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  • A qui profite le crime?

    Il y a quelques semaines, la diplomatie américaine faisait savoir que le départ du président Bachar el-Assad en Syrie n’était pas (plus) une priorité dans un pays toujours en proie aux violences des djihadistes même si ces derniers reculent sur tous les fronts. Selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), une très trouble  officine contrôlée  par les Frères musulmans installée à Londres, dont les avis sont souvent relayés sans recul par la plupart des médias,  un raid aérien à l’arme chimique aurait été perpétré par l’armée régulière syrienne mardi. Il avait pour cible  une localité encore entre les griffes des islamistes, Khan Cheikhoun (province d’Idleb) et a causé la mort de dizaines de personnes dont des enfants et occasionné des dizaines de blessés. Le gouvernement syrien a démenti cette attaque chimique qui a cependant été portée à son crédit par les pays de l’axe euro-atlantiste. Hier Donald Trump qui a déclaré avoir changé d’avis sur le président Assad après avoir vu les images horribles des enfants gazés de Khan Cheikhoun, a mis ses menaces à exécution. A-t-il  sciemment changé son fusil d’épaule ?  A-t-il été intoxiqué par le poids des images, influencé par  les tenants du dépeçage de la Syrie qui sont (aussi)  présents au Pentagone ?

    Pour riposter au « dictateur Bachar el-Assad (qui a ) lancé une horrible attaque avec des armes chimiques contre des civils innocents en utilisant un agent neurotoxique mortel» a déclaré Donald Trump, 59 missiles de croisière Tomahawk ont été lancés par la flotte américaine croisant en Méditerranée contre une base aérienne du gouvernorat d’Homs, «associée  au programme » d’armes chimiques de Damas.

    M. Trump a appelé à la mobilisation des «nations civilisées», ce qui ne manque pas d’inquiéter. Ce type de langage dans la bouche d’un président américain n’est jamais bon signe et annonce souvent bien des manips et des bains de sang. L’ambassadeur russe auprès de l‘Onu, Vladimir Safronkov, avait averti des « conséquences négatives » en cas d’intervention militaire. Moscou a demandé une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU après l’annonce des frappes américaines (Washington avait prévenu Moscou de celles-ci);  le chef de la commission de défense de la Chambre haute du Parlement russe, Victor Ozerov  a estimé que cette attaque  « pourrait être vu comme un acte d’agression des États-Unis contre un pays de l’Onu », tout en entraînant le risque d’un affaiblissement des efforts sur le terrain pour détruire le terrorisme islamique.

    Moscou n’a pas retiré son soutien à la République arabe syrienne, appelant à la prudence avant d’émettre des conclusions définitives faute d’un accès à la zone visée par cette  attaque. Le ministère des Affaires étrangères russe a demandé une enquête « approfondie » tandis que la ministère de la Défense - on connait le degré d’implication sur le terrain de l’armée russe - a affirmé détenir des preuves certaines que l’aviation syrienne aurait visé un entrepôt dans lequel les «rebelles» stockaient des produits chimiques. A l’appui de cette thèse, on retrouve  certains de ceux qui font état des rapports de la Commission d’enquête de l’ONU sur les violations des droits de l’homme en Syrie qui ont pointé dés 2013 l’usage d’armes chimiques  par les djihadistes  et autres rebelles combattant l’Etat laïque syrien.

    Posons-nous la question avec Bruno Gollnisch : à qui profite le crime ?  Quel serait l’intérêt tactique,  stratégique, psychologique, militaire, politique pour Damas de commettre un crime de cette nature qui frappe tant les esprits, suscite l’horreur générale,  alors que les rebelles sont sur la défensive ? Au moment qui plus est ou  le gouvernement el-Assad  était de nouveau considéré  comme un interlocuteur,  si ce n’est légitime du moins incontournable, et avait réussi (en partie) a s’attirer un regard plus bienveillant des opinions occidentales  inquiètes au premier  chef  d’un terrorisme islamiste qui voyage dans les bagages de l’immigration massive et  frappe aussi l’Europe. 

    Emmanuel Macron, se prononçait hier soir sur France 2, comme François Hollande en son temps, pour une intervention militaire internationale des grandes puissances, sous l’égide de l’Onu… ce qui est impossible tant que la Russie notamment utilisera son droit de veto  au Conseil de sécurité. Une coalition militaire a-t-il dit, qui viserait tout à la fois l’Etat islamique et  le gouvernement syrien qui combat les brigades internationales islamistes,  le tout avec la participation de la Russie pourtant allié de Damas ! Nous voulons bien que M.  Macron ait appris l’art de la négociation et de la persuasion au sein de la banque  Rothschild voire même plus (banquier c’est un métier de p…e disait Alain Minc évoquant le parcours de son poulain), mais nous sommes là dans le grand n’importe quoi ! Les Français décidément feraient bien de redouter un candidat qui étale ainsi un mélange bien préoccupant d’aveuglement progressiste, de bellicisme naïf, de démagogie, d’approximation et d’amateurisme.

