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  • Belgique : L’attitude provocante du fondateur du parti ISLAM sur un plateau télé

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    Redouane Ahrouch, candidat lors de la campagne électoral des communales et invité pour l’occasion, a refusé d’être maquillé par une femme avant d’entrer sur le plateau et a tout le long des échanges, refusé de regarder dans les yeux les femmes présentes sur le plateau.

    Il justifie ces écarts à la politesse élémentaire occidentale en expliquant que ce sont ses valeurs qui lui imposent cette conduite.

    Il a de plus expliqué qu’il voulait instaurer une charria occidentale ainsi propose-t-il comme mesure concrète de séparer les hommes et les femmes dans le bus.

    https://fr.novopress.info/

  • ENCOURAGER LES RÉVOLTES CITOYENNES

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    Arnaud Malnuit

    Certains pinaillent déjà quant à l’action coup menée par les militants de Génération Identitaire pour bloquer le passage de clandestins via les cols des Alpes.

    On réduit cela à une simple action de communication, estimant que ça n’empêche pas la submersion migratoire. Laissons là ces esprits grincheux, plus obsédés par des commentaires anonymes sur les réseaux sociaux que par la pertinence d’une action dans le monde réel. Il faut féliciter les militants de Génération Identitaire d’une part pour avoir encore le sens de l’action, la nécessité d’être dans le monde réel, de mettre sur la place publique les vrais sujets clivants. Il suffit en effet de voir l’hystérie des autorités morales et les appels au meurtre à peine déguisés pour voir que la question de l’immigration, de la frontière, du refus des clandestins est une question bien plus importante que l’obsession souverainiste réduite aux seules questions institutionnelles. 

    Mais ce qu’ont réellement montré les militants de Génération Identitaire par cette question c’est que des citoyens, mêmes réunis dans des structures activistes, doivent désormais se substituer à l’Etat pour faire appliquer des lois déjà existantes… En effet, les clandestins de par leur présence sur notre sol commentent un délit… Un Etat incapable donc de faire appliquer la loi comme l’ont montré les images de gendarmes incapables de refouler des clandestins encadrés par des gauchistes italiens, forçant avec délice le barrage mis en place par les forces de l’ordre. Un Etat qui abandonne nos compatriotes comme à Calais ou Ouistreham.

    Alors oui encourageons ces révoltes citoyennes, soutenons-les, respectons leurs spécificités mais amplifions les en obtenant enfin des élus de la droite nationale, notamment à l’Assemblée nationale. Des élus préoccupés du sort de la France, capables de soutenir d’autres initiatives que les leurs, des élus non obsédés par des questions de chapelles pour savoir s’il faut voter des projets de lois ou des amendements qui vont dans le bon sens.

    Il en va de l’avenir de notre nation et de notre peuple.

    Parti de la France cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • LE SCANDALE DE L’ÉLECTRICITÉ VERTE : 134 MILLIARDS EXTORQUÉS AUX FRANÇAIS

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    La Cour des comptes vient de dévoiler un vol honteux, une escroquerie qui a impacté tous les Français, notamment les plus modestes. Pourtant, les médias n’en parlent pas ou peu, alors qu’il devrait faire les grands titres des journaux. Une telle mansuétude s’explique par l’escroquerie écologique, car ce qui est en cause est la gestion de l’électricité dite verte, une fumisterie qui ruine nos compatriotes au nom de la lutte contre un réchauffement climatique dont les effets sont surévalués.

    Ceux qui installent des éoliennes ou des panneaux solaires sont assurés d’un prix de revente supérieur au prix du marché et EDF est tenu d’acheter toute l’électricité produite, même si elle n’en a pas besoin. Quiconque veut mettre des panneaux solaires sur son toit doit déposer une déclaration de travaux à la mairie, qui accepte presque toujours (?) sauf si les bâtiments se trouvent dans des zones classées. Les éoliennes sont simplement tenues d’obtenir un permis de construire. Selon la Cour des comptes, EDF s’est engagée à acheter pour 134 milliards d’euros de cette prétendue électricité verte sur vingt ans, soit près de sept milliards par an. Et ce sont les Français qui financent cette dispendieuse folie par l’intermédiaire d’une taxe sur la consommation d’électricité qui ne cesse – et pour cause – de s’alourdir. Tout le monde paye, y compris nos compatriotes les plus modestes, une centaine d’euros par ménage et par an. Effrayant ! Et cette manne n’a pas servi à créer des emplois en France, car les panneaux solaires proviennent, dans leur grande majorité, de Chine et les éoliennes sont souvent allemandes. Nous enrichissons l’étranger, alors que notre commerce extérieur est gravement déficitaire.

