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  • Agriculture intensive : 10.000 fermes laitières sur 60.000 devraient disparaître en 2017

    Les gouvernements successifs ne cherchent pas à repenser le modèle agricole français. Depuis Maastricht, les politiques français posent des boîtes de pansements sur une jambe de bois à coup de millions d’euros d’aide aux différents secteurs agricoles.
    Les manifestations d’éleveurs se font rares. Pourtant les difficultés graves persistent, au point que la FNPL (Fédération nationale des producteurs de lait) prévoit la disparition de 10.000 éleveurs de vaches laitières en 2017 sur un total de 60.000. C’est énorme.
    Le ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, a d’ailleurs annoncé vendredi la signature d’un accord avec le fonds d’assurance Vivéa et Pôle emploi pour « accompagner les chefs d’exploitation dans leur reconversion et transition professionnelles ». Autant dire que de tous côtés on s’attend à une vaste opération de restructuration dans l’élevage. Le numéro un mondial du fromage Lactalis estime que « les volumes de lait ne disparaîtront pas. On va assister à une concentration des élevages. Pas à une chute de production ».

  • Fillon, le candidat idéal pour faire gagner Marine ?

    Malgré la folle et criminelle politique d’ouverture en grand des vannes de l’immigration dont elle s’est rendue coupable vis-à-vis de son peuple et des autres nations européennes, la chancelière allemande Angela Merkel, après dix ans de règne,  briguera un quatrième mandat lors des élections législatives de septembre 2017. Dimanche, depuis le siège de son  parti, l’Union chrétienne-démocrate (CDU), Mme Merkel a repris les éléments de langage utilisés par elle après la victoire à la présidentielle américaine de Donald Trump. Sans surprise, elle a évoqué  « la défense de nos valeurs » , de « notre mode de vie »,  « la démocratie, la liberté, le respect du droit et de la dignité de chacun, et ce, quels que soient son origine, sa couleur de peau, sa religion, son sexe, son orientation sexuelle ou ses opinions politiques »,  comme principe de sa politique. Derrière le rappel des immortels principes, de nombreux Allemands s’inquiètent de la xénophilie assez délirante de la chancelière. Elle a  refusé jusqu’alors la proposition,  pourtant déjà assez laxiste,  du  parti conservateur bavarois, l’Union chrétienne-sociale (CSU), membre de sa majorité,  de plafonner  à 200 000 par an  le nombre d’immigrés économiques,  rebaptisés migrants ou  réfugiés,  susceptibles d’être acceptés sur le sol allemand.  En France, ce sont des immigrés liés à l’Etat Islamique qui s’apprêtaient à tuer et mutiler des Français,  comme on l’a appris avec l’arrestation ces dernières heures à Marseille et Strasbourg  d’un groupe  de présumés terroristes. Connus jusqu’alors  pour des faits ordinaires de délinquance,  l’un d’entre eux au moins était en possession de la nationalité française, employé  périscolaire modèle parait-il , en poste dans une école primaire du tristement célèbre  quartier pluriel de la  Meinau à Strasbourg.

    Si de fanatiques adversaires de notre pays ont été transformés en toute légalité républicaine en Français de papier,  c’est bien  là la résultante directe de la portique laxiste, antinationale,  menée également par la droite RPR-UMP-LR quand elle était au pouvoir et majoritaire à l’Assemblée. A l’heure ou les médias font mine de s’inquiéter des ralliements parfois enthousiastes  d’une certaine extrême-droite à la candidature de François Fillon, il est bon de rappeler  que celui-ci est également pleinement comptable de ce triste bilan. Et  si ce n’est sa connivence,  du moins sa démission implicite devant  les adversaires de notre Etat-nation n’est pas non plus anodine. Philippe de Villiers confiait il y a un an à Martial Bild  sur TV Libertés cette réponse que lui avait faite M. Fillon, alors que le créateur du Puy-du Fou l’interrogeait sur sa présence – en 2013 notamment, voir notre blogue -, à une réunion  du très mondialiste groupe Bilderberg:  «Que veux-tu, c’est eux qui nous gouvernent»… Une soumission bien peu poutinienne, un fatalisme bien peu séguiniste… non?

