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  • Gaëtan Dirand nommé responsable départemental du SIEL pour le Maine-et-Loire

    stories.virtuemart.product.2801_page_01nsp_106.jpgMinute nous apprend que Gaëtan Dirand, qui vient de rejoindre le SIEL de Karim Ouchikh, en a été nommé responsable départemental pour le Maine-et-Loire et responsable régional des Pays de la Loire.

    "Marié, père de quatre enfants, ancien parachutiste

     

    et catholique pratiquant, Gaëtan Dirand avait démissionné du FN, dont il était le secrétaire départemental pour le Maine et Loire, à l’été 2015, lorsqu’il lui était apparu que l’évolution du FN ne lui permettait plus de mener le combat pour une politique de civilisation.

    6a00d83451619c69e201b8d2491151970c-800wi.jpgDans cette région « où prospère plus que jamais une forte sensibilité politique catho-identitaire », comme nous le dit Karim Ouchikh, Gaëtan Dirand nous l’a confirmé : puisque Avello [le nouveau SD parachuté par Philippot] a déserté ce terrain, il va l’occuper. « Par amitié pour Karim Ouchikh et parce que je partage le combat qui est le sien pour la défense des valeurs ». Autrement dit : les Bleus sont là, le canon gronde…"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le nouvel Axe Rome-Berlin

    Le hiatus, instrumentalisé par Bruxelles depuis des années, entre les peuples et leurs dirigeants est devenu tellement visible que la popularité des politiques est de plus en plus brève. L’Italien Renzi vient d’en faire l’expérience. Demain Merkel ?

    Certes, dans les officines à la dévotion de Bruxelles, on se réjouit, depuis l'élection présidentielle autrichienne, de la défaite de l'« extrémiste » Norbert Hofer. Comme si l'écologiste Alexander Van der Bellen n'était pas, en réalité, le tenant d'un extrémisme beaucoup plus dangereux où la vie humaine ne pèse plus rien.

    Il convient pourtant de lire cette défaite sous l'angle européen qui est le sien. Car, si Norbert Hofer a fait campagne à peu près seul, son adversaire a bénéficié, lui, du soutien de la quasi-totalité de la classe politico-médiatique européiste. Et cela, même si le vainqueur avait profité de ce second scrutin pour « autrichianiser » son discours, autrement dit pour appâter un électorat qui, jusqu'ici, l'avait boudé...

    C'est Bruxelles le véritable monstre

    Mais l'Autriche n'aura fait oublier que le temps d'une soirée la tension très vive qui traverse désormais l'Union européenne. Et encore... puisque, ce même 4 décembre, les Italiens ont renvoyé leur président du Conseil (c'est-à-dire leur premier ministre) aux oubliettes. Par 59 % en effet, ils ont refusé la réforme constitutionnelle présentée par Matteo Renzi, et transformée par un peuple excédé en une sorte de référendum sur l'avenir d'icelui.

    Qu'importe si, en proposant aux Italiens d'intervenir dans la vie politique, le premier ministre désormais démissionnaire leur proposait de revoir l'actuel régime bicaméral afin, en réduisant la représentation sénatoriale, d'apporter à son pays un peu de stabilité, quand l'actuelle Constitution a permis de voir passer 63 gouvernements en 70 ans...

    Ce que le Rottamatore (le « démolisseur », comme l'appellent ses compatriotes) n'avait manifestement pas vu, c'est l'abattement démocratique de ses compatriotes. On ne peut multiplier les gouvernements et les réformes, les convoquer à tout bout de champ aux urnes, quand, en définitive, c'est Bruxelles qui tire les ficelles, nimbant d'une sauce indigeste les politiques menées, notamment sur les questions économique et migratoire, et malgré quelques récriminations plus oratoires qu'efficaces, par cette sarabande effrénée de responsables (?) politiques.

    « Basta ! », se sont donc écriés les Italiens. À quoi Matteo Renzi a rétorqué, au soir-même de sa défaite : « Je n'imaginais pas qu'ils me haïssaient autant ! »

    Triste aveu de ce fossé qui va s'agrandissant entre l'idéologie qui tient désormais lieu de politique universelle en Europe et les Européens.

