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  • Marine Le Pen : « Je n’ai pas voulu être Président au biberon ! »

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    Candidats-Confesse-250x350.jpgDans 2017, les candidats à confesse (éd. du Rocher), dont Le Figaro publie des extraits, Marine Le Pen confie : « Tous ceux qui pratiquent le “storytelling“ expliquent que pour devenir président de la République un jour, il faut en avoir eu l’idée dès la petite enfance! Ce n’est pas du tout mon cas. Je n’ai pas voulu être Président au biberon ! »

    La présidente du Front national ajoute :

    « Pendant très longtemps, je n’ai jamais imaginé que cela puisse passer par moi. Autrement dit, je n’ai pas une relation obsessionnelle au succès. Je crois de toutes mes forces que nos idées peuvent arracher la France à sa situation actuelle. Mais la personne en qui ces idées s’incarnent n’a pas tant d’importance à mes yeux, pour peu qu’elle soit solide, honnête, droite et courageuse. »

    Dans ce livre d’entretiens réalisés par Samuel Pruvot, rédacteur en chef de Famille chrétienne, la présidente du Front national confie aussi tout ce qu’elle doit… à son père :

    « Il faut dire que j’ai été en formation continue auprès de Le Pen pendant 45 ans ! En regardant en arrière, je dois reconnaître que cette expérience originelle me donne une grande force aujourd’hui. »

    https://fr.novopress.info/204812/marine-le-pen-je-nai-pas-voulu-etre-president-au-biberon/

  • Politique magazine, numéro d'avril : « La France écartelée »

    Découvrez le numéro d'avril !

    A commander ici !

    DOSSIER : Les fractures françaises

    L’élection présidentielle permet de révéler les fractures entre les différentes catégories de populations et leurs aspirations. Avec, en arrière-plan, des enjeux de pouvoirs et de modèles de société qui reconfigurent les logiques partisanes de la Ve République.  •

    Et aussi dans ce numéro…  54 pages d’actualité et de culture !

    Sommaire

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  • 8 AVRIL 2017 – TOULOUSE – IIIème CASSOULET NATIONALISTE

    Le groupe militant du Parti Nationaliste Français en Haute-Garonne organise pour la troisième année consécutive son « Cassoulet nationaliste », occasion pour tous les adhérents, sympathisants et amis de la région de se retrouver dans l’amitié nationaliste enracinée.

    Contre les lobbies ethniques, maçonniques et pédérastiques, à 15 jours de la grande mascarade urnatoire destinée à faire croire aux Français qu’ils sont encore un peu maîtres de leur destin, et à faire durer encore un peu un régime à bout de souffle, venez entendre les nationalistes qui veulent redonner la France aux Français !

    En présence de :
    Jean-François Simon, président du Parti Nationaliste Français,
    André Gandillon, secrétaire général du Parti Nationaliste Français et rédacteur en chef de Militant,
    Yvan Benedetti, porte-parole du Parti Nationaliste Français et directeur de Jeune Nation

    Avec les stands des organisations amies.

    Entrée : 25 euros.

    Le nombre de places est limité et les réservations sont obligatoires

    au 07.89.39.82.74 ou pnf.toulouse@gmail.com

    http://www.jeune-nation.com/natio-france/8-avril-2017-toulouse-iiieme-cassoulet-nationaliste.html

  • JEUDI 6 AVRIL, LORRAIN DE SAINT-AFFRIQUE INVITÉ DE L'ÉMISSION SYNTHÈSE SUR RADIO LIBERTÉS

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  • Vannes : cours d’arabe et de turc (mais pas de breton) à l'école

    Lu sur Breizh-info :

    "Les élèves de l’école primaire publique de Beaupré La Lande à Vannes pourront apprendre le turc ou l’arabe. Mais pas l’allemand l’espagnol ou encore le breton.

    Les élève de cette école se sont vus remettre par l’administration de l’établissement un document de la Direction générale de l’enseignement scolaire à transmettre à leurs parents. Celui-ci propose aux enfants de recevoir « un enseignement optionnel de langue vivante étrangère » ouvert à toutes les familles « quelle que soit leur nationalité ou leur origine ». Une école implantée dans un quartier résidentiel « où il fait bon vivre », selon le quotidien Ouest France. Deux langues seulement sont proposées aux jeunes élèves : l’arabe et le turc. [...]"