    Plus sérieusement, Marine Le Pen l’a dit clairement sur LCI, il faut éviter de tomber dans le piège de « se relancer dans une opération militaire en Syrie. J’ai entendu des propos de M. Trump qui évoque une intervention… Je crois qu’il a tort ».  « En faisant cela, il rentre dans la roue des anciennes administrations américaines, que ce soit l’intervention en Irak ou en Libye, ça n’a pas été une réussite pour le moins, il faut être prudent avec ce type de menaces », ce n’est plus « le temps où de grandes nations mettaient des dirigeants à la tête de tel ou tel pays parce que ces dirigeants les arrangeaient (…). C’est au peuple syrien de choisir son futur dirigeant ». Et aux Français de ne pas se tromper dans le choix du leur dans quelques semaines.

    https://gollnisch.com/2017/04/07/a-profite-crime/

  • TRIBUNE LIBRE : Ainsi font font font les petites marionnettes…

    Pieter Kerstens

    4064561427.jpgCertains nous présentent Emmanuel Macron comme l’homme nouveau tant attendu, le charmeur de ces dames, mais il est surtout le bateleur de foire qui hypnotise une clientèle crédule.

    Produit marketing du Nouvel Ordre Mondial, fabriqué par les banksters, représentant de la Davos Goldman Sachs Idéologie (DGSI), il récoltera sans nul doute l’assentiment des bourgeoises endiamantées et des fanatiques de la compromission.

    Quant à François Fillon, il a démontré sa capacité de persévérance et de résistance face au Régime qui cherche à tout prix à préserver ses prébendes, en le noyant sous un tombereau d’ignominies. Son programme de réformes structurelles permettrait, nous dit-on, à l’Etat de retrouver son lustre terni par le quinquennat hollandais.

    Rien n’est moins certain. Parce que ces 15 dernières années, plus de 40 milliardaires et 60.000 millionnaires ont quitté la France, sous les présidences de Chirac (deux fois), de Sarközy et de Hollande. « Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche » affirmait le président américain Abraham Lincoln en 1860, devant le Congrès.

    Ainsi font font font 3 p’tits tours et puis s’en vont !

    Alors pourquoi donc Fillon ferait-il demain, et dans l’avenir, ce qu’il n’a pas pu, pas su ou pas voulu faire entre 2007 et 2012 ? ? ?

    En effet, face aux problèmes, l’ex-premier ministre a pratiqué la politique de l’autruche :

    • Il les a tout d’abord niés.
    • Puis occultés et ensuite sous-estimés.
    • Les avait dénommés « exceptions » pour justifier son inaction.
    • Il a créé des commissions, suivies de l’élaboration de multiples rapports.
    • Ces rapports furent transmis à l’Assemblée pour légiférer dans la précipitation.
    • Et au final on en est arrivé à des plans de crises et d’urgence. Pour quel résultat ?

    Remarquons aussi que la dette publique augmente encore de 20 millions d’euros par jour, que le chômage est un vrai fléau, que l’immigration sauvage ne diminue pas, que les impôts et les taxes augmentent en permanence, que les drogues envahissent l’espace public avec les salles de « shoot » et que la corruption persiste dans tous les secteurs.

    Tous ces maux n’ont jamais été réellement combattus ces 20 dernières années, ni par la Droite, ni par la Gauche ou le Centre mollasson.

    Et la France n’a pas non plus besoin d’un jeune Polichinelle, aux ordres des gnomes de Wall Street, qui conduirait à donner toujours plus de pouvoirs aux eurocrates de Bruxelles.

    Alors, même si l’on n’aime pas les blondes, à défaut d’autre chose, on votera le 23 avril et le 7 mai pour le Front national, bon gré mal gré, avant d’entreprendre l’indispensable Reconquista de nos quartiers, avec détermination.

    PS : Pour vous changer les idées, il faut absolument aller voir le dernier film « A bras ouverts », une comédie hilarante.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La stratégie de la terreur islamiste globale décryptée par Jean-Michel Vernochet

    Au fil des attentats islamistes, Jean-Michel Vernochet s’appuie à la fois sur des expertises militaires et géopolitiques pour dénoncer une stratégie de la terreur destinée à cultiver les ferments de guerre civile, à établir le chaos duquel naîtra un hypothétique nouvel ordre mondial :

    Vernochet-Fiancés-Mort-248x350.jpg« Semer le chaos pour récolter au bout du compte la maison du pouvoir planétaire. »

    Journaliste indépendant et spécialiste de géopolitique, Jean-Michel Vernochet est l’invité de TV Libertés à l’occasion de la publication d’un recueil d’articles et billets écrits de 2001 à 2016, Les Fiancés de la mort (éd. Sigest), sous-titré : « Les stratèges de la terreur globale ».

