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  • 35 ANNÉES DE LAXISME MONÉTAIRE ET, AU BOUT, L’ÉCHÉANCE…

    Marc Rousset

    La politique de l’argent facile et de réduction des taux d’intérêt a commencé en 1981 alors que les taux d’intérêt des fonds fédéraux aux États-Unis étaient de 18,5 % et n’avaient cessé de monter tout en fluctuant énormément après la Seconde Guerre mondiale.

    Les taux d’intérêt ont ensuite décru lentement pour atteindre 10% en 1987. C’est alors que Alan Greenspan, président de la Réserve fédérale américaine de 1987 à 2006, donna le premier coup d’envoi et instaura officiellement le laxisme monétaire en abaissant les taux d’intérêt à 3% en 1992, et jusqu’à 1% à la fin de sa présidence ; les taux remontèrent ensuite jusqu’à 5% en 2007. Ben Bernanke, son successeur, donna le coup de grâce face à la crise de 2006-2008 et n’hésita pas à abaisser les taux jusqu’à 0 %, où ils sont restés inchangés jusqu’en 2015. Janet Yellen, qui prit la suite de Bernanke en 2014, après des hésitations d’Indienne sur le sentier de la guerre, a remonté les taux dans la fourchette actuelle de 1% – 1,25%.

    Cette politique sur trente-cinq ans de taux d’intérêt bas, conjuguée avec la création monétaire de l’assouplissement quantitatif de la Fed, de la BCE, de la Banque centrale du Japon et même de la Chine, a conduit à l’exubérance irrationnelle spéculative du Dow Jones et des Bourses dans le monde.

    Le dos au mur, les banques centrales n’ont maintenant plus comme seule option que de remonter graduellement les taux d’intérêt et de réduire dans le monde les liquidités de 2.000 milliards de dollars par an, après les avoir augmentées d’autant ces dernières années. Il est plus que probable que la réduction des liquidités va mal se passer, amener l’explosion de la bulle des actions et de l’immobilier ainsi qu’un krach obligataire.

    Les banques centrales n’auront alors comme seule choix, face à l’urgence, à la panique du krach boursier, bancaire et financier, que de créer de la monnaie d’une façon illimitée pour colmater les brèches et éviter l’effondrement complet du Système. Et c’est à ce moment précis que le monde revivra une crise d’hyper-inflation tout à fait semblable à la crise de 1923 en Allemagne. À cette époque, les seules personnes qui évitèrent la ruine furent celles qui disposaient de biens réels, de métaux précieux, d’objets d’art véritable et de terres agricoles.
    Comme aujourd’hui, les nombreux facteurs négatifs géopolitiques et économiques de crise s’étaient accumulés en Allemagne jusqu’en 1922, mais la confiance en la monnaie fiduciaire et scripturale perdura jusqu’à ce que, subitement, les Allemands et les prêteurs étrangers prennent conscience du montant réel de la dette nationale et de la fragilité du Système. La fuite devant le mark commença alors et déclencha le mouvement exponentiel hyper-inflationniste.

    Durant l’été 1923, les paysans en ville refusèrent le mark papier ; un verre de bière coûtait alors 4 milliards de mark ; le prix des repas changeait toutes les heures et certains utilisaient les billets pour tapisser leurs chambres !

    Il semble malheureusement que le monde, les États-Unis, l’Europe et la France soient dans une nasse comparable à celle qu’a connue l’Allemagne en 1923. Certes, le contexte est différent. En 1923, c’était les réparations de guerre, l’endettement écrasant, l’amertume de la défaite après une effroyable hécatombe de morts et de blessés, la perte de territoires et de ses quelques colonies… Aujourd’hui, c’est l’immigration explosive incontrôlée, le terrorisme islamique, le chômage et, plus largement, la précarisation de l’emploi, l’hyper-endettement, la crise civilisationnelle, spirituelle et éthique, le libre-échangisme mondialiste, les innovations technologiques brutales et déstabilisantes comme la robotisation. Toutes choses qui peuvent se conjuguer pour que s’installe subitement une perte de confiance dans la monnaie et le Système.