    Si, encore, ces sept milliards annuels extorqués aux Français étaient écologiquement utiles… Or, il n’en est rien ! Même si le réchauffement climatique sera probablement plus faible que ce qu’on nous annonce régulièrement, il est normal que l’État veuille fermer des centrales thermiques et inciter à produire de l’électricité qui n’émette pas de gaz carbonique (simple principe de précaution). Mais la France n’est pas l’Allemagne. Avec nos centrales nucléaires, nous étions le pays d’Europe qui émettait le moins de CO2 en produisant son électricité. Notre bilan carbone était exemplaire (même si on ne peut nier le danger de fuites radioactives comme au Japon).
    Qu’avions-nous besoin de faire appel à des filières dont le bilan écologique est mauvais (fabriquer des panneaux solaires ou des éoliennes n’est pas très bon pour l’environnement). Et, surtout, qu’avions-nous besoin de subventionner la production d’une électricité superfétatoire. Certes, on a décidé en haut lieu de limiter la part du nucléaire à 50 % (pourquoi ce chiffre ? Pourquoi pas 60 % ou 40 % ?), mais cette stratégie suicidaire est une erreur gravissime.

    Il aurait mieux valu continuer à exploiter à fond nos centrales (en prenant toutes les précautions possibles) afin de les rentabiliser au maximum et de jouir de notre avantage indéniable sur les autres nations. Serions-nous le pays le plus bête au monde ?

    http://www.bvoltaire.fr/scandale-de-lelectricite-verte-134-milliards-extorques-aux-francais/

  • Une loi asile-immigration très xénophile, par Francis Bergeron

    « La solidarité est-elle un délit ? » Non, bien évidemment. La solidarité, la fraternité, l’amour de son prochain, ne sont heureusement pas des délits. Mais vous l’avez bien compris, il s’agit d’une fausse question. Car qu’est-ce qu’un délit ? C’est un acte contraire à la loi. Aider des délinquants est un délit. En conséquence la solidarité avec des islamistes, avec des fraudeurs fiscaux, etc., est un délit. Et c’est un délit, aussi, que d’aider les filières d’immigration clandestine. Mais lorsque le journal Le Monde (en date du 22 avril) pose cette question, ce n’est pas innocent. Il s’agit d’utiliser une figure dialectique classique, celle de la culpabilisation : des passeurs aident des migrants clandestins ? C’est un acte de solidarité. La solidarité est-elle un délit ? Non. Donc les passeurs ne sont pas des délinquants. Tel est le raisonnement du Monde. Tel est le raisonnement de la gauche. Et telle a été, pour finir, l’analyse des députés, qui ont voté cet amendement, puis la loi elle-même dimanche soir.

    Les députés LREM avaient perdu la bataille des mots, en acceptant de débattre d’un soi-disant « délit de solidarité ». Ils ont donc introduit un assouplissement dans la loi, qui l’a vidée de toute pertinence. Dorénavant en effet les personnes qui aident les réseaux d’introduction de clandestins – sous réserve qu’elles n’en tirent pas une contrepartie pécuniaire – ne pourront plus être poursuivies. L’aide juridique, linguistique, sociale, l’hébergement, la restauration, les soins médicaux, et d’une façon générale, dit le nouveau texte, tout ce qui assurera une vie digne et décente aux clandestins, est légalisé par la nouvelle loi. C’est la victoire de tous les passeurs, de toutes les associations qui, par idéologie, militent pour le grand remplacement.

    Cette disposition ruine ce que le projet de loi pouvait avoir d’utile. C’est un texte qui fera désormais de Cédric Herrou, le passeur clandestin des Alpes-Maritimes, traître aux intérêts de son pays, une sorte de « juste », digne du Nobel de la paix !

    Les députés du Front national, dans un communiqué, évoquent une « loi hypocrite et inique », « une loi qui favorisera un peu plus une immigration incontrôlée qui déstabilisera un peu plus une république déjà bien abîmée par 30 ans de laxisme politique ».

