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  • Election départementale à Orange : la Ligue du Sud a su mobiliser

    Les chiffres montrent que La Ligue du Sud est le parti qui perd le moins de voix par rapport à 2015 :

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    Bernard Antony s'en réjouit :

    "Yann Bompard avait précédemment remporté son élection de conseiller général d’Orange avec quelques voix d’avance sur le candidat du FN. Ce dernier ayant obtenu l’annulation en raison de cet écart trop faible, une nouvelle élection a eu lieu hier.

    Dès le 1° tour, Yann Bompard dispose d’une avance considérable. Avec plus de 41 % des voix, il devance cette fois très largement le candidat de Marion Maréchal (25 %). C’est évidemment dû au mérite de Yann qui s’est rapidement affirmé comme un élu efficace. Comme ses parents : Marie-Claude, maire de Bollène, et Jacques, député et maire d’Orange.

    Il est vrai aussi que Marion Maréchal qui n’est peut-être pas tout à fait la nouvelle « Jeanne d’Arc » que certains s’efforcent de voir en elle, ne s’entoure pas toujours très bien. Ainsi a-t-elle engagé comme « nègre » le sieur Jacques de Guillebon qui, ne sachant rien de la législation antiraciste, avait attaqué l’AGRIF comme si on y considérait le catholicisme comme une race (sic !). Cet infatué ne savait même pas que la loi Pleven de 1972 dite antiraciste considère les délits perpétrés « en raison de l’appartenance à une race, à une nation, à une religion ».

    On ne fut pas surpris de le retrouver parmi les néo-cathos qui, pour être dans le vent des cultureux, dénigrèrent les opposants courageux aux spectacles ignobles de dérision anti-chrétienne, contre lesquels s’éleva l’AGRIF. Avec tout le pays réel du catholicisme de conviction.

    Le voilà aujourd’hui dans le registre de ceux qui, parmi les ouvriers de la onzième heure, croient nécessaire de cracher sur ceux de la première. Ignorant que Bernard Antony n’est plus au Front National depuis douze ans, il a cru bon de dénigrer injurieusement les « aînés » de Marion symbolisés pour lui  (pas pour elle, du moins espérons-le) par « Bruno Gollnisch et Bernard Antony » (sic).

    À l’évidence, il ne sait pas non plus que ceux qui sont dans le conformisme jeuniste du mépris pour « les vieux cons » sont toujours assurément perçus par le peuple comme des « jeunes cons ». Que pense de cela son cousin Hervé de Lépinau, ancien vice-président de la Ligue du Sud, suppléant de Marion et qui fut l’avocat de l’AGRIF à Avignon dans l’affaire Piss Christ ?"

    Michel Janva

  • Louveciennes deviendra Calais !

    À Louveciennes, l’installation d’un camp de migrants projetée en secret par le préfet – le maire et les habitants ont été alertés par des fuites dans la presse – suscite inquiétude et colère.

    Jeudi soir, c’est dans une salle archi-comble que le maire de cette ville bourgeoise et familiale non loin de Versailles a tenu une réunion publique. Le préfet n’a pas souhaité s’y rendre.

    http://www.bvoltaire.fr/reportage/louveciennes-deviendra-calais,285922

  • Quand "Le Monde" relate la Journée de Synthèse nationale, ça donne : Jean-Marie Le Pen navigue dans les eaux radicales de « Synthèse nationale »

    Le Monde Droite extrême cliquez ici

    Le Front national ne veut plus de lui ? Qu’à cela ne tienne. Jean-Marie Le Pen a décidé de grimper sur toutes les tribunes où il est encore invité à s’exprimer. Y compris les plus radicales.

    Le député européen était l’invité d’honneur, dimanche 2 octobre, de la revue identitaire Synthèse nationale, qui fêtait ses dix ans, à Rungis (Val-de-Marne). Dirigée par Roland Hélie, un ancien du FN, période années 1980, cette revue – dans laquelle le pro-nazi belge Léon Degrelle, ancien de la division SS Wallonie, est traité avec égards – se veut un pont entre les différentes chapelles de l’extrême droite radicale.

    Un panel radical

    De fait, le panel était large. Entre l’ancien chef skinhead Serge Ayoub, le patron du Parti de la France Carl Lang, celui des néopaïens de Terre et peuple Pierre Vial, le responsable de l’association islamophobe Riposte laïque Pierre Cassen, ou encore le chef de file des identitaires de la Ligue du Midi Richard Roudier, c’était ambiance « auberge espagnole » dans les couloirs de l’espace Jean-Monnet, notait en s’amusant un participant. La légèreté en moins.

