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  • Temps de parole des candidats : la presse roule pour Macron

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marine Le Pen va-t-elle être poursuivie pour apologie du terrorisme islamiste ?

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    8813-20170304-1.jpgMarine Le Pen va-t-elle être poursuivie pour apologie du terrorisme islamiste ? Ça n’aurait rien d’absurde quand son immunité parlementaire est levée à la demande du pouvoir socialiste pour la poursuivre parce qu’elle a diffusé sur son compte Twitter des photos des atrocités de Daech.

    En décembre 2015, Marine Le Pen avait posté trois photos dont celles de l’exécution du journaliste américain James Foley, avec le texte : « Daech, c’est ça ! » En marque de protestation contre le parallèle ignoble fait par Jean-Jacques Bourdin entre l’Etat islamique et le Front national sur RMC-BFM. Lors d’une interview de Gilles Kepel, Bourdin avait déclaré : « Je voudrais revenir sur les liens… euh… entre Daech et le Front… enfin les liens, pas les liens directs, entre Daech et le Front national, mais ce repli identitaire, qui finalement est une communauté d’esprit, parce que l’idée pour Daech c’est de pousser la société française au repli identitaire. »

    Le parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine) a ouvert une information judiciaire à l’encontre de la présidente du Front national pour « diffusion d’images violentes ». Pendant ce temps, personne n’inquiète Macron sur les 120 000 euros détournés de son ministère de Bercy pour le lancement d’En Marche !, ni sur les trois millions touchés chez Rothschild (il ne paie pas l’ISF) ni sur la sous-estimation de son patrimoine.

    La levée d’immunité parlementaire de Marine Le Pen, votée à main levée au Parlement européen, a été dirigée par le député grec d’extrême gauche, Dimitrios Papadimoulis.

    « Je suis député, je suis dans mon rôle quand je dénonce Daech », a déclaré la candidate jeudi, dénonçant « une enquête politique ». « Les députés européens qui ont voté la levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen admettent donc qu’ils sont des godillots qui n’ont pour rôle que d’entériner les décisions des instances européennes antinationales et qui jouent le jeu des islamistes en cachant leurs monstruosités », a réagi le directeur de campagne David Rachline.

    Ils n’ont trouvé que ça ? Parce qu’ils n’ont rien d’autre. Et en plus ils sont nuls. Ces poursuites contre Marine, parce qu’elle a dénoncé la barbarie des égorgeurs islamistes, vont évidemment lui attirer un immense courant de sympathie.

    Caroline Parmentier

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 4 mars 2017

    http://fr.novopress.info/

  • Jeanez Marre - La haine de l'establishment envers Donald Trump enfin expliquée

  • Un maire LR apporte son parrainage à Marine Le Pen. Il est sanctionné

    Pierre Bacqué, conseiller départemental du canton de Fontainebleau, a appris qu'on lui retirait sa délégation de président du Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) de Seine-et-Marne. Celle-ci a été décidée par le président (LR) du Département Jean-Jacques Barbau. La raison ? Le parrainage de Pierre Bacqué à la candidate à l’élection présidentielle du Front national, Marine Le Pen. Jean-Jacques Barbau explique :

    « Je ne peux accepter ni cautionner ce geste contraire aux valeurs que la majorité départementale de la droite et du centre défend jour après jour. Je ne peux par ailleurs exposer cette grande institution qu’est le Service départemental d’incendie et de secours aux aléas et controverses que ne manquerait pas de générer la position de son actuel président. C’est pourquoi j’ai décidé en responsabilité de retirer, sans délai, à Pierre Bacqué ma délégation le plaçant à la présidence du Sdis de Seine-et-Marne. »

    Pierre Bacqué répond :

    « Mon parrainage, je l’ai donné dans le cadre de mes responsabilités du maire du Vaudoué, dont je suis maire depuis 1989 ».

    Soutien politique ?

    « Prenez le dictionnaire et regardez la définition du mot parrainage pour le savoir ». « Je me place dans une éthique purement démocratique et non partisane. Je trouve inadmissible que la représentante d’un parti qui va récolter pas moins de 40 % au deuxième tour de la présidentielle ne parvient toujours pas à obtenir ses 500 parrainages. De même, il est regrettable que les banques refusent de lui prêter de l’argent. Mon discours, Jean-Luc Mélenchon le tient aussi, je ne fais que reprendre ses termes. Je n’adhère pas au Front national, mais lui donne mon parrainage, c’est aussi simple que ça. »

    Marine Le Pen se rend ce jour à la mairie du Vaudoué. Questionné sur l’ambiguïté que peut susciter la venue de la présidente frontiste sur sa commune bien qu’il maintient « ne pas adhérer au Front national » tout en reconnaissant souscrire à certains pans de la vision de Marine Le Pen « concernant le monde rural », Pierre Bacqué persiste :