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/04/vannes-cours-darabe-et-de-turc-mais-pas-de-breton-%C3%A0-l%C3%A9cole.html

  • LE POPULISME A LA BARRE : ALLIANCES NOUVELLES EN EUROPE DE L’EST (VIDÉO)

    Avec leurs deux alliés du groupe de Visegrád (République tchèque et Slovaquie), la Pologne et la Hongrie ont affiché le même refus catégorique d’accueillir les envahisseurs qui déferlent depuis plusieurs années en Europe. Mais le rapprochement ne s’arrête pas là : lors d’une rencontre en septembre 2016, Viktor Orbán, Premier ministre hongrois, et Jaroslaw Kaczynski, président du parti conservateur au pouvoir en Pologne, plaidaient ensemble pour une grande « contre-révolution culturelle » en Europe. Au programme : un renforcement du statut des États-nations au sein de l’Union, et un rejet des valeurs frelatées et mortifères de l’Union européenne de « tolérance » au profit du triptyque porteur d’espérance : respect de la nation, des traditions, et des racines chrétiennes.

    Image de prévisualisation YouTube

    http://www.jeune-nation.com/vid/doc-vid/le-populisme-a-la-barre-alliances-nouvelles-en-europe-de-lest-video.html

  • Présidentielle : au-delà de l’élection

    « Il n’est pas facile […], pour un peuple, de se donner un chef. Après bien des soubresauts, l’ancienne France avait fini par penser que c’était à la fois dangereux et illusoire », jugeait Pierre Boutang dans La Nation française, le 24 octobre 1962, à l’occasion du référendum qui, quelques jours plus tard, allait instaurer l’élection du président de la République au suffrage universel. Combien ces propos, écrits il y a plus d’un demi-siècle, sonnent, aujourd’hui, avec une actualité redoublée, alors que, pour la plupart, des nains politiques se disputent les suffrages des Français. Ceux qui sont donnés possiblement vainqueurs en fin de course, Fillon ou Macron, ne feront-ils pas qu’étaler une impuissance volontaire une fois arrivés à la tête du semble-État ? Leur vocation assumée, et de surcroît en anglais pour Macron – la langue de ses maîtres –, n’est que celle de vassaux de l’oligarchie mondiale, via la soumission de la politique française à Bruxelles et à Berlin. Triste perspective !

    Macron est assurément celui qui a le mieux compris le secret que Barnier feignait de révéler en février 2002 dans Libération. Ouvrant son propos en demandant : « Est-il utile de tromper le peuple ? », il répondait aussitôt : « La question posée sans ambages par Frédéric II à Condorcet résonne comme un écho d’Ancien Régime […]. Et pourtant, à l’heure où candidates et candidats à la présidence préparent calicots, arguments et ripostes, il est une sorte de secret dans le débat politique français. Un secret qu'[…] il me semble d’intérêt général de livrer aux citoyens pour aider leur jugement. » Lequel ? Que « la plupart des décisions que les candidats vont s’engager à prendre avec la confiance du peuple ne relèvent plus d’eux seuls ». Et d’ajouter alors, avec un contentement non feint : « Voilà qui réduit singulièrement, j’en suis conscient, la capacité des candidats à multiplier effets d’annonce et coups de mentons. »

