Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 24

  • 17 novembre 2012 : première Manif Pour Tous pour défendre la famille

    5 ans déjà :

    DOwZYRBUMAAqyR4

    DOwZYR8UQAADUrA

    DOwZYR1VQAAT5_J

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Twitter réduit ses pertes mais est menacé par un trop-plein de censure

    twitter-censure-600x348.jpg

    Habitué aux pertes colossales, Twitter est en train de les réduire. Les résultats du 3ème trimestre 2017 annoncent 330 millions d’utilisateurs (+4% sur un an) et une croissance de 14% des utilisateurs actifs – mais contrairement à Facebook, Snapchat et Instagram, Twitter ne publie toujours pas le nombre d’utilisateurs actifs par jour. La société n’a perdu « que » 21 millions de dollars au troisième trimestre contre 116 au précédent et 100 au troisième trimestre de l’an dernier. Le CA a reculé de 4% à 590 millions de dollars et les dépenses baissent de 16% à 582 millions de dollars.

    Twitter, qui vient de passer à 280 caractères, espère être dans le vert à la fin de l’année… mais côté censure, les voyants virent au rouge et l’exaspération menace le réseau social. Mis en cause par les autorités américaines pour avoir diffusé les tweets sponsorisés des médias RT et Sputnik – proches du gouvernement russe – lors des élections américaines, comme tous les autres tweets sponsorisés des médias ou des candidats, Twitter s’est en effet mis au garde-à-vous en censurant dès le 26 octobre et à l’avenir tous les tweets sponsorisés des deux médias officiels russes. Pourtant, il ne s’agit pas d’un petit budget : RT a dépensé 274 100 dollars de publicité en 2016, ainsi que 1,9 millions de dollars de pub sur Twitter depuis 2011. Les russes ont menacé de leur côté de mettre à sec la branche russe de Twitter en arrêtant toutes les publicités d’entreprises – un marché de plusieurs millions de dollars pour le réseau social.
    La menace GAB…

    Entre-temps, la censure menace l’existence même de Twitter. Un nouveau réseau social, GAB, prend de l’importance dans le monde anglo-saxon, même s’il reste confidentiel en France. Créé en août 2016 après que son fondateur, le texan Andrew Torba, ait constaté que Facebook censurait des articles de presse conservateurs, il a gagné de l’importance lorsque Twitter a suspendu, au nom de la lutte contre les propos racistes, sexistes etc. des dizaines de comptes de personnalités de l’alt-right américaine. En janvier 2017 il revendique 215 000 utilisateurs.

    Fin 2016, la décision des géants du web Apple et Google de bannir GAB de leurs systèmes de distribution d’application renforce la popularité du site – simple application de l’effet Streisand. En août 2017 Google et Apple retirent une fois de plus les applications de GAB.ai de leurs systèmes de distribution, pour violation de leur politique sur les discours haineux. GAB arrive néanmoins à lever 1 million de dollars dont 500 000 en cinq jours et à se financer depuis – il n’y a pas de pub et le site dont le logo est une grenouille verte, allusion transparente à l’icone de l’alt-right Pepe the Frog, vit des dons de ses utilisateurs.

    En avril 2017 Gab lance une offre “premium”, GAB Pro, à 5,99 dollars mensuels qui donne accès à des tchats privés où les messages s’effacent au bout de 24 heures, ainsi qu’à la GabTV, un service de streaming de vidéos alimenté par des contenus “libérés de la censure” ; cette version pro atteint 2500 utilisateurs en août dernier, ce qui permet d’équilibrer ses finances. Après un coup de mou d’avril à septembre, GAB est reparti à la hausse, alimenté par les polémiques et les tentatives de censure des grands du web : il est aujourd’hui classé 16 564 dans le monde et 7 051 aux USA sur Alexa Ranking.

    Devenu un refuge logique pour les nationalistes de tous ordres, GAB essaie de se développer au-delà de la bulle de l’alt-right anglo-saxonne en surfant sur la liberté d’expression, menacée par les géants du web. Utsav Sanduja, directeur d’exploitation de Gab, met en avant cette problématique : « il y a trop de censure dans le monde. J’ai vu beaucoup de monde en UE qui ont été censurés juste pour avoir critiqué le problème des migrants », dit-il pour expliquer les motivations qui l’ont conduit à travailler pour GAB. « J’ai vu beaucoup de doubles standards dans les réseaux sociaux ; j’ai un passé de journaliste international, j’ai travaillé dans de nombreux pays dans le monde et je connais vraiment la valeur des droits de l’homme et de la libre expression », ajoute-t-il.

