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Politique magazine : c'est aussi un site à lire, consulter régulièrement, faire connaître ...
Couverture du numéro de septembre de Politique magazine
Une présence sur le net : le site quotidiennement actualisé dePolitique magazine.
Ce site - qui correspond parfaitement à ce que doit être la version numérique d'un mensuel de la qualité de Politique magazine - vit, se développe et se renouvelle rapidement. Il s'agit là de toute évidence, de la réalisation d'une véritable équipe, large, jeune, intelligente et dynamique qui donne à réfléchir sur la politique, l'économie, les idées, l'art et la culture, les faits de civilisation. Bref, il en résulte un site que l'on trouve plaisir et intérêt à consulter régulièrement. Nous lui empruntons souvent ses articles qui nous ont le plus retenus.
Politique magazine l'a présenté dans les termes reproduits ci-dessous. •
Découvrez le site de Politique magazine, mensuel de référence de l’actualité politique depuis plus de 10 ans.
Fier du succès de son site actuel, Politique magazine entend donner un élan plus puissant à la diffusion de ses idées. Son objectif est clair : faire entendre une voix discordante dans le paysage médiatique monocorde d’aujourd’hui. Au cœur de sa réflexion, la question de la légitimité républicaine. Elle se pose, gravement, face à la succession des échecs des différents gouvernements.
Pensé pour la commodité et l’agrément de ses lecteurs, vous retrouverez sur ce nouveau site :
Une information régulièrement mise à jour, autour de trois axes principaux :
« Le meilleur des mondes », où figurent des articles sans concession centrés sur l’actualité politique, sociale et économique ;
« Idées » où sont rassemblés les textes les plus représentatifs de Politique magazine, qui pense que la politique, au sens vrai du terme, fait la sagesse des gouvernements ;
« Civilisation » où se retrouvent des critiques et commentaires de l’actualité culturelle.
L’ensemble des articles publiés dans Politique magazine, accessibles gratuitement pour tous les abonnés grâce à un identifiant et un mot de passe personnel.
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Les journalistes doivent tenir compte de ce peuple qui clique et qui poste
André Bercoff vient de faire paraître Donald Trump, les raisons de la colère. Il déclare au Figarovox :
"[...] Trump est l'un des premiers à avoir compris et utilisé la désintermédiation. Ce n'est pas vraiment l'ubérisation de la politique, mais ça y ressemble quelque peu. Quand je l'ai interrogé sur le mouvement qu'il suscitait dans la population américaine, il m'a répondu: Twitter, Facebook et Instagram. Avec ses 15 millions d'abonnés, il dispose d'une force de frappe avec laquelle il dialogue sans aucun intermédiaire. Il y a trente ans, il écrivait qu'aucun politique ne pouvait se passer d'un quotidien comme le New York Times. Aujourd'hui, il affirme que les réseaux sociaux sont beaucoup plus efficaces - et beaucoup moins onéreux - que la possession de ce journal.
Est-ce une mauvaise nouvelle pour les journalistes?
C'est en tout cas une très vive incitation à changer la pratique journalistique. Contrairement à ceux qui proclament avec légèreté et simplisme, la fin du métier d'informer, on aura de plus en plus besoin de trier, hiérarchiser, et surtout de vérifier et de mettre en perspective. En revanche, l'on pourra de plus en plus difficilement cacher la francisque de Mitterrand ou le magot de Cahuzac, et qu'on le déplore ou pas, avec Wikileaks et autres révélations, il faudra dorénavant compter avec les millions de lanceurs d'alertes qui feront, pour le meilleur et pour le pire, œuvre d'information, à tous les niveaux. Le monde n'est pas devenu peuplé de milliards de journalistes, mais les journalistes doivent tenir compte de ce peuple qui clique et qui poste. [...]
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Juppé, Sarkozy, Copé, Fillon NKM, Le Maire… où est la droite ?
