Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 53

  • Soutien inattendu à Apple contre le FBI

    Apple et le FBI se livrent une bataille sans merci autour du décryptage d’un iPhone utilisé lors de l’attentat de San Bernardino. Le constructeur à la pomme a reçu le soutien de l’ONU

    C’est un soutien de poids qu’a reçu Apple dans sa bataille juridique et communicationnelle contre le FBI. Il n’est en effet pas courant que les Nations Unies se positionnent en faveur d’une entreprise privée contre un État.
    Bref rappel des faits pour ceux qui n’auraient pas suivi l’affaire : le FBI demande à Apple de concevoir un procédé permettant d’accéder aux données cryptées contenues dans l’iPhone d’un des terroristes musulmans auteur de la tuerie de San Bernardino, en Californie (14 morts). L’agence fédérale accuse le constructeur californien de faire obstruction à une enquête pour terrorisme et met en avant la sécurité des Américains.
    Outre une base juridique mince et qui a été depuis invalidée, Apple craint que cela ne crée un dangereux précédent, permettant non seulement aux USA, mais aussi à tous les régimes autoritaires de la planète, d’exiger le « déplombage » des téléphones à la pomme, compromettant gravement le respect de la vie privée et les libertés publiques. Le FBI a d’ailleurs fini par admettre qu’il comptait bien s’appuyer sur le succès de la requête de San Bernardino pour pousser d’autres demandes similaires.

    L’affaire a fait pas mal de bruit jusque sur notre rive de l’Atlantique, avec notamment l’amendement Ciotti au projet de loi de réforme pénale, qui prévoyait des amendes allant jusqu’à 2 millions d’euros et d’interdire la commercialisation de produits ou services dont les concepteurs refusent de coopérer avec la justice. Il a été rejeté d’une courte tête.

    C’est donc l’ONU, par la voix de son haut-commissaire aux droits de l’homme, le prince Zeid bin Ra’ad, qui vient de prendre position dans le débat qui oppose Apple au FBI. En l’espèce, l’organisation internationale plaide en faveur de la firme de Cupertino au motif que permettre aux autorités fédérales américaines d’accéder aux données chiffrées d’un iPhone reviendrait à, pour reprendre les termes du prince, « ouvrir la boîte de Pandore » et faire un cadeau aux régimes autoritaires et aux pirates informatiques.

    Le chiffrement et l’anonymat sont nécessaires pour préserver la liberté d’expression et d’opinion, ainsi que le droit à la vie privée. Il n’est pas exagéré de dire que, sans outils de chiffrement, des vies seraient en danger. […] Les autorités risquent d’ouvrir une boîte de Pandore, et cela pourrait avoir des conséquences extrêmement graves pour les droits humains de millions des gens ainsi que pour leur sécurité financière et physique.

    Quoi que l’on pense de l’ONU, de la présence à la tête de la commission aux droits de l’homme d’un prince saoudien et de ses éventuelles arrière-pensées, force est de reconnaître que cet avis est frappé au coin du bon sens. Il est faux de croire que nous sommes placés face à un dilemme entre nos libertés civiles et notre sécurité. Si Apple cède, nous ouvrons effectivement la boîte de Pandore, mais, au-delà de la seule affaire de San Bernardino, nous ne gagnerons rien : qui peut croire, en toute honnêteté, que les terroristes sont assez stupides pour continuer à utiliser des iPhone s’ils savent que le FBI dispose d’un moyen d’accéder à leurs données ?

    En revanche, il est certain que si le constructeur à la pomme cède au FBI, c’est un clou de plus dans le cercueil de nos libertés publiques et de notre droit à l’intimité. Une fois de plus, le terrorisme est une merveilleuse occasion pour nos dirigeants de réduire nos libertés au nom de la sécurité. Et la citation de Benjamin Franklin qui circule beaucoup n’en reste pas moins pertinente :

    Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux.

    http://fr.novopress.info/199138/soutien-inattendu-apple-contre-fbi/#more-199138

  • Calais : Le Drian ordonne la mise à la retraite du général Piquemal pour opposition à l’immigration clandestine

    Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense socialiste et membre du Grand Orient de France, a ordonné la mise à la retraite du général 4 étoiles Christian Piquemal, ancien commandant de la Légion Étrangère.

    Les Échos rapportent :

    Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a demandé que le général Christian Piquemal, ancien patron de la Légion étrangère poursuivi pour participation à une manifestation anti-migrants interdite, soit mis à la retraite. Le ministre a saisi l’armée de Terre afin qu’un conseil de discipline exclut le gradé.