    « N’oublions pas que les administrations des présidents Clinton, Bush et Obama n’auront jamais cessé ces trois dernières décennies de financer, d’organiser, de superviser et d’armer des groupes islamistes en vue de déstabiliser et détruire les Etats nations qui ne s’alignaient pas sur les desiderata de l’Empire démocratique. Après avoir fait tomber Hussein en Irak, Milosevic en Serbie, Kadhafi en Libye, Saleh au Yémen, Ben Ali en Tunisie, Moubarak en Egypte, et avant de se casser finalement les dents sur Assad en Syrie, la politique du “regime change” aura fait couler des fleuves de sang« , écrit-il.

    « Mais la normalisation démocratique des pouvoirs forts, malgré ces formidables hécatombes, n’aura abouti qu’à favoriser voire promouvoir une terreur aveugle devenant peu à peu endémique. Aussi devons-nous imputer aux crimes non jugés de l’hyperclasse mondialiste le retour de flamme que nous subissons maintenant de plein fouet, avec pour résultat de faire de l’Europe sénescente la Maison de la guerre, le Dar al-harb. »

  • Vif succès du colloque "l'Occident contre l'Europe"

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    6a00d83451619c69e201b8d2746d27970c-250wi.jpgCe sont près de 300 personnes qui se sont réunies tout au long de l'après-midi du 1er avril pour entendre parler de "l'Occident contre l'Europe", à travers les interventions des différents orateurs français et pour la première fois d'orateurs internationaux réunis à Paris : russe, serbe, ukrainien gréco-catholique, ukrainien orthodoxe, géorgien et américain.

    Extraits de la conclusion :

    6a00d83451619c69e201bb098d2d5c970d-250wi.jpg"Car sachant qui nous sommes, nous identifions clairement nos ennemis. Le principal d'entre eux, c'est le mondialisme ou, plutôt, l'immondialisme qui soumet les peuples et enlaidit leurs cultures. Inutile d'y aller au carbone 14 pour dater le phénomène : ses bases sont jetées dans les années 60, et son hégémonie devient sans partage après l'implosion de l'URSS. Il nous faut penser large mais pratique, nerveux, politique, pour agir à hauteur de vie d'homme : pas plus que je ne déplore le passage du paléo au néolithique, je ne considère opérant de rejeter la modernité en bloc. Non, l'ennemi, c'est bien la post-modernité libérale-libertaire. C'est-à-dire l'arme de poing idéologique des forces de l'immondialisme à pilotage anglo-saxon, du moins jusqu'au Brexit et à l'élection de Trump.

    Ces forces se sont d'abord dirigées contre la capacité politique des peuples. C'est la fonction de l'Union Européenne dès l'origine, et elle n'en n'a jamais eu d'autres, comme cela a été montré. A travers les abandons de souveraineté, l'européisme a démoralisé les nations en leur injectant une volonté d'impuissance. On a répandu dans les esprits que la France serait incapable de « peser seule » dans la mondialisation et que l’Europe, l’Europe, l’Europe... Apprécié du Pérou ou du Liberia, ce raisonnement doit apparaître pour ce qu'il est : un symptôme de masochisme bourgeois. Et de fait l'euratlantisme détruit les identités, avec les souverainetés, par la repentance et l'immigrationnisme. Exaltant l'appartenance des autres, intimidant par l'antiracisme, il impose le multiculturalisme dans un seul pays – bizarrement pas en Algérie ni en Arabie Saoudite. En supprimant leurs frontières politiques, la doctrine Soros dresse des murs ethniques à l'intérieur de chaque nation européenne. Au bilan, l'immondialisme veut nous faire vivre en xénocratie, sous le pouvoir de l'étranger à l'extérieur comme à l'intérieur. Déchéance ultime pour les Anciens, la xénocratie s’est établie en France quand le gauchisme et Giscard ont liquidé De Gaulle qui, dans les conditions de la modernité, avait repris l'histoire de France monarcho-républicaine, sociale et identitaire (...)

    Quant aux effets de l'immondialisme sur le visage éthique de l'homme européen, j'irai vite, le travail ayant été fait aujourd'hui. Mais c'est un véritable effondrement anthropologique et esthétique qui remplace les madones de Raphael par Lady Gaga, Brigitte Bardot par des burkinis, Lino Ventura par Conchita Wurtz, De Gaulle par Sarkozy et Hollande."

