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  • Nicolas Dupont-Aignan choisit Marine Le Pen!

    Proche des 5% lors du premier tour des élections présidentielles de ce dimanche, Nicolas Dupont Aignan représente une dynamique non négligeable.

    Après avoir déclaré qu'il verrait bien Marine Le Pen être 1er Ministre si il était élu, le leader de Debout La République, crée la surprise pour certains.

    Programme et vision proche, il devrait annoncer son ralliement sous peu.

    Dans le même temps, on note une division des Républicains qui veulent tenter un "front républicains" et ceux qui privilégient un rapprochement avec le Front National et sa candidate.

    A suivre donc...

    http://franzpfifferling.over-blog.com/2017/04/nicolas-dupont-aignan-choisit-marine-le-pen.html

  • Coup de tonnerre à l'usine Whirlpool : "Là où Marine Le Pen prend un bain de foule, Emmanuel Macron se noie"

    Marine Le Pen a fait le choix d'une campagne offensive. Le FN a subi durant des années ce qu'on a appelé le "harcèlement démocratique" et Marine Le Pen a décidé aujourd'hui d'appliquer ce traitement à Emmanuel Macron, qui a eu beaucoup plus de mal à faire bonne figure à Amiens sur le terrain de la vraie vie que dans ses meetings factices où l'ambiance est fabriquée de toutes pièces.

    Marine Le Pen s'est donc rendue de manière impromptue auprès des salariés de Whirlpool au même moment où Emmanuel Macron se trouvait dans un restaurant d'Amiens. Voici ce qu'a déclaré Marine Le Pen :

    "Quand j’ai appris qu’Emmanuel Macron venait ici et qu’il n’entendait pas rencontrer les salariés, qu’il n’entendait pas venir sur ce piquet de grève, mais qu’il allait à l’abri dans je ne sais quelle salle de la chambre de commerce pour rencontrer deux-trois personnes triées sur le volet, j’ai trouvé que c’était une preuve tellement de mépris à l’égard de ce que vivent les salariés de Whirlpool que j’ai décidé de sortir de mon comité stratégique et de venir vous voir (...)

    Je suis ici à ma place, exactement là où je dois être, au milieu des salariés de Whirlpool qui résistent à cette mondialisation sauvage, à ce modèle économique honteux. Je ne suis pas en train de manger des petits fours avec quelques représentants qui en réalité ne représentent qu’eux-mêmes"

    Les images parlent d'elles mêmes.

  • 2017, LE COUP D’ÉTAT (ou hollande et Valls envoient leur marionnette Macron à l'élection présidentielle)

    (L'auteur n'est pas de notre bord, mais l'article va dans notre sens)

    « Une étude un peu approfondie de l’Histoire nous laisse deviner qu’en toute occasion les vraies forces dirigeantes ont à se tenir dans l’ombre des représentants qu’elles se sont choisies, ne pouvant se risquer à s’exposer aux fluctuations événementielles, sous peine de se voir un jour dépossédées de leur puissance ».                                                            Louis Calaferte.

    AVERTISSEMENT :

    Les informations qui ont été utilisées pour cette analyse ont été recoupées et vérifiées conformément aux principes de la charte journalistique de Munich. Elles ont pour origine des articles de presse, interviews télé, images et ouvrages dont les auteurs sont connus et reconnus pour la fiabilité de leurs recherches. Il serait trop long de les énumérer ici. Loin de tout name-droping, vous trouverez en fin de publication les références. Mais tout est vérifiable. Attention, cependant aux sites complotistes, confusionnistes où d’extrême droite. Assurez vous que les sites que vous consultez soient reconnus pour le sérieux de leurs publications. Préférez les sites de recherches universitaires. A ceux qui disent que cet article est complotiste, il s’agit, tout simplement, d’un propos irresponsable qui a pour objectif de discréditer toutes critiques à l’égard de pratiques qui mettent en danger la démocratie. Mais plus grave encore cela permet de les avaliser. Il est urgent de cesser ce genre d’accusation un peu simpliste et de poser les vraies questions. En l’occurence a-t-on oui ou non utilisé l’appareil d’État à des fins de stratégies politiques? Les relais d’influence sont -ils réels ? Les media et les instituts de sondage sont ils indépendants? etc. Ce sont les questions centrales du débat.

