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  • La garde prétorienne, histoire de l'armée romaine.

    La garde prétorienne était une unité de l'armée romaine constituée de soldats d'élite initialement recrutés en Italie. Ces unités tirent leur origine du petit groupe d’hommes dont s’entouraient les magistrats républicains connus sous le nom de préteurs et leur nom du camp des légions romaines où était dressée la tente du commandant de la légion, le prétoire, quand ils partaient en campagne.
    Durant la République romaine il n'existe pas de garde permanente chargée de la protection des officiers généraux. Mais certains officiers choisirent de s'entourer d'une garde de soldats pour assurer leur sécurité, donnant naissance aux premières « gardes prétoriennes ». En cas de bataille, elles interviennent comme une ultime réserve.

    Sous l'empire, les prétoriens constituent la garde rapprochée de l'empereur et une partie de la garnison de Rome. Ils sont dirigés, suivant les époques, par un, deux, ou quatre préfet du prétoire et évidemment par l'empereur lui-même. Jusqu'à Vespasien, le préfet du Prétoire est toujours un chevalier, et cette fonction est la plus haute de l'ordre équestre.
    Ils tirent plusieurs avantages de leur proximité avec l’empereur : les prétoriens sont les seuls à être admis en armes dans l'enceinte sacrée de Rome ; leur temps de service obligatoire est plus court (12 ans au lieu de 16), et leur solde est plus élevée que celle d’un légionnaire. Sous Néron, la solde d'un prétorien était trois fois et demie celle d'un légionnaire, augmentée des primes de donativum, octroyées par les nouveaux empereurs. De grosses distributions d'argent et de nourriture récompensaient la fidélité des prétoriens après l'échec de chaque complot particulièrement grave (tel celui de Messaline contre Claude en 48 ou de Pison contre Néron en 65).
    La garde prétorienne se tenait généralement autour du général ou de l'empereur. Leur rôle était simple, protéger leurs supérieurs hiérarchiques jusqu'à la mort car c'était l'unité d'élite par excellence de l'empire romain qui était capable de faire une percée dans les rangs ennemis ou tenir un flanc par exemple.

    http://racinescharnelles.blogspot.fr/2010/08/la-garde-pretorienne.html

  • Italie : CasaPound marche sur Rome

    Le mouvement CasaPound a organisé cet après-midi une grande marche dans les rues de Rome pour dénoncer l’Union Européenne et sa politique migratoire.

    http://www.contre-info.com/

  • Brexit comme Maastricht, le showbiz à la rescousse !

    Évidemment logique, tristement prévisible : nombre de saltimbanques ne manquent jamais d’être du bon côté du manche.

    Tel qu’on pouvait s’y attendre et tel que c’est advenu, le show-biz britannique se mobilise en faveur du maintien de l’Angleterre en Europe, comme en 1992 pour le traité de Maastricht ; même Johnny Hallyday… Évidemment logique, tristement prévisible : nombre de saltimbanques ne manquent jamais d’être du bon côté du manche.

    Le problème, comme toujours, c’est que l’on a souvent affaire à des petits bras et des demi-soldes ; bref, des recalés du succès. Dans l’actuelle fournée – 282 en tout –, quelques têtes connues émergent néanmoins, dont la très belle Kristin Scott Thomas, le très incolore Jude Law, le très surestimé réalisateur Danny Boyle, le presque totally unknown Benedict Cumberbatch, Sherlock Holmes d’une série TV éponyme mais qui fait un peu honte à l’œuvre de l’immense Conan Doyle. La styliste Vivienne Westwood aussi, ancienne égérie de Malcom McLaren, historique manager des Sex Pistols, à laquelle on doit l’esthétique punk des seventies du siècle d’avant : comprenez, morve au nez et slip sale sur la tête.

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  • Substitution de populations en France : fantasme ou évidence ?

    Plutôt que d’argumenter dans le vide, il est bon de s’accrocher aux chiffres, à condition qu’ils soient aussi exacts que possible.
    En 2012, l’INSEE a publié – avec un retard significatif – le bilan démographique français de l’année 2008… mieux vaut tard que jamais !
    On y apprenait qu’il n’y avait que du fantasme dans les arguments des féaux de Jean-Marie Le Pen et de sa fille qui naviguaient alors (presque) de conserve. Il n’y avait que 5,3 millions d’immigrés nés hors d’Europe (en quasi-totalité issus d’Afrique noire et maghrébine et du Proche-Orient) et il était hors de question de dénombrer les Antillais, par définition citoyens français, même s’ils n’étaient nullement de souche européenne.
    Toutefois, en y regardant de plus près, ces 5,3 millions d’immigrés étaient associés à 6,7 millions de descendants, nés en France et ipso facto naturalisés… le « fantasme » pesait 12 millions, sur 66 millions de métropolitains (soit 18%). Le total reflétait assez bien la réalité que chacun pouvait apercevoir en grandes villes, à moins d’être aveugle et sourd.
    Depuis lors, l’immigration extra-européenne amène, bon an mal an, au moins 100 000 individus annuels (non comptés les clandestins, régularisés à coup de 0,3 million à la fois aussi bien par les gouvernements Fillion que Valls). En huit années, cela fait près d’un million (beaucoup plus en fait si l’on pense aux clandestins)… et n’oublions pas que les Antillais ne sont toujours pas dénombrés.
    Sur les 200 000 naissances métropolitaines annuelles, 25% sont « à risque de drépanocytose » (ce qui ne fut jamais une maladie de « Gaulois » et descendants… on en trouve chez des Européens d’origine sarde ou sicilienne, qui ont bénéficié de razzias de pirates mauresques jusqu’au milieu du XIXe siècle). Sur huit années, cela fait encore 0,4 million (en estimation basse : on ignore le chiffre des naissances exotiques clandestines).
    À l’approche de l’année électorale 2017, la France métropolitaine est riche d’approximativement 13,5 à 14 millions d’extra-Européens, non comptés les clandestins ni une grande majorité d’Antillais (ce qui amoindrit singulièrement la fiabilité de l’estimation), le tout sur une population globale comprise entre 64 et 64,5 millions de résidants (20 à 21% de la population en estimation basse). Comble de bonheur, les 40 000 à 50 000 émigrants annuels sont presque tous des Français de souche européenne.
    Comme le dit notre plantureux Président : « Tout va bien » ! Et le gros marchand de sable poursuit : « Dormez bien les petits ». Le réveil sera terrifiant. L’ennui est que l’on ne pourra balayer le cauchemar grâce à une pirouette mentale. Il faudra bien affronter d’une manière ou d’une autre l’épouvantable réalité. Jouera-t-on le scenario londonien ou le russe ?