    Marion Maréchal-Le Pen le soulignait  hier sur LCI , M. Fillon « est un adversaire du Front National depuis 30 ans et c’est un des rares qui refusent encore de me serrer la main à l’Assemblée (…). La grande différence entre Alain Juppé et François Fillon probablement, c’est que l’un dit ce qu’il pense et l’autre pas, et en tous cas veut faire croire qu’il appliquera une politique différente d’Alain Juppé. Et c’est là où il y a un risque de manipulation de l’électorat, notamment cet électorat de droite qui est resté longtemps orphelin et qui pourrait avoir le sentiment une fois de plus de trouver là un recours».

    La présence de M. Fillon comme adversaire de Marine à la présidentielle,  est une hypothèse désormais sérieuse qui inquiète certains soutiens de la présidente du FN. Le maire de Béziers, Robert Ménard, le confiait à  L’Express,  «Si c’est Fillon qui gagne la primaire, ce ne sera pas facile pour elle (Marine, NDLR). Elle ne peut pas gagner sans l’électorat conservateur, essentiellement catholique. C’est l’une des clés de son succès.» «Ce n’est pas la question sociale mais identitaire qui fera l’élection».

    Dans un article publié Sur le site de Challenges, «Pourquoi Fillon est une inquiétante machine à faire voter Marine Le Pen»,  le très antifrontiste Bruno Roger-Petit  affirme que l’électorat catholique est plus important au FN que chez LR, se basant sur un récent sondage IFOP démontrant que  «38% des électeurs du FN se reconnaissent encore dans les valeurs de la Manif pour tous diffusées au sein de la société française, contre seulement 29% des électeurs Les Républicains. La logique de la Primaire, et l’habile campagne Fillon envers les électeurs LR s’identifiant à la Manif pour tous a permis à l’ancien Premier ministre de Sarkozy de mobiliser en sa faveur de gros bataillons de cet électorat, mais il ne s’agissait que d’une Primaire, justement, Primaire organisée à destination d’une clientèle particulière, et non d’un premier tour d’élection présidentielle.» «Aujourd’hui, en l’état, il est pour le moins aléatoire de conclure, au vu des éléments dont on dispose, que les électeurs catholiques du FN puissent glisser d’un vote Le Pen à un vote Fillon.»

    Enfin, outre la question des valeurs et de notre identité chrétienne,  M. Roger-Petit oppose le programme ultra-libéral de Fillon à la logique d’Etat stratège, de protectionnisme défendue par le FN, Marine, Florian. « Les classes populaires» de la France périphérique ,« constatent chaque jour, à échelle locale, la disparition des éléments garants de l’Etat protecteur: la poste, la gendarmerie, la maternité, la caisse d’allocations familiales, l’hôpital public, la caserne… L’Etat providence qui se meurt… La gauche Hidalgo qui se moque des embouteillages qu’elle provoque dans les banlieues… Les lignes SNCF supprimées au nom d’une rentabilité falsifiée… Les kilomètres en plus qu’il faut accomplir pour accoucher… Cette France des territoires vit tous les jours ce que signifie concrètement la suppression des postes de fonctionnaires, donc de services publics de proximité. Et cette France est en colère.»

    Et d’ajouter encore:  «Le chômeur qui vote FN ne redoute pas tant le musulman que l’étranger dont la force de travail est exploitée par des patrons sur fond de dumping social. Comment ce chômeur, déjà désespéré de la gauche Valls, pourrait-il voter Fillon, qui promet de lui pourrir encore davantage la vie en lui diminuant ses allocations chômage au bout de quelques mois? Comment les 50% de chômeurs, soient 1.400.000 électeurs potentiels et leurs familles, qui perçoivent moins de 970 euros nets par mois pourraient avoir envie de soutenir ce Fillon qui veut les réduire à la pauvreté?».

    Bref conclut-il, «Il ne s’agit pas de savoir si Fillon va vider le réservoir FN d’une grande partie de ses électeurs, mais plutôt de savoir si Marine Le Pen ne risque pas de lui en voler bien davantage encore en retour, notamment ceux des classes populaires qui votent encore LR et pourraient aussi s’inquiéter d’un programme économique et social d’une violence incontestable. Ici se situe la réalité de l’enjeu politique».

