Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 42

  • BUDGET : À QUELLE SAUCE LES FRANÇAIS SERONT-ILS MANGÉS ?

    serrer-ceinture-economies-budget.jpg

    Casse-tête de septembre 2017 : l’État doit baisser ses dépenses de 20 milliards (sur 350) alors que le pouvoir précédent n’a effectué que des coupes annuelles de 1,7 à 3,5 milliards malgré des annonces triomphales. M. Dammartin a déjà serré les boulons en 2017, mais il a utilisé la veille recette du report des crédits (comme les 850 millions qui ont poussé le général de Villiers à la démission). Les seules véritables économies ont coûté cher en popularité à Macron : la réduction de 5 € par mois d’APL et le non-renouvellement de 150.000 contrats aidés.

    Comment réussir cette purge inédite depuis le gouvernement Laval en 1935 ? Tous les ministères sont invités à participer à l’effort, mais les Armées seront épargnée, ainsi que l’Éducation et, demain, peut-être, la Justice (pour construire des prisons) voire la Culture. Beaucoup de grands travaux seront abandonnés (gain : de 3 à 5 milliards). Sont dans le collimateur le canal Rhin-Rhône, la ligne Lyon-Turin et la deuxième autoroute Lyon-Saint-Étienne. Souvent économiquement justifiés et rentables mais au long terme, ces investissements seront sacrifiés, ces sacrifices se parant de vertus écologiques. Le logement serait impacté à 2 milliards voire plus, mais le pouvoir n’a le choix qu’entre de mauvaises solutions : supprimer l’APL aux étudiants de familles aisées, tenir compte des revenus sociaux dans le calcul de l’allocation (ce qui baisserait de 100 € l’APL des titulaires du RSA), obliger les allocataires à payer 13 % du loyer (ce qui est sans doute la méthode qui passerait le mieux politiquement à condition de prévoir un effet de seuil pour les titulaires du RSA). 

    On envisagerait également de supprimer les allocations familiales pour les plus riches (ceux qui ont déjà subi une amputation de 50 % de cette prestation). 200.000 contrats aidés seraient abandonnés (pour un gain de 3 à 4 milliards), posant des problèmes insolubles aux petites communes. Ira-t-on jusqu’à supprimer les contrats de ceux qui assistent les handicapés dans les écoles ? 

    Le report des baisses de charges sociales alors que la CSG augmentera rapportera de 3,5 à 7,5 milliards. On ne gèlera pas les pensions, car le gain serait trop faible et les retraités sont déjà spoliés par la CSG. Relever l’âge de la retraite à 63 ans remplirait les caisses (5 milliards en 2018, 15 en 2019), mais au vu des promesses de M. Macron, cette mesure ne sera prise (d’une manière détournée) que lors de l’instauration de la retraite à points. Attendons-nous également à d’autres surprises tout aussi désagréables, car les petits ruisseaux font les grandes rivières.

    Quelles étaient les autres options (qui ne seront pas prises) ? Renvoyer chez eux les migrants économiques (uniquement eux et pas les vrais réfugiés, bien sûr) après avoir examiné avec humanité et en 90 jours leurs dossiers (gain : 2 milliards), diminuer drastiquement le nombre de fonctionnaires sauf pour la police, la Justice et l’Éducation (et encore !), augmenter la TVA (qui sera payée en partie par la grande distribution). Bref, le programme de M. Fillon.

    http://www.bvoltaire.fr/budget-a-sauce-francais-seront-manges/

  • David Rachline : "La Mère Patrie est désormais attaquée jusque dans sa chair par la barbarie ignoble et lâche de la vermine islamiste"

    A l'occasion de la célébration des combats de Bazeilles, fête des Troupes de Marine, dans les arènes de Fréjus vendredi 31 août au soir, David Rachline, sénateur-maire de la ville, a prononcé un discours devant les autorités politiques et militaires, discours vivement applaudi par le public. En voici de larges extraits :

    6a00d83451619c69e201bb09bf2052970d-320wi.jpg"Soldats de l’infanterie de Marine, Soldats de France,

    Fréjus est cette année encore honorée de vous accueillir entre ses murs romains ! Vous les officiers, sous-officiers, les caporaux, les marsouins et les bigors ; vous qui héritez, 147 ans après, de la gloire éternelle d’une division mythique et héroïque. Vous les héritiers de la Division bleue, la division Marine, qui ardeur au cœur et courage à la baïonnette, a tenu à 1 contre 10 la ligne que la patrie lui avait demandé de tenir.