    Loi de préférence non-nationale

    Ce qui a eu l’effet de faire perdre son sang-froid à Nicole Belloubet, le ministre de la Justice, qui accusé le FN de « déstabiliser l’ensemble de notre système républicain ».

    Mais qui déstabilise le système ? La vraie menace contre le pays n’est évidemment pas l’expression et le vote d’une poignée d’élus FN. C’est cette grave dérive du projet de loi devenu loi.

    On comprend que les gouvernements successifs ne s’attaquent que par petites touches à cette question de l’immigration, par peur de « faire le jeu du Front national », de « libérer dans les urnes les populismes ». Mais la loi votée dimanche peu avant minuit par 228 voix pour, 139 contre, 24 abstentions, crée, par le jeu des amendements, un dispositif globalement pire que la situation antérieure, et qui ne peut que rendre impossible le travail de la police des frontières, augmenter l’appel d’air, la pression migratoire.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • Recyclage politique !

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    La chronique de Philippe Randa

    Après Jean-Louis Borloo, ancien ministre (de la ville, de l’emploi, de l’économie et de l’écologie) chargé d’éclairer le gouvernement sur les quartiers défavorisés de notre pays (voir Présent du Mercredi 11 avril 2018), c’est au tour de Dominique Voynet, ancienne ministre de l’écologiste et de Marcel Renouf, ancien fonctionnaire de la défense et ancien administrateur supérieur de Wallis et Futuna, d’être missionnés en Guyane et à Mayotte.

    La raison ? La forte pression migratoire a généré il y a peu un important mouvement social qui paralysa ces territoires pendant plusieurs semaines ; nos compatriotes n’en pouvant plus d’être les premières victimes de l’immigration clandestine, avaient ainsi voulu dénoncer l’insécurité qui est leur lot quotidien.

    Les deux missi dominici du gouvernement Philippe doivent donc « redéfinir » la coopération sanitaire en Guyane et à Mayotte et « réfléchir » à un éventuel statut extraterritorial aux hôpitaux de ces territoires « pour éviter un tourisme sanitaire qui conduit ensuite à des installations dans la durée », selon les déclarations faites, à l’automne dernier, par le président Macron lui-même, bien été obligé de reconnaître que la crise, dûe à l’afflux de patients étrangers qui viennent pour des raisons sanitaires et surchargent les hôpitaux, n’était en rien un fantasme… Il s’était alors dit « prêt à réfléchir à un statut international des lieux de naissance et des zones frontalières pour tenir compte de la réalité (…) et bâtir une coopération en matière de santé » avec les Comores et les pays frontaliers de la Guyane.

    En attendant, il recycle donc à tout va, considérant sans doute que c’est avec les anciens ministres qu’on fait les meilleures missions !

    Un peu comme dans les vieux pots, l’on ferait les meilleures soupes… politiques !

    Lire EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Samedi 9 juin : 2e fête du cochon du Parti de la France de Bretagne.

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    La 1ère fête en septembre dernier cliquez ici

  • Très bonne nouvelle : L'unité des royalistes refaite en Provence

    François Bel Ker, président du CRAF* et Jean Gugliotta, président de l'Union Royaliste Provençale

    Autre bonne nouvelle en marge de notre « Colloque Maurras » réussi de samedi dernier.

    François Bel Ker, président du CRAF* et Jean Gugliotta, président de l'Union Royaliste Provençale ont en effet tous deux annoncé au cours de la soirée militante d'après-colloque que l'Action Française refaisait son unité en Provence, mettant fin à la division en deux camps (RN et CRAF) née il y a une vingtaine d'années. Cette décision est prise dans le cadre d'une évolution de même nature devant intervenir sur le plan national en 2018.

    Régionalement, ce regroupement se fait au sein de l'Union Royaliste Provençale, « canal historique » de l'Action Française en Provence, sous l'autorité de Jean Gugliotta, son cinquième président depuis la fondation de l'Action Française. Sur le plan national, ce regroupement se fait au sein du CRAF et ultérieurement au sein d'une Action Française réunie.

    Jean Gugliotta dirige donc désormais l'ensemble des royalistes d'Action Française de Provence. Il sera assisté de deux adjoints pour les groupes de jeunes (Guy Bertran et Bertrand Raffaillac-Desfosse).   

