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  • La France, moteur d’une nouvelle Europe

    Mais alors que faire face à celle-ci ? Utiliser justement la France, sa position géographique, ses positions stratégiques, son histoire.

    Et qui plus est, faire de la France un moteur de l’Europe revient à la conception qu’en avait Charles de Gaulle : revenir à l’espace carolingien, avec les membres fondateurs issus du traité de Rome : Italie, Benelux et Allemagne.

    En quelque sorte, quitter en partie la vision capétienne de la France seule qui se construit contre ses voisins. De plus, si on regarde une carte de géographie, on voit que la France est au carrefour du nord, du sud et de l’est de l’Europe. Elle est même pleinement une nation européenne car, de par son histoire, elle est un creuset des mondes celtes, latins et germains. Elle est donc pleinement au cœur de la civilisation européenne. On peut même dire qu’avec la Révolution française et Bonaparte, la France a créé l’Europe actuelle.

    Mais au-delà de ce constat historique qui plaide en faveur de la France comme moteur d’une nouvelle Europe, notre pays dispose de nombreux atouts qui le placent de facto comme le moteur politique et diplomatique d’une Europe qui se penserait enfin comme une puissance face aux nouveaux blocs : Russie, Chine, Inde, États-Unis, monde musulman, monde turc, GAFA, etc.

    En effet, notre pays dispose déjà du deuxième espace maritime mondial, présent dans tous les océans ; cela nous place, ainsi que l’Europe, comme puissance d’ordre mondial.

    Ensuite, nous disposons d’un siège permanent au conseil de sécurité de l’ONU et, depuis le Brexit, nous sommes ainsi la seule puissance au service d’une Europe nouvelle au cœur de cette institution – d’autant que nous avons encore des ambassades à peu près partout dans le monde, là encore un outil pour une Europe puissance.

    Puis nous avons l’arme nucléaire, outil indispensable en ces temps incertains.

    Enfin, depuis le Brexit, nous sommes désormais le seul pays capable d’être une vraie puissance militaire, tant pour se protéger sur notre sol, sur le sol européen, mais aussi dans le cadre d’opérations extérieures. Sans oublier nos capacités industrielles sur le plan militaire qui peuvent faire de la nouvelle Europe un pôle dans ce domaine, à condition qu’on se libère de la mainmise américaine.

    Et surtout cette voie vers la nouvelle Europe est possible à condition qu’il y ait une volonté politique, à l’instar de ce que fait le groupe de Visegrad. Mais cela, seul l’avenir le dira…

    Source EuroLibertés cliquez ici

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  • Bagnolet tenu par la drogue, par Caroline Parmentier

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    9105-20180504.jpgTrois semaines de violences, trois blessés par balle, des dizaines de voitures incendiées dans des règlements de comptes liés au point de « deal » de la Capsulerie, l’un des principaux de la Seine-Saint-Denis. Le maire socialiste ainsi que le député de la France Insoumise Alexis Corbière appellent l’Etat à l’aide et réclame des renforts de police.

    « 308 Noire CD », « Mondéo Bleu nuit EC »… à l’entrée de la cité, un aide-mémoire pour les guetteurs, tagué sur les murs, recense les plaques des voitures de police. Les habitants des immeubles qui s’aventurent encore dans le coin sont contrôlés et fouillés par… les dealers. Vous êtes à la Capsulerie, à Bagnolet. A deux stations de métro de Paris. Le quartier est tenu en coupes réglées par les trafiquants de drogue.

    L’escalade de la violence et de l’impunité inquiète les élus et les habitants, qui supplient les autorités d’agir avant qu’il n’y ait un « mort » ou une « balle perdue ». « Je n’ai pas le souvenir d’avoir connu une telle situation dans notre ville », déclare le maire en évoquant la « guerre de territoires » entre trafiquants.
    La France Insoumise aime la police quand ça l’arrange.

    Le point de drogue de la Capsulerie est connu depuis des années pourtant pour être le Pôle emploi de la cité. Les « blédards » qui dirigent les trafics emploient des rabatteurs, souvent mineurs, qui guident les consommateurs du métro jusqu’au « Plan », le point de vente de la Capsulerie. Pendant ce temps les guetteurs surveillent et les ravitailleurs réapprovisionnent le trafic. Certains sont même chargés d’apporter des rafraîchissements l’été ou des boissons chaudes l’hiver. Toute une petite entreprise qui tourne à flux tendu et emploie des milliers de jeunes en majorité issus de l’immigration âgés de 16 ans à 24 ans, au pied des barres d’immeubles.