    Reconnaissons que le Système, avec ses tours de passe-passe économiques, ses mensonges, son inconscience, ses médias et la pensée unique est très fort pour reculer l’échéance et entretenir la nécessaire confiance, jusqu’au jour où… tout explosera !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La coalition occidentale a protégé la fuite des islamistes de Daech

    6a00d83451619c69e201bb09d76a9f970d-250wi.pngDans une enquête publiée lundi, la BBC dévoile les détails d’un accord secret, qui a permis à des centaines de combattants de l’État islamique et leurs familles de fuir la ville syrienne de Raqqa, sous les yeux de la coalition occidentale et des forces kurdes, qui contrôlent l’ex-bastion du groupe terroriste. Le convoi comprenait des cadres de Daech et des dizaines de djihadistes étrangers.

    Depuis, la coalition américano-britannique, alliée aux Forces démocratiques syriennes (rebelles anti-Assad), a tout fait cacher au monde son accord secret. Les camions du convoi de six à sept kilomètres de long ont transporté environ 4 000 personnes, dont des femmes et des enfants, mais aussi des tonnes de munitions.

    À la lumière des révélations de la BBC, la coalition a depuis reconnu son rôle dans l’accord. Plusieurs témoins ont entendu des avions de chasse, parfois des drones, suivre la colonne de véhicules. La coalition a reconnu avoir supervisé depuis les airs le convoi, qui a achevé son parcours en territoire djihadiste, dans un village entre Markada et Al-Souwar.

    Parmi les fuyards, il y avait plusieurs citoyens français. Abou Basir al-Faransy explique :

    “Certains de nos frères français ont quitté le groupe pour la France pour y mener des attaques dans ce qu’on pourrait appeler le ‘Jour du Jugement’”.

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/11/la-coalition-occidentale-a-prot%C3%A9g%C3%A9-la-fuite-des-islamistes-de-daech.html

  • Enième Plan Banlieues de Macron : la rançon de la paix sociale toujours plus chère

    Un plan banlieues de plus ! Bientôt les doigts des deux mains ne suffiront plus pour les dénombrer, mais les insomniaques pourront les compter à la place des moutons pour trouver le sommeil. Rappelons-les sans que la liste soit exhaustive. 1977 : premier plan banlieues sous Giscard. 1983 : plan « banlieues 89 » sous Mitterrand. 1992 : plan Tapie toujours sous Mitterrand. 1996 : « plan Marshall » pour les banlieues, sous Chirac. 1999 : premier plan Jospin « de rénovation urbaine et de solidarité ». 2001 : second plan Jospin avec 5,4 milliards d’euros sur cinq ans pour « les quartiers difficiles ». 2005 : plan Borloo de rénovation urbaine. 2008 sous Sarkozy « plan espoir banlieue » de Fadela Amara. 2013 : plan Ayrault, « 1 000 quartiers prioritaires ».

    Pour ce qui est de ce dernier plan, il prévoyait la création « d’emplois francs » dans ces zones. L’objectif du gouvernement Ayrault était alors de signer 5 000 contrats en 2013 et 10 000 en trois ans. Résultat : seulement 250 contrats ont finalement été signés. Cette expérimentation, « qui n’a pas prouvé son utilité », selon le ministre de la Ville, Patrick Kanner, a été enterrée dans le budget 2015.

    Voilà la mesure ressuscitée dans les mêmes termes, y compris les 5 000 contrats, dans le plan Macron, car il y a désormais un plan Macron, ce sera donc le dixième, dont il a développé les mesures mardi à Tourcoing !

    Lequel plan ne se distingue guère des autres puisqu’il comporte les mêmes ingrédients : emplois subventionnés, discrimination positive qui conforte les « jeunes » dans leur posture de victimes, il y ajoute un usage systématique du testing pour clouer au pilori les entreprises qui refuseraient leur quota de représentants de minorités ethniques.