    Le web au bord de la cassure

    Il revient sur la violente campagne anti-GAB dans la presse américaine : « un mélange de médias qui se placent en guerriers de la justice sociale ou des médias de gauche tels que The NY Times, The Washington Post, The Guardian et leurs relations avec les médias sociaux. Il y a un nœud qui relie ces journalistes et les gens qui travaillent sur Facebook, ainsi que ceux qui ont contribué à la campagne de Hillary Clinton ».

    Utsav Sanduja revendique le rôle politique de GAB : « nous avons aidé à la libre expression d’activistes de l’AfD en Allemagne, du Front National en France, de l’Ukip en Angleterre et nous leur donnons la possibilité de critiquer leurs gouvernements et leurs politiques ; ces partis politiques peuvent diffuser leur parole sur GAB, alors que sur Facebook et Twitter ils sont pris à partie par des discours de haines et des fake news ».

    Cependant la guerre contre les sites web proches de l’extrême-droite commence à inquiéter les géants du web eux-mêmes. Ainsi de la disparition fulgurante du DailyStormer, créé en 2013, après les attentats de Charlottesville. Le média d’extrême-droite avait publié un article qui s’en prenait à la victime. Immédiatement, son hébergeur GoDaddy l’a suspendu, l’hébergeur Google chez qui il a déménagé idem, YouTube a fermé sa page, Facebook l’a viré du newsfeed et CloudFlare a cessé de le protéger contre les attaques DNS. DailyStormer a été viré du web comme un malpropre – il s’est réfugié depuis sur le Dark web, mais ce Blitzkrieg contre le fascisme a laissé une impression de gueule de bois.

    Je me suis réveillé de mauvaise humeur et j’ai décidé qu’un site ne devrait pas être autorisé sur Internet. Personne ne devrait avoir un tel pouvoir », aurait écrit – semble-t-il à regret – Matthew Prince, le patron de CloudFlare, dans un email à l’un de ses employés. Il développe dans un long billet sa vision pour le moins pessimiste de l’avenir d’internet et de sa neutralité : « dans un futur proche, si ce n’est pas déjà le cas, pour publier un contenu sur Internet, vous aurez besoin de passer par le réseau d’un géant comme Cloudflare, Google Microsoft, Facebook, Amazon ou Alibaba. Sans un guide clair pour réguler les contenus, un petit nombre d’entreprises va décider ce qui peut ou ne pas être publié en ligne.

    Au-delà de la question de la censure, le web est aux portes d’une « cassure », estime le Pew Research Center. D’un côté, « des zones sécurisées régulées par des intelligences artificielles », où les contenus qui n’arrangent pas la doxa sont censurés, qu’ils soient socialistes et anti-militaristes ou proches de l’extrême-droite nationaliste et suprémaciste. De l’autre des espaces d’anarchie, tels que le Dark web, les réseaux sociaux alternatifs voire des internets alternatifs, construits selon la technologie du blockchain utilisée par Bitcoin. L’unité du web aura vécu.

    Texte repris de Ojim

    https://fr.novopress.info/208414/twitter-reduit-ses-pertes-mais-est-menace-par-un-trop-plein-de-censure/

  • Civitas organise le samedi 24 mars prochain la 2e fête du Pays Réel : réservez dès maintenant votre stand

    22540168_10155954778084645_3340642721063416233_n.png

    Un communiqué de Civitas :

    La 2e Fête du Pays Réel s’annonce déjà comme un rendez-vous incontournable. Elle se déroulera le samedi 24 mars 2018, de 10h à 18h, sur un vaste espace couvert à Rungis, en bordure de Paris (800 places gratuites de parking et nombreux transports en commun).

    Vous êtes déjà nombreux à avoir demandé des informations pour y faire partie des exposants. Afin de réserver suffisamment d’espace pour pouvoir satisfaire les demandes de chacun, il est impératif pour vous et nous de s’y prendre tôt. Pour vous y encourager, un tarif avantageux (voir ci-dessous) est proposé aux exposants qui réservent dès maintenant. Attention, seul le payement tient lieu de réservation.

    Bloquez déjà la date : le samedi 24 mars 2018, 2ème Fête du Pays Réel

    La 2ème Fête du Pays Réel se déroulera le samedi 24 mars 2018, de 10h à 18h, sur un vaste espace couvert à Rungis, en bordure de Paris (800 places gratuites de parking et nombreux transports en commun).

    Une fête du Pays réel ? Qu’est-ce donc ? C’est la volonté, durant toute une journée, de mettre à l’honneur la France des terroirs et des clochers dans une ambiance unitaire, conviviale, joyeuse et familiale.