    « Mon parrainage s’inscrit dans une logique démocratique, voilà tout. Il n’a pu être possible que parce que la peine de mort a été enlevée du programme de Madame Le Pen. C’était ma ligne rouge. »

    « Je tiens simplement à dire que le martinet, ça ne marche pas avec moi. Ceci étant, je réaffirme que j’ai toujours apprécié Jean-Jacques Barbaux en tant que président du conseil départemental. Il fait un excellent travail, je l’ai toujours soutenu et je continuerai à appuyer la politique du Département. Il fait ce qu’il veut concernant ma délégation. Mais son acte me conforte dans mon opinion à propos du parti Les Républicains. Quand il parle de mon parrainage comme un geste contraire aux valeurs, cela me fait bien rire. Lorsque l’on représente un mouvement politique qui s’accommode des problèmes de Monsieur Fillon, on évite de parler de valeurs. Je suis simplement fatigué d’avaler des couleuvres. Pour moi, la démocratie, c’est la liberté de penser. Et mon cas prouve que l’on peut encore prendre des risques à mon âge. »

    Et ceux qui abandonnent François Fillon en rase campagne, seront-ils sanctionnés ?

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La critique de la société de consommation par les royalistes en 1968.

    En préparant un sujet d'oral pour des élèves de classe préparatoire sur « les Trente Glorieuses » et en travaillant, presque dans le même temps, sur les royalistes dans les années 1968-1971, je suis retombé sur quelques textes de Pierre Debray, ce maurrassien atypique qui a eu le mérite d'ouvrir quelques pistes de réflexion nouvelles depuis les années 1950 jusqu'à la décennie 1980, pistes parfois plus ou moins heureuses mais toujours intellectuellement stimulantes. J'ai, en particulier, été très marqué par son idée que Ford avait été, en définitive, plus novateur et révolutionnaire que Marx et Lénine réunis, ce que Debray explique dans cet article publié par Aspects de la France (le titre de l'hebdomadaire de l'Action Française de 1947 à 1992) en 1968, quelques mois après les fameux événements de Mai, et dont il ne me semble pas inutile de reproduire ici quelques extraits :

    « On oublie trop que les Américains ont réussi une révolution moins spectaculaire mais plus efficace que l'Octobre rouge des bolcheviques. Son Lénine fut un constructeur d'automobiles de Detroit, Ford, qui découvrit que les patrons commettaient une faute de calcul en n'accordant qu'à contre-cœur, sous la pression de la grève, des augmentations de salaires aux ouvriers. Si ceux-ci gagnaient assez d'argent, ils achèteraient des autos. Les marges bénéficiaires baisseraient mais les ventes augmenteraient, d'autant qu'en produisant davantage on réduirait les prix de revient. M. Ford voyait dans cette opération un avantage supplémentaire : les petites entreprises qui ne pourraient supporter l'élévation des charges salariales seraient obligées de fermer leurs portes ou de fusionner avec les firmes les plus puissantes. Ce qui advint. L'industrie de l'automobile se concentra, au bénéfice de deux ou trois compagnies, dont Ford.

    « Ainsi fut développée cette fameuse société de consommation que nos « enragés » (1) vilipendent sans bien savoir de quoi ils parlent. »

    Cette analyse était d'autant plus intéressante qu'elle rejoignait la double préoccupation des traditionalistes qui s'inquiétaient à la fois d'un mode de société détruisant les formes anciennes et souvent rassurantes de l'Ordre « éternel » et de la civilisation de l'être (inquiétude qu'avaient mis en mots, sous des formes différentes, Bernanos et, de l'autre côté de la Manche, Tolkien) et d'une révolte qui se voulait révolutionnaire et tout aussi destructrice des bases de la société « de toujours »... Debray considérait, à la suite de son maître Maurras, que la tradition, qui se devait d'être critique pour être complète et efficace, était la condition même de la pérennité de toute société, de son être profond, de son âme. (2)

    « Quand l'école d'Action française condamne la société de consommation, elle sait parfaitement ce que cela veut dire. Il s'agit de la révolution copernicienne opérée par Ford le jour où il a compris que désormais il ne fallait plus produire pour consommer mais consommer pour produire. C'est que le grand problème n'est plus de fabriquer mais de vendre. (…) Comment écouler les milliards d'objets qui sortent chaque jour des usines sinon par l'organisation scientifique du gaspillage ? Nous entrons dans l'ère du gadget, ce qui ne sert à rien, (…) le produit idéal, puisqu'il n'est pas nécessaire de l'utiliser pour avoir besoin de le remplacer. Chacun peut acheter autant de gadgets qu'il en a envie. Le seul problème est précisément de lui en donner l'envie. La publicité s'en charge. »

    Cette société de consommation s'appuie sur ce que Konrad Lorenz appelait la « néophilie », cet amour de la nouveauté permanente et qui permet, justement, d'écouler nombre de produits que la mode présente comme « nécessaires » quand, pourtant, ils ne sont, la plupart du temps, que superflus. Elle est aussi la mise en valeur de la tentation, soutenue par le crédit à la consommation qui n'est rien d'autre que l'endettement des consommateurs : en somme, l'aliénation à la marchandise et l'enchaînement par la dette...