    Et toute l’importance ajoute Bruno Gollnisch  de la campagne d’éclaircissement, de présentation de notre programme, des valeurs qui nous défendons  qui sera menée dans les semaines et les mois à venir afin que  nos compatriotes puissent de prononcer en toute sincérité.  Car l’ un des enseignements des scrutins de ces derniers mois, c’est qu’un peuple qui se réveille, fait le pari de voter pour ses idées,  refuse le fatalisme de l’abstention, l’aquoibonisme,  peut encore reprendre la maîtrise de son  destin!  

    http://gollnisch.com/2016/11/23/fillon-candidat-ideal-faire-gagner-marine/

  • Ils font leur cinéma

    « Les théoriciens du déclin français qui prophétisent des choses sombres en sont pour leurs frais. Le génie français se porte bien ! » affirme  Michel Denisot, directeur de la rédaction de l’intellectuellement très indigente adaptation française du magazine américain Vanity Fair.  Un étalage de platitudes conformistes  truffé de pages de pub.  M. Denisot  réagissait  au classement  des  50 Français les plus influents dans le monde publié dans ce même magazine, tous domaines confondus, dans lequel on retrouve le lot habituel de sportifs, stylistes et capitaines d’industrie dont tous ne sont pas dépourvus de talents, voire de génie. Certes, cette année, la première marche du podium  (!) est attribuée à  la chanteuse Christine And The Queens, 28 ans, «au charisme de démon en passe de devenir une icône mondiale»;  Emmanuel Macron, seule personnalité politique de ce classement avec Anne Hidalgo, pointe à la sixième  place, tous deux environnés parfois d’artistes et écrivains dont les mérites exceptionnels ne sautent pas non plus aux yeux des Français… et même de ceux qui les connaissent.

    Ce qui est certain en tout cas, c’est qu‘il ne faut avoir rien compris à l’air du temps, au ras-le-bol de nos compatriotes, pour susciter encore des listes de soutien à tel ou tel candidat, composées de membres du showbiz hors sol, de donneurs de leçons et autre privilégiés,  tous ces modèles emblématiques de cette Caste coupée du réel, vivant dans l’entre soi, les mêmes qui aux Etats-Unis hurl(ai)ent avec souvent une rare vulgarité leur haine de Donald Trump et leur  soutien à Hillary Clinton

    Le JDD a ainsi publié dans son dernier numéro une tribune d‘artistes, d’intellectuels, appelant à arrêter le Hollande Bashing, à soutenir l’actuel chef de l’Etat… aujourd’hui visé par une enquête pour violation du Secret défense. En l’espèce pour avoir révélé un dossier classé Confidentiel défense (la renonciation à d’éventuelles frappes sur la Syrie), dans le cadre de son livre d’entretien avec Gérard Davet et Patrick Lhomme, le très bien intitulé  Un président ne devrait pas dire ça.  Mais nos vedettes le disent dans le JDD, «ce dénigrement permanent met à mal toutes les institutions de la République et la fonction présidentielle. Il perdure encore aujourd’hui malgré la stature d’homme d’État que François Hollande a parfaitement incarnée, tant dans les crises internationales que lors des épouvantables tragédies que notre pays a traversées».

    Au nombre des premiers signataires de ce texte vantant les réalisations merveilleuses du quinquennat Hollande, on retrouve notamment  sans trop de surprise, Laure Adler, Benjamin Biolay, Jean-Michel Ribes, Mazarine Pingeot, Patrick Pelloux et le petit monde du cinéma: Catherine Deneuve, Juliette Binoche, Denis Podalydès, Irène Jacob, Sylvie Testud, Patrick Chesnais, Gérard Darmon ou encore Christian Zerbib. 

    Un microcosme où la consanguinité est de mise, où le politiquement correct socialo-progresssiste règne en maître. Et ce n’est pas l’actuelle présidente du Centre national de la cinématographie (CNC), la Young Leader membre de l’American French Foundation , Frédérique Bredin,  ancienne député et ministre socialiste, ex du  Cabinet Jack Lang, qui nous dira le contraire. Un CNC  au budget conséquent (plus de 665 millions d’euros, assuré par la quote-part de 10%  prélevée sur les places de cinéma, mais aussi par des taxes sur les éditeurs et  distributeurs  de la télévision),  que le producteur Thomas Langmann critiqua vertement  il y a quelques années.

    M. Langmann, pourtant membre du sérail, soutien  et ami de Nicolas Sarkozy, dénonça l’opacité  du  mode d’attribution de  l’aide sélective, autrement appelé  avance sur recettes, parlant degestion « honteuse ». «Le système d’avance sur recette du CNC, symbole de l’exception culturelle française, (est)  devenu un comité de copinage. Formé de trois collèges, les choix de l’avance sur recettes restent entièrement à la discrétion de ces commissions »  indiquait-il au  Figaro en  janvier 2013.