    D’une part, de nombreux stands illustreront l’histoire, la foi, les coutumes, le patrimoine, la culture, le savoir-faire, la gastronomie et le dynamisme de ce Pays réel : éditeurs, associations, congrégations, médias alternatifs, artisans, artistes, viticulteurs, brasseurs et petits producteurs rivaliseront de talents et de richesses à vous faire découvrir. Sans oublier, bien sûr, la longue liste d’auteurs pour petits et grands qui viendront dédicacer leurs livres ou bandes dessinées.

    D’autre part, tout au long de la journée, des intervenants de qualité se succèderont à la tribune dans une salle réservée à cet usage.

    Parmi les intervenants déjà annoncés pour cette édition 2018 : l’abbé Xavier Beauvais, Pierre Hillard, Marion Sigaut, Valérie Bugault, Me Olivier Wyssa, Carl Lang et Alain Escada.

    L’année dernière, la Fête du Pays Réel avait rassemblé des dizaines d’exposants et un public nombreux venu de toute la France. Cette année, il faut faire mieux encore !

    Vous êtes relieur, peintre, dessinateur, sculpteur, graveur, orfèvre, ébéniste, verrier, imprimeur, libraire, éditeur, brasseur, viticulteur, chocolatier, antiquaire…

    Vous vendez des articles de scoutisme, des drapeaux, des vêtements, des porcelaines, des faïences, des figurines historiques, des jouets, du miel, du foie gras, des fromages, des biscuits, du cidre, des liqueurs, du champagne, des bijoux, des produits bios ou santé…

    Vous représentez un mouvement de jeunesse, une association patriotique ou d’anciens combattants, une association familiale, une association de sauvegarde du patrimoine, une école hors contrat, un média alternatif, une congrégation religieuse traditionnelle, une association de reconstitution historique…

    Vous voulez être exposant

    lors de la 2e Fête du Pays Réel ?

    Contactez dès à présent le secrétariat de Civitas– 01 34 11 16 94) pour connaître les conditions et tarifs pour votre secteur d’activité et réserver votre emplacement. Nous contacter rapidement est la meilleure garantie d’obtenir autant d’espace que vous le souhaitez.

    Pour réserver cliquez ici

    NDLR SN : comme lors de la première fête, en mars dernier, Synthèse nationale aura un stand à cette sympathique journée.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/11/17/civitas-organise-le-samedi-24-mars-prochain-la-2e-fete-du-pa-6000087.html

  • Quimper. Claudine Dupont-Tingaud arrêtée pour avoir brandi la Une de Valeurs actuelles sur l’islam et le catholicisme

    unnamed-1-810x608.jpg

    Source Breizh info cliquez ici

    Claudine Dupont-Tingaud, militante identitaire et catholique de longue date, s’est retrouvée ce samedi 11 novembre en garde à vue pendant 5 heures, à Quimper, en marge des commémorations du 11 novembre. Son « crime » ? Avoir brandi la une de Valeurs actuelles sorti vendredi 10 novembre sur lequel on peut lire « chassez le christianisme et vous aurez l’islam ».

    Insupportable pour le préfet du Finistère, Pascal Lelarge, qui fera intervenir plusieurs fois les policiers pour retirer les affiches portées par l’ancienne conseillère régionale, cette dernière en ressortant à chaque fois une nouvelle. Claudine Dupont Tingaud finira par se faire arrêter sous le prétexte d’un outrage à agent, et passera 5 heures en garde à vue, traitée comme une délinquante de droit commun. Elle sera convoquée en janvier 2018 devant le procureur.

    Dans un communiqué qui dénonce les atteintes à la liberté d’expression, cette dernière explique :  « après le déroulement de la messe en la cathédrale Saint Corentin (non signalée dans le presse locale, laïcité oblige t’elle ?) en souvenir de l’armistice clôturant la guerre 14-18 le jour de la Saint Martin, évangélisateur des Gaules, la présidente de REAGIR, je participais au cortège d’anciens combattants, d’officiels et de Quimpérois patriotes se rendant au carré militaire du cimetière Saint-Marc.» puis de poursuivre :

    « Je m’étais munie de la Une d’un hebdomadaire national présentant la statue du Pape Jean Paul II à Ploërmel, tant controversée pour être surmontée du symbole du catholicisme, et titrant « Chassez le christianisme et vous aurez l’islam » pensant que ce combattant, lui aussi, du communisme avait toute sa place au milieu d’autres Croix faisant rappel d’un autre péril : le retour de l’islam pourtant chassé et repoussé dans d’autres siècles de notre continent.»