    Ainsi, la révolution Ford désarme-t-elle, effectivement, toute révolution politique qui voudrait remettre en cause l'ordre établi par (et pour) le capitalisme. D'ailleurs, Henri Mendras, dans son livre « La Seconde Révolution française, 1965-1984 », confirmera la fin des espérances politiques  et la « désacralisation des grandes institutions », dont le Parti Communiste et les syndicats ouvriers, entre autres.

    La critique royaliste de la société de consommation n'a pas, après Mai 68, rencontré le succès qu'elle méritait mais, aujourd'hui, les héritiers de l'Action française, y compris post-maurrassiens ou fort critiques à l'égard de Maurras, peuvent constater qu'elle a infusé dans le monde des idées et des revues, et que « l'écologie intégrale », prônée par le pape François, rejoint quelques unes des intuitions et préoccupations monarchistes évoquées par Pierre Debray au cœur même des « Trente Glorieuses »...

    Notes : (1) : Il s'agit des gauchistes et anarchistes de Mai 68 qui, à l'époque, connaissaient un certain succès et apparaissaient comme la forme la plus virulente de la contestation du « système » que symbolisaient à la fois le général de Gaulle (pourtant fort « traditionnel ») et la société de consommation de ce que Fourastié n'avait pas encore appelé « les Trente Glorieuses »...

    (2) : Est-ce suffisant pour qu'une société vive et s'inscrive dans le temps long et de plus en plus mouvant de notre contemporanéité ? La tentation, à laquelle n'ont pas échappé nombre de « conservateurs », a été de croire en un temps « invariable » et de vouloir figer les rapports sociaux, au risque d'étouffer eux-mêmes toutes les possibilités d'une « tradition vivante » et, d'une certaine manière, empirique. Au lieu d'enraciner, ils ont plutôt desséché les traditions qu'ils prétendaient servir ou sauvegarder : or, une tradition sèche est condamnée à n'être plus, me semble-t-il, qu'une nostalgie stérile...

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • i média #141: Agressions des militants du FN à Nantes et mensonges médiatiques

  • Rappel : "Raymond Aubrac était un agent communiste"