    Brusquement Alexis Corbière, nouveau député du 93, généralement plus enclin à soutenir les antifas et à considérer qu’« un bon flic est un flic mort », déplore une « présence policière insuffisante », et « un seul commissariat subdivisionnaire dans la ville ». Il réclame l’ouverture de commissariats permanents et des renforts sécuritaires… La France Insoumise aime la police quand ça l’arrange. Ses représentants qui demandent aujourd’hui à être protégés contre le banditisme communautariste, sont les mêmes qui ont longuement travaillé et qui continuent à travailler à son implantation.

    Tony Di Martino et Alexis Corbière ont demandé une audience au ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, pour « lui montrer l’étendue de la situation » et des violences des dernières semaines, trois jours après la remise au gouvernement du rapport Borloo promettant de nouveaux milliards pour les banlieues. Les élus de Seine-Saint-Denis ne sont pas les seuls dans cette situation. Stéphane Gatignon, maire de la commune de Sevran, avait démissionné le 27 mars, « usé » par le mépris de l’Etat. Depuis, les maires de plus d’une dizaine de villes, de Grigny (Essonne) à Vaulx-en-Velin (banlieue de Lyon), en passant par Roubaix (Nord) ou Allonnes (Sarthe), dénoncent à l’unisson un « abandon de l’Etat ».

    Commençons par faire cesser les trafics et par rétablir l’Etat de droit. Ensuite on pourra discuter d’y allouer plus de moyens !

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 30 avril 2018

    https://fr.novopress.info/210657/bagnolet-tenu-par-la-drogue-par-caroline-parmentier/

  • Dimanche 13 mai à 10 h à Paris : la Dissidence française rend hommage à Jeanne d'Arc

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  • La victoire des Black Blocs - Journal du Mercredi 02 Mai 2018

  • Goldman Sachs s’interroge sur la viabilité économique de la guérison (trop ?) rapide des maladies

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    Avis aux laboratoires pharmaceutique : il serait temps de réfléchir à la viabilité économique de remèdes obtenant trop rapidement la guérison des maladies. C’est en tout cas ce qu’a voulu faire Goldman Sachs en adressant en avril un rapport à ses clients à propos de ce casse-tête éthique : les solutions thérapeutiques reposant sur l’intervention sur les gènes posent un réel problème financier. Les « soins one shot », consistant à réparer des gènes défectueux, pourraient représenter une difficulté pour certains « développeurs de médicaments à la recherche d’un cash-flow continu ».

    Le docteur Knock y avait certes réfléchi avant le monde de la haute finance : il avait même poussé le raffinement plus loin en créant des malades de toutes pièces, clientèle captive pour ses consultations à répétition et ses onéreuses potions. Mais le principe, tout fabricant de statines, d’antidépresseurs et autres petites pilules à avaler à vie le connaît et l’applique… Comme l’abonnement de téléphonie mobile, la cure de longue durée est une rente de situation.

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  • 1er mai 2018 : Jean-Marie Le Pen rend hommage à Jeanne d'Arc.

  • Le nouveau régime libre-échangiste

    Par  Mathieu Bock-Côté 

    Ce que Mathieu Bock-Côté écrit ici dans son blogue du Journal de Montréal [ 26.04] nous paraît de première importance, plus, peut-être, que jamais. Il s'agit d'une recension d'un ouvrage de Simon-Pierre Savard-Tremblay qui s'intitule Despotisme sans frontières, qui vient de paraître et dont le titre dit presque toutMathieu Bock-Côté en fait une remarquable synthèse, juste, forte et savamment équilibrée. Nous n'y ajouterons presque rien. Il faut la lire. Nous aussi avons écrit que le libre-échange des biens, des hommes et des idées, qui date de la nuit des temps, doit se régler selon les circonstances, les époques et les lieux. En fonction des biens-communs particuliers des peuples et des Etats. Mais il devient despotique et destructeur lorsqu'il se mue en idéologie ou prétend s'imposer comme dogme universel. Il nous semble que c'est ce que démontre ici brillamment Mathieu Bock-Côté. Et cela est important parce qu'il s'agit de notre destin et même de notre survie.   LFAR   

    Il est courant, aujourd’hui d’affirmer que la mondialisation est en crise et que son système s’est profondément déréglé. L’heure est à la révolte contre la mondialisation, et elle s’exprime de nombreuses manières, comme on l’a vu avec le référendum grec contre l’austérité, la résistance wallonne contre le CETA, la victoire du Brexit ou l’élection de Donald Trump. Cette révolte est à la fois portée par la gauche et par la droite, si ces catégories veulent encore dire quelque chose dans les circonstances. Mais contre quoi se révolte-t-on, exactement? Contre un mouvement historique irrépressible, condamnant cette révolte à n’être qu’un baroud d’honneur? Ou contre un régime politique qui ne dit pas son nom mais qui s’est mis en place sur une cinquantaine d’années et qui a transformé radicalement notre rapport au monde ?