    Propos liminaires.

    Une fois de plus, cet article est long. Il est l’avant première d’un livre qui sera publié prochainement. Prenez le temps de le lire tranquillement, mais lisez le. Il révèle comment certains acteurs ont préparé minutieusement ce qu’il faut bien appeler un coup d’État. Il s’agit pour eux de pérenniser, coûte que coûte, la politique engagée par François Hollande. Alors qu’ils se persuadent de servir les desseins heureux de la France, ces putschistes sont en passe de réussir leur ultime objectif, celui de faire perdre à notre pays son libre arbitre, en soumettant son peuple et en violant la démocratie

    L’heure est grave.

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  • Mathieu Slama : « La France d'en haut s'apprête à confisquer aux classes populaires l'élection présidentielle »

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    ANALYSE - « Mathieu Slama voit dans le résultat du premier tour du scrutin présidentiel la preuve que la politique ne peut pas exister en dehors de la lutte des classes ». Il ne peut s'agir de lutte des classes au sens ancien. L'analyse qui suit [Figarovox, 24.04] met toutefois légitimement en lumière les deux France que le Système a dressées l'une face à l'autre, la France d'en-haut - minoritaire - et celle d'en-bas. La dialectique qui oppose ces deux catégories au détriment de l'unité et de l'intérêt du Pays, est familière aux royalistes, plus particulièrement aux maurrassiens. Or la France d'en-haut, en un sens le Pays légal a perdu le sens du Bien Commun. Ce dernier doit être refondé et rétabli.  LFAR    

    On croyait le concept de lutte des classes dépassé. Les intellectuels de gauche Chantal Mouffe et Jean-Claude Michéa, pourtant nourris à la pensée marxienne, déclaraient récemment qu'il devait être repensé. Aucun candidat de gauche, à l'exception de Nathalie Arthaud, n'ont évoqué le concept lors de la campagne.

    Or il n'en est rien. La lutte des classes ressurgit politiquement à la faveur d'un duel de second tour qui va opposer le libéral Emmanuel Macron à la souverainiste Marine Le Pen.

    L'électorat de Macron réunit la France qui va bien, la France optimiste, la France qui gagne bien sa vie, la France qui n'a besoin ni de frontières ni de patrie, ces vieilles lunes de l'ancien monde: cette France «ouverte», généreuse parce qu'elle en a les moyens. La France de Marine Le Pen est la France qui souffre, celle qui s'inquiète. Elle s'inquiète de son avenir, de ses fins de mois, elle souffre de voir les patrons gagner autant d'argent, elle gronde face à l'incroyable arrogance de cette bourgeoisie qui lui donne des leçons d'humanisme et de progressisme du haut de ses 5000 euros par mois.

    La France de Le Pen perdra sans doute face au «front républicain» qui se prépare. Quoiqu'on pense de la candidate du Front national, il y a là une forme d'injustice qui interroge: la France d'en haut s'apprête à confisquer aux classes populaires l'élection présidentielle, la seule élection qui engage véritablement leur destin.

    Il suffisait de constater, hier soir, la différence entre les militants de Macron - des consultants branchés, des étudiants en écoles de commerce, sûrs de leur supériorité de classe -, et les soutiens de Le Pen, des gens simples, timides, ne maîtrisant pas les codes sociaux et médiatiques. Quel contraste, également, entre l'ambiance vulgaire de boîte de nuit chez Macron et le bal improvisé chez Le Pen.