Tout sera fait, finalement, pour que tout change sans que rien ne change.
Et de huit ! Nathalie Kosciusko-Morizet (NKM) aurait, selon ses dires, réuni l’intégralité de ses parrainages qui lui permettront de participer aux « primaires de la droite ». La dame vient, ainsi, grossir les rangs des putatifs de son camp, tous masculins, Nadine Morano ayant déclaré forfait (à l’instar d’Henri Guaino, d’ailleurs), malgré une forte mobilisation de ses soutiens ces jours derniers. Et exeuntFrédéric Lefebvre, Geoffroy Didier ou l’illustre inconnu Hassen Hammou, revenus à leurs collages et tractages de cantons.
D’ici à quelques semaines, le député de l’Essonne, ex-ministre de son concurrent Sarkozy, va se mesurer à celui-ci et aux autres caciques promettant de laver plus blanc que blanc, tous ayant pour dénominateur commun de « vouloir faire de la politique autrement », antienne répétée ad nauseam, à droite comme à gauche, à qui ne souhaite plus l’entendre.
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A suivre
« Deux mois et demi après le référendum, les bons chiffres se succèdent sur la consommation, les services ou l’industrie. » « L’effondrement de l’économie britannique prédit par l’ex-chancelier de l’Échiquier, George Osborne, en cas de victoire du Brexit, ne s’est pas produit » relevait Le Figaro ces dernières heures. Les prédictions apocalyptiques pour instiller la peur, dissuader les électeurs de quitter l’enclos du Système, atteignent désormais leur obsolescence programmée à une vitesse accélérée. Un souci de plus pour la Caste politico-médiatique qui va mettre dans les mois à venir les bouchées doubles pour empêcher toute alternative nationale, souverainiste, populiste, patriotique. Dans cette entreprise, le quotidien Libération de l’homme d’affaire Patrick Drahi, se veut un propagandiste zélé de l’antimarinisme et de l’antifrontisme. L’inénarrable Jonathan Bouchet-Petersen, modéle de langue de bois et de conformisme, explique dans ses colonnes que « Libération va lancer début octobre Un œil sur le Front, son observatoire du FN et de la droite extrême. Avec l’ambition d’en faire la plateforme de référence », « Un site (…) pour montrer, analyser, repérer, révéler ou comparer, mais aussi pour dénoncer, désintoxiquer » ‘(sic) . Et ce » en partenariat avec la Fondation Jean-Jaurès (liée au PS, NDLR) et l’agence la Netscouade », dirigé par Benoît Thieulin, ami d’Edwy Plenel, membre du conseil d’administration du groupe de réflexion (« think-tank ») socialo-progressiste Terra Nova. Tout cela n’aura aucune incidence sur les résultats des élections de 2017 (Libé comme Le Monde n’étant qu’un journal de l’entre soi) mais contribuera aubruit de fond antinational, la petite berceuse qui permet aux élites de se rassurer à bon compte.
Certes, le « machin » y va aussi de son rituel petit couplet contre « l’Axe du Mal. » Le Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, le Jordanien Zeid Ra’ad Al Hussein, lors d’une conférence sur la sécurité et la justice aux Pays-Bas, a attaqué lundi Donald Trump, Nigel Farage, Viktor Orban, Geert Wilders et Marine Le Pen, accusés de de recourir à une dangereuse « stratégie de la peur ». « A travers son mode de communication, ses demi-vérités, ses simplifications excessives, la propagande de l’Etat islamique utilise des tactiques semblables à celles des populistes. »
« Ce que monsieur Wilders partage en commun avec monsieur Trump, monsieur Orban, madame Le Pen ou monsieur Farage, il le partage aussi avec l’Etat islamique. Ils cherchent tous, dans des degrés divers, à faire ressurgir un passé merveilleux et pur où les champs ensoleillés sont habités par des peuples unis par l’ethnicité et la religion (…) Un passé qui n’a jamais existé, nulle part. » Il est assez facile de rétorquer à ce prince jordanien que le futur que nous promettent les idéologues mondialistes, à coup de demi-vérités, de simplifications excessives et de propagande, n’a jamais existé nulle part« … et n’a aucune chance de voir le jour autrement que par le chaos.