    C’est à cette question que Simon-Pierre Savard-Tremblay a cherché à répondre dans Despotisme sans frontières, un très intéressant opuscule qu’il vient de faire paraître chez VLB. Et sa réponse est claire: la mondialisation telle que nous la connaissons est un régime qu’il faut nommer comme tel et combattre comme tel. C’est-à-dire que la mondialisation s’est installée au fil des décennies à coup d’accords internationaux de plus en plus secrets et de plus en plus contraignants, généralement au nom de l’idéal d’un libre-échange globalisé, qui serait l’expression naturelle et bienheureuse de l’humanité enfin délivrée du politique, des frontières et des souverainetés, qui diviserait l’humanité contre elle-même et la soumettrait au règne de l’arbitraire. Elle représenterait une mutation du cosmopolitisme le plus radical, prenant le relais, à sa manière, de l’internationalisme prolétarien. Le nouveau régime du libre-échange domestique les États, qui n’ont désormais plus qu’une mission centrale: aménager leur pays de manière à le rendre le plus compatible possible avec les exigences de la mondialisation. En fait, c’est la démocratie qui est domestiquée, puis neutralisée, car condamnée à l’insignifiance. L’État ne gouverne plus: il n’est que gestionnaire.

    Mais SPST insiste : le libre-échange tel qu’on le pratique aujourd’hui n’est pas le libre-échange en soi, qui ne saurait se laisser enfermer dans une définition aussi idéologiquement contraignante. Il y a une différence fondamentale entre favoriser le commerce entre les nations et créer un environnement juridique supranational favorable au règne des corporations, qui consacre en fait l’hégémonie de ces dernières, au point même de leur permettre de poursuivre les États devant les tribunaux lorsqu’ils jugent qu’une politique ou un règlement les empêche de tirer un profit optimal de leurs investissements. Et on ne saurait assimiler au protectionnisme la remise en question du moindre accord de libre-échange, quel qu’il soit. Notre monde ne doit pas choisir entre l’ouverture et la fermeture, comme le prétendent les idéologues mondialistes que notre auteur ne cesse de remettre en question. Les hommes politiques auraient tout avantage à se délivrer de cette propagande qui étouffe la réflexion dans une fausse alternative entre le bien et le mal. On ne saurait assimiler le bien politique à la perspective glaçante du sans-frontiérisme.

    SPST insiste: il ne s’oppose pas au libre-échange en soi mais à une forme de radicalisation du libre-échange qui vise à homogénéiser juridiquement et socialement la planète en programmant la dissolution des États et des nations. «Le «nouveau libre-échange» vise à ce que les pays du monde aient des législations quasi identiques pour que le capital puisse circuler d’un territoire à l’autre en ayant droit au traitement princier» (p.13). Mais à la différence des critiques habituels de la mondialisation, qui basculent tôt ou tard dans une forme de fantasme socialisant, SPST demeure sur terre et pose un objectif politique réaliste: le retour graduel, mais résolu, à l’État-nation, au nom d’un projet qu’il nomme à la suite de plusieurs la démondialisation. Il cherche à nous montrer de quelle manière on pourrait s’y engager et nous rappelle qu’il n’est en rien contraire à une grande coopération entre les peuples. SPST contribue ainsi, notons-le en passant, à une redéfinition nécessaire du souverainisme québécois, pour lui permettre d’entrer dans une nouvelle époque. Les souverainistes ne gagneront rien à toujours vouloir se plier à la définition médiatique de la modernité.

    Cet ouvrage est une belle réussite. La matière en elle-même est extrêmement complexe et SPST parvient à la rendre intelligible en la ramenant vers ce qu’on pourrait appeler les fondamentaux de la science politique: il pose la question du régime, il se demande qui commande, il cherche à identifier les intérêts sociaux qui tirent avantage des institutions, et ceux qui sont laissés dans les marges. En d’autres mots, l’objet de son livre est moins économique que politique, et c’est ce qui fait sa force. Personne ne croit qu’on sortira demain de la mondialisation, et qu’il faille la rejeter en bloc. Mais il s’agit, pour chaque nation, de reconstruire sa souveraineté, de lui redonner de la substance, car elle-seule est garante de la possibilité d’une expérience démocratique authentique. En fait, SPST veut nous convaincre que le nouveau régime du libre-échange s’accompagne d’une civilisation dégradée, qui abime notre humanité, nous déracine et nous condamne à la sécheresse existentielle: celle du consommateur absolu. Il s’agit, pour emprunter ses mots, «de recréer un mode de vie sain qui nous reconnecte à notre humanité» (p.126). Il veut nous convaincre, et nous convainc.

