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  • Le site de « L’Héritage » fait peau neuve

    Le site de cet excellent magazine de formation et de réflexion propose désormais des articles (entiers ou par extraits), entretiens et recensions, permettant de se faire une idée de cette publication à lire et faire lire !

    On peut aussi acheter des numéros ou s’abonner facilement en ligne :

    www.lheritage.fr

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    http://www.contre-info.com/ 

  • Fusillade dans une mosquée au Canada – Les tueurs « d’extrême droite » sont musulmans !

    Canada – La mosquée de Sainte-Foy a été le lieu d’un étrange fusillade dans la nuit de dimanche à lundi. Deux personnes armées ont fait irruption dans le Centre Culturel Islamique de Québec (CCIQ), durant les prières du soir, et ont tiré, faisant six morts et huit blessés.

    Deux suspects ont déjà été arrêtés. L’un d’eux aurait lui-même appelé la police !

    Sans attendre, politiciens et journalistes européens ont rapidement annoncé qu’il s’agissait d’un attentat puis ont complété en affirmant que cela ne pouvait pas être autre chose qu’un acte d’extrême droite.

    Or, du côté des médias canadiens, on évoque une toute autre piste. Sur les antennes de Radio-Canada, un témoin a affirmé que les tueurs ont crié «Allah Akbar» au moment de tirer dans la salle de prière. Voilà qui n’est pas précisément le type de slogan qu’on s’attend à entendre dans la bouche d’un assassin « d’extrême droite ».

    Plus fort encore, le journal canadien La Presse, assure que l’un des tueurs serait d’origine marocaine. L’extrême droite canadienne serait donc multiculturelle et musulmane ?

    Mais cela n’empêche pas les « experts » de nos télévisions, radios et journaux mainstream de continuer à marteler qu’il s’agit d’une attaque « islamophobe ».


    Claude Moniquet commente la fusillade dans une mosquée de Québec

    http://www.medias-presse.info/fusillade-dans-une-mosquee-au-canada-les-tueurs-dextreme-droite-sont-musulmans/68518/

  • Le Parti de la France annonce 4 candidats en Bretagne

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    Lorient (Breizh-Info.com) – Carl Lang, président du Parti de la France et Lorrain de Sainte Affrique, secrétaire Général des Comités Jeanne ont animé samedi 28 janvier dans le Morbihan un déjeuner / débat lors duquel ils ont annoncé 4 candidatures de ce parti pour les élections législatives en Bretagne administrative.
    Ainsi, seront candidats :

    – Marie-Anne Haas sur la 6 ème circonscription du Finistère (29)
    – Jean-Paul Felix sur la 4 ème circonscription Ploërmel (56)
    – Alain Lyon sur la 3 ème circonscription Pontivy (56)
    – Jean-Marie Lebraud sur la circonscription de Redon (35)

    Deux autres candidats, sur Vannes et Lorient, devraient également être investis prochainement.

    Les candidats seront présentés sous une étiquette regroupant plusieurs partis, comités et associations qui défendront « La droite patriotique, nationaliste et souverainiste ». « Nous serons nombreux à défendre les valeurs de la vraie droite nationale en Bretagne et en France » ont déclaré les deux animateurs de la journée.

    Carl Lang et Lorrain de Saint Affrique ont également annoncé que Jean-Marie Le Pen soutenait ces candidatures – qui pourraient constituer une concurrence, à la marge, vis à vis du Front national.

    Estimant que le Front national prenait actuellement « un virage à gauche », et même « à gauche de Mélenchon », Carl Lang explique que « faire de la politique électoraliste ne correspond pas à nos valeurs, au PDF nous sommes là pour défendre la France, notre culture, notre histoire, nos familles.»