    La politique des banlieues a déjà englouti en dix ans 50 milliards d’euros. En vain ! A part quelques rénovations urbaines a minimail y a plus de chômage et moins de médecins, pas de mixité sociale mais des ghettos ethniques, pas de « retour de la République » mais l’arrivée des salafistes. L’économie parallèle organisée autour de la drogue croit et embellit devant une police démunie et impuissante pour y faire face.

    Un énième plan n’y changera rien, hélas, les mêmes causes produisant les mêmes effets, vouloir réduire la sécession communautariste des banlieues en l’étouffant sous les subventions n’est pas une politique, c’est une abdication, aujourd’hui comme hier.

    Macron vient de recevoir le redoutable soutien de Jean-Louis Borloo qui, fort de son échec ministériel sur le front de la ville entend apporter son expertise au chef de l’Etat. On en tremble ! Mais peu importe à Macron : le but de sa plongée banlieusarde n’était pas d’y résoudre les problèmes mais d’essayer de gommer son image de « président des riches » en faisant du social avec le geste auguste du semeur de deniers publics.

    Pendant ce temps, loin de nos banlieues, des zones rurales deviennent désertiques, les services publics ont disparu, les commerces aussi, des agriculteurs survivent – quand ils ne se donnent pas la mort – avec moins de 350 euros par mois. 85 % des Français ne vivent pas dans les banlieues dites « difficiles », ce sont les grands oubliés de tous les plans, y compris celui du chef de l’Etat.

    Guy Rouvrais

    Article publié dans Présent daté du 16 novembre 2017

    https://fr.novopress.info/208373/enieme-plan-banlieues-de-macron-la-rancon-de-la-paix-sociale-toujours-plus-chere/

  • En Marche vers la crise : certains s'arrêtent

    Imaginez une seconde que cela se passe à la veille du congrès du FN... Cela ferait la Une du 20 H :

    "Une centaine de "marcheurs", dont des élus, annoncent mardi 14 novembre qu'ils quitteront le mouvement à la veille du congrès de La République en marche (LREM),prévu samedi 18 novembre à Lyon. Ils dénoncent le manque de démocratie au sein du mouvement. Les futurs démissionnaires sont pour la plupart de simples adhérents, mais aussi des élus, des animateurs de comités locaux ou encore des référents issus de toute la France.

    Ces "100 démocrates", comme ils se sont surnommés, publient une tribune dans laquelle ils dénoncent le manque de démocratie au sein de La République en marche, notamment pour choisir la nouvelle direction du parti.  Parmi ces élus figurent la Finistérienne Tiphaine Beaulieu, présidente de la confédération des Marcheurs de la République, et Emmanuel Drouin, élu municipal de Segré (Maine-et-Loire).

    Contrairement à ce qui se passe dans d’autres partis, les 380 000 adhérents de LREM ne vont pas voter. C'est un collège d’élus, de ministres, de cadres et 200 militants tirés au sort qui vont désigner les dirigeants. Et il n’y a qu’un seul candidat au poste de délégué général : Christophe Castaner, l'actuel porte-parole du gouvernement. [...] Ils déplorent aussi le culte de la personnalité autour d’Emmanuel Macron. Ils ont le sentiment que leur avis ne compte plus."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Macron, ses réformes et sa légitimité : le dilemme des nationaux

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    Par André Posokhow, consultant ♦ Depuis son élection, Emmanuel Macron est en butte à des attaques, des invectives et une baisse de popularité plus pour ce qu’il est que pour ce qu’il fait. Élu légalement, sa légitimité apparaît fragile. Avec énergie et dynamisme il a lancé un train de réformes, d’esprit libéral, certes, qui ont le mérite de vouloir rompre avec le socialisme pratiqué dans notre pays depuis 1974. Il y avait nécessité et urgence. Mais cela ne lui ouvrira-t-il pas la voie vers une politique de dissolution de la France dans le grand magma mondialiste et européiste et de soumission servile à l’Allemagne ?