    Jean-Yves Le Drian, fils d’un père communiste de Lorient, membre du club oligarchique “Le Siècle”et fervent soutien de l’Otan, avait déjà procédé à la purge idéologique de l’école Saint-Cyr Coëtquidan. Il avait fait exclure le professeur africaniste Bernard Lugan, en raison de ses idées non conformes avec l’idéologie socialo-marxiste (lire ici).

    Le Drian est également lié à la politique de soutien aux djihadistes en Syrie aux côtés des services de renseignement saoudiens. Il avait reçu l’architecte du djihadisme international, le prince Bandar Ben Sultan, en 2013 à l’Hôtel de Brienne (lire ici). Le Drian est particulièrement impliqué dans les contrats d’armement négociés entre le Parti Socialiste Français et la dictature wahhabite des Al Saoud.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Il y a plusieurs centaines de milliers d’électeurs de droite qui ne reçoivent guère que du mépris et de l’indifférence

    Lu Le Garsmeur a été interrogé par Stanislas Monclar dans Présent du 2 mars, à propos des Cahiers de l'Indépendance. Extrait :

    "[...] Il y a dans notre pays plusieurs centaines de milliers d’électeurs de droite qui ne reçoivent guère que du mépris de leurs représentants Les Républicains, et de l’indifférence de la part du Front national. Une situation d’autant plus surprenante qu’ils fournissent bon nombre de cadres du public comme du privé, qu’ils sont de plus en plus soudés contre le déclin national et les atteintes communautaristes à la personne et qu’ils ont, ma foi, bien autant d’idées que Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé !

    Notre trimestriel vise d’abord à leur offrir des articles de qualité, et à coaguler les oppositions au socialisme décivilisateur et paupérisant. La seconde série de ces Cahiers ‒ qui paraissent à nouveau depuis juillet 2015 ‒ accueille ainsi dans ses colonnes des publicistes, des activistes, des universitaires et des parlementaires ; des étudiants comme des retraités ; des actifs, surtout ; et cette belle jeunesse de France acharnée à défendre la vie, la famille et les libertés. Celle qui n’est d’aucune gauche car elle est éprise à la fois de responsabilité, d’initiative et d’ordre. Bref, nos lecteurs votent sans modération, mais pas sans discernement !

    Car malgré les aspirations des électeurs, les boutiquiers des campagnes électorales et autres commis d’organisations partisanes tiennent encore les murs de la baraque branlante. Contre ce clanisme qui n’a rien de traditionnel, les Cahiers imposent la coopération et la convergence. Que les politiques parlent avec les universitaires, les libéraux avec les patriotes, et qu’apparaisse ainsi en creux, dans toute sa cohérence et son potentiel de succès électoral, ce réalisme français qui fonde notre humanisme et que la situation de la France nous commande de reconvoquer rapidement. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 1917 : Au carrefour de l'histoire

    Le destin de l'Europe a-t-il été scellé cette année-là ? Dans son dernier livre, François-Georges Dreyfus revient sur les « occasions perdues » en 1917, date à laquelle remonterait le déclin du Vieux-Continent.

    Le professeur François-Georges Dreyfus vient de faire paraître son dernier livre, où l'on retrouve la rigueur intellectuelle, l'érudition et la clarté qui sont sa marque. Cet ouvrage, selon ses propres paroles, n'est pas une histoire militaire, ni une histoire événementielle. Ayant pour objet l'étude d'une année charnière – 1917 –, il propose une fresque de l'Europe de la Grande Guerre : analyse pénétrante des États, de la politique et de l'évolution des puissances (y compris les États-Unis arrivant sur la scène internationale), des problèmes socio-économiques, de la révolution culturelle en marche, des prodromes du national-socialisme et du bolchevisme.

    Légèreté des élites

    En cette année, le destin a balancé pour l'Europe, plongée dans une guerre effroyable, engagée avec légèreté par des dirigeants qui n'avaient pas conscience de ce qu'ils déchaînaient. C'est ainsi que Guillaume II se récriait en faisant graver « Ich habe nicht das gewollten » sur le fronton de la grande cheminée du château du Haut Koenigsbourg en Alsace, l'une de ses résidences favorites.