    Docteur Bernard Plouvier

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/05/18/substitution-de-populations-en-france-fantasme-ou-evidence-5803357.html

  • A Lyon : le GUD rend hommage à la mémoire de Dominique Venner

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    Communiqué du Groupe Union Défense (Lyon) :

    Le 21 mai 2013, Dominique Venner se sacrifiait dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Par ce geste sacrificiel, il a voulu réveiller la longue mémoire des Européens en "dormition".

    Ce matin, une banderole en son hommage a été accrochée sur un des ponts du Vieux-Lyon.

    Son message est clair : L'Europe s'insurge contre la fatalité !

    "Concernant les Européens, tout montre selon moi qu'ils seront contraints d'affronter à l'avenir des défis immenses et des catastrophes redoutables qui ne sont pas seulement celles de l'immigration. Dans ces épreuves, l'occasion leur sera donnée de renaître et de se retrouver eux-mêmes. Je crois aux qualités spécifiques des Européens qui sont provisoirement en dormition. Je crois à leur individualité agissante, à leur inventivité et au réveil de leur énergie. Le réveil viendra. Quand ? je l'ignore. Mais de ce réveil je ne doute pas."

    Le choc de l'histoire, Dominique Venner, éd. Via Romana, 2011, p. 34

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • "À Saint-Denis, l'islamisation est en marche"

    6a00d83451619c69e201b7c85fb6a1970b-800wi.jpgCe n'est pas un communiqué des Identitaires mais un reportage de Nadjet Cherigui dans Le Figaro. Elle y parle de «Molenbeek-sur-Seine», des trottoirs transformés en une mosaïque de tapis de prière...

    Michel Janva

  • Dominique Venner : PRESENT !

    Le 21 mai 2013, Dominique Venner choisissait une mort sacrificielle pour réveiller les consciences endormies. Les petits ruisseaux qui sont sortis de terre s'écoulent et deviennent peu à peu des rivières. Nous sommes un certain nombre à poursuivre ou à accomplir notre mue depuis cette événement qui nous a placé face à nous même. Notre rapport au monde, à la vie, aux autres, à l'histoire mais aussi à notre territoire ne peut qu'être bouleversé par un geste d'une telle force. La mort de Dominique Venner était un souffle qui avait pour objet d'influer chez nous une force vitale.

    Trois ans après, souhaitons que ce samedi 21 mai permette à de nombreux camarades de réfléchir sur eux-mêmes en tant que personnes et sur eux-mêmes en tant que militants. Sortez marcher en forêt, écrivez vos réflexions dans votre carnet, relisez Dominique Venner ou l'empereur-philosophe Marc-Aurèle. Le premier combat est contre nous même.

    « Il faut choisir, se reposer ou être libre. » Thucydide

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2016/05/21/dominique-venner-present-5804762.html

  • Violences

    Nous vivons un curieux moment, en cette dernière année de quinquennat de François Hollande. Inquiétant, à certains égards. Comment expliquer ce recours à la violence de toute une frange de la jeunesse d’extrême gauche ?

    Il est vrai que certains désignent des excès de répression policière. Mais même si certains faits sont à déplorer, la balance n’est pas égale entre la police et ceux qu’on appelle les casseurs et l’on peut s’inquiéter à juste titre de la charge qui repose sur nos forces de l’ordre, sans cesse sollicitées en cette période d’état d’urgence. Elles n’avaient vraiment pas besoin de cela alors que le pays doit faire face à la menace terroriste. On parle d’extrême fatigue de la part d’unités sans cesse sur la brèche.

    Par ailleurs, comment qualifier le débat public, qui enchaîne polémiques sur polémiques, avec diabolisation de l’adversaire ? Serions-nous condamnés aux échanges de noms d’oiseaux entre « fachosphère » et « bobosphère » ? C’est vrai que l’usage de certains mots peut s’avérer meurtrier sur le plan psychologique et moral. Mais arrive un moment où l’injure perd de son efficacité, tant elle devient banale jusqu’à l’insignifiance. Ainsi, à la suite de la polémique sur l’opportunité d’un concert à Verdun, animé par le rappeur Black M, la ministre de la culture a cru bon s’en prendre à « un ordre moral nauséabond » et le Secrétaire d’État aux anciens combattants a été jusqu’à prédire : « C’est le début du totalitarisme et je dis que c’est vraiment le fascisme qui nous attend. » [...]

    Gérard Leclerc

    La suite sur La France Catholique

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Violences