    Claudine Dupont-Tingaud dénonce  «  le désir de mutiler la liberté d’expression que présentait ma pancarte et l’acceptation d’un danger qui devrait se faire lever de nouveaux combattants  comme ceux dont on célébrait la mémoire ce 11 novembre ! »

    Outre Pascal Lelarge, préfet du Finistère, participait à la commémoration notamment Ludovic Jolivet, maire de Quimper, accompagné des délégations militaires, d’associations d’anciens combattants et des représentants des corps constitués de l’État.

    En 2016 déjà, Claudine Dupont-Tingaud – qui fût jadis la plus jeune prisonnière de France appartenant à l’OAS – avait été arrêtée lors des commémorations du 19 mars 1962 à Pleyben, cliquez ici, toujours à la demande du préfet du Finistère, Jean-Luc Videlaine à l’époque.

    NDLR SN : sacrée Claudine !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La crèche de la mairie FN d'Hénin-Beaumont jugée illégale

    6a00d83451619c69e201bb09d7b694970d-200wi.jpgCommuniqué de la mairie d’Hénin-Beaumont :

    « Condamnée pour avoir installé... une crèche de Noël »

    La cour administrative d’appel de Douai vient d’interdire l’installation d’une crèche de Noël au sein de la mairie d’Hénin-Beaumont et de condamner la ville à verser 1.500 euros à un conseiller municipal communiste qui est à l’origine de cette plainte.

    Cette décision scandaleuse viole toutes les traditions de notre pays et confirme la dérive des juridictions administratives qui interdisent les crèches de Noël l’hiver mais autorisent le burkini l’été.

    Il est particulièrement inquiétant de voir la justice et certains élus avoir pour priorité la destruction de la magie de Noël plutôt que la lutte contre l’insécurité, l’immigration illégale et le chômage."

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/11/la-cr%C3%A8che-de-la-mairie-fn-dh%C3%A9nin-beaumont-jug%C3%A9e-ill%C3%A9gale.html

  • Il y a de la friture sur les ondes entre les dirigeants de l’audiovisuel public

    Lu dans Présent :

    8989-20171117.jpg"[...] Selon un rapport confidentiel du ministère de la Culture (rapport qui a « fuité » dans la presse), des mesures d’économie drastiques seraient envisagées – mais pas confirmées – dans le monde de l’audiovisuel public, dont les entreprises emploient quelque 17 000 salariés, pour un budget total de 3,8 milliards d’euros d’argent public distribué à tout va.

    Ainsi, après avoir imposé un serrage de ceinture avec près de 80 millions d’euros de coupes budgétaires pour 2018 à France Télévision (Arte, Radio France, France 24…), le gouvernement – qui a déjà annoncé pour 2018 une réforme du mode de désignation des patrons de l’audiovisuel public – envisagerait quelques mesures chocs tendance mise au régime sec.

    Parmi les mesures évoquées : fermeture de France Ô, basculement sur internet de la radio Le Mouv’ et de France 4, « rapprochement » des réseaux régionaux de France 3 et France Bleu, « reconfiguration » des deux orchestres de Radio France, « regroupement des sociétés au sein d’une holding ». Le tout accompagné de départs non volontaires. D’où une soupe à la grimace chez les chaînes de télévision et radios concernées qui, sur l’air bien connu du « on ne touche pas aux privilèges », dénoncent une compilation de mesures sous le tapis depuis une décennie. Mesures jugées impossibles à mettre en pratique : « Fermer la chaîne des outre-mer [France Ô] après la grève générale en Guyane, c’est compliqué politiquement », assure-t-on au sein des sociétés de l’audiovisuel concernées.

    Quant à la création d’une « BBC à la française », avec un seul patron pour la télé et la radio, cela fait doucement sourire, certes un peu jaune, les patrons de ces entreprises régies par des conventions collectives différentes. Lesquels dirigeants de l’audiovisuel public – Delphine Emotte (France Télévision), Mathieu Gallet (Radio France), Marie-Christine Saragosse (France Médias Monde), Véronique Cayla (Arte), Laurent Vallet (INA) – ont adressé une lettre au gouvernement avec un rappel de ses missions et des pistes d’économies concrètes. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

     

  • Samedi 2 décembre, Paris : conférence organisée par les Amis franciliens de Synthèse nationale avec Adrien Abauzit

    Diapositive1.jpg

    LA-FRANCE-DIVISE-PAR-ELLE-MEME_ADRIEN-ABAUZIT.jpg

    Le nouveau livre d'Adrien Abauzit

    Pour l'acheter cliquez ici

    Écoutez l'émission sur Radio Libertés cliquez là