    Il ne suffira sans doute pas à son successeur de se contenter, comme l'homme qui vient de démissionner, de quelques jérémiades contre la ligne imposée par Bruxelles, tout en en appliquant, pour la plus large part, la politique. Après le Brexit, après l'élection de Donald Trump, après même l'élection présidentielle autrichienne, les Italiens ont compris, comme un certain nombre d'autres européens, que la prison de verre qu'on leur affirmait nécessaire pouvait se fissurer...

    En France, il est sans doute trop tôt pour que cela se produise. Les Français se veulent adultes, et acceptent donc, tels les moutons de Panurge, toutes les billevesées du monstre bruxellois. Et l'élection d'une Marine Le Pen n'y changerait,

    malgré ses rodomontades, pas grand chose, tant elle a abdiqué, dans sa purge dédiabolisante, la plupart des idées de droite qui faisaient la force intellectuelle du parti reçu en héritage...

    Les doutes d'Angela Merkel

    À Berlin, en revanche, Angela Merkel semble s'inquiéter de voir le boulet contestataire se diriger vers elle. Au-delà de l'opposition marquée de l'AfD, une majorité grandissante d'Allemands manifeste qu'ils ne supportent plus sa politique. Que l'on songe que, dès janvier dernier, ils étaient 40 % à souhaiter sa démission !

    Il est vrai que l'on ne peut demander impunément à ses compatriotes d'admettre une politique qui détruit les frontières pour laisser entrer, quelque triste que soit son histoire, une faune qui viole leurs femmes et leurs filles. Du Nouvel an de Cologne au viol et au meurtre de Maria Ladenburger, fille d'un haut dignitaire européiste, par un Afghan, il n'y a plus place chez eux pour quelque commisération que ce soit. Charité bien ordonnée...

    Angela Merkel l'a bien compris, qui cherche à recouvrer sa réputation d'énergie, en dénonçant il y a quelques jours l'immigration et le multiculturalisme, et en proposant en pratique de faire interdire le voile intégral.

    En s'exprimant ainsi, elle espère bien persuader ses compatriotes de lui renouveler leur confiance l'année prochaine.

    Saura-t-elle leur faire oublier, ce disant, que la politique qu'elle dénonce verbalement aujourd'hui est celle qu'elle a menée depuis des années ?

    Mieux : saura-t-elle leur faire admettre que cela n'a rien à voir avec la mondialisation dont elle se veut l'un des principaux chantres, allant jusqu'à déclarer, sur le site officiel de la chancellerie, qu'il est hors de question de revenir à l'époque du monde « pré-mondialisé » ?

    Avant de voter, Berlin devrait méditer l'exemple de Rome...

    Hugues Dalric monde&vie 15 décembre 2016

  • Attentat terroriste : Lundi sanglant en Allemagne

    L’attaque contre le marché de noël de Berlin fait bien sûr la une de toute la presse allemande.

    Le Berliner Morgenpost – dont la rédaction se trouve juste en face du marché de Noël sur lequel a foncé le camion – montre l’arrivée des secours et de la police, quelques instants après l’attaque. Il s’agit très probablement d’un «attentat», selon le ministre de l’Intérieur allemand. D’après le site du journal, au moins 12 personnes ont été tuées, et 48 autres blessées, dont plusieurs grièvement. Le Berliner Morgenpost rapporte que le camion a parcouru 50 à 80 mètres, renversant plusieurs stands, avant de s’arrêter, et il affirme également que l’individu retrouvé mort dans le camion côté passager est un citoyen polonais. Il s’agit peut-être du chauffeur auquel aurait été subtilisé le véhicule, immatriculé en Pologne et qui appartient à une société de Gdansk, dont le patron a déclaré que son camion revenait d’Italie et devait déposer son chargement à Berlin avant de repartir vers la Pologne.
    Selon lui, le contact avec son chauffeur aurait été perdu le jour-même dans l’après-midi, et «la personne qui est sortie (de son) camion n’est pas (son) chauffeur».