    Un cynisme discret

    Michel Barnier ne faisait alors rien d’autre que de nous inciter à dépolitiser l’enjeu de la présidentielle. Telle était, déjà, la rupture, la vraie, à laquelle il invitait les Français, non sans un cynisme discret puisque cette volonté de déclasser l’enjeu présidentiel de l’ordre de la raison politique, afin que les choix majeurs – ceux-là seuls qui intéressent l’élection présidentielle – ne puissent plus faire l’objet d’un débat, tel était en fait le véritable grand secret, que Michel Barnier, en despote éclairé, et oligarque européen, ne jugeait pas encore utile de livrer aux Français. Dissimulait même sous l’aveu de son vrai-faux secret. Ce cynisme, la classe politique le paya comme on sait : le peuple se vengea en qualifiant, vainement, Jean-Marie Le Pen pour le second tour. Quinze ans plus tard, en 2017, le discours politique se réduit, du moins chez les candidats de l’oligarchie, à craindre l’arrivée au pouvoir de Marine Le Pen. La fille, après le père. Mais en jouant sur la peur et, surtout, en refusant de donner aux Français une perspective nationale, Macron incarne de façon paradigmatique, si on peut dire, le renoncement de la France à exister.

    EHPAD des soixante-huitards

    Son refus de donner un programme précis ne vise pas à respecter l’esprit des institutions, selon lequel il appartient non pas au président mais bien au Premier ministre et à son gouvernement, soutenu par la majorité parlementaire, de déterminer et de conduire la politique de la nation. Non, Macron a simplement avalisé, mieux, intériorisé, la disparition même de la France comme être politique, sa relative jeunesse – il a trente-neuf ans – permettant de faire passer ce renoncement pour l’avenir lui-même. Pourtant, à voir ses principaux soutiens affichés, on est en droit de se demander si, au contraire, l’avenir n’est pas du côté des patriotes plutôt que de celui des morts-vivants d’une idéologie mondialiste de plus en plus vigoureusement rejetée par les Français : de Pierre Bergé à Jacques Attali, d’Alain Minc à Daniel Cohn-Bendit, son comité de soutien, c’est l’EHPAD des soixante-huitards, rejoint par un François Bayrou que ses palinodies incessantes ont vieilli précocement. Tel est le véritable échec de la Ve République : avoir plaqué, pour répondre au vœu profond des Français, le rêve d’une monarchie républicaine sur une classe politique qui ne l’a utilisée que pour mieux trahir sa mission. L’élection présidentielle au suffrage universel n’a jamais été que l’arbre cachant la forêt : le triomphe de partis politiques qui se sont eux-mêmes progressivement transmués en courroie de transmission d’une idéologie mondialiste. La réforme de 1962 ne pouvait avoir d’autre justification que de permettre de renouer le lien rompu entre le pays légal et le pays réel, c’est-à-dire de relégitimer le pays légal lui-même. Mais seule la perspective de l’élection du prince capétien, trois ans plus tard, aurait réalisé cette alchimie historique : le peuple, souverain temporaire, mais cause suprême, renouvelant son existence originelle via l’élection unique et définitive du Souverain – le vrai – au suffrage universel. Répétée, l’élection ne pouvait plus que se dégrader, ce qu’elle fait chaque fois un peu plus.

    L’oligarchie, c’est la guerre civile

    Le 18 mars 1964, Boutang, toujours lui, remarquait : « Le pire serait, sous le nom de république, de risquer l’élection d’un partisan, ou d’un factieux, à la tête de l’État d’essence royale, c’est-à-dire de couronner la guerre civile. » La guerre civile, ce n’est plus tant, aujourd’hui, le jeu des partis, désormais d’accord sur l’essentiel, à savoir l’effacement politique, culturel et ethnique du pays réel. Ils ne diffèrent plus que sur les modalités. Non, la guerre civile, c’est celle que l’oligarchie, couronnée tous les cinq ans par un souverain illusoire, l’électeur, mène désormais tous les jours contre le pays réel. C’est celle que cette même oligarchie menace ouvertement de rendre sanglante si jamais les Français se réveillaient en élisant un candidat patriote.

    Le peuple français est aujourd’hui appelé à trouver dans l’Europe son existence originelle, une Union européenne qui a neutralisé le jeu des partis, également soumis à une prétendue sacralité ultramontaine – Bruxelles – qui les rend étrangers aux Français. Mais le résultat n’en est que plus criant : c’est pourquoi aucune excuse bruxelloise, aucune fatalité mondialiste ne saurait prévaloir contre le fait que le politique demeure au niveau national : les Britanniques nous l’ont admirablement démontré l’année dernière.