    François-Georges Dreyfus montre avec précision ce qu'était la situation à la fin de 1916, sur tous les fronts et dans chaque pays intéressé. La France avait déjà perdu 900 000 hommes, en l'absence d'une véritable direction de la guerre, tant civile que militaire, et par la faute de la doctrine de "l'offensive à outrance". Le général Pétain, lui, martela que « le feu tue » ; son bon sens lui permit, dans la continuité de la victoire de Verdun, de reprendre l'armée en main après les mutineries de 1917 et de la mener à la victoire – même si un armistice prématuré l'empêcha de procéder à l'offensive qu'il avait préparée pour chasser l'ennemi hors de France. La suite des évènements lui donna raison.

    Négociations de paix

    L'auteur rappelle l'observation formulée par Daniel Ansom dans son Poincaré : « La République souffrait d'un malaise tenant à ce qu'on avait voulu la gouverner en temps de guerre avec des lois faites pour une démocratie en temps de paix. » Il n'y fut porté remède qu'avec les pleins pouvoirs conférés à Clemenceau, mais François-Georges Dreyfus remarque que Poincaré, président de la République, aurait pu être ce chef simplement en appliquant les lois constitutionnelles de 1875 adoptées après la présidence de Mac Mahon et l'institution prétorienne d'un "président du Conseil". Les tentatives de négociation de paix, à l'initiative du nouvel empereur d'Autriche Charles Ier puis du pape Benoît XV, sont au centre de l'ouvrage. Ce furent des occasions perdues qui, comme le rappelle l'auteur, eussent permis non seulement d'éviter la mort d'un million d'êtres humains, mais aussi de garder une Europe maîtresse d'elle-même, avec un empire austro-hongrois rénové assurant son équilibre géopolitique. Les responsabilités sont partagées. Citons, outre l'animadversion des dirigeants

    français francs-maçons, notamment Ribot, envers l'empire catholique des Habsbourg, la détestation du président Wilson pour l'Église catholique et son désir de faire régner, selon la volonté de Dieu, la démocratie américaine sur le monde – désir manifesté notamment par le refus de discuter avec l'Allemagne tant que celle-ci n'aurait pas un gouvernement démocratique. Aujourd'hui encore se poursuit dans le monde une offensive anti-catholique...

    Le troisième opus d'une trilogie

    Ainsi François-Georges Dreyfus invite-t-il à de nombreuses réflexions historiques et géopolitiques. Complétant Les Conséquences politiques de la paix de Jacques Bainville, et son livre 1919-1939 – L'Engrenage, il retrace le déclin de cette civilisation européenne qui avait "fait" le monde grâce au génie créatif de ses peuples, intervenu en dépit d'une brillante période de rémission de 1920 à 1940. Ce fut « le fruit amer de 1917 ».

    Privés de leur rôle international, les États du Vieux-Continent subissent des influences anti-nationales et anti-chrétiennes symbolisées par une Union européenne mondialiste et par une sorte de totalitarisme réducteur de la pensée. Dérisoire rempart contre la dynamique des puissances asiatiques émergentes, alors que les États-Unis maintiennent leur puissance hégémonique. Mais rien n'est écrit, et des forces nouvelles, ainsi que le renouveau d'une Russie chrétienne, pourraient modifier le "concert européen". L'avenir dira si 1917 aura, un jour, une revanche.

    André Pertuzio L’ACTION FRANÇAISE 2000 du 29 juillet au 1er septembre 2010

    3 François-Georges Dreyfus : 1917 – L'Année des occasions perdues ; éditions De Fallois, 415 p., 24 euros.

  • Le 53e Salon International de l’Agriculture ne changera rien à la grande faillite du monde paysan

    Loup Mautin, agriculteur en Normandie, écrit dans Nouvelles de France :

    "Le grand rendez-vous agrico-médiatique annuel vient de fermer ses portes au parc des expositions de Paris. A l’heure du bilan, c’est le sentiment d’une immense occasion ratée qui prédomine. Nous avons vu les banderoles et les t-shirts, nous avons entendus les sifflets et les invectives, nous avons assisté au chahut des éleveurs sur le stand du ministère de l’agriculture, nous avons attendu le commissaire Phil HOGAN à la porte de sa voiture fuyant les lieux, mais tout cela nous laisse sur notre faim.

    Vitrine artificielle d’un monde pourtant bien réel, le 53e Salon International de l’Agriculture ne changera rien à la grande faillite du monde paysan. 40% des exploitations françaises connaissent des difficultés financières et nombreuses sont celles qui disparaitront avant la fin de l’année… probablement sans bruit, mais avec leurs drames et leurs souffrances.