    Derrière cette lutte des classes se cache un affrontement entre deux visions du monde. La vision libérale et universaliste, qui ne croit ni en l'État, ni en la nation ; et la vision que l'on nomme aujourd'hui populiste ou encore souverainiste, qui veut restaurer l'État, les frontières et le sens de la communauté face aux ravages de la mondialisation. C'est le grand combat qui, au final, n'aura jamais cessé depuis 1789.

    Malgré son talent indéniable, l'ancien banquier Emmanuel Macron ne révolutionne rien. Karl Marx le décrivait déjà dans le Manifeste du Parti communiste: la bourgeoisie, écrivait-il, a brisé sans pitié les liens complexes entre les hommes «pour ne laisser subsister d'autre lien, entre l'homme et l'homme, que le froid intérêt, les dures exigences du paiement au comptant» ; «elle a fait de la dignité personnelle une simple valeur d'échange» ; elle a «dépouillé de leur auréole toutes les activités qui passaient jusque-là pour vénérables et qu'on considérait avec un saint respect. Le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, le savant, elle en a fait des salariés à ses gages.». Elle a donné «un caractère cosmopolite à la production et à la consommation» et a «soumis la campagne à la ville». Avec son concept d'homme-entreprise, Macron poursuit la logique implacable du capitalisme qui réifie l'Homme et relègue la politique à un simple instrument de soutien aux intérêts privés. La manière dont il a utilisé tous les codes de l'entreprise et du management durant sa campagne présidentielle n'est pas anodine et mériterait une analyse approfondie.

    L'erreur de Mélenchon est d'avoir cru qu'il était possible de jouer sur tous les tableaux. Il a eu, incontestablement, une intuition géniale en s'adressant non plus à la gauche mais au peuple dans son ensemble, celui qui est victime de la mondialisation sauvage. Mais il a échoué parce qu'il a refusé d'aller jusqu'au bout de cette logique et d'embrasser la cause populiste et souverainiste. Il a aussi échoué parce qu'on ne peut pas défendre le peuple avec un régime parlementaire, régime de tous les compromis qui profitent toujours aux lobbies et aux intérêts privés. La justice sociale n'est possible qu'avec un État fort et un président qui décide souverainement, exerçant le mandat que lui a confié le peuple.

    L'erreur de la droite dans cette campagne a été symétrique de celle du Parti socialiste: celle de croire que la politique pouvait s'extraire des enjeux de classe. La recomposition politique dont on parle tant se fera en partie autour de cet enjeu parce qu'il sous-tend tous les autres: le rapport à la mondialisation, à l'État et à la nation. Et peut-être assistera-t-on, dans un avenir lointain, à une réunion de la France de Le Pen et celle de Mélenchon contre la France des libéraux. 

    Mathieu Slama         

    Consultant et analyste politique, Mathieu Slama collabore à plusieurs médias, notamment Le Figaro et Le Huffington Post, où il intervient particulièrement sur les questions de politique internationale. Il est l'auteur de La guerre des mondes, réflexions sur la croisade de Poutine contre l'Occident, (Ed. de Fallois, 2016).   

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Zoom - Paul Bernard : L’ancien préfet de Corse dénonce la France trahie

  • La Manif pour tous : « Macron, c’est non ! »

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    Le collectif La Manif pour tous, vivement opposé au mariage pour tous de dame Taubira et sieur Hollande, à la GPA et  à la PMA sans père a publié un communiqué de presse dans lequel il appelle à faire barrage à Emmanuel Macron, qui « entend prendre la suite du quinquennat qui s’achève et poursuivre le bouleversement de civilisation » et est un « candidat ouvertement anti-famille, il fait passer l’argent avant l’humain ».

    COMMUNIQUE de la Manif pour tous du 7 mai : Macron, c’est non !

    « Tous nés d’un homme et d’une femme

    ELECTION PRESIDENTIELLE

    Le 7 mai : Macron, c’est non !