    Sur les stands, les convives – Roland Hélie revendiquait la présence de 700 personnes – avaient le choix pour faire leurs emplettes : portraits du maréchal Pétain, bagues arborant une croix de fer ou une croix celtique, livres aux titres évocateurs (Ces Français qui ont choisi Hitler, Adolf Hitler, chef d’Etat et chef de guerre)… Mais aussi CD des Brigandes, le girls band adepte du salut nazi, qui s’est produit en fin de journée, après les différentes tables-rondes.

    Carl Lang fait huer Marine Le Pen

    Un peu plus tôt, Jean-Marie Le Pen avait suscité une franche curiosité à son arrivée dans les lieux. Alors qu’il répondait aux questions de la presse « amie », un homme s’est posté à quelques mètres de lui pour effectuer un salut nazi, avant de repartir tout sourire, comme si de rien n’était.

    L’ancien président du FN s’est retrouvé sur scène aux côtés, entre autres, de son vieux compère Roger Holeindre, cofondateur du parti d’extrême droite en 1972, de Carl Lang, ou encore du chef de file du Vlaams Belang belge Filip Dewinter.

    Carl Lang est parvenu à faire huer sans trop de difficulté Marine Le Pen (« Il y a eu la volonté d’offrir sous une forme d’holocauste la tête de Jean-Marie Le Pen à des forces de l’anti-France »). Filip Dewinter, lui, s’est attiré des applaudissements en dénonçant « la troisième invasion musulmane de l’Europe » et en défendant la nécessité de « rejeter l’islam de l’autre côté de la Méditerranée » et de préserver la « civilisation européenne et blanche ». Le Vlaams Belang est allié du FN au niveau européen.

    Jean-Marie Le Pen cite Brasillach

    Enfin, Jean-Marie Le Pen a pris à son tour la parole. Le temps pour lui de citer l’écrivain collaborationniste Robert Brasillach, de pointer le péril de « l’explosion démographique » et de s’interroger pour savoir si « nos temps » ne sont pas « ceux de la fin du monde ». « Le principal problème, parce qu’il est mortel, c’est l’immigration massive. C’est elle qu’il faut bloquer, avant même d’organiser la rémigration. C’est cela, ou ce sera la disparation de notre peuple », a lancé le patriarche de 88 ans, faisant se lever la salle.

    L’ancien candidat à la présidentielle était accompagné de son avocat Me Frédéric Joachim, qui va plaider, mercredi 5 octobre, devant le tribunal de grande instance de Nanterre pour la réintégration de Jean-Marie Le Pen au sein du FN. Même s’il parvenait à ses fins, ses pérégrinations radicales le rendent a priori peu compatible avec la stratégie de normalisation du parti dirigé par sa fille. Cette dernière lancerait, à n’en pas douter, une nouvelle procédure d’exclusion contre son père.

    Olivier Faye

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Ho ! Hé ! Lâchez-nous la grappe avec le Front national !

    Le FN, faute d’avoir jamais été aux affaires, est le seul parti totalement innocent du désastre qui s’étale sous nos yeux.

    Éric Zemmour publie un livre et hop ! tous les pleurnichards patentés et prébendés s’étranglent : « Il fait le jeu du Front national. » Bernard de La Villardière fait un reportage de 90 minutes sur l’islam et c’est la curée : « Ce n’est pas une méthode, Monsieur », tance doctement Libé-la-morale en traitant le journaliste de « caillera ». « Le drôle de journalisme que voilà », ironise L’Express. 20 Minutes tracte que l’émission a scandalisé les téléspectateurs : où est le sondage ? Enfin, injure suprême : en déparlant de l’islam, La Villardière « fait le jeu du Front national ».

    D’abord, le Front national ne joue pas, il fait de la politique, et la politique n’est pas un jeu. Sauf, peut-être, pour l’actuel Président : depuis bientôt cinq ans, Pépère joue à « qui perd perd » et, avec son petit seau et sa petite pelle, creuse des trous abyssaux dans la finance du pays sans parvenir à faire frémir son « électoragramme » plat.

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  • Manifester le 16 octobre pour que les politiques aient le courage de défendre la famille

    Dans La Nef, Ludovine de La Rochère explique pourquoi il faut aller manifester le 16 octobre :

    "[...] La deuxième raison essentielle de cette manifestation est bien sûr l’entrée dans une année politique majeure. Jusqu’à présent, la plupart des candidats aux futures échéances n’ont pas compris que l’homme est la finalité de la politique et la famille le socle de la société. Ils ne voient pas que notre identité nous est transmise par la famille, de manière personnelle et collective. Ils ne voient pas que c’est l’éducation reçue en famille qui permet de vivre en société, de s’intégrer à l’école puis de travailler pour vivre. Ils ne voient pas non plus que la solidarité familiale est irremplaçable, en particulier en temps de crise.