    Il s’agit là d’un monde que nous connaissons bien et que nous aimons.

    Ce sont les paysans du bout des chemins, ceux qui commencent tôt et finissent tard, les pieds dans la boue, les mains gelées et qui ne sont pas allés à Paris. D’ailleurs ils ne vont jamais à la capitale et en sont fiers. Ils ont bien le temps de s’arrêter quelques instants pour boire un café ou rendre un service mais leur travail les préoccupe. Les vêlages, la traite, les travaux des champs sont la priorité. Leur labeur les passionne même s’ils savent que tout cela ne rapporte rien en ce moment. Il faut pourtant tenir comme l’ont fait avant eux leurs parents et leurs grands-parents. Ils ne sont pas dépensiers et possèdent bien quelques économies accumulées lors des bonnes années, mais cette fois la crise est sérieuse. Ils ne le savent pas, mais ils ont été sacrifiés. Alors, ils disparaîtront car leur modèle a été jugé obsolète par l’UE. La lenteur des cycles naturels repoussera l’échéance et fera traîner la fin mais elle sera inéluctable. Contraints et forcés, ils éprouveront alors la honte car ils considèreront cette liquidation comme leur échec. Ils souffriront de la publicité qui en sera faite car à la campagne tout se voit et tout se sait, mais ils ne diront rien.

    Les raisons de cette faillite sont connues. Elles tiennent, surtout, à l’implosion du modèle agricole français qui a perdu toutes ses protections au profit de la concurrence libre et non faussée du grand marché mondial sans frontières, sans régulation, sans quotas, promue par la commission européenne. Son modèle? Les usines agricoles allemandes, avec main d’œuvre bulgare payée à la roumaine, dont les produits ont donné le coup de grâce à nos éleveurs à qui on avait pourtant assuré que les tarifs étaient imbattables.

    Il est encore temps d’éviter cet immense gâchis car la France est auto-suffisante dans de nombreuses productions et si nous protégions le marché français, que nous distribuions dans les restaurants et les cantines les produits de nos régions, nous arriverions à revaloriser nos produits.

    Protégez-nous, rendez-nous notre souveraineté !"

    Michel Janva

  • 30 mille combattants irakiens pour chasser Daech de Mossoul

    Trente mille effectifs des forces armées irakiennes planifient de prendre d'assaut la ville de Mossoul au nord de Bagdad pour en expulser Daech", a déclaré le colonel Christopher Garver, un porte-parole du commandement de la coalition américaine, cité par le journal al-Qods al-Arabi.
    Selon Garver, "huit à 12 bataillons de l'armée irakienne et deux bataillons des peshmergas kurdes s'apprêtent à reconquérir Mossoul où se trouvent près de dix mille miliciens appartenant à Daech".
    S'exprimant au cours d'un point de presse devant des journalistes à Washington, il a prévu que "la ville de Mossoul sera récupérée vers la fin de l'année en cours", ajoutant que "les forces US devront également dresser leur bilan et leur évaluation de la situation".
    D'après ce colonel, les Irakiens sont toujours "en phase de préparation du plan", expliquant que le rôle américain sera "d'accélérer le délai prévu pour les opérations militaires".
    Auparavant, le commandant des opérations al-Anbar, le lieutenant Ismaïl Mahallaoui, a indiqué que "des renforts militaires formés d'une brigade blindée, des commandos de la huitième division de l'armée et des bataillons de combattants de tribus sunnites sont arrivés ce samedi à l'Est de Ramadi, sur la route internationale".
    Selon Mahallaoui, ces renforts sont équipés de tous les équipements et armes nécessaires, et participeront avec la dixième division de l'armée pour reconquérir d'autres régions dans l'ile de Khaldiya à l'Est de Ramadi. L'objectif en est de déloger Daech et de lever le siège imposé sur la population".
    Fin des opérations militaires à Samarra
    Dans la province de Salahedine, à Samarra, les forces irakiennes conjointes ont achevé les opérations militaires après avoir libéré plus de 50 villages. Ces forces ont réussi à évacuer 300 familles détenues par Daech et à désamorcer des dizaines de charges explosives dans les régions libérées.
    Par ailleurs, un dirigeant des forces de la mobilisation populaire, Jabbar Maamouri a confirmé la mort du responsable de la brigade de soutien logistique de Daech au nord de Salahedine avec trois de ses compagnons, alors qu'ils tentaient d'acheminer une importante cargaison de vivres.
    Selon lui, "une force conjointe des forces sécuritaires et des forces de la mobilisation populaire a tendu une embuscade au cœur de l'ile de Sharqat (40 km au nord de Tikrit), à un convoi de camions sur lesquels étaient inscrits "la wilaya de Ninive". Des affrontements ont alors éclaté entre les deux parties, au cours desquels le responsable du soutien logistique à Daech, Abou Hafsa le Marocain a été tué avec trois de ses compagnons".