    Un état d’esprit royaliste

    Toutefois, la volonté d’une nation, dans sa formation comme dans son expression, dépend aussi de conditions historiques. Le mépris, voire la haine des Français à l’encontre de la classe politico-médiatique est indéniable. Mais un événement est nécessaire : il peut surgir du terreau des renoncements et des trahisons accumulés par l’oligarchie. Pour que le peuple puisse un jour renouer avec son existence originelle, il faudra, comme le prince Jean aime à le rappeler, la réalisation de trois conditions : « La première, que le Prince soit prêt. Je suis prêt. Les deux autres : la volonté des Français et les circonstances. » À nous de favoriser celles-ci tout en continuant de travailler à créer un état d’esprit royaliste.

    François Marcilhac

    Paru dans l'Action Française 2000 n° 2950 du 02 Mars 2017.

    https://www.actionfrancaise.net/2017/03/01/presidentielle-dela-de-lelection/

  • Le vrai programme d’Emmanuel Macron

    Il faut lire le détail du programme d’Emmanuel Macron[PDF] pour prendre conscience de son inanité. Sorte de membre fantôme de celui de François Hollande en 2012, le fameux « projet » recycle les idées traditionnelles du Parti socialiste en y injectant une dose de centrisme bon teint. Bref, il s’agit plus d’un ravalement de façade que d’une vraie rénovation. Emmanuel Macron n’étant, au fond, que l’héritier de l’idée social-démocrate qui échoue depuis quinze ans sur le mur des réalités, ayant entraîné la France dans la spirale infernale de l’insécurité, du laxisme et du chômage.

    Deux mesures me semblent démontrer l’escroquerie que représente le candidat, sorte de général Boulanger de forces socialistes désireuses de jouer les prolongations au pouvoir. François Hollande ne déclarait pas au hasard « Macron, c’est moi », dans Un Président ne devrait pas dire ça. En voici trois preuves :

    – Pour mobiliser l’électorat (si courtisé à gauche) des « quartiers », Emmanuel Macron est prêt à laisser se développer un dumping social franco-français. Il propose que toute entreprise embauchant en CDI « un habitant issu des quartiers définis comme prioritaires par le ministère de la Ville » bénéficie d’une prime de 15.000 euros. La prime s’élèverait à 5.000 euros, dont le versement s’étalerait sur deux années, pour tout contrat en CDD. Quid d’un Français pauvre ne venant pas d’un « quartier » mais de la ruralité, grande absente de ce « projet » ? Il sera discriminé.

    Non pas « positivement », mais négativement ! Une mesure antirépublicaine, qui contrevient au principe d’égalité du peuple français, au nom de l’égalitarisme forcené. Un comble. Quant à la discrimination territoriale, elle est une façon polie et hypocrite de distinguer les citoyens en fonction de leurs origines ethno-culturelles.

    – Autre proposition mi-droite mi-gauche : la réforme de l’ISF. Plutôt que de le garder tel quel ou de le supprimer, Emmanuel Macron imagine une troisième voie qui témoigne de sa mauvaise appréhension des enjeux de l’économie réelle. Il compte transformer l’ISF en une super-taxe foncière. Une fausse bonne idée pour qui connaît un peu la situation du pays. En distinguant donc deux types de patrimoine, le capital productif et l’immobilier, qu’il feint de considérer comme étant improductif, l’ancien conseiller de François Hollande paralyserait durement le secteur du bâtiment et tous les autres acteurs qui lui sont liés. L’immobilier neuf deviendrait beaucoup moins attractif pour les investisseurs. Quant aux propriétaires, ils hésiteraient à mettre les biens aux normes énergétiques… De fait, des entreprises verraient leurs carnets de commandes diminuer.

    – Dernier point : la culture et l’histoire. Méconnaissant la nature des relations que les civilisations entretiennent depuis que l’homme est l’homme, Emmanuel Macron veut criminaliser l’Histoire de France dont il méconnaît la culture et l’art. Disons-le tout net : cela le disqualifie purement et simplement.

    http://www.bvoltaire.fr/vrai-programme-demmanuel-macron/