    L’homme qui est suspecté d’avoir foncé sur la foule, a été arrêté, lui, par la police, selon le site du journal Die Welt, qui affirme, que cet individu pourrait être un réfugié d’origine pakistanaise.
    Le quotidien souligne aussi que plusieurs signes pointaient le risque d’attentat contre un marché de noël depuis plusieurs jours. Alors que le journal gratuit 20 Minuten parle simplement d’un «lundi sanglant», «Blutiger Montag», qui endeuille la capitale allemande, Der Tagespiegel évoque «la peur du terrorisme» qui saisit Berlin. Et la une du site de Bild fait état d’une «alarme terroriste» à Berlin, avec une image du chauffeur présumé arrêté par la police – qu’on voit de dos, dans un véhicule des forces de l’ordre. Le tabloïd parle d’un suspect d’origine afghane ou pakistanaise, qui pourrait avoir acquis le statut de réfugié en février dernier.

  • Robert Ménard : La vraie question - combien d’autres assassins parmi les milliers de migrants ?

    Robert Ménard exprime sa compassion pour les victimes. Mais aussi sa révolte face à ce nouvel attentat qui a frappé des Européens parce qu’ils sont européens et chrétiens, à la veille de Noël. Il dénonce l’irresponsabilité de la politique migratoire et le refus de la gauche de nommer le vrai problème. Il demande une véritable politique de fermeté vis-à-vis de l’islam pour assurer la sécurité des Français.

    http://www.bvoltaire.fr/robertmenard/la-vraie-question-combien-dautres-assassins-parmi-les-milliers-de-migrants,300986

  • Ne croyez pas les médias qui vous disent qu'ils n'y a pas de terroristes parmi les immigrés

    L'auteur de l'attentat au camion à Berlin est un réfugié pakistanais, arrivé en Allemagne il y a 10 mois.  Il serait connu de la police pour des actes de criminalité. Le ministère allemand de l'Intérieur a affirmé ce matin qu'il s'agit bien d'un attentat.

    C'est l'occasion de vous rappeler de ne pas accorder de crédit aux informations dispensées par la presse

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    Michel Janva

  • Merveilleux Maurras ! Que disait-il de la Grande Mosquée de Paris lorsqu'elle fut construite ?

    On sait que la décision de construire la Mosquée de Paris, première mosquée construite en France métropolitaine, fut prise après la Première Guerre mondiale pour rendre hommage aux dizaines de milliers de morts de confession musulmane ayant combattu pour la France. Et manifester aux survivants la reconnaissance de leur sacrifice par le pays.

    Qu'en a dit Charles Maurras le 13 juillet 1926, lors de son inauguration ? Pas un mot contre l'idée même de rendre un hommage mérité, aux combattants musulmans de la Grande Guerre. A leur propos il parle des «nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ». Il n'y a pas chez Maurras de haine raciale. Ni de haine religieuse : il ne juge pas de l'Islam en soi. Mais il sait l'antagonisme des religions et des civilisations. Et sa culture historique autant que son jugement et son intuition politique l'amènent à pressentir et signaler un danger pour la France. Presque nul, alors. Présent et menaçant aujourd'hui sur notre sol même. Maurras ne dénonce pas l'hommage rendu aux combattants, ne critique même pas le fait de construire une mosquée à Paris. Avec mesure il écrit : « Nous venons de commettre le crime d’excès ». Son texte explicite en quoi consiste cet excès. Suit le pressentiment d'une menace : la crainte que nous ayons à payer un jour notre imprudence, en ce sens criminelle ; le souhait (Fasse le Ciel !) que les musulmans bénéficiaires de notre générosité « ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse. » Et nous y sommes.  LFAR         

    « Mais s’il y a un réveil de l’Islam, et je ne crois pas que l’on puisse en douter, un trophée de la foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où tous les plus grands docteurs de la chrétienté enseignèrent contre l’Islam représente plus qu’une offense à notre passé : une menace pour notre avenir... Nous venons de commettre le crime d’excès. Fasse le ciel que nous n’ayons pas à le payer avant peu et que les nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse. »

    Charles Maurras le 13 juillet 1926

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Mous Européens, pleurez et crevez !