    Cette unité reformée est gage d’une efficacité et d’un rayonnement accrus de l’Action Française en Provence.

    François Bel Ker et Jean Gugliotta ont travaillé pour la bonne cause.   

    * CRAF : Centre Royaliste d’Action Française

  • DROIT DU SOL : ET SI LE FN AVAIT RAISON ?

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    La proposition du FN de supprimer le droit du sol a provoqué, à l’Assemblée, un débat houleux où les noms d’oiseau ne cédaient la place qu’à des arguments partiels ou partiaux. Jean-Luc Mélenchon a même soutenu que « le droit du sol a été promulgué par François Ier«  : étrange référence chez un homme qui n’a, généralement, que la Révolution à la bouche. Et si l’on dépassionnait le débat ?

    Si l’on revient à sa définition, le droit du sol est une règle de droit attribuant une nationalité à une personne physique en raison de sa naissance sur un territoire donné, avec ou sans conditions supplémentaires. Le fait même qu’on puisse y ajouter ou retrancher des conditions est bien la preuve qu’il s’agit, non d’une valeur universelle, qu’il serait criminel de ne pas reconnaître, mais d’une valeur relative, dépendant des circonstances. Les conditions associées au droit du sol ont pu varier selon les périodes, prenant en compte différents facteurs, notamment la volonté d’assimilation.

    Ainsi, l’arrêt du Parlement de Paris, en 1515, précisait que devenait français celui qui était né dans le royaume et y demeurait, à condition qu’il reconnût la souveraineté du roi François Ier. Il affirmait le pouvoir du roi de France sur ses sujets dans les territoires annexés. Serait-il anormal – quoi qu’en pensent Jean-Luc Mélenchon et SOS Racisme (qui avait, en son temps, évoqué le même argument) – que la République fît de même et s’assurât des dispositions d’un enfant d’étranger né en France avant de lui accorder, quasi automatiquement, la nationalité française ?

    En défendant un amendement pour supprimer les articles de notre législation qui consacrent le droit du sol, Marine Le Pen n’a fait que tenir compte des circonstances singulières de l’immigration que la France subit et qui risque de s’aggraver dans les prochaines décennies. Laurent Wauquiez n’a pas dit autre chose, mais ses amis, à l’Assemblée, ne pouvaient pas se rallier à cet amendement sans franchir la ligne rouge, imposée par une posture idéologique : pas d’alliance avec le Front national !

    La gauche et l’extrême gauche sont restées fidèles à leurs positions, par angélisme pour quelques-uns, pour la plupart par vocation internationaliste et penchant multiculturel. Les députés de La République en marche, malgré quelques remous remontant à leurs origines politiques, ont finalement choisi, soit de se comporter en godillots, soit de se réfugier dans l’abstention ou dans l’absence – un seul a osé voter contre.

    On peut penser ce que l’on veut du Front national et de ses thèses : il reste que, en comparaison des autres partis, on ne peut lui nier sa constance ni sa lucidité devant le problème de l’immigration. Ses adversaires prétendent qu’il joue sur les peurs, mais chaque jour vient montrer que son analyse est prophétique.

    Interrogé, ce lundi matin, sur BFM TV, Louis Aliot, vice-président du FN, a estimé que « la loi Asile et Immigration ne réglera rien, elle va même créer un appel d’air ». Il a opportunément rappelé aux amnésiques que la France n’a pas fait beaucoup d’efforts, en 1962, pour accueillir les pieds-noirs, contraints à l’exode, ni montré de compassion à l’égard des harkis, livrés au massacre : c’étaient pourtant des Français ! Il a remis en mémoire ces paroles scandaleuses de Gaston Defferre, le maire de Marseille de l’époque, demandant « qu’ils aillent se réadapter ailleurs ».

    Nos âmes charitables, qui prétendent avoir les bras toujours ouverts devant la détresse, sont les champions de la discrimination et du sectarisme. Estimer que la nationalité française ne doit être accordée qu’à ceux qui montrent leur volonté de s’assimiler n’est pas un cri de haine contre l’autre. C’est un appel à rejoindre la France pour partager ses valeurs et son destin.

    http://www.bvoltaire.fr/droit-sol-fn-avait-raison/