    Je vois ici des soldats, des hommes solides, des frères d’armes qui du Mali à l’Afghanistan, du Kosovo aux rues de nos villes françaises, assurent et assument les missions qui sont les leurs. Protéger et servir, croche et tient ! Dans les déserts du Mali, dans les montagnes afghanes, au bord des routes kosovares ou en faction devant nos églises et nos monuments, vous démontrez au quotidien votre immense dignité et votre infaillible courage.

    Vous avez appris à prendre exemple sur ceux qui sont passés avant vous dans cet uniforme sacré. Vous avez appris les exploits du fier commandant Arsène Lambert et de ses hommes qui défendront leurs positions à Bazeilles jusqu’aux dernières cartouches, jusqu’aux derniers souffles ! Vous avez appris le martyr des soldats de Verdun, vous avez entendu le cri des héros du Chemin des Dames, vous avez perçu la hargne des engagés en Indochine, vous avez su le courage de nos hommes en Algérie Française, vous avez vu tombé pour la France vos camarades, vos frères d’armes.

    Vous avez vécu ce que peu d’hommes vivent, vous les sentinelles de la Mère Patrie désormais attaquée jusque dans sa chair par la barbarie ignoble et lâche de la vermine islamiste ! En patrouille ou en faction dans nos rues, vous assurez désormais la défense de nos familles, de nos enfants et de nos valeurs.

    Car la France est en guerre… Pas la même guerre qu’en 1870 lors des combats de Bazeilles mais elle est bel et bien en guerre.

    Nous, de là où nous sommes, élus de la République, citoyen français, nous vous voyons, nous vous saluons, nous vous rendons un hommage sincère et nécessaire. Nous vous voyons marcher côte à côte, dormir les uns contre les autres comme le furent avant vous ceux qui étaient entassés, dans tant de boue, de sang et de larmes.

    A Bazeilles, dans les tranchées de la Somme et de la Marne, dans les rizières de Dien Bien Phu, dans les rues de notre capitale, de Nice, de Saint-Étienne du Rouvray, de Magnanville, de Levallois Perret… Il pleuvait au dehors, et au dedans, la nuit était dangereuse, grise et rouge, les étoiles couvertes de larmes et d’obus. Et accotés les uns aux autres, les frères d’armes prennent leur tour de garde pour veiller sur la Nation, ils tirent pour protéger nos enfants.

    Plus que jamais, la France a confiance en son arméeFréjus a confiance en ses troupes de marine, les Français ont confiance en nos soldats.

    147 ans après, dans un contexte national et international totalement différent, les combats de Bazeilles résonnent plus fort que jamais ! Les combats qui ont fait notre nation résonnent plus fort que jamais, autant de grandes victoires et de défaites glorieuses :

    Que serait la France sans son indomptable armée de Terre, sans sa fière marine, sans son honorable armée de l’air ? Que serait la France sans son roi fondateur, Clovis et ses guerriers francs ? Que serait la France sans Charles Martel abattant l’envahisseur mahométan à Poitiers ? Que serait la France sans Saint-Louis, le roi croisé, juste parmi les justes, combattant parmi ses hommes, dînant aux côtes des plus humbles ? Que serait la France sans tous ses rois et ses héros anonymes qui ont de tout temps coopérer et combattu pour un bien commun inestimable qui se nomme « Patrie ».

    Des entrailles de la France sont sorties les plus belles épopées jamais racontées par l’Histoire !

    Des entrailles de notre armée sont issues les plus belles légendes héroïques : Jean Bart et Surcouf, précurseurs de notre Marine victorieuse, René Fonck et Guynemer, les as de notre aviation ou encore Turenne, Condé, Bigeard, Foch, Gallieni, Lyautey… Tous ces noms résonnent pour l’éternité et constituent le plus bel héritage qu’il soit pour former nos générations futures, pour enseigner notre art militaire et notre savoir faire séculier, pour tracer une route sure et fière pour l’avenir de la Maison France.

    6a00d83451619c69e201b7c91be15c970b-320wi.jpgFort de cet héritage et parce que ce soir nous honorons encore et toujours nos troupes de marine, nos héros de Bazeilles, nous devons ensemble retrouver cet esprit de loyauté infaillible, cet esprit de communion nationale.

    Bazeilles n’est pas seulement le récit du sacrifice ultime et de la belle mort… Bazeilles c’est une page du roman national français ; ce sont des lignes de sang versé qui racontent comment des français, debout les armes à la main ont résisté jusqu’à la mort pour défendre l’honneur de la France.