    Bernard Plouvier

    Dans l’océan d’âneries dénommé Ancien Testament, il y avait au moins une phrase sensée : « Croissez et multipliez-vous ». Décérébrés par la propagande soixante-huitarde (venue des campus universitaires des USA et de leurs gourous marxistes), les Européennes ont décidé de ne plus affronter les risques de la maternité ni les aléas de l’éducation des enfants, ou le moins possible.

    De ce fait, les maîtres de la grande distribution décidèrent d’importer des millions de consommateurs, en provenance d’Afrique noire et maghrébine et d’Asie, préférentiellement du Sud-Ouest… bref, une majorité de non-valeurs, mais apportant avec eux une religion de haine et de domination violente : l’islam.

    Là-dessus, comme si cela ne suffisait pas au bonheur des Européens, l’été 2014, un calife autoproclamé lance de Mossoul, volée aux Kurdes, un appel au nouveau Djihâd : tous les bons sunnites, quels que soient leur âge et leur sexe doivent tuer en masse de l’infidèle… tant pis si quelques mahométans sont des victimes collatérales de ce Djihâd terroriste : il n’en iront que plus vite au paradis du sieur allah, censé reconnaître les siens.

    En France, les premiers attentats datent de la fin de 2014. Au cas où les lecteurs l’auraient oublié, en décembre de cette année-là un honnête mahométan a suriné trois policiers à Joué-lès-Tours (son enterrement au carré mahométan du cimetière municipal fut l’occasion de manifestations d’hystérie méditerranéenne), tandis que d’autres honorables sectateurs du même allah menaçaient d’égorger deux Blancs à Perpignan et que divers militaires d’Europe occidentale se faisaient assassiner dans les rues de leur pays.

    2015 et 2016 ont été de grands crus du terrorisme meurtrier mahométan, tandis qu’à la fin de 2016, notre bibendum élyséen faisait un premier ministre avec le titulaire de l’Intérieur et des Cultes qui avait proclamé antérieurement : « Ce n’est pas un délit de prôner le Djihâd »… une promotion plutôt qu’un séjour en milieu psychiatrique, décidément notre Ripoublique est bien bonne.

    Après les scores superbes de Paris (novembre 2015) et de Nice (juillet 2016), les mahométans de la Chancelière toquée d’Outre-Rhin remettent ça. Lors de la dernière Saint-Sylvestre, d’honorables sectateurs du sieur allah avaient violé une centaine d’Allemandes à Hambourg, Cologne et Düsseldorf ; un an plus tard, ils repassent le plat avec un camion bélier.

    Qu’ont fait les Français, en 2015-2016, à l’occasion des meurtres en série commis par des mahométans ? Ils ont gémi et pleuré. Certains ulémas et imams nous ont assuré que « l’islam, ce n’est pas ça » ! Que le Djihâd, c’est de « tenter de se perfectionner moralement » ! N’importe quel individu sachant lire peut ouvrir le coran et admirer la dizaine de sourates traitant du Djihâd : « Quand vous rencontrerez des infidèles, tuez-les, faites-en un grand carnage » ! Les sbires du fou de Mossoul, eux, savent lire. Ils n’en ont rien à faire des lénifiantes interprétations des soufis.

    Que vont faire les Teutons, administrés par la mollasse luthérienne ? Gémir et pleurer ! C’est indéniable : ce n’est plus la même qualité de Français que ceux de 1914, ni la qualité de la Wehrmacht de feu Adolf Hitler qui eut au moins le mérite de s’attaquer à la barbarie de l’époque : la citadelle de l’ignominie marxiste. Que monsieur Hitler ait ordonné d’abominables génocides, c’est indéniable et cela ternit l’héroïsme de ses soldats morts pour une certaine conception de l’Europe. Mais le contraste est saisissant entre les Européens des années 1914-1945 et leurs tristes descendants.

    À force de manger du chapon à Noël, ils croient probablement qu’imiter les castrats est une bonne réponse aux conflits humains. Fatale erreur !  

    Pleurez, mols Européens, c’est tout ce que vous savez faire. Pleurez, avant de crever, dans la honte et le déshonneur. Car vos futurs assassins ne sont que des débiles mentaux, la lie de l’humanité.

  • Journal du Mardi 20 décembre 2016 - Terrorisme / Nuit tragique à Berlin