Donald Trump lui aussi serait assuré de perdre en novembre face à la très inquiétante Hillary Clinton selon les spécialistes , ce qui n’empêche pas un » trump-bashing » massif et à sens unique sous nos latitudes. Dans Les échos, Lucie Robequain résume la situation: « Donald Trump n’a en fait pratiquement aucune chance de rassembler les 270 délégués nécessaires pour accéder à la Maison-Blanche. D’abord, parce que la carte électorale avantage massivement les démocrates » et parce que M. trump « ne défend aucune mesure susceptible de séduire les minorités (Noirs, Latinos, homosexuels, etc.) » pouvant faire basculer des « Etats clés. »
« La démographie est-elle à ce point défavorable que les républicains n’ont aucune chance de reconquérir la Maison-Blanche ? Certains le pensent… D’autres estiment que c’est au Parti républicain de faire son aggiornamento en s’ouvrant aux minorités. Donald Trump a totalement échoué de ce point de vue-là. Sourd aux conseils de son entourage, il s’est concentré sur un pan extrêmement étroit de l’électorat : l’homme blanc du Midwest. Pratiquement toutes les autres populations lui échappent : Hillary Clinton affiche ainsi une très confortable avance auprès des femmes (51 %, contre 35 % pour Donald Trump), des Noirs (91 % contre 1 %), des jeunes (46 % contre 34 %) et des diplômés (47 % contre 40 %). »
Question des minorités aux Etats-Unis qui a son pendant en France avec celui du vote des Français issus du continent africain, de l’immigration arabo-musulmane. Sous la plume d’Anna Villechenon,Le Monde s’arrêtait le 3 septembre sur le collectif FN Banlieues patriotes dirigé par le jeune dyonisien Jordan Bardella, conseiller régional FN d’Ile-de-France, dans une optique de réconciliation nationale, de pédagogie, d’explication du programme frontiste dans les banlieues.
Ce ne sera pas facile: « Historiquement, ces zones ont toujours voté massivement à gauche, et c’est encore le cas. L’idée qu’elles se mettent de plus en plus à voter Front National est un fantasme, souligne Jérôme Fourquet, directeur du département opinion à l’IFOP. Selon lui, non seulement il n’y a pas de vote frontiste massif dans les banlieues, mais il y a en plus une mobilisation anti-FN assez importante, particulièrement au second tour en cas de duel entre le FN et la droite ou la gauche. »
» Ils (les membres du FN, NDLR), peuvent réussir à séduire un électorat arabo-musulman sur certains points, notamment sur l’insécurité souvent très forte dans ces quartiers, estime Jérôme Fourquet. Mais, à partir du moment où le principe actif du vote frontiste demeure le rejet de l’immigration et la crainte de l’islamisation, je ne vois pas comment le FN peut s’adresser efficacement à cette population et se poser comme une alternative à la gauche et à la droite. » « C’est un blocage idéologique insoluble. Mais c’est aussi le prix à payer pour faire de bons scores auprès d’un électorat sensible à la thématique des méfaits attribués à l’immigration. »
« On a observé souligne encore M. Fourquet, à Marseille notamment, que c’était justement dans les bureaux de vote où résidait majoritairement une population issue de l’immigration que le FN réalisait ses plus faibles scores et, qu’inversement, c’était dans les quartiers et bureaux de vote à faible proportion de personnes issues de l’immigration (mais jouxtant souvent les bureaux précédemment évoqués) que le FN obtenait ses scores les plus importants. »
Sur le site Polemia, Etienne Lahyre, valide implicitement l’ analyse de M. Fourquet , telle qu’elle est détaillée dans » l’ouvrage collectif dirigé, et principalement écrit, par Jérôme Fourquet » (Karim vote à gauche et son voisin vote FN), qui « (confirme) de manière scientifique le caractère particulièrement homogène du vote arabo-musulman » en faveur de la gauche.