    En mai 2015 un article du magazine Capital s’interrogeait pareillement: «magie du cinéma ou copinage avec les producteurs ? En tout cas, quand il s’agit de biberonner l’industrie du film tricolore, les pouvoirs publics ont souvent tendance à oublier la rigueur (…). En décembre (2014), l’Assemblée nationale a encore renforcé l’une des nombreuses niches fiscales dédiées au grand écran. A partir de 2016, donc, le taux du crédit d’impôt accordé aux investisseurs passera de 20 à 30% pour tous les films de moins de 7 millions d’euros de budget. Et pour les œuvres d’animation, il sera porté à 25%. Bah, ça ne fera jamais qu’un coup de pouce de plus aux salles obscures ! Il y en a tellement que certains producteurs passent aujourd’hui plus de temps à ratisser les aides qu’à peaufiner les scénarios ». Mais «le plus gênant, c’est que ces fonds servent pour une bonne part à payer les cachets plantureux de certaines stars», parfois jusquà  «près de la moitié des subventions perçues !».  Mais soyez rassurés  bonnes gens, « le CNC vient de décider de limiter les cachets à 900.000 euros »…

    Quant au site de contribuables associés qui s’étonnait en septembre 2012  que même des films étrangers, comme celui du cinéaste algérien Merzak Allouache (Le temps de la concorde ) puissent être financées par le CNC, il relevait aussi  cette grande vérité, à savoir que  le  Centre national de la cinématographie « a oublié la grande règle de Molière, qui est de plaire. Il veut encourager la production du plus grand nombre possible de films, quelle que soit leur qualité. Pour cela il distingue arbitrairement les films d’ auteur, considérés comme supérieurs aux films  commerciaux . En réalité, il facilite la production de films médiocres».

    Guillaume Faye voyait assez juste quand il notait dans L’archéofuturisme que «les Français et les Européens ont perdu le sens de l’épopée et de l’imagination» et que le recouvrer dans le septième art (et en littérature)  n’est pas affaire stricto sensu  d’argent et de financement. «C’est trahir Molière que de penser implicitement  qu’une création populaire  est de qualité inférieure» «à des œuvres snobs,  ennuyeuses, aux préoccupations microscopiques». La solution, financièrement rentable,  si nous voulons contrer le rouleau compresseur cinématographique hollywoodien  existe:«réaliser des œuvres à forte dramaturgie populaire et pourvues de scénarios culturellement haut de gamme. Nos romanciers du XIXème siècle savaient le faire».

    Autant dire affirme Bruno Gollnisch, qu’un gouvernement, un Etat dirigé par des patriotes dignes de ce nom  (pas plus le calamiteux radical mou Chirac que le petit faiseu bling bling Sarkozy ne s’y sont risqués) s’attaquerait à la remise à plat de ce qu’il est convenu d’appeler l’industrie cinématographique. La chasse gardée d’une  gauche pseudo artistique souvent décadente, francophobe, avachie, névrosée et vulgaire;  le terrain de jeu des courtisans, des fils et des filles de, des fratries engraissées avec l’argent d’un populo qu’ils méprisent la plus souvent. Un gouvernement digne de ce nom  mettrait fin à cette gabegie indigne, au nom de son souci de défendre à la fois le contribuable et le rayonnement d’une culture française qui, n’en déplaisent à M. Denisot et à ses amis pétitionnaires ou non, ne brille plus au firmament. Dans ce domaine là aussi, il faudra  faire souffler un grand  vent de liberté, d’audace, débrider les énergies et les talents.

    http://gollnisch.com/2016/11/22/ils-font-leur-cinema/

  • Éducation nationale : la « réserve citoyenne » au service des clandestins

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    Dès sa présentation aux médias et avant même son lancement en mai 2015, nous savions que cette fameuse « réserve citoyenne » de l’Education nationale serait du grand n’importe quoi. Or nous en avons eu la confirmation lundi, avec l’annonce officielle par le ministre de l’Education que ladite réserve servira principalement à accompagner les clandestins, à leur apprendre le Français ainsi que les « valeurs » dites républicaines.