    Traduit du site alAlam

    al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuVZkuuEFZclZdfZIy.shtml

  • Colloque de l’Institut Iliade : Face à l’assaut migratoire, le réveil de la conscience européenne !

    Le prochain colloque de l’Institut Iliade se tiendra le 9 avril prochain à la Maison de la Chimie, dans le VIIe arrondissement de Paris. Consacré à la nécessaire affirmation de l’identité européenne menacée par l’invasion migratoire, il devrait intéresser nos lecteurs au plus haut point.

    Les exactions de masse commises le soir du Jour de l’An dans de nombreuses villes d’Allemagne et d’Europe annoncent les risques que représente l’immigration massive pour nos peuples et notre civilisation. Le rouleau compresseur est en marche ! Celui, implacable, et mortel, du Grand Remplacement de population, facilité par l’effacement de notre mémoire, de notre identité et de notre légitime fierté d’Européens.

    L’Iliade appelle à un sursaut intellectuel et moral afin de réaffirmer nos valeurs, nos libertés et nos droits sur la terre de nos ancêtres.

    La matinée est consacrée à l’analyse de l’assaut migratoire, avec notamment Bernard Lugan : (« La grande invasion des années 2000, un phénomène sans précédent dans l’histoire de l’Europe et du monde »), François Bousquet (« L’idéologie ‘Big Other’ : les autres avant les nôtres », un diaporama consacré à « Un exemple de submersion migratoire islamique : la situation au Kosovo » ou l’évocation du Camp des Saints avec une discussion entre Christopher Gérard et Jean Raspail.

    L’après-midi vise à définir, face à la menace, les conditions et leviers du nécessaire réveil de la conscience européenne, avec Ivan Blot [« L’Être des nations contre l’avoir des marchands »], Renaud Camus [« La fierté contre la repentance »], Jean — François Gautier [« La pérennité de l’âme européenne »] et Jean-Yves Le Gallou [« Pour la préférence de civilisation »]. Une table ronde animée par Patrick Pehele réunira des représentants de la « Génération 2013 », jeunes engagés dans la Cité dont les initiatives sont autant de « signes du réveil » européen.

    • Samedi 9 avril à partir de 10 h
    • Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75 007 Paris
    • Entrée simple : 10 €
    • Tarif de soutien : 30 €
    • Tarif bienfaiteur : 100 €
    • Inscription sur https://www.weezevent.com/colloque-institut-iliade-2016

    http://fr.novopress.info/

  • La droite nationale entre au Parlement slovaque

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal:

    "Il paraît que « le vote en Slovaquie choque l’Europe et sa propre société ». C’est du moins ce qu’affirme EUobserver, écho du politiquement correct européiste. Car « pour la première fois l’extrême droite » entre au Parlement, avec 14 députés. Certes, en 2012 le parti Notre Slovaquie de Marian Kotleba n’avait obtenu que 1,58% des voix. Mais depuis lors il y a eu les régionales de 2013, où le parti a obtenu 21,3% dans la région de Banska-Bystrica et Marian Kotleba a été élu président de la région. Or le chef nationaliste s’est avéré un gestionnaire particulièrement efficace, diminuant la dette de la région de 5,7 millions d’euros sans emprunt supplémentaire. Le discours contre l’immigration et contre l’islam fait le reste…

    En revanche, le Premier ministre socialiste Robert Fico, bien qu’ayant adopté une ligne intransigeante sur les migrants et sur l’islam, s’est trouvé affaibli par la grogne sociale, et son parti social-démocrate n’a conservé que 49 députés sur les 83 qui lui donnaient la majorité absolue. Plusieurs autres partis sont représentés au Parlement, et Robert Fico n’a pas de coalition majoritaire facile en vue. Il voudra sans doute reconstituer l’alliance de 1994-1998 avec le parti national slovaque (qui lui avait valu d’être exclu du parti socialiste européen). Mais ce ne sera pas suffisant."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/03/la-droite-nationale-entre-au-parlement-slovaque.html