« Il semble que le comportement électoral des musulmans ait consisté jusqu’à maintenant à voter pour les plus faibles » note M. Lahyre : « la gauche des curés xénophiles, qui a substitué l’immigré à la figure du prolétaire bien de chez nous qu’elle méprise depuis qu’il lui a fait faux bond en 1968. Cette gauche héritière de Bourdieu et Foucault, qui voit le monde par le prisme exclusif de ladomination, considère que l’immigré extra-européen a été, est, et sera toujours un dominé ; et qu’à ce titre il doit être défendu envers et contre tout. »
« Tel est le fondement premier de la pensée des islamo-gauchistes. Mais ceux-ci ne sont en réalité que les idiots utiles de l’islam (…) Pour conquérir, il faut saper les identités nationales. Les études électorales consécutives au Brexit du 23 juin dernier ont révélé que 70% des musulmans avaient voté (…) pour le maintien de la Grande-Bretagne dans une Union européenne, libérale-libertaire, fondée sur la religion des droits de l’homme et la souveraineté de l’individu (valeurs bien éloignées de l’islam) mais dont l’objectif principal est surtout la destruction des Etats-nations qui la composent, de leur souveraineté et de leurs défenses immunitaires. L’Europe a un credo : le refus de l’ennemi, le pacifisme intégral comme vertu cardinale. Ses habitants lobotomisés, dévirilisés, persuadés que l’UE les conduit vers un paradis post-historique, feraient d’excellents dhimmis, bien plus aisément soumissibles que des citoyens d’un Etat-nation libre et souverain. Les musulmans britanniques ont voté pour les européistes, pour les plus faibles. »
« Pour ceux qui en doutaient encore, la défense de l’identité nationale française est intimement liée au combat en faveur de notre souveraineté. Sous couvert de lutte contre les discriminations,l’Union européenne et la Cour européenne des droits de l’homme imposent progressivement une préférence étrangère de fait (…). Elles privent les Etats de toute marge de manœuvre en ce qui concerne la politique migratoire. Pour pouvoir redevenir elle-même, la France doit d’abord quitter l’Union européenne et dénoncer la Convention européenne des droits de l’homme. »
Reste qu’il s’agit aussi de ne pas considérer, de notre point de vue, les populations musulmanes, d’origine ou de culture musulmane, comme un bloc homogène, une communauté animée par une volonté opiniâtre de détruire nos Etats nations, notre civilisation européenne…du moins ce qu’il en reste encore debout. M. Fourquet lui même le soulignait dans son entretien au Monde évoquant Banlieues Patriotes, « Si le FN parvient à passer dans l’électorat issu de l’immigration de moins de 5 % à 10 % ou 15 %, cela peut représenter une marge de progression non négligeable au niveau global. » Et participer de notre indispensable accession au pouvoir. D’autant que comme l’a déjà dit Bruno Gollnisch, une partie des Français issus de cette immigration là a également vocation à nous rejoindre. Elle est certes encore très minoritaire, rien ne prouve qu’elle ne le restera pas, mais cette main doit être tendue par le FN, et les initiatives patriotiques, comme notamment celle de l’association Fils de France de Kamel Bechikh, suivies avec intérêt.
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Angela Merkel vacille au Mecklembourg-Poméranie occidentale
Leif-Erik Holm, tête de liste de l'AfD au Mecklembourg-Poméranie occidentale, fête la victoire.
Lionel Baland EuroLibertés cliquez ici
Lors des élections pour le Parlement du Land de Mecklembourg-Poméranie occidentale de ce 4 septembre 2016, la CDU d’Angela Merkel arrive en troisième position avec 19 % des voix. Le Parti social-démocrate SPD est premier avec 30,6 % et le parti patriotique AfD (Alternative pour l’Allemagne), nouveau venu, obtient 20,8 % des voix. Les post-communistes de Die Linke sont quatrième avec 13,2 %.