    Depuis son élection en mai dernier et son entrée en fonction après les élections législatives, le nouveau président de la République, Emmanuel Macron, a fait l’objet de critiques, d’attaques et d’invectives, notamment de la part de notre camp, le plus souvent justifiées et parfois méprisantes.

    A) La cible Macron

    LES ZONES D’OMBRE GOMMÉES

    Curieusement les vraies zones d’ombre du personnage, évoquées mollement pendant la campagne présidentielle, semblent gommées, presque effacées : le financement de sa campagne, ses déclarations de ressources et de fortune, ses liens avec Mathieu Gallet, un éventuel compte off-shore.

    UNE PERSONNALITÉ VILIPENDÉE

    En revanche, à gauche comme à droite sa personnalité est mise en cause : séducteur, arrogant, machiavélien, autocrate, démagogue et, surtout, d’une manière risible jupitérien sans que l’on se rende compte que ce dernier surnom pourrait tourner à son avantage.

    Il a été comparé à Kerenski ou à Sarkozy. On annonce son hollandisation.

    Son autoritarisme est mis en cause, d’ailleurs à juste titre, dans l’affaire du général de Villiers. D’un autre côté, qu’il ait tort ou raison, il semble suivre sa route et appliquer son plan sans tenir compte de critiques politiciennes, comme dans l’affaire de l’ISF. Sur ce plan sa conduite nous change de celle des ectoplasmes qui l’ont précédé.

    UNE COMMUNICATION FRÉQUEMMENT TOURNÉE EN RIDICULE

    Ses discours sont jugés verbeux et creux. Valeurs actuelles a publié une brève anthologie des macronades : les ouvrières bretonnes illettrées, travailler pour se payer un costard, les fainéants et les cyniques auxquels il ne cédera rien, ceux qui foutent le bordel en Corrèze.

    On peut ajouter la qualification de la Guyane comme une île et sa datation du vote des femmes au début du XXe siècle.

    LES TRAITS FUSENT DE PARTOUT

    Selon Rioufol, Macron c’est le syndrome de l’autruche, et l’univers du macronisme, déjà manichéen, est une bulle. Pour certains la faculté de Macron à se déguiser en fait le Frégoli de l’Elysée. D’autres se demandent jusqu’où et jusqu’à quand le marketing politique pourrait vendre du vide et si Macron est un président ou un gourou.

    LA CHUTE DE POPULARITÉ ET LES DOUTES

    De manière répétitive la chute de Macron dans les sondages est soulignée dans les médias et Gilles-William Goldnadel interpelle le président : « M. Macron, la France ne doute pas d’elle-même, mais de vous. »

    UNE LÉGITIMITÉ INCERTAINE ET FRAGILE

    De fait, la légitimité de Macron est fragile à deux titres :
    – son élection est le fruit du vote d’une minorité d’électeurs inscrits et d’une abstention massive. Il le sait bien ;
    – il n’a pas été élu mais désigné par l’oligarchie financière mondiale et française grâce à un coup d’Etat médiatico-judiciaire. Aujourd’hui les coups d’Etat ne se font plus avec des baïonnettes comme sous Napoléon III mais avec des juges et les médias.
    En revanche, ce que les analystes semblent ne pas voir c’est qu’il est possible que Macron soit en train d’affermir sa légitimité et de l’imposer à l’opinion française grâce à ses réformes économiques et à son dynamisme.

    B) La construction d’une légitimité

    Oui, il y a urgence pour la France, et ce depuis des lustres. Dès le début de l’été, Macron et son gouvernement ont lancé d’une manière résolue et apparemment énergique, en s’appuyant sur la procédure des ordonnances, de très nombreuses et importantes réformes et ils en annoncent d’autres dans un avenir proche.

