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  • Accord sur les migrants : l'Italie et l'Autriche, nouveaux chefs de file de l'Europe ?

    Dans cet intéressant entretien donné à Figarovox [4.07], au lendemain du dernier conseil européen, Jean-Thomas Lesueur, expose comment les leaders des pays d'Europe centrale et d'Italie sont désormais les hérauts d'une opinion européenne de plus en plus favorable à un durcissement de la politique migratoire. C'est cette voix qu'ils ont fait entendre au Conseil européen. 

    Le chef du gouvernement italien Giuseppe Conte semble être parvenu à imposer ses conditions lors des négociations sur les migrants. L'Italie est-elle en train de prendre un rôle de leader en Europe ? 

    Sur cette question, en effet. À la lecture du communiqué du Conseil européen, on trouve une inflexion, qu'on peut trouver trop lente bien sûr, dans le sens d'un durcissement de la réponse à la question migratoire. Dans le vocabulaire employé, on relève des euphémismes, des prudences, tout un champ lexical de pondération, mais il est notamment question du rôle des ONG, ce qui est nouveau. On assiste à une prise de conscience des peurs que suscite en Europe la question migratoire, et de la volonté de juguler les flux de la part des dirigeants européens. Et c'est assurément par l'Italie et l'Autriche que ces changements adviennent. On a beaucoup dit, hier soir, que le processus bloquait parce que l'Italie avait des revendications particulières qu'elle voulait voir prises en compte. Or c'est justement grâce au rôle de l'Italie que ce conseil a lieu et que la stratégie européenne de contrôle des flux commence à changer.

    L'accord signé est-il significatif ? On voit que beaucoup de décisions reposent sur le volontariat des pays, notamment pour établir des postes de contrôle en dehors de l'Union européenne. Que va-t-il sortir de concret ?

    Je pense que l'Italie va se sentir confortée dans sa stratégie de refus d'accueillir les navires de migrants. Concrètement, tout conduit à une décomplexion par rapport aux mesures de restriction de l'immigration et d'interdiction d'accès aux ports nationaux. Malte en profitera peut-être aussi pour durcir l'accueil des navires de migrants.

    Quant aux décisions prises, elles reposent effectivement sur le volontariat. Lorsque l'on suit cela de près, rien de très neuf n'émerge de cet accord. Il s'agissait d'abord, pour les dirigeants européens, que ce sommet ne tourne pas au psychodrame : ça aurait pu bien mal finir ! Les partisans d'une politique migratoire ferme prennent la main, mais Bruxelles et pas mal d'États membres restent dans l'optique d'une politique européenne concertée. Toute la culture européenne est une culture de consensus et de compromis. Et cette recherche d'équilibre est fragile. Il n'y a plus que Macron, à la sortie du conseil, pour mettre en avant l'idée d'un « dialogue européen ». Les autres chefs d'État ou de gouvernement ont plutôt insisté sur la nécessité de tarir les flux migratoires.

    La position de la France est-elle hypocrite ?

    Oui, c'est le triomphe du « en même temps ». Cela dit, Emmanuel Macron n'invente rien : François Hollande faisait la même chose, à savoir accueillir beaucoup moins de migrants que prévu sans l'assumer publiquement. Sur le fond, Macron est soulagé de ne pas avoir à assumer l'accueil de nouveaux migrants auprès de sa population, et publiquement il se targue de respecter les droits de l'homme et de bousculer l'Europe sur cette question.

    Pourquoi les récalcitrants, comme l'Autriche ou la Hongrie, ont-ils signé l'accord, si ce n'est pour sa flexibilité et le flou qui entoure les décisions prises ?

    Le fond de l'accord est assez peu contraignant, voilà le fond de l'affaire. L'Italie va par exemple pouvoir continuer sa politique de fermeté migratoire avec ce qui apparaît comme une forme de blanc-seing de la part du conseil européen. Politiquement, c'est une vraie victoire pour elle. Les Autrichiens ou les Italiens se rendent d'ailleurs compte que leur position est exactement celle attendue par les populations d'Europe occidentale. Cela constitue une situation politique inédite : la convergence d'un message porté par les dirigeants d'Europe centrale et italiens et des attentes d'une large partie de l'opinion des pays de l'Ouest. Politiquement, les résultats sont encore difficiles à cerner. Il reste que, sociologiquement et culturellement, les pays d'Europe de l'Est ont une influence considérable et portent une parole influente dans toute l'Europe. Ce qu'Angela Merkel et Emmanuel Macron sont obligés de prendre en compte.

    Comment va-t-on « trier » entre les migrants économiques et les réfugiés qui demandent l'asile ? Quels moyens seront mis en œuvre ?