    Le 16 octobre sera le moment de faire entendre nos voix pour que les politiques aient enfin le courage de défendre l’enfant et sa famille, mais aussi notre identité, nos valeurs, notre civilisation.

    D’une certaine manière, les immenses manifestations des années 2012 à 2014 ne pouvaient que conduire à une nouvelle mobilisation de très grande ampleur au seuil de cette année : à droite comme à gauche, les politiques ont en effet bien du mal à entendre le peuple français. Or, plus que jamais, il y a urgence ! Il n’est pas envisageable d’attendre davantage pour lancer la reconstruction de notre pays !"

    Michel Janva

  • Journal du Lundi 3 octobre 2016 - Immigration / La France vent debout contre les quotas de migrants

  • Agression à la prison d'Osny : une attaque djihadiste concertée

    Un surveillant a été agressé à l'arme blanche dimanche par un détenu islamiste, aidé par plusieurs complices. Des précisions obtenues par Le Figaro éclairent les circonstances de l'attaque.
    INF131a6d3c-7387-11e6-8ea9-35096576febc-300x372.jpgPas un acte isolé mais concerté entre plusieurs détenus... À la prison d'Osny, dans un quartier dédié supposé accueillir les candidats à la déradicalisation,l'agression dimanche de deux surveillants dont l'un gravement atteint fait froid dans le dos. Le détenu auteur des faits, Bilal T., a frappé sa victime à l'aide d'«une lame de 25 cm très fine et très aiguisée qui a transpercé de part en part la gorge du surveillant à 2 mm de la carotide puis est passée à quelques millimètres du poumon», affirme-t-on de sources pénitentiaires. Selon ces dernières, l'individu bénéficiait de fortes complicités parmi les autres détenus avec lesquels cette agression aurait été programmée. Les enquêteurs auraient trouvé sur un autre détenu des liens qui font penser que l'idée était de procéder à une «exécution» telle que Daech a l'habitude de les pratiquer. Selon des personnels pénitentiaires, l'auteur de l'agression «aurait badigeonné l'une des portes de cellules du sang du surveillant et aurait levé les mains afin de prier». Enfin, un téléphone portable a été retrouvé dans l'une des cellules de cette unité dédiée. Tous ces éléments ont conduit le parquet antiterroriste de Paris à ouvrir une information judiciaire pour terrorisme. D'autant que Bilal T., a toujours été considéré par les magistrats, dès son interpellation, comme un élément dangereux avec des finalités très claires. Il aurait été arrêté en Turquie, il y a plusieurs mois, en route pour la Syrie et serait un prosélyte violent qui n'aurait pas tout à fait sa place dans ces unités dédiées. Celle d'Osny serait particulièrement déstabilisée par l'arrivée de deux individus à forte dangerosité. Par ailleurs, les enquêteurs s'interrogent sur des liens éventuels entre l'auteur de l'agression et Larossi Abballa, le tueur du couple de policiers de Magnanville le 16 juin 2016. Ce dernier avait, dans une vidéo, incité à exécuter des surveillants de prison au même titre que des policiers.
    «Les établissements pénitentiaires sont assis sur une véritable poudrière»
    Jean-François Forget, secrétaire général de l'UFAP-UNSa
    Jean-François Forget, secrétaire général de l'UFAP-UNSa, le principal syndicat de surveillants de prison, ne décolère pas. «Les établissements pénitentiaires sont assis sur une véritable poudrière. Ils comptent 300 détenus prévenus pour faits de terrorisme et un millier en voie de radicalisation. Bien avant l'ouverture de ces unités, l'UFAP a demandé que la sécurité prévale et que ces quartiers soient totalement étanches du reste de la détention. Autrement dit, ces individus ne doivent pas se rencontrer, et il faut qu'il y ait au moins trois surveillants par détenu. Mais l'on préfère mettre en place des programmes qui n'ont ni queue ni tête. Nous sommes fatigués de ce mot de déradicalisation qui ne veut rien dire», s'insurge Jean-François Forget. «À Osny», poursuit-il, «ces détenus reçoivent des massages de masseurs professionnels et des cours d'escrime... De plus, le quartier arrivants de cette maison d'arrêt est tellement débordé par la surpopulation qu'il n'est pas rare que des détenus soient affectés dans l'unité dédiée alors qu'ils n'ont rien à y faire. À l'inverse, les détenus qui sont accueillis dans l'unité dédiée sont régulièrement remis en détention classique puisque les sessions ne durent pas plus de 8 semaines. Certes, depuis dimanche soir, des mesures ont été prises mais pour combien de jours?», s'interroge-t-il.
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