    LES ACTIONS EN COURS

    La première des réformes aura été celle du Code du travail. Dieu sait que ce Code constitue une calamité pour les entreprises et leurs dirigeants et un obstacle à l’emploi et à la prospérité. Il a été remanié sur des points importants. Certes, l’effort aurait pu être plus accentué, notamment sur la question des seuils sociaux, mais on peut dire qu’il n’y a pas réellement eu d’opposition. Qu’on le veuille ou non, c’est un succès.

    La décision de supprimer l’ISF a été enfin prise même si cette suppression n’est que partielle et discutable. Macron aura été le seul à en avoir eu le courage et il le fait en surmontant une réprobation générale.

    Sans désemparer, le gouvernement lance des réformes indispensables dans les domaines de la formation professionnelle, partie prenante de la gabegie nationale, et de l’assurance chômage.

    Enfin, le nouveau ministre de l’Education nationale semble vouloir prendre le contre-pied, du moins l’affirme-t-il publiquement, non seulement des folies de la binationale marocaine qui l’a précédé mais des politiques funestes suivies depuis des décennies : enseignement de la lecture, retour de l’histoire. Ce vent salubre de transformation de notre système d’éducation était inespéré.

    DES ANNONCES NOMBREUSES DANS DES DOMAINES MULTIPLES

    C’est dans de très nombreux domaines, surtout économiques et financiers, que des changements significatifs sont annoncés. Citons en quatre à titre d’exemples :
    – la mutation du CICE en une baisse des charges sociales ;
    – la flat tax sur les revenus financiers, ce qui constitue une avancée majeure ;
    – la refonte du RSI dont la gestion est une pure abomination ;
    – la remise en cause des emplois aidés.
    Alors, oui, il est de l’intérêt national que les intentions soient suivies d’effets et que la tyrannie de la bureaucratie européenne n’entrave pas les efforts du gouvernement comme pour les travailleurs détachés. Il faut que celui-ci surmonte les critiques et les oppositions devant lesquelles ses prédécesseurs ont trop souvent cédé. Ces réformes doivent aller au fond des choses et ne doivent pas être des réformettes.

    Rien n’est moins sûr. En revanche, si le nouveau président poursuit et mène à bout son entreprise, les Français pourraient être convaincus par son action économique, financière et sociale si elle est bénéfique pour notre pays, en rupture avec celle, lourdement socialisante, de ses prédécesseurs. Il gagnerait alors une légitimité qui lui fait aujourd’hui défaut et qui constituerait le socle de sa véritable grande politique.

    C) Le danger d’une grande politique macronnienne

    Cette grande politique nous asservira à l’oligarchie mondialiste et sera meurtrière pour le destin national de notre pays

    Ce que nous savons de notre nouveau président et les premiers constats auxquels il est loisible de procéder laissent augurer ce que pourrait représenter une grande politique macronnienne.

    UNE ADHÉSION MORTIFÈRE AUX DOGMES MONDIALISTES ET REMPLACISTES

    • La libre circulation des biens et des capitaux. Celle-ci permet de mettre le patrimoine industriel à l’encan, gigantesque opération à laquelle l’ancien conseiller de Hollande a largement prêté la main dans le passé : Alstom, SFR. Aucun obstacle n’est élevé pour protéger nos joyaux industriels.
    • L’invasion migratoire, avec ses crimes, se poursuit à raison de 200.000 à 300.000 entrées par an et ce ne sont pas quelques intentions molles visant les clandestins qui ralentiront la mutation démographique qu’est le Grand Remplacement voulu et organisé par l’oligarchie mondialiste.
    • La religion réchauffiste et écologiste engendrera un coût futur colossal pour nos finances publiques. A la suite des 7000 éoliennes plantées en France à ce jour, il est prévu de saccager notre pays avec 10 000 machines de plus.

