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12 octobre : conférence d'Anne Coffinier à Orléans
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A peine en place, la sénatrice FN Claudine Kauffmann est déjà suspendue par son parti !
A peine entrée en fonction de sénatrice FN depuis le 1er octobre 2017, (en remplacement de David Rachline forcé de laisser son siège au Sénat pour conserver sa mairie en raison de la nouvelle loi sur le décumul des mandats) Claudine Kauffmann se retrouve déjà suspendue par son parti !
Le motif ? Un ancien message laissé sur les réseaux sociaux.
Claudine Kauffmann avait publié sur sa page Facebook, le 25 mai 2017, deux photos accompagnées du commentaire : « Si la photo de gauche (celle des migrants) ne s’appelle pas l’occupation, dites-moi comment cela s’appelle! ».

« Vous savez, je suis une Française qui aime son pays, et je suis désolée de voir ce qui s’y passe. J’ai beaucoup d’amis étrangers. Je n’ai rien contre les migrants, mais quand j’ai vu cette photo c’est l’image que j’ai eue en tête à ce moment-là! », dit-t-elle à Var-Matin, mercredi.
Et la direction nationale du FN ajoute un second motif de suspension : Claudine Kauffmann aurait rendu visite à la permanence de la conseillère municipale et conseillère départementale Virginie Sanchez, ex FN.
La suspension prend effet à compter de ce jour, en attendant que Claudine Kauffmann puisse s’expliquer auprès de la direction du FN dans les jours à venir.
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La notion tant crainte de la Patrie, « Heimat », revient chez les Allemands, à cause de la mondialisation et de l’immigration
C’est un article de l’agence Reuters qui le souligne à juste titre. Les Allemands développent un intérêt croissant pour une notion que l’histoire de leur XXe siècle (et leurs gouvernants) les avait poussés à évacuer, voire à nier, tant elle était jugée « dangereuse » : l’idée de « patrie », « Heimat ». On en devine les causes, par-delà la fatigue de décennies de repentance méthodique : cet afflux considérable de migrants « accueillis » récemment par le pays et de manière plus lointaine, la mondialisation globale (dont fait partie l’immigration) qui noie peu à peu les spécificités nationales.
Les politiques tentent d’ores et déjà de récupérer un phénomène sur lequel s’est construit, notamment, le très récent succès du parti étiqueté d’extrême droite, l’AfD, l’Alternative pour l’Allemagne. -
ALSTOM : FACE AUX ERREURS DE MACRON, MONTEBOURG A TOUT JUSTE !

Montebourg a 100 % raison ! Il faut rediscuter pour qu’Alstom soit européen (50 % français et 50 % allemand) et non pas sous contrôle allemand. Macron a commis une faute énorme en vendant l’activité énergétique d’Alstom à General Electric. À l’époque, Siemens était prêt à laisser à un Alstom français le contrôle non seulement de l’activité matériel ferroviaire, mais également de l’activité des signaux qui semble plus développée chez « Siemens Mobility » que chez Alstom en France.
Ayant fait une ânerie grosse comme une maison, Macron, ne se bat même plus pour ce qui est encore sauvable, à savoir garder la parité de contrôle 50/50 dans la fusion Siemens/Alstom, comme c’est le cas dans l’Airbus de l’air. Ce n’est plus une défaite, c’est une déroute, c’est la Bérézina, et de ce fait, l’État devrait, selon le plan Macron, se retirer à terme complètement du capital d’Alstom, tout comme le groupe Bouygues, après que ce dernier a empoché ses dividendes exceptionnels.
On se demande pourquoi Macron a nationalisé, s’est tant battu dans l’affaire des chantiers navals STX pour le 1 % de contrôle majoritaire du capital… Subitement cela n’aurait plus aucune espèce d’importance dans l’affaire Alstom ? La contradiction est totale.
La supercherie de communication nous assurant qu’aucun site ne fermera est affligeante ! Le brave Le Maire s’époumone, criant « l’emploi ! », l’emploi qu’il jure de garder pendant 4 ans ! Oui… et après ? Eh bien, après cela se terminera comme Pechiney, Sacilor, Alcatel, Technip Lafarge ; après les 4 ans, c’est celui qui contrôle, à savoir Siemens qui ne laissera à l’entreprise croupionne Alstom que ses beaux yeux pour pleurer, afin de continuer à vendre ses signaux et son matériel ferroviaire en France à la SNCF !
Selon Le Maire, qui n’a rien d’un économiste ou d’un homme d’affaires, cette fusion est une très bonne nouvelle. IL prétend même que cela ne sert rien d’avoir un strapontin au capital d’Alstom ! En ce sens, il a raison, il faut effectivement que ce soit 50 % du capital pour garder la parité de contrôle.
Il s’agit donc d’une trahison pure et simple de Macron en rase campagne avec une communication hypocrite d’enfant de chœur pour le grand public juste bonne à écœurer les initiés !Alors, que faut-il faire ? Il n’y a qu’une solution, engager des fonds publics pour imposer la parité de contrôle 50/50 à Siemens en étant conscient qu’à cause de la faute irréversible que constitue la vente d’Alstom énergie à GE, il n’est plus possible d’avoir en France le siège social pour l’activité signaux.
L’État, comme le conseille Montebourg, devrait racheter les actions qu’il loue actuellement à Bouygues. À Grenoble, Montebourg a évoqué un mélange d’action politique, de lutte syndicale et de menaces de poursuite pénales. Cette affaire n’est pas sans nous rappeler la légèreté avec laquelle Madame Lagarde avait accepté la décision d’un arbitrage honteux dans l’affaire Tapie.
Et le comble de la tartufferie fut avenue Iéna, où l’on vit Henri Poupart-Lafarge, pour garder son poste et ses « stock options » – parlant anglais – avoir le culot, en compagnie de Joe Kaeser, le Président allemand de Siemens, de tenir ces propos : « les Allemands ont l’impression d’être rachetés par les Français ». Et Joe Kaeser est venu en rajouter une pincée en nous disant qu’« Alstom sera européen et non pas allemand »…
Montebourg a raison : « Il n’est pas trop tard pour nationaliser Alstom » et tout renégocier.
http://www.bvoltaire.fr/alstom-face-aux-erreurs-de-macron-montebourg-a/
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Subventions : le maire de Paris arrose ses amis
Lu dans L'Action française 2000 :
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La France Vassale Christophe Brossier La France vassale des GAFA
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La France Vassale, Leo Imbert Elite et vassalisation
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« La grande braderie en marche. TGV, chantiers navals, Française des jeux, la vente de la France par Macron s’accélère » L’édito de Charles Sannat