Les deux faits remarquables de ce scrutin sont que l’AfD dépasse la CDU et que l’AfD obtient trois mandats directs.
Mandats directs
Les électeurs allemands disposent de deux voix. La première est accordée lors d’un scrutin majoritaire uninominal à un tour et la deuxième lors d’un scrutin de listes au niveau de l’ensemble du Land. Au sein de trois des 36 circonscriptions du Land de Mecklembourg-Poméranie, l’AfD est arrivée première malgré la présence du parti ultranationaliste NPD qui y a obtenu de bons résultats.
Une région peu prospère
Le Mecklembourg-Poméranie occidentale est un des seize Länder (États) de la République Fédérale d’Allemagne. Située dans l’est du pays sur la mer Baltique, cette très belle région attire des touristes, quasi-exclusivement allemands, en juin et juillet lorsque la météo y est clémente. Certaines années, le beau temps se fait attendre et les touristes, notamment berlinois, s’y font rares.
Durant la période de plus d’un quart de siècle qui nous sépare de la chute du communisme, le Mecklembourg-Poméranie a connu, à l’instar des autres régions de l’ancienne République Démocratique Allemande, des changements radicaux, appréciés diversement par les habitants.
Si l’afflux massif de capitaux venus de l’ouest a inondé l’Est à partir du début des années 1990, la population, qui a vu le niveau matériel de son existence s’améliorer, a dû faire face à un chômage de masse, phénomène inconnu sous le communisme, et à une modification complète de son cadre de vie. Après la réunification du pays en 1990, de nombreux travailleurs ont été contraints de partir vers l’ouest du pays afin d’y trouver un moyen d’existence.
Si certaines zones de l’est de l’Allemagne, comme Dresde qui est la capitale du Land de Saxe, ont connu un fort développement économique au cours des dernières années, d’autres sont toujours lésées par la prospérité. Coupés de ses liens naturels avec la ville et le port de Stettin (Szczecin) devenus polonais à l’issue de la IIe Guerre mondiale, les villages et villes de l’est du Mecklembourg-Poméranie occidentale sont dans ce cas. Certaines habitations sont à l’abandon et les petites villes voient quelques-uns de leurs appartements rester vides. Le coût de l’immobilier y est relativement bas, alors que dans les métropoles du sud de l’Allemagne, telles Stuttgart et Munich, les logements sont hors de prix. C’est dans cette partie orientale du Mecklembourg-Poméranie occidentale que l’AfD obtient trois mandats directs.
La question des migrants
À côté de la faiblesse démographique et économique du Mecklembourg-Poméranie occidentale, la question de la migration a joué un rôle prépondérant lors de ce scrutin. En effet, l’afflux massif de migrants survenu en 2015 suite à l’ouverture des frontières par la Chancelière Angela Merkel a changé la structure des villes et villages de ce Land jusqu’alors non-peuplé d’étrangers. De plus, les actes de violences, attentats, agressions sexuelles et viols commis par les migrants à travers l’Allemagne, ainsi que les nombreuses agressions sexuelles dans les piscines, conduisent à un rejet de plus en plus profond, de la part d’une partie de la population, des migrants.
L’est, moins touché par la propagande du régime
Mais la différence principale entre ces zones économiquement modestes de l’est de l’Allemagne et l’ouest prospère du pays réside avant tout dans le fait que dans l’est du pays, le système actuel n’a pu mettre en place sa propagande de masse, via les médias et l’enseignement, que depuis un quart de siècle. Les personnes de plus de 45 ans n’ont pas été scolarisées sous le régime actuel.
