plutôt que de rester dans un pays où ils vivent dans de mauvaises conditions et ont peu de chances de trouver un emploi.