    Directeur de recherches au CNRS, l'historien Stéphane Courtois est un spécialiste du communisme. Elève d'Annie Kriegel, il a été le maître d’œuvre du Livre noir du communisme. Ses derniers livres sont "le Bolchevisme à la française" (Fayard) et, sous sa direction, "Sortir du communisme, changer d'époque" (PUF). Historien engagé, mais grand connaisseur des archives, il nous décrit la face cachée d'un personnage aujourd'hui encensé. (On pourrait également lire son article sur le site de Causeur)
    Qui était vraiment Raymond Aubrac ?
    Un agent soviétique, mais pas au sens où il aurait travaillé pour les services d'espionnage de l'Union soviétique. Il était plutôt un membre important du réseau communiste international, un sous-marin communiste si l'on veut ; en tout cas, beaucoup plus qu'un agent d'influence. Un homme comme lui avait évidemment un correspondant à Moscou.
    En a-t-on des preuves ?
    Nous n'avons pas de documents, comme par exemple dans le cas de l'ancien ministre radical Pierre Cot. Toutefois, l'ancien dissident tchèque Karel Bartosek avait découvert dans les archives du PC à Prague des documents qui montrent qu'Aubrac y était reçu par Klement Gottwald, le chef historique du PC tchécoslovaque, qui fut aussi un agent du Komintern.
    Mais Aubrac a toujours expliqué qu'il n'avait jamais été membre du PCF ?
    (Rire). C'est exact, formellement, mais tout cela est cousu de fil rouge. Il faisait partie de ce qu'on appelle les "hors-cadres", des gens de haut niveau dont le PCF n'avait pas besoin qu'ils prennent leur carte. Ils leur étaient plus utile à l'extérieur. Aubrac était un ingénieur, sorti de l'Ecole des Ponts et Chaussées, et le PCF ne voulait pas le mettre en avant. Ce qui ne l'empêchait pas de participer à des réunions de cellules comme "observateur". Avant guerre, sa future épouse Lucie était elle-même communiste, proche d'André Marty - qui fut représentant du PCF au Komintern.
    Ses biographes le présentent comme une sorte d'industriel à la tête d'une entreprise d'urbanisme. Qu'en est-il ?
    La société qu'il dirigeait était le Berim - le Bureau d'études et de recherches pour l'industrie moderne. Placé sous la responsabilité de Jean Jérôme, l'und es hommes les plus importants et les plus secrets du PCF - cette société servait aussi de pompe à finances au Parti. C'est, par elle, que passait une partie des financements en provenance de l'Est - sous la forme de contrats plus ou moins bidons. Même chose avec les maires communistes.
    On apprend qu'il était à Saïgon lors de l'arrivée des chars du Nord-Vietnam en 1975. Qu'y faisait-il ?
    Aubrac a joué un rôle très particulier dans l'affaire du Vietnam. Lorsque le dirigeant communiste Hô Chi Minh vint en France en 1946, il fut hébergé par les Aubrac à la demande de Jacques Duclos. Puis il servit de contact entre l'appareil communiste international et Henry Kissinger lui-même. Du sérieux, on le voit.
    Son rôle durant la Résistance a fait l'objet de polémiques. On se souvient d'un procès contre l'historien Gérard Chauvy et d'une table ronde organisée en 1997 par Libération. Qu'en pensez-vous ?
    Pendant longtemps, Aubrac et son épouse Lucie ont raconté qu'il s'était évadé à la suite d'une opération de la Résistance. Or, Arthur Kriegel - qui a participé à cette action commando - assurait qu'Aubrac n'était pas là quand elle eut lieu. Puis Aubrac a reconnu dans la biographie "autorisée" que Pascal Convert lui a récemment consacrée qu'il ne s'était pas évadé, mais qu'il avait été libéré.
    Un autre épisode pose problème. A la Libération, il est commissaire régional de la République à Marseille. Or De Gaulle va le virer sans ménagement et sans explication. A Marseille, il avait créé des CRS (Compagnies républicaines de sécurité) dont on découvrit plus tard qu'elles étaient entièrement infiltrées par le PCF.
    Quant à la table ronde de Libération, une anecdote est significative : Aubrac s'est mis en colère au moment même où Daniel Cordier lui a demandé d'avouer enfin qu'il était communiste. Jusqu'au bout, il l'aura nié. C'était un gros poisson de l'appareil, très bien camouflé, en particulier derrière l'image de son épouse Lucie.
    Mercredi 11 Avril 2012
    Jean-Dominique Merchet

  • Le Grand remplacement, une réalité implicitement reconnue par l’INSEE

    – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie)

    L’institut Gatestone a analysé l’étude « être né en France d’un parent immigré » publiée par l’INSEE en février. Selon celle- ci, le Grand remplacement semble se confirmer en France.

    Les statistiques ethniques sont pourtant interdites en France ?

    En effet, mais il est possible de déduire certains ordres de grandeur en mettant en perspectives plusieurs données intrinsèquement neutres. Ainsi, en 2015, 7,3 millions de Français avaient au moins un parent immigré, soit 11 % de la population. 46 % de ceux ci sont originaires d’Afrique ou de Turquie. A ce chiffre, nous pouvons ajouter les 6,2 millions d’immigrés.

    Cela fait donc 13,5 millions de personnes d’origine étrangère récente en France

    Contre 12 millions en 2011, soit une augmentation de 9 % alors que la population des Français nés de parents français n’a quasiment pas bougé. En d’autres termes, c’est la composante immigrée de la population française qui nourrit la croissance démographique de la France.

    Et particulièrement les personnes originaires d’Afrique noire ?

    En effet, les immigrés et enfants d’immigrés originaires d’Afrique dite subsaharienne ont augmenté de 43 % et 80 % de ceux ci ont moins de 25 ans en 2015. Cette population n’a donc pas encore apporté sa pleine contribution au repeuplement de la France. Cela rejoint une autre étude de l’INSEE de 2014, prédisant un doublement de la population originaire d’Afrique noire d’ici 10 ans.

    Au total, la population d’origine musulmane pourrait atteindre les 15 à 17 millions d’ici 2025

    En effet, les 6 millions d’aujourd’hui pourraient être 12 millions d’ici 8 ans. Il convient d’ajouter les descendants des premiers immigrants, désormais comptabilisés comme des Français nés de Français et sortant donc du radar ainsi que les clandestins de plus en plus nombreux. La prophétie de Houari Boumédienne « le ventre de nos femmes nous donnera la victoire » semble plus que jamais en passe de se réaliser.

    http://fr.novopress.info/