Chez les marchands de journaux de l’est, il est courant de trouver une liasse d’exemplaires d’un quotidien communiste et, un peu dissimulée, une liasse d’exemplaires d’un journal nationaliste, alors que dans l’ouest du pays, ces organes de presse ne sont pas disponibles dans ce genre d’établissement.
Les habitants les plus âgés de l’est ont également l’habitude de la résistance à l’État. Ainsi, la ville de Dresde s’est rendue célèbre à travers le pays par les manifestations organisées par le mouvement anti-islamisation PEGIDA, qui a pu y attirer, certains lundis, plusieurs dizaines de milliers de personnes. La même organisation n’a pu rassembler dans les cités de l’ouest, telles que Munich, Nuremberg, Duisbourg ou Hanovre que quelques centaines de personnes.
La circonscription d’Angela Merkel
La Chancelière d’Allemagne Angela Merkel a été élue député national en 2013 au sein d’une circonscription électorale située au Mecklembourg-Poméranie occidentale. Bien que la CDU arrive première dans la zone de cette circonscription, le parti est largement battu, tant par le SPD que par l’AfD, au niveau du Land Mecklembourg-Poméranie occidentale.
Qui a voté pour l’AfD ?
Les ouvriers et les chômeurs sont surreprésentés parmi les électeurs de l’AfD, ainsi que les hommes, les personnes ayant fait peu d’études, les individus d’âge moyen ainsi que les électeurs qui se sont abstenus lors du scrutin précédent. L’AfD est également allé pêcher parmi les électeurs des autres partis.
Qui siège au sein du nouveau Parlement ?
Les écologistes et les ultranationalistes du NPD ne siègent désormais plus au sein du Parlement et les libéraux-centristes du FDP n’y entrent pas. Quatre partis se partagent les 71 sièges : les sociaux-démocrates du SPD disposent de 26 sièges, les patriotes de l’AfD de 18 sièges, la CDU de 16 sièges et les post-communistes de Die Linke de 11 sièges.
Le prochain gouvernement du Land devrait être SPD-CDU, comme précédemment, ou SPD-die Linke, bien que cette dernière solution conduise le nouveau gouvernement à devoir s’appuyer sur une majorité très étroite.
Conséquences du scrutin
Malgré cette raclée électorale au sein du Land de Mecklembourg-Poméranie qui compte seulement 2 % de la population allemande, Angela Merkel ne modifiera probablement pas fondamentalement sa politique migratoire. La contestation au sein de la CDU, même si elle existe, ne conduira pas à un soulèvement contre la chancelière car celle-ci a décapité depuis longtemps les poids lourds de l’aile conservatrice du parti.
Angela Merkel est, bien qu’elle ne l’ait pas annoncé officiellement, candidate à sa propre succession à l’issue des élections législatives de 2017. La défaite de son parti lors du scrutin au Mecklembourg-Poméranie ce 4 septembre 2016 la fragilise. Le parti-frère bavarois CSU, qui critique fortement la politique migratoire d’Angela Merkel, sort renforcé et pourrait bien vouloir imposer son dirigeant le Ministre-président de Bavière Horst Seehofer comme candidat de l’Union (CDU-CSU) à la Chancellerie.
La CSU, restant fidèle à la célèbre déclaration de sa figure de proue Franz Josef Strauß (1915-1988) « Il ne doit pas exister de parti démocratiquement légitimé à la droite de la CSU », ne peut que reprocher à Angela Merkel d’avoir, par son virage à gauche, ouvert une énorme brèche au sein de laquelle l’AfD a pu s’engouffrer. Ce parti siège désormais au sein des Länder suivants après avoir obtenu : 5,5 % à Brême, 6,1 % à Hambourg, 12,6 % en Rhénanie-Palatinat, 15,1 % au Bade-Wurtemberg, 10,6 % en Thuringe, 9,7 % en Saxe, 12,2 % en Brandebourg, 24,2 % en Saxe-Anhalt.