    Les candidats appellent à « résister à la colonisation et à l’islamisation de notre pays » , estimant ne pas se reconnaitre dans les propos de Marine Le Pen qui avait déclaré que l’Islam n’était pas incompatible avec la République française. Ils appellent également à revoir la PAC et ses dérives mais insistent aussi sur l’interdiction de l’abattage Halal et plus globalement, sur le respect de la condition animale.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Il faudrait demander une mission parlementaire pour évaluer la pratique de l’avortement

    Sabine Faivre, psychologue et auteur du livre La Vérité sur l’avortement aujourd’hui, publié en 2006, est interrogée par Anne Isabeth dans Présent. Extrait :

    "Que manque-t-il aujourd’hui à ce débat sur l’avortement ?

    Il manque le rapport au réel : nous sommes enfermés dans des postures. Il faut en sortir pour avoir le courage d’affronter la réalité. Il y a très souvent un écart entre la théorie et la pratique en milieu hospitalier. Dans la plupart des cas, l’avortement est réduit à une pratique, un geste médical : c’est ce que l’on voit sur les sites officiels qui détaillent les techniques utilisées. On évacue ainsi l’humain. Or, les femmes veulent que l’on parle d’elles, qu’on les écoute et qu’on les rejoigne dans leurs difficultés.

    Il y a un hiatus entre la loi et la façon dont les choses se passent dans la réalité des hôpitaux, et c’est précisément cela qu’il faut montrer. Il faudrait demander une mission parlementaire pour évaluer la pratique de l’avortement : son aspect médical, technique, psychologique, comme on le fait pour d’autres pratiques médicales. Cet argument est audible par n’importe qui : qu’on soit pour ou contre l’avortement.

    Vous dites qu’en France, il y a un manque énorme d’études sur les conséquences, la dimension humaine de l’avortement. Pourquoi ?

    C’est plus que cela : on ne trouve pas d’études sur la dimension humaine et psychologique de l’avortement, à cause d’un verrou idéologique. Il existe des recherches sur les fausses couches, la grossesse, l’accouchement. Rien sur l’avortement. C’est vraiment significatif. D’ailleurs, l’inspection générale des Affaires sociales l’a remarqué dans un de ses rapports, publié en 2010 : « La douleur est une préoccupation inégalement partagée selon les services et peu traitée dans les travaux d’étude, de même que le vécu par les patientes. » Une étude de 2016 a révélé l’ampleur de la souffrance des femmes après un avortement médicamenteux. Malheureusement, on peut se demander, à juste titre, si la loi sur le délit d’entrave numérique ne va pas tuer la recherche : les études montrent l’impact négatif d’un avortement sur les femmes, ce qui est forcément dissuasif. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Politique et Eco n° 120 : L’Etat comme problème et non comme solution avec Me Jean-Philippe Delsol

  • Parti socialiste : vers un divorce par consentement mutuel ?

    La victoire de Benoît Hamon a rebattu les cartes dans des proportions peut-être encore plus importantes qu’attendu.

    Branle-bas de combat à gauche. La victoire de Benoît Hamon a rebattu les cartes dans des proportions peut-être encore plus importantes qu’attendu. Première conséquence visible : une partie du courant des « réformateurs » du Parti socialiste, comprenant environ une soixantaine de parlementaires, pourrait franchir le Rubicon en soutenant officiellement Emmanuel Macron. À l’initiative de Christophe Caresche et Gilles Savary, une vingtaine de parlementaires, loyaux à François Hollande durant le quinquennat, ont signé un appel au « droit de retrait ». Certains d’entre eux pourraient, néanmoins, ne pas se précipiter, si leurs circonscriptions se trouvent dans des endroits ayant largement plébiscité le champion de la gauche culturelle. On le sait, les élus sont parfois courageux, mais rarement téméraires.