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    Michel Janva

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  • «On nous bassine avec le Front Républicain contre le FN, mais ni Poutou ni Arthaud ne sont Républicains!»

    VIDEO: Coup de Gueule de @JSFerjou «On ns bassine avec le Front Républicain contre le ,mais ni ni ne sont Républicains!»

    Michel Janva

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  • Jean-Michel Vernochet : "Les stratèges de la terreur globale"

  • Têtes à clash #3 : le débat de BFM, Florian Philippot et construction de prisons

  • Pourquoi Marine Le Pen peut l’emporter

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    L’affrontement Le Pen/Macron, c’est celui de De Gaulle contre Lecanuet revu à la sauce Internet.

    L’évolution des sondages, depuis un mois, ne laisse entrevoir aucune modification substantielle des rapports de force : au-delà de la polémique sur les marges d’erreur ou la sincérité des publications, il y a une analyse possible, différente de celles présentées par les médias. Rappelons les chiffres OpinionWay des 3 et 4 avril : Le Pen 25-26, Macron 24-24, Fillon 19-20, Mélenchon 15-15, Hamon 11-10, Dupont-Aignan 4-3, Lassalle 1-1, Poutou 1-1. Les autres candidats étant considérés à 0 du fait de la non-prise en compte des décimales.

    La première observation est que Macron fait le plein des voix de la gauche bobo-atlantiste et de celles des centristes libéraux-européistes, ce qui, néanmoins, ne devrait pas le mettre à ce niveau. Ce score de Macron est d’autant plus étonnant que Hamon et Mélenchon totalisent le quart de l’électorat, avec l’apport, il est vrai, des écolos-gauchistes de EELV et des communistes. 50-51 % pour la gauche et le centre anti-Fillon : cela paraît tout de même beaucoup ; à moins que l’on ne considère que le vote Macron est déjà majoritairement celui du centre, et que le dégoût de Hollande a provoqué une cristallisation précoce et bicéphale – Mélenchon, Hamon – de la gauche.

    La seconde observation tient à la relative faiblesse du vote souverainiste, Le Pen et Dupont-Aignan (+ UPR) à 29 %, alors qu’au premier tour des régionales en 2015, il s’approchait des 33 %.

    Dans un contexte de moindre abstention avec une situation économique et politique dégradée, Marine Le Pen ferait moins que le FN ? Cela semble improbable.

    De ces observations, ne peut-on pas conclure que les 19-20 % de Fillon correspondent réellement et intégralement au fonds UMP : droite sociétale, droite gaulliste (peu mondiale-libérale économiquement), droite des rentiers, droite provincialiste ?

    La sûreté de choix des électeurs pour les différents candidats conforte cette analyse : à gauche, le repli sectaire a eu lieu avec la montée du choix certain, de même pour le bloc des convaincus du FN ou de NDA, lequel mord peu sur la partie de l’électorat de Fillon orpheline du gaullisme. Ce dernier bénéficie aussi d’une forte stabilité des électeurs l’ayant choisi. Seule l’intention « Macron » laisse paraître un doute des centristes et, probablement, un regret de certains socialistes.

    En fait personne n’a, pour l’instant, déplacé de voix en sa faveur, à part un centre devenu indépendant et un peu hypertrophié par le ralliement d’urbains peu politisés et persuadés que la mondialisation est indépassable. L’affrontement Le Pen/Macron, c’est celui de De Gaulle contre Lecanuet revu à la sauce Internet.

    Quel sera le second tour ? La présence de Mélenchon serait le signe du double effondrement à gauche de la mystique européiste et du paradigme social-démocrate. L’incertitude des putatifs électeurs de Macron pourrait le reléguer à la troisième place et permettre l’élection de Fillon, qui ne peut perdre face à Marine Le Pen.

    Mais l’hypothèse Le Pen/Macron reste la plus probable et, au fond, la plus juste sur un plan politique. Marine Le Pen dit juste en parlant d’un choix de civilisation, et c’est sans doute pour cela que les média ne répercutent pas ses propos en ce sens.

    Macron, centriste étendu, ne bénéficiera pas d’un report parfait des électeurs de Mélenchon, dont une part majeure se réfugiera dans l’abstention, la lepénisation de sa position sur l’Union européenne et l’euro permettant ce soutien indirect à Marine Le Pen.

    Déjà délesté de la part centriste, l’électorat de Fillon, au contraire, franchira le cap d’un vote « à droite » persuadé que les législatives lui redonneront le pouvoir confisqué par les manigances. De même, des abstentionnistes ordinaires pourraient être tentés par un bouleversement politique.

    Dans ces conditions, et si cette analyse est juste, Marine Le Pensera la première femme président de la République française.

    http://www.bvoltaire.fr/marine-pen-lemporter/