Le 18 septembre 2016 auront lieu les élections pour le Parlement du Land de Berlin et l’AfD devrait faire son entrée au sein de cette assemblée. Le parti patriotique siégera alors au sein de l’ensemble des parlements de l’est du pays.
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Camp Maxime Real del Sarte 2016 - Compte rendu
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Hillary Clinton et la Fin du Monde
Internet et la culture libertaire du web ne peuvent rien contre la télé, ni contre la bêtise humaine. 90% des gens restent rivés toute leur vie devant leur télé, gobant ses messages et ses ordures, pendant que leurs gosses sont rivés nuit debout devant leur Pokémon-Go, transformés en marionnettes des Annunaki ou d’on ne sait quelle sub-agence de la CIA ou de la NSA. Et quand ils sont sur le web, les 90% cherchent à commander un sushi aux hormones, à consulter un site porno, à rechercher entre deux attentats une piaule de bonne à mille euros.
Le fascisme médiatique exercé contre Donald Trump va faire élire l’épouse cocue Clinton. Elle aura été élue par les médias, les oligarques US et par la plèbe (je reprends le mot utilisé par Todd) multiraciale, obèse et gavée de télé. Peter Brimelow la décrit très bien dans son Alien Nation, quand en 1992, le mari Clinton fut élu pour promouvoir ces différents agendas : liquidation démographique de son pays ; destruction de l’Europe ; programmation de la guerre éternelle pour la paix éternelle, pour parler comme l’historien Charles Beard.
Clinton-femme élue, elle fera en premier lieu la guerre à la Syrie et à la Russie. Si Erdogan est alors allié de Poutine, nous aurons une guerre européenne comme celle de quatorze, avec notre destruction à la clé. La Russie et la Turquie seront les nouveaux empires centraux, les nouvelles puissances de l’axe pour nos éminents imbéciles. Feront l’affaire les éternels idiots utiles polonais, mais aussi les nationaux-traîtres Hollande et Merkel, qui salueront béats la guerre contre les nouveaux Hitler, guerre destinée à « faire du monde lieu plus sûr pour la démocratie ». Le week-end suivant la destruction de la vieille Europe, la grosse impératrice Clinton, en femme pourpre de cette Apocalypse, déclarera sa guerre à la Chine pour préserver trois îlots et son allié vietnamien ; ces communistes se seront pris un milliard de bombes pour finir inféodés au capital.
La folie de Clinton est claire et nette ; l’abrutissement de la masse aussi. La masse répète ce que disent les médias tout en se convainquant qu’elle est libre et pense par elle-même. La plèbe de Clinton représente cinquante millions de ploucs multiraciaux gavés aux Food Stamps. On est nourris pour regarder la télé, pour voter Hillary et pour déclarer la guerre à la Russie. C’est l’empire romain d’occident à l’échelon (clin d’oeil à la NSA) terrestre, et tant pis pour les gaulois que nous sommes et que nous resterons.
Que Clinton soit une psycho bonne pour le bagne n’est ici que secondaire. Car on a créé le monde d’imbéciles et d’invertis universels dont ont rêvé depuis toujours les élites les plus dégénérées. Tout ce qu’on peut espérer, quand leur candidate luciférienne aura appuyé sur les petits boutons rouges, c’est que les russes mettront le paquet et que les sagouins y passeront aussi.
Et vous verrez que déjà morts, comme cet électorat moribond, ils ne s’en rendront même pas compte.
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S’ADAPTER…ou …S’EN ALLER…
Pieter Kerstens
La volonté progressiste de métissage à tout prix et l’obligation de « société multiculturelle » imposée par les mondialistes depuis 40 ans, n’a plus rien à voir avec l’immigration des années 60’ et constitue un danger pour l’équilibre et l’identité de notre société confrontée à l’Islam conquérant. A tel point que le Système essaye de nous convaincre du bien-fondé de ses chimères avec les slogans farfelus du « Vivr’ensemble » et du « Padamalgam ». Mais partout en Europe, la réalité des faits contredit l’utopie de leur idéologie sectaire.