    C’est l’histoire de 2655 fils de France tombés au champ d’honneur ; 2655 officiers de carrière, paysans, commerçants, engagés et volontaires tombés au seuil d’une maison, car ici était la Porte de la France et ici… personne ne passe !

    L’esprit de Bazeilles, c’est une Nation attaquée, meurtrie, bafouée qui se relève au cri de Vive la France ! L’esprit de Bazeilles retentit et doit retentir à chaque période de doute et d’obscurité qui recouvre la France.

    Cet esprit s’est insufflé dans les cœurs des poilus, des résistants mais pas seulement, il était déjà là, inconscient, mais bien prégnant dans le cœur des Du Guesclin, des Jeanne d’Arc, des Bayard ou encore des soldats de Vendée, des grognards de la Vieille garde ou des chevaliers de l’Ost royal !

    Les marsouins et les bigors, gradés ou non, ont cet héritage dans le sang et dans le cœur. Ils se rappellent de leurs glorieux aïeux de Bazeilles : brulés vifs, fauchés par les balles ennemis, amputés par les obus prussiens, suffoquant dans la fumée noire de la mort et pourtant toujours debout au nom de l’honneur et du courage pour défendre coûte que coûte et vaille que vaille la Mère Patrie en danger ! Aucun n’a renoncé dans la nuit chaude du 31 aout, aucun n’a abandonné dans le petit matin du 1er septembre. Tous ensemble, frères d’armes, pères, maris, frères et fils de France ne cèdent pas (...) Faisant écho sans le savoir à la barbarie de l’Islamisme qui frappe désormais aveuglément la France et ses citoyens (...)

    Ainsi, les combats de Bazeilles ont révélé les héros, sacrifiés sur l’autel du patriotisme, ils reposent à jamais au panthéon des braves, de ceux qui ont fait le choix un jour de défendre jusqu’à la mort, l’éternité de la France.L’éternité de la France, voilà notre projet à tous : citoyens, élus, soldats, officiers ! Sa grandeur, son témoignage, sa gloire.

    Ce projet passe par plus de volonté, de loyauté, de courage et de coopération.

    Plus de volonté pour rendre hommage à ceux qui nous ont précédé, plus de loyauté envers notre histoire deux fois millénaire, plus de courage pour défendre nos valeurs immuables et plus de coopération pour aider les nations et les peuples qui nous entourent et qui partagent les mêmes objectifs.

    Les aider chez eux et non accueillir les misères et les reproches,

    Les former chez eux et non se repentir de ce que nous sommes,

    Les respecter et les entendre et non les reléguer à des aspects économiques ou sociaux !

    Entendons la voix de nos aïeux, de ceux qui nous ont fait, de ceux qui nous ont légué les vastes bocages normands, les garrigues de Provence, les côtes insubmersibles de Bretagne, les forets landaises, les contreforts du Jura, les plaines de Bourgogne, les cimes des Alpes ou les iles de Polynésie !

    Entendons le souvenir du soldat inconnu, le souvenir de cette flamme ardente sans cesse ranimée. Entendons les tirs et les coups de Bazeilles, ce sont les bruits et les râles de la France éternelle. Celle qui ne concède pas, celle qui mène les autres, celle qui ne se laisse pas faire, celle qui hisse 2000 ans d’ordre romain, de bonté chrétienne, d’immenses rois et de victoires glorieuses aux cimes de la pensée !

    Compagnons inconnus, vieux frères d’armes, chers visages forgés par la sueur et le sang, vous êtes les héros de toute une Nation, une nation libre et fière… qui prie pour vous.

    Gloire et honneur aux troupes de marineGloire et honneur aux soldats de France : Debout les morts, croche et tient"

    Et Au nom de Dieu, vive la Coloniale !!!

    par Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/09/soldats-de-linfanterie-de-marine-soldats-de-france-a-loccasion-de-la-c%C3%A9l%C3%A9bration-des-combats-de-bazeilles-f%C3%AAte-des.html

  • DIMANCHE 1ER OCTOBRE À RUNGIS : INTERVENTION DE PIERRE VIAL, PRÉSIDENT DE TERRE & PEUPLE, LORS DE LA XIE JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE

    2314250307.jpg

    En savoir plus cliquez ici

  • Islamisation de l’école: les (tardives) vérités d’un ex-principal de collège

    « Le cri d’alarme d’un ancien principal de Marseille », titrait La Provence du samedi 26 août, rendant compte du livre de Bernard Ravet, tout récemment paru (éd. Kero). Et le reste de la presse, du Figaro à l’Express en passant par Valeurs actuelles, a fait chorus (et il est invité sur BFM TV à l’instant même où je mets en ligne cet article, mercredi 30, 19h et des broutilles) Curieusement (non, je blague), je n’ai rien trouvé dans les journaux de gauche, ce qui doit peiner l’auteur, qui n’a guère de sympathies pour la Droite — sans doute sans l’étonner. La Gauche serait-elle dans le déni ? Je ne peux le croire.