Charles Sannat, éditorialiste économique
Nos élites vendent la France, une idée dans laquelle elles ne croient plus du tout.
D’ailleurs, le rêve mystique européen de notre Jupiter du palais n’est jamais rien que la destruction consciente de notre pays, de notre indépendance, de notre souveraineté, mais aussi de notre patrimoine sacrifié sur l’autel d’une Europe de plus en plus totalitaire.
La seule chose qui nous sauve, c’est que les Allemands, loin d’être aussi stupides et crétins que les dirigeants français qui sont décidément véritablement en dessous de tout, n’ont pas du tout l’intention, eux, de sacrifier leur leadership et leur domination de simples à des bons sentiments cucul-gnangnan fussent-ils européens.
Pour les Allemands, l’Europe et l’euro sont deux outils de leur suprématie et de leur domination.
Cela veut dire que de la même manière qu’il n’y a jamais de fusion « entre égaux », entre deux entreprises, il n’y aura jamais de rapprochement franco-allemand équilibré, ou égalitaire.
Nous sommes demandeurs.
En réalité, Macron est même un « quémandeur » de plus d’Europe, pensant qu’avec plus d’Europe il marginalisera la grande Allemagne de Merkel.
Il se fourre le doigt dans l’œil jusqu’à la garde. Au mieux, il ne fera que vendre à vil prix les actifs qu’il reste à notre pays.
Macron est un fossoyeur, il procède à la liquidation totale de notre pays
Il n’est pas le seul coupable, tout au plus le chef d’orchestre. Il a été choisi et désigné par le système totalitaire européen pour cela. Il applique.
Il ruinera le droit social et les avancées d’un siècle de luttes sociales.
Il ruinera notre pays en vendant ses entreprises à bas prix à des entreprises privées qui se gaveront de bénéfices dont notre État en mal de recettes a grandement besoin.
Il ruinera la moralité, en rendant tout égal, en autorisant la GPA ce qui n’est jamais rien qu’un droit à l’enfant, or avoir un enfant et autoriser la GPA c’est légaliser la marchandisation des corps et des enfants qui deviennent des produits comme les autres.
Il ruinera le peu de souveraineté qu’il nous reste pour tout confier à l’Europe. Tous nos godillots de la politique ont emboîté le pas à cette clique d’europathes.
Il n’y a plus ni gauche, ni droite
L’ultime combat est entre celles et ceux qui pensent qu’une nation est le seul espace possible d’une véritable souveraineté et de la démocratie, et ceux qui pensent que les nations doivent disparaître.
L’ultime combat est le combat entre européistes-mondialistes et souverainistes (ce qui n’a rien à voir avec du nationalisme primaire).
Ce combat, je l’ai souvent évoqué.
Pour toutes celles et ceux qui ont voté Macron, comme prévu, vous allez désormais assister au dépeçage en règle de notre pays, et on ne vous demande plus votre avis, les ordonnances amères et un parlement aux ordres suffisent. Un parlement où l’on rappelle juste à l’ordre une député qui vend des visites de l’Assemblée dans le cadre de son agence de voyage. Un parlement où peut siéger un gus qui en frappe un autre au point de presque le tuer à coup d’hémorragie cérébrale.
De vous à moi, il y a de quoi être plus qu’inquiets pour notre avenir… et la marche sera longue.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Charles Sannat 28/09/2017
Source : Insolentiae.com
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JOURNAL DU CHAOS DE LA SEMAINE

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