    Soutenu par François Hollande, Christiane Taubira, Manuel Valls, Jean-Paul Delevoye, Jacques Attali, Pierre Bergé… Emmanuel Macron entend prendre la suite du quinquennat qui s’achève et poursuivre le bouleversement de civilisation. Candidat ouvertement anti-famille, il fait passer l’argent avant l’humain.

    Constance et cohérence pour la famille

    Depuis 4 ans et demi, La Manif Pour Tous se mobilise pour la famille, premier lieu de solidarité et refuge pour les plus vulnérables, à commencer par l’enfant et son droit à ne pas être délibérément privé de son père ou de sa mère. Mariage, filiation, identité de genre, éducation ou bien encore matraquage fiscal des familles sont les enjeux auxquels le mouvement social d’ampleur historique répond jour après jour.

    Libre et indépendante de tous partis, La Manif Pour Tous rassemble des centaines de milliers de Français qui font passer leur attachement et leur engagement pour la famille avant toute considération partisane ou électorale. C’est pourquoi, La Manif Pour Tous a pour seul « candidat » la famille et s’est toujours refusée à donner de quelconques consignes de votes. Depuis 2013, à chaque scrutin, elle a présenté de manière factuelle les positions des différents candidats. C’est ce qu’elle a fait une nouvelle fois tout au long de cette année électorale lors des primaires de la droite et du centre puis de la Belle Alliance Populaire et lors du 1er tour.

    Appel à la responsabilité

    A l’approche du 2nd tour, les positions des candidats continuent d’être mises à jour sur le site dédié aux échéances électorales www.boomerang2017.fr Maternités et filiations dissociées (PMA sans père et régularisation des grossesses pour autrui (GPA) faites à l’étranger), fin du droit des orphelins et de l’intérêt supérieur de l’enfant, identité de genre, matraquage fiscal des familles, prélèvement à la source ouvrant la porte à l’individualisation de l’impôt… le programme d’Emmanuel Macron est la continuité de la politique anti-famille menée depuis 5 ans par François Hollande, Manuel Valls et Christiane Taubira.

    « Emmanuel Macron prépare une politique anti-famille. Pour les familles, pour les enfants, pour l’avenir, le 7 mai : Macron, c’est non ! » déclare Ludovine de La Rochère. Nous refusons ce bouleversement de civilisation qui entraîne de nouvelles injustices et inégalités pour les femmes et pour les enfants. C’est sur ces enjeux majeurs, qui correspondent au bien commun, finalité de la politique, que nous invitons chacun à décider de son vote. L’humain ne doit pas être écrasé par la puissance de l’argent et du marché. Il revient à chacun d’entre nous de donner la priorité aux enjeux d’humanité et à voter de manière responsable, c’est-à-dire en connaissance de cause. Il est donc essentiel que les électeurs prennent connaissance des positions et des programmes des candidats, disponibles sur notre site internet http://boomerang2017.fr/candidats/presidentielles.

    « Par sa capacité à rassembler très largement les Français au-delà des partis, La Manif Pour Tous a toujours eu la force de réunir les bonnes volontés autour de la famille, de l’intérêt supérieur de l’enfant, du refus de la diffusion du genre et de la déconstruction de liens humains inaltérables et fondamentaux pour chaque personne et pour l’ensemble de la société. Les Français sont immensément nombreux à avoir conscience de l’importance de ces enjeux d’humanité. Cette grande force, infiniment précieuse pour notre combat, est essentielle pour l’avenir » conclut Ludovine de La Rochère. »

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/la-manif-pour-tous-macron-cest-non/73073/

  • Marion Maréchal-Le Pen : "Nous partageons 90 % des constats avec Sens Commun"!

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    Dans un interview accordé à Famille Chrétienne :

    Approuvez-vous la réaction de Sens Commun qui ne donne aucune consigne de vote pour le second tour ?

    Je trouve Sens Commun de mauvaise foi ! Vouloir mettre sur le même plan de gravité et de nuisance Marine Le Pen et Emmanuel Macron, c’est être dans le pur réflexe partisan. La France en crève depuis 30 ans. C’est dommage de la part d’un jeune courant politique très prometteur. On aurait pu attendre de lui plus de liberté, plus de cohérence et moins de réflexes politiciens.