    L’invasion des clandestins mineurs

    Une décision qui est loin de surprendre puisque, invitée sur France Info en septembre 2015, Najat Vallaud-Belkacem, tout en affirmant que son ministère savait « prendre en charge des enfants qui ne parlent pas le français », avait quand même ajouté que, si l’afflux était particulièrement important, elle pourrait alors faire appel à la réserve citoyenne. Estimant à l’époque à « 4 500 le nombre de mineurs qui seront accueillis par an », le ministre avait alors déclaré : « S’il y a un service public qui est relativement bien armé pour faire face à l’arrivée des réfugiés, c’est l’Education nationale. » Et on la croyait sans difficulté, tant les effectifs du Mammouth sont pléthoriques… Sauf que le nombre de mineurs étrangers accueillis par notre pays a, depuis, littéralement explosé. Au point que, début octobre, débordé par l’afflux de mineurs clandestins dans son département (+ 45 % par rapport à 2015), le président du conseil départemental de la Côte-d’Or, François Sauvadet, a tenté d’alerter les pouvoirs publics en déposant une plainte contre X pour « suspiscions de réseaux organisés de passeurs implantés sur le territoire côte-d’orien et hors de ce territoire » ! Et la Côte-d’Or n’est, bien évidemment, pas le seul département concerné.

    « Mobilisation nationale pour les migrants »

    Alors que, face à un tel déferlement, le premier devoir de l’Etat devrait être de mettre fin à cet afflux et d’expulser systématiquement ces mineurs, bien souvent victimes de réseaux de passeurs, Najat Vallaud-Belkacem a au contraire annoncé lundi sur Twitter sa décision « d’amplifier la participation de l’Education à l’effort de la France pour l’accompagnement linguistique des migrants » et a invité « les 6 000 membres de la réserve citoyenne à contribuer à l’accompagnement linguistique des migrants ». Une décision qui revient à annoncer l’accueil définitif de ces gens sur notre sol.

    L'Éducation nationale mobilise ses partenaires et l'expertise de ses réseaux pour apprendre le français aux migrants http://po.st/MobilisationEN-migrants  pic.twitter.com/1wbWeBHFvs

    J'invite aussi les 6000 membres de la Réserve Citoyenne à contribuer à l'accompagnement linguistique des migrants >> http://po.st/MobilisationEN-migrants  pic.twitter.com/E5HMJIPTHy

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    Et N.V.B. d’expliquer, dans un communiqué publié sur le site de son ministère : « Ce sont les valeurs de la République qui constituent le moteur de l’effort national pour l’accueil des populations de migrants auquel les services de l’Etat, les collectivités, les acteurs associatifs mais aussi les citoyens sont appelés à contribuer. Un travail de structuration et de renforcement de l’accompagnement linguistique des migrants déjà mené par les acteurs associatifs est en cours sur l’ensemble du territoire national. Par son expertise en matière de formation en français langue étrangère à destination des publics allophones, l’Education nationale a vocation à y contribuer pleinement. Dans ce cadre, chacun d’entre vous est appelé à participer à cette mobilisation. »

    Franck Deletraz

    Article et dessin parus dans Présent daté du 23 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/201908/education-nationale-la-reserve-citoyenne-au-service-des-clandestins/

  • FN : il semble que Nanterre ne prend plus la peine de voir ce qui se passe sur le terrain

    Conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine et conseillère municipale de Bègles, Nathalie Le Guen quitte le FN ainsi que le Collectif Racine dont elle était la responsable départementale pour la Gironde. Elle rejoint le SIEL de Karim Ouchikh et s’explique en exclusivité pour « Minute ». Extrait :

    "[...] « L’électeur, explique-t-elle, pense qu’il vote pour les idées qui étaient celles du “FN-Canal historique“. Or ce n’est pas le cas. Quand Marine Le Pen parle d’intégrer l’islam dans la République, ça ne correspond ni à ce que je pense, ni à ce qu’était le FN. » Et d’ajouter : « Il y a un décalage énorme entre ce que croit l’électorat et ce qu’est le parti. »