    Le « laboratoire » de cette mesure sera l'Italie. Il faudra installer de vrais moyens, des hommes, du matériel et des procédures, notamment à la frontière entre la Libye et le Niger. Et l'enjeu portera sur la durée des procédures, qui doit passer de plusieurs mois à seulement quelques semaines. Mais il va sans dire que les migrants n'iront pas s'arrêter volontairement à ces postes de tri… Un Sénégalais de vingt ans, par exemple, qui tente d'atteindre l'Europe ne fuit ni la guerre, ni aucune persécution, ni même la famine, il n'a donc pas de moyens légitimes d'obtenir l'asile : il ne s'y présentera pas de lui-même.

    Il faut ainsi mettre les moyens pour obtenir une vraie politique migratoire européenne et renforcer le mécanisme de garde-frontières européens. Ce qui demanderait un coût de plusieurs milliards: l'Union européenne sera de toute façon amenée à dépenser beaucoup d'argent pour mettre au point cette politique réclamée par les peuples… Car raccompagner un clandestin à la frontière coûte cher.

    Et que deviendront les migrants des navires de sauvetage en mer affrétés par les ONG ?

    C'est la première fois que le sujet est évoqué dans les conclusions d'un Conseil européen. Je pense que, pour un pays comme l'Italie, cela ouvre la possibilité de mieux contrôler ses eaux, voire d'aller intervenir au plus près des ports libyens pour bloquer les passeurs ou les ONG en mettant ensuite ses partenaires devant le fait accompli. L'Italie aurait d'ailleurs l'aval des populations européennes en recourant à ce genre de démarche. Cet accord européen pourra créer un socle d'action pour que l'Italie monte d'un cran dans sa politique migratoire. Le climat européen et les mentalités changent énormément: nous sommes à un moment de rupture, notamment par rapport au renvoi des migrants. Il y a donc aussi un problème de droit qui doit être posé…  

    Jean-Thomas Lesueur est délégué général de l'Institut Thomas More.

    Entretien par  Journaliste Figaro Paul Sugy  Journaliste Figaro Etienne Campion

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • SOCIALES EN ITALIE. ET PUBLIC SÉNAT FAIT LE COUP DU MÉPRIS

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    On a pu assister avant hier, sur LCP, à une séance de torture inquisitoriale et de mauvaise foi d’Éric Ciotti par un peloton de journalistes de cette chaîne. Le but, sur un ton agressif et primaire, était de faire dire à M. Ciotti qu’il approuvait l’extrême droite italienne et, donc, qu’il était lui aussi d’extrême droite – sous-entendu, un « danger-pour-la-démocratie-et-heureusement-que-la-gauche-veille ». Minable, agressif, sommaire, rabâché et creux. Qui va, un jour, enfin, définir l’extrême droite ? Et quand va-t-on cesser de schématiser et proscrire des idées politiques dans un débat supposé démocratique où l’on devrait librement et calmement exposer ses idées pour donner une vraie information aux citoyens ? De plus fort dans l’entretien entre la chaîne du Sénat avec un élu de la nation, responsable politique.

    Or, voici que, ce mardi matin, on apprend que le gouvernement italien, si décrié, vient au secours des classes moyennes et inférieures en adoptant des mesures pour favoriser l’emploi. Cette nuit, le Conseil des ministres a adopté un décret-loi introduisant des mesures urgentes pour la « dignité des travailleurs et des entreprises » : il s’agit de rendre plus difficiles les licenciements et de sanctionner les entreprises subventionnées par l’État qui délocaliseraient. Elles devront alors rembourser de deux à quatre fois le montant de la subvention. Ce qu’aucun gouvernement, de gauche ou de droite, n’a su faire jusqu’au bout en France.

    Le communiqué officiel du gouvernement annonce aussi la « limitation de l’utilisation des contrats à durée déterminée » (désormais plafonnés à deux ans au lieu de trois) ; et les indemnités fixées par le juge lors d’un licenciement fautif seront également augmentées de moitié.

    Le Mouvement 5 étoiles (M5S) avait fait de ces mesures (ainsi que du rétablissement des retraites, en cours d’étude) son thème majeur de campagne électorale. Une partie du patronat italien a réaffirmé son hostilité à de telles mesures suspectées de décourager les embauches. Nous verrons, d’ici au maximum trois mois (début septembre), si les deux assemblées ratifient ce texte ou le modifient.

    Quand on ne sait plus penser et qu’on se contente de répéter en chorus des slogans : on taxe le gouvernement italien, suivi par 75 % de la population, tantôt de « populiste », tantôt d’extrémiste ou d’anti-européen… En attendant la suite, qui ne sera pas forcément facile, ce gouvernement italien avance, alors qu’ici, En Marche ! recule