    Toutefois, les récalcitrants ne masqueront pas la profonde division qui s’est fait jour au sein d’un Parti socialiste naguère uni, pour le meilleur et pour le pire. En effet, les pétitionnaires estiment que le discours de Benoît Hamon ne leur ressemble pas. Ainsi, le susnommé Gilles Savary a notamment dit : « On a l’impression qu’en trois jours, on a changé de parti sans que jamais nos militants n’aient été consultés. […] On ne se retrouve pas dans une valeur travail dépréciée et la promesse d’une société assistancielle dont on ne sait absolument pas comment elle serait financée. Par-dessus tout, ce quinquennat que Hamon juge insoutenable, nous l’avons défendu devant nos électeurs pendant cinq ans. Et il faudrait aujourd’hui défendre le contraire ? »

    Cette critique fait écho à des rumeurs en provenance de l’Élysée. Il se murmure que François Hollande conditionnerait son soutien au fait que Benoît Hamon veuille bien assumer le bilan quinquennal de sa présidence. Un exercice d’équilibriste difficile qui contraindrait le Breton à revenir sur ce qui a fait l’essentiel de son succès, c’est-à-dire, très précisément, le rejet de François Hollande. Benoît Hamon réinvente le Parti socialiste français. Il en fait le véhicule d’une horreur conceptuelle absolue, une gauche 2.0 qui aurait totalement tourné le dos à la France de Renan. C’est habile. L’espace politique de cette formation n’étant plus aussi important qu’avant, Benoît Hamon s’enfonce dans les brèches toujours ouvertes.

    Quant à Emmanuel Macron, nourri par les mêmes idées – celles de ses mentors et sponsors que sont, par exemple, messieurs Attali et Minc -, il tente, plus adroitement, d’unir la gauche Terra Nova au centre droit mondialisé. De Jean-Luc Mélenchon à Benoît Hamon, en passant par Emmanuel Macron, le nomadisme aura trois porte-étendard de différentes sensibilités pour le représenter en avril prochain.

    La force d’Emmanuel Macron est qu’il a réussi à se défaire, par un habile tour de passe-passe, de l’étiquette qui devrait normalement lui coller à la peau. S’il vient de la gauche de gouvernement, comme le prouve d’ailleurs sa participation active au quinquennat de François Hollande, Emmanuel Macron n’y est curieusement plus assimilé. Par la grâce d’une communication bien huilée, avec l’appui de nombreux médias et relais d’opinions, l’ancien ministre de l’Économie s’est transformé en messie de l’omnilibéralisme, créature prométhéenne brandissant fièrement son optimisme communicatif. N’oublions pas qu’il a, longtemps, eu la passion du théâtre… En fait, son positionnement, mal compris sous nos latitudes, ressemble trait pour trait à celui d’une Angela Merkel. Il est un candidat de synthèse, dans les deux sens du terme, se rêvant en champion d’une coalition technocratique et utilitariste, animée par le « bon sens ». Bref, le rêve de la post-démocratie en marche.

    Les manœuvres élyséennes, fomentées par les Gantzer et les Jouyet, sont évidentes. Ils veulent Macron à l’Élysée et Hamon en poste au 10, rue de Solférino. Ils éliminent patiemment tous les obstacles qui pourraient se dresser face à eux. Jean-Luc Mélenchon devrait en pâtir, frappé par un phénomène d’usure qui affecte tous les protagonistes de l’élection présidentielle de 2012, à l’exception de la présidente du Front national. Une séquence que les Français semblent vouloir clôturer. Il reste un caillou dans la chaussure de ces marcheurs. Un petit village gaulois résiste, envers et contre tout. Marine Le Pen ne faiblit pas, sûre de son fait. Elle est la seule candidate proposant de s’attaquer frontalement à deux gros chantiers : l’Union européenne et la politique migratoire. Il faut, maintenant, exprimer une idée-force : l’égalitarisme tue le mérite, nivelle par le bas. Seules les libertés permettent aux Français de réussir. Si nous voulons que nos enfants aient des ailes, il faut leur donner des racines !

    http://www.bvoltaire.fr/gabrielrobin/parti-socialiste-vers-divorce-consentement-mutuel,310790