  • PARTOUT, ANGELA MERKEL EN CAMPAGNE ÉLECTORALE EST HUÉE ET SIFFLÉE !

    5996cbc5fc7e93eb3e8b4567.jpg

    Des opposants à la politique de la chancelière la huent et la sifflent, tout en tenant en main des panneaux portant des slogans contestant sa politique.

    La chancelière allemande chrétienne-démocrate Angela Merkel, quasi assurée malgré une chute de popularité de rester aux commandes du pays à l’issue des élections législatives du dimanche 24 septembre 2017, est en tournée électorale. Elle tient, au fil des jours, des meetings à différents endroits. Cette promenade ne se déroule cependant pas sous les meilleurs auspices. En effet, des opposants à la politique de la chancelière la huent et la sifflent, tout en tenant en main des panneaux portant des slogans contestant sa politique.

    Que ce soit à Bitterfeld-Wolfen, à Brandenbourg-sur-la-Havel, à Ludwigshafen ou à Erlangen, les opposants sont au rendez-vous et se font entendre.

    Ce mercredi 30 août, Angela Merkel débarquait, en fin de journée, à Ludwigshafen, la deuxième ville la plus peuplée de la Rhénanie-Palatinat. Au sein de cette cité de 160.000 habitants se trouve le siège originel et principal du géant de la chimie BASF. Pourtant, le centre-ville a fortement changé au cours des dernières années. Les commerces de pitas turcs, les magasins de produits à bon marché, les agences de paris sportifs et les bars à chicha y sont de plus en plus nombreux. Dans le centre piétonnier de la cité, le peuple allemand originel est devenu minoritaire.

    Le rassemblement électoral organisé par le parti d’Angela Merkel, la CDU, avait pour objet de permettre à la chef du gouvernement de tenir un discours durant trente minutes. À 17 h pile, celle-ci est apparue devant le public, sous haute protection policière. Immédiatement, les sifflements ont retenti et se sont prolongés durant une grande partie du discours. La chancelière a été copieusement huée.

    Les spectateurs étaient composés, pour un quart, de membres du parti, protégés par la police et des barrières. Derrière ceux-ci figuraient les autres personnes appartenant au public. Un quart étant venu pour écouter l’exposé, un autre quart étant composé de musulmans, certains d’entre eux applaudissant frénétiquement des paroles du discours et, le quart restant, d’opposants pour la plupart proches du parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD).

    Les phrases creuses de la chancelière, telles que « Pour un pays au sein duquel nous vivons bien et volontiers » et « La CDU veut expulser immédiatement les criminels étrangers », n’ont pas pu, malgré l’installation audio mise en place par le parti, être plus audibles que les huées et sifflets des opposants.

    Les applaudissements des membres de la CDU ou des musulmans, parmi lesquels figuraient des femmes en tchador ou portant des voiles, n’ont pas pu non plus couvrir, par leurs applaudissements, les sifflets et les huées visant la politique d’asile pratiquée par la chancelière.

    Celle-ci a ensuite quitté les lieux par un passage situé derrière la scène, sans se mêler au public. Seule la présidente de la CDU de Rhénanie-Palatinat, Julia Klöckner, a osé sortir de la zone protégée derrière les barrières afin de se mêler aux électeurs.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • 15-17 septembre : séminaire de formation de l'Institut de Formation Politique

    6a00d83451619c69e201b7c91b0c03970b-250wi.pngCréé en 2004, l’Institut de Formation Politique s’adresse aux jeunes de 18 à 30 ans attachés à la primauté de la personne humaine et aux valeurs de liberté et de responsabilité. L’Institut propose ainsi des formations (le week-end) qui permettent de renforcer les convictions de ses auditeurs, de leur faire acquérir les méthodes de base d’une action efficace, en vue de favoriser l’engagement et l’action dans la Cité.

    Le prochain séminaire a lieu les 15, 16 et 17 septembre prochains, à Paris. Inscrivez-vous vite ! 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html