    UN EUROPÉISME INÉBRANLABLE EN FAVEUR DE L’UERSS

    Alors que les peuples des nations européennes manifestent de plus en plus leur contestation de la tyrannie de Bruxelles, Macron souhaite imposer le fédéralisme et des finances européennes communes.
    La soumission à l’étranger

    • Pour ce qui est de la vassalisation à l’égard des États-Unis, qu’attendre d’un président et d’un premier ministre qui sont des young leaders de fraîche date ? Aucune protestation n’est audible, aucune réaction n’est perceptible à l’égard des extorsions de fonds américaines. Dans le domaine militaire des soldats français sont positionnés en Europe orientale et participent aux gesticulations dangereuses de l’OTAN.
    • Soumission à l’Allemagne. C’est le premier ministre qui va à Berlin quêter l’approbation de ses réformes et de son budget par la chancelière. Laval était-il plus servile ? Zemmour parle de germanisation de la France et Charles Gave lance qu’au point où nous en sommes Macron vendra ou bradera à l’Allemagne l’Armée qui est la dernière organisation de valeur de la France.

    DÉDAIN ET DÉNIGREMENT À L’ÉGARD DE LA FRANCE

    Tout le monde se souvient de ses propos sur l’inexistence de la culture française. C’est récemment qu’il a décrié sans fierté la France et les Français à l’étranger en particulier chez les Allemands.

    L’ABANDON D’UNE DÉFENSE NATIONALE

    Le discours de la Sorbonne et son dédain à l’égard des militaires, colonne vertébrale humaine de l’esprit patriotique et national, apparaissent singulièrement inquiétants pour l’avenir d’une défense nationale française.

    UNE MENACE POUR LA DÉMOCRATIE

    C’est en particulier pour les libertés fondamentales, et spécialement la liberté d’expression notablement bafouée dans notre pays, que Macron et l’oligarchie qui l’entoure, expressément opposés à toute forme de démocratie directe, constituent un péril.

    Conclusion

    En définitive, Macron représente une menace grave pour le destin de notre pays. Soit il échouera dans ses réformes et la France s’enfoncera encore plus dans un déclin accéléré. Soit il acquerra une véritable légitimité que son élection ne lui a pas conférée et il aura la voie libre pour faire disparaître une France indépendante, unie, grande et libre.

    Quant à nous, les nationaux, nous ne pouvons refuser des réformes indispensables que les gouvernements précédents ont été incapables de faire et que le FN refusait de prendre à son compte, mais nous ne pouvons accepter la grande politique de Macron. C’est notre ligne de crête pour les cinq prochaines années.

    André Posokhow Consultant 7/11/2017 

    Correspondance Polémia – 08/11/2017
    Crédit photo : Sylke Ibach via Flickr (cc)

    https://www.polemia.com/macron-ses-reformes-et-sa-legitimite-le-dilemme-des-nationaux/

  • Le juteux commerce de la Procréation médicalement assistée (PMA) à l’étranger

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    15/11/2017 – ESPAGNE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Un article de Sciences et Avenir qui prend pour prétexte la « Journée nationale de l’infertilité » révèle le juteux commerce de la PMA (procréation médicalement assistée) à l’étranger. C’est l’Espagne qui a l’une des législations les plus souples en la matière.

    Ainsi, l’Institut valencien de l’infertilité de Madrid assure accueillir chaque année 5 000 couples, surtout hétérosexuels, mais aussi femmes seules ou homosexuelles. Parmi eux de nombreux Français et Italiens. L’institut offre ovocytes et spermatozoïdes, et l’accent est mis sur la sélection génétique des embryons.

    « Ensuite, les patientes sont renvoyées chez elles, et c’est au système de santé de leur pays de les prendre en charge et de couvrir les coûts liés à leur grossesse. »

    Et quels sont ces coûts ?

    « Quand nous abordons la question du coût de la PMA, écrit Sciences et Avenir, la spécialiste refuse de nous répondre. Selon nos informations, il faut compter plusieurs milliers d’euros. »

    En février dernier, cet institut a fusionné avec un groupe américain pour devenir le plus grand groupe de reproduction assistée dans le monde. Il est présent dans 13 pays et réalise environ 300 millions de chiffre d’affaires.

    https://fr.novopress.info/208369/le-juteux-commerce-de-la-procreation-medicalement-assistee-pma-a-letranger/