Les débats, discussions, polémiques et autres diatribes stériles qui entourent le port ou l’interdiction du voile ne font qu’alimenter le doute dans l’esprit lobotomisé d’une majeure partie de la population.
Que ce soit à Séville ou à Stockholm, à Brest ou à Budapest, l’interdiction absolue du port de signes ostensibles d’appartenance religieuse en milieu scolaire (privé ou public) est contesté par les islamophiles de toutes origines.
Mais la Cour Européenne des Droits de l’homme a estimé, le 30 juin 2009, que cette interdiction généralisée était bel et bien compatible avec la liberté de conscience et de religion, inscrite à l’article 9 de la Convention européenne des droits de l’homme.
Les chefs d’état et de gouvernement des 27 pays de l’Union Européenne devraient donc appliquer stricto sensu cette décision de l’instance supérieure. Il n’en est rien et l’on constate depuis des années que les fanatiques du hijab, du tchador et même de la burqà trouvent un malin plaisir à augmenter la pression dans l’enseignement et dans l’Administration.
Alors, soyons clairs : l’Europe est une terre de cathédrales et de beffrois ! Non de mosquées et de minarets.
Ce n’est pas parce qu’un cheval naît dans une étable qu’il deviendra une « vache » ; de même pour un agneau qui naîtrait dans un poulailler ne pourra être appelé un « poussin ». Il est urgent d’abolir le droit du sol et de rétablir le Jus Sanguinis !
Il faut remettre les choses à leur juste place et dans l’hypothèse vraisemblable où des centaines de milliers d’immigrés (qu’ils soient de la première ou de la sixième génération importe peu) refusent toute assimilation, intégration, adaptation et respect de NOS coutumes, de NOS traditions, de NOTRE mode de vie, de NOS règlements et de NOS lois, ils ont le choix de partir AILLEURS, là où cela leur conviendrait mieux.
En effet, ce n’est pas parce qu’ils ont été « régularisés » puis « naturalisés » que ces allogènes peuvent prétendre maintenant nous imposer LEURS coutumes, LEURS usages, LEURS traditions et LEUR civilisation. Aujourd’hui ils assassinent nos enfants et nos femmes, au nom du « Djihad », en les écrasant avec un camion ou égorgent un prêtre sur l’autel de son église !
Depuis des décennies, les conservateurs, les libéraux, les démocrates, les socialauds marxistes, les écolos, les trotskystes, les libres penseurs, les laïcistes et les francs-maçons ont vidé les églises pour remplir les mosquées. Ces collaborateurs de l’invasion musulmane nous ont imposé le ramadan, la nourriture hallal dans les cantines scolaires, le bruit des babouches, l’odeur du lait rance et de la viande de mouton avariée.
Ce sont eux les complices de la 5ème colonne qui occupent les Zones de Sécurité Prioritaire et les quartiers de « non droit ». Ces félons devront être jugés et punis !
Quant aux sarrasins qui occupent temporairement nos quartiers : PERSONNE NE LES RETIENT !!!
Si l’on accepte la véracité des faits, 16.000 Congolais ont été expulsés d’Angola en 2 mois, selon une annonce du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) de l’ONU à Kinshasa (paru in « Jeune Afrique » n° 2544).
De leur côté, les autorités de la République Démocratique du Congo ont, en 3 mois, rapatrié 50.000 Angolais qui se trouvaient en situation illégale depuis des années.
Et auparavant, ce sont le Laos, le Koweït, la Birmanie, l’Arabie Saoudite et l’Afrique du Sud qui avaient expulsé, en quelques jours, des dizaines de milliers d’illégaux vivants clandestinement dans ces pays.
Alors, pourquoi ce qui est possible ailleurs, ne le serait-il pas en Europe ?
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ZOOM - Gilles Ardinat - Démographie mondiale : la question du siècle ?
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