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  • Racisme anti-blanc : Quand la France accueille sur son sol l’organisation d’un colloque international interdit aux blancs

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     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Du 4 au 6 mai prochain, se tiendra une conférence de portée internationale à Saint-Denis ayant pour thème « l’Internationale décoloniale » et fait incroyable, elle sera interdite aux blancs.

    L’objectif de ce rassemblement raciste et communautariste est de « traiter des questions des non blancs vivant dans le Nord Global». Par « non blancs » entendre africains et asiatiques vivant dans les pays à population de souche blanche telle que les pays Européens et les Etats-Unis.

    Les organisateurs ont une vision racialiste puisqu’ils opposent frontalement la race des blancs qualifiés d’oppresseurs coloniaux et les non- blancs désignés sous l’expression « frères et des sœurs ».

    Pour eux le racisme est partout, enraciné dans « les institutions économiques, sociales, politiques, culturelles ». Plus grave encore, d’après les organisateurs le racisme « se manifeste dans la culture [du pays d’accueil] […] en imposant l’assimilation ».

    Les débats porteront sur la dénonciation de l’Etat policier et sur les rapports entre les communautés noires indigènes, roms, asiatiques et islamiques.

    Parmi les thèmes des conférences, relevons en trois :

    «Racismes intra-communautaires ou comment les combattre et construire une alliance stratégique entre les communautés ? « Vers une nouvelle civilisation : dépasser le paradigme de la modernité » ou encore « Quelles alliances avec la gauche blanche ? ».

    Parmi les intervenants notons la présence de militants racialistes et féministes membres des Blacks Panthers

    Il y aura aussi Rokhaya Diallo, mais plus inquiétant encore, des enseignants français comme Norman Ajari de l’université de Toulouse, Ludivine Bantigny maître des conférences à l’université de Rouen, Ibrahim Bechrouri chargé de cours à Paris 8. Enfin, Houria Bouteldja fondateur du parti des Indigènes de la République et Michèle Sibony membre de l’union juive française interviendront.

    Au-delà de la volonté de débattre de l’oppresseur blanc, il y a un objectif clairement politique :

    Oui le but de sceller une alliance entre les mouvements décoloniaux d’Occident et de « Forger des outils de lutte et de résistance face à la montée des nationalismes suprématistes ».

    Nous sommes là bien loin du vivre du ensemble pacifique, du fantasme du Grand Remplacement et du défi du grand métissage voulu par certains. On touche là les limites de la repentance des Européens, puisqu’il s’agit d’une véritable guerre ouverte contre les populations de race blanche. Si les Européens veulent perdurer, ils n’auront qu’un seul choix : reconnaître, dénoncer et combattre le racisme anti-blanc.

    https://fr.novopress.info/

  • JEAN-MARIE LE PEN A HONORÉ JEANNE D'ARC AVANT- HIER À PARIS

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    En présence de fortes délégations militantes des Comités Jeanne et du Parti de la France de Carl Lang, Jean-Marie Le Pen a déposé mardi matin une gerbe au pied de la statue de Jeanne d'Arc Place des Pyramides à Paris. 

     Jean-Marie Le Pen  mardi soir sur CNews :

    NDLR : visiblement Madame Mabrouk a besoin d'acheter des lunettes pour voir ce qu'il se passe autour d'elle...

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les savants en terre d'islam étaient... des chrétiens

    6a00d83451619c69e20223c84789b6200c-200wi.jpgExtrait de l'analyse de Franck Abed à propos du dernier livre d'Alexandre Del Valle, La Stratégie de l'intimidation :

    "Del Valle revient également surle mensonge historique fabulant que l’Occident chrétien serait redevable à l’islam pour la transmission des savoirs de l’Antiquité. Il explique avec arguments et faits circonstanciés que les savants en « terre d’islam » parlaient arabe, car il s’agissait de la langue du conquérant. Toutefois et en réalité, ils étaient pour la très grande majorité de religion chrétienne et surtout non arabes (perses, syriens, maronites, amorrites chaldéens, juifs etc.). Il précise également que les opposants à l’islam sont pris entre deux feux : « les coupeurs de têtes » (islamo-terroristes) et « les coupeurs de langues (lobbies anti-islamophobes). Il conclut en développant une idée séduisante : « le fil rouge du présent essai est que même si elles font des choix tactiques divergents, les forces islamistes (jihadistes minoritaires ou pôles institutionnels majoritaires) se nourrissent mutuellement ». Sa démonstration vise à prouver quele jihadisme et l’islamiquement correct fonctionnent main dans la main. La grande idée du livre est la suivante : « plus on tue au nom d’Allah, plus l’Occident combat l’islamophobie et plus on parle en bien de l’islam pour ne pas faire d’amalgame. »"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html