    Ce fossé, Nathalie Le Guen assure l’avoir rencontré de façon tout aussi prononcée au Collectif Racine, le « collectif d’enseignants patriotes » du Rassemblement Bleu Marine qui a récemment produit « 100 propositions pour l’école et pour l’université » présentées lors de la convention présidentielle de Marine Le Pen consacrée à l’éducation. Un jour qu’elle s’inquiétait du peu de cas fait par le collectif de l’enseignement privé, Alain Avello, son président, lui aurait répondu : « De toute façon, l’enseignement catholique, on s’en moque. Pour le moment, ce qui nous intéresse, c’est l’enseignement public. » Même si le propos original n’était pas exactement celui-ci, le fait est que, dans les propositions de ce collectif, l’enseignement libre n’y est mentionné que pour lui rappeler qu’il doit s’aligner sur les directives de l’Education nationale et que les parents doivent, là comme ailleurs, rester à la porte des établissements. [...] Et si « Marion Maréchal-Le Pen porte cette ligne politique », admet-elle, ce n’est pas elle qui préside le FN. Ce qu’elle semble regretter... Et puisqu’on parle de Marion, « à chaque fois que je l’ai rencontrée, j’ai eu de bons rapports avec elle. On a parlé, elle m’a écoutée ». Pas Marine ? « Je n’ai jamais eu le droit de discuter avec Marine Le Pen. Quand Diam’s a sorti une chanson sur elle, elle était prête à l’inviter pour conserver autour d’un café. Mais pour discuter avec ses élus... » [...]"

    6a00d83451619c69e201bb0955c5df970d-250wi.jpgMarie-Christine Gilliot avait été élue conseiller départemental de l’Aisne à 29 ans et au premier tour. Elle quitte aussi le FN :

    Le FN est tellement convaincu de sa supériorité et de l’appui du peuple qu’il n’écoute plus [...] Si Marine Le Pen n’est pas élue l’an prochain, assène-t-elle, le FN est fichu, c’est une question d’années. Ça ne durera pas. Viendra le moment où ce sera la chute libre et ça ira peut-être plus vite qu’on ne croie. » [...] Marie-Christine Gillot dit avoir vu les adhésions en chute libre et n’en être pas étonnée en raison de ce qu’elle a vu par ailleurs : une « absence de cohésion d’équipe, incompatible avec la politique que prône le parti », des « ambitions dévorantes », une « politique de l’autruche » du siège aux messages d’alerte de sa base et... des « problèmes d’éthique ». « Les gens, à force d’être pris pour des imbéciles, deviennent intelligents », glisse-t-elle... [...]

    « Au conseil départemental, c’est simple : une heure avant la séance, on nous explique comment on doit voter. Si on veut se réunir avant pour étudier les dossiers, comme [le président du groupe FN] n’est pas disponible et que nous n’avons pas le droit de nous réunir sans lui, on en est réduits à faire des réunions de travail secrètes ! » « En fait, ajoute-t-elle, il n’y a aucun travail sur les dossiers. Nous sommes là pour prendre des bastions et c’est tout. »

    [...] Et elle rappelle que, lors d’une émission de télévision, Marine Le Pen avait expliqué que si les hommes politiques ont perdu tout crédit, c’est « parce qu’ils ne prennent plus la peine de voir ce qui se passe au plus près du terrain »."

    Sonia Colemyn, élue dans le canton du Nord-Médoc, en Gironde, a aussi envoyé sa démission au parti. 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Turquie ne doit jamais entrer dans l’Union européenne !

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    La France doit, tout comme l’Autriche, prendre rapidement position en demandant l’arrêt pur et simple des négociations.

    Persistant dans l’erreur, les élites européennes s’emploient à sauver le soldat turc contre vents et marées. Non, la Turquie n’a pas sa place dans l’Union européenne pour des raisons évidentes :

    – une infime partie, seulement, de son territoire est en Europe (la Thrace orientale, soit 3 % de sa superficie) ;
    – pays de religion musulmane, la Turquie servirait de cheval de Troie de l’islamisation progressive de l’Europe ;
    – les relations historiques entre la Turquie et l’Europe ont longtemps été conflictuelles ;
    – les dirigeants actuels de la nation ottomane sont des islamistes impérialistes qui ne respectent pas les droits fondamentaux, enfermant arbitrairement leurs opposants politiques et les journalistes qui ne leur sont pas inféodés ;
    – l’entrée de la Turquie déstabiliserait le continent sur le plan démographique en entrainant la libre circulation de plus de 100 millions de turcophones ;
    – en outre, les Turcs venus sur le continent ne cherchent pas à s’assimiler mais à créer des cinquièmes colonnes dans les nations européennes, selon les souhaits de Recep Tayyip Erdoğan, qui les y encourageait lors d’un meeting à Strasbourg ;
    – la Turquie refuse de reconnaître Chypre, qui appartient à l’Union, ne songeant qu’aux intérêts des Chypriotes d’origine turque ;

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  • À PARTIR DE JEUDI PROCHAIN, "SYNTHÈSE" LA NOUVELLE ÉMISSION HÉBDOMADAIRE DE RADIO LIBERTÉS

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