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  • L’inquiétant rapport sur l’état de santé des clandestins en France

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    Les clandestins sont, non seulement, une chance pour la France mais aussi pour les maladies infectieuses éradiquées depuis longtemps de notre territoire.

    Le 5 septembre 2017, le bulletin épidémiologique hebdomadaire publiait un rapport relatif à l’état de santé des demandeurs d’asiles présents en France. Il fait état de cas de gale, de tuberculose et de grippe H1N1 dans la jungle de Calais. Ce rapport note que la proportion d’hommes chez les clandestins parisiens atteint 97 % et que surprise 25 % d’entre eux sont en surpoids !

    Il souligne en outre, que 84 % des clandestins sont Soudanais, Afghan et Erythréen. Nous sommes donc bien loin du cliché de la famille syrienne persécutée par le régime de Bachar El Assad. Une question reste néanmoins en suspend : quel est le coût de traitement de ses maladies pour le contribuable français ?

    https://fr.novopress.info/

  • Sénatoriales : Thomas Joly dépose la liste du Parti de la France dans l'Oise

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    Ce vendredi 8 septembre, Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, ancien Conseiller régional de Picardie, a déposé la liste qu'il ménera sous les couleurs du PdF. Ses co-listiers sont Florence Perdu, Cyprien De Vos, Caroline Alamachère, Pierre Verdier et Annabel Ménard.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Gilbert Collard (FN) : "La dédiabolisation, c'est un piège à cons"

    Quand Gilbert Collard fait son mea culpa et rejoint la position de Bruno Gollnisch et Jean-Marie Le Pen : 

     Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • JEAN-YVES LE GALLOU : « SI LES GENDARMES TROUVENT UN PILLARD, ILS ONT À PEINE LE DROIT DE LUI TIRER L’OREILLE »

    Le Président Macron a dû décoller lundi soir pour se rendre sur l’île de Saint-Martin, notamment pour faire taire les critiques quant au manque de moyens déployés par l’État avant et après l’ouragan.

    Jean-Yves Le Gallou, lorsqu’il était à l’Inspection générale de l’administration, a eu à plusieurs reprises l’occasion de participer à des missions de retour d’expérience (RETEX) à la suite de catastrophes naturelles. Il a pu constater que le débarquement d’autorités gouvernementales sur les lieux d’une catastrophe n’aide pas à régler les problèmes mais, au contraire, en retarde le règlement.

    Par ailleurs, Jean-Yves Le Gallou revient sur la situation sécuritaire de l’île. Il constate qu’il est très difficile de savoir ce qui s’y passe exactement, notamment parce que les médias essayent de rassurer.

    http://www.bvoltaire.fr/gendarmes-trouvent-pillard-ont-a-peine-droit-de-lui-tirer-loreille/

  • De mon lit d'hôpital de JG Malliarakis

    Hospitalisé depuis bientôt un mois et dans l'attente d'une intervention chirurgicale lourde, votre chroniqueur restera sans doute hors service jusqu'au début octobre.

    Réduisant au strict minimum l'internet, on s'expose à se replier sur la presse papier. Elle permet peut-être de voir certaines choses d'une manière moins superficielle et moins passagère.

    Ne nous égarons donc pas trop sur les commentaires d'évidence, du style Daëch ou Corée du Nord égalent très méchants. Nous le savons et nous attendons seulement de nos chers et coûteux gouvernants qu'ils en tirent toutes les conséquences vis-à-vis des diverses formes, sources et tactiques de l'islamo-terrorisme, mais aussi des queues de comète du bolchevisme, cette horreur dont on évoquera cette année le coup d'État centenaire de 1917.

    Certains se féliciteront même d'avoir entendu le p. de la r. évoquer, en politique étrangère, la lutte contre le terrorisme islamiste, qu'il distingue soigneusement de l'islam : ceci après une campagne où il s'était abstenu de façon inquiétante sur ce point.

    Préoccupons-nous dès lors d'abord de la France et de l'Europe.

    Le nouveau président est passé en un temps exceptionnellement bref de la popularité à l'impopularité. Tout nouveau tout beau, il garde cependant encore, entre les mains, les instruments politiques et institutionnels des réformes qu'attend le pays, et, ne l'oublions pas, que l'Europe attend de la France. Ce dernier point ne peut pas échapper à M. Macron puisqu'il le proclame lui-même.

    Or, au-delà de complaisants flonflons médiatiques l'examen des mesures concrètes actuellement esquissées, laisse un peu sur leur faim ceux qui voudraient croire au mot d'ordre d'une transformation de la France.

    Du Code du Travail on risque fort de ne voir qu'un toilettage.

    Agréable aux petites et moyennes entreprises, mais certainement insuffisant. Il ne suffit pas de déplaire à la CGT et à Mélenchon pour que la France se redresse.

    L'insupportable Aubry a beau pester contre le nouveau pouvoir, sa loi calamiteuse sur les 35 heures reste la règle.

    Certes les interlocuteurs syndicaux ne brillent ni par leur modernisme ni par leur esprit de coopération. Et, dans une négociation commerciale, on sait bien qu'il faut demander plus, au départ, que ce que l'on espère vraiment obtenir. Nul doute que notre habile président ne livre pas toutes ses arrière-pensées.

    Observons deux réformes aux annonces tonitruantes, tambourinées respectivement les 6 et 7 septembre en première page du Monde et sur toute la largeur, s'il vous plaît : celle du Régime social des indépendants et celle de la SNCF.

    En octobre, quand cette chronique reprendra, on se penchera sur les détails. Retenons quand même qu'entre les gros titres alléchants, si on les croit, et le corps des articles, si on les examine de près, on tombe de haut.

    L'ouverture du trafic voyageurs à la concurrence était prévue de longue date pour l'année 2020, et la réforme du régime des retraites des cheminots, soigneusement évitée par le gouvernement Raffarin en 2003, était déjà jugée nécessaire en novembre 1995 par le gouvernement Juppé, qui y renonça. Avec plus d'un quart de siècle de retard on reprend le dossier. Bonne chance par conséquent mais rien n'est joué.

    Quant à "l'adossement" (?) du Régime des indépendants au régime général, et sa gestion par l'Urssaf au mieux cela ne changera rien, au pire cela induira des complications aussi dommageables que la période de fusion chaotique, entre Organic, Cancava et Canam, décidée en 2003 et qui n'a fonctionné [presque] normalement que plusieurs années plus tard. Non, cette évolution ne résoudra pas le problème du travail indépendant par nature différent de son homologue salarié.

    Que cela aille, comme on dit souvent, "dans la bonne direction" ne rassure même pas. Si cela échoue par mollesse et lenteur : on en attribuerait l'échec à cette fameuse "bonne direction".

    Vigilance par conséquent.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/