    Mais ils ne se rallient pas à Emmanuel Macron !

    Heureusement ! Cela n’aurait pas été de la lâcheté mais une véritable trahison ! Sens Commun devait soutenir un certain nombre de valeurs auprès de leur candidat pendant la campagne. Beaucoup de leurs actions allaient dans le bon sens. A vrai dire, et quand on est honnête intellectuellement, nous sommes obligés de reconnaître que nous partageons 90 % des constats ! Nous ne sommes pas d’accord sur tout évidemment... Je ne vois pas d’incompatibilité majeure entre eux et nous. Nous sommes conscients des risques de la marchandisation de l’humain, et de la nécessité de défendre de notre peuple et notre civilisation.

    A en croire un sondage du Pèlerin, les catholiques pratiquants semblent toujours réticents à voter Marine Le Pen…

    Je constate qu’il n’y a pas de vote catholique, sinon Jean-Frédéric Poisson aurait fait un bien meilleur score à la primaire de la droite ! Les catholiques votent comme le reste des Français, et non d’abord en fonction de leurs convictions catholiques. Il y a ici un blocage sociologique. Sur l’euthanasie, le mariage homosexuel ou la recherche sur l’embryon, il n’y a « pas photo » entre le programme de Marine Le Pen et celui d’Emmanuel Macron ! (...) 

    Sur les questions anthropologiques, certains à droite rétorquent que la ligne du Front national varie, entre vous et Florian Philippot.

    Objectivement, c’est de la mauvaise foi ! Ces gens se donnent des excuses pour ne pas voter pour nous. Ce que je constate, c’est que dans les 144 propositions de Marine Le Pen, il est écrit noir sur blanc qu’elle abrogerait le mariage homosexuel, qu’elle s’opposerait à l’extension de la PMA aux couples de femmes, qu’elle lutterait fermement contre les mères porteuses… Je rappelle que les députés FN ont également lutté contre la dernière loi d’euthanasie (Il s’agit de la loi Claeys-Leonetti, votée en 2016, qui institue un « droit à une sédation profonde et continue », sans être une euthanasie au sens strict, NDLR), qui était une coproduction droite-gauche ! Il n’y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir.

    Quels sont les arguments qui devraient pousser à voter en faveur de Marine Le Pen ?

    L’un des mérites de ce « ticket » du second tour, c’est qu’enfin le clivage est parfaitement clair. M. Macron fait du progrès un culte : tout le monde aspire au progrès, mais lui s’en sert pour faire table rase et mépriser le passé ! C’est une idéologie dangereuse, c’est celle de Mai 68, qui a tué le père, tué toute autorité, pour créer une société déliée de toute héritage. Emmanuel Macron est le candidat du libéralisme intégral ! Il met les envies individuelles au-dessus du bien commun. Pour lui, la réponse à la destruction du lien social n’est qu’économique, alors que c’est un problème moral. Nous, nous considérons qu’un peuple, c’est un lien moral, avec un socle commun de principes, de valeurs, de codes.

    A partir de là, le choix qui s’offre aux Français, c’est soit la vision postnationale de l’individu-roi, nomade, interchangeable, dans une société multiculturelle où prospérera l’islam radical, soit la défense du principe national, avec les limites que cela implique, pour la défense du peuple et de son unité. Le choix aujourd’hui est limpide. Je suis convaincue que beaucoup d’électeurs de François Fillon seront beaucoup plus lucides que leurs responsables politiques. Je crois qu’Emmanuel Macron est un danger civilisationnel ! (...)"

    par Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/04/marion-mar%C3%A9chal-le-pen-nous-partageons-90-des-constats-avec-sens-commun.html

  • Que faut-il attendre du 2ème tour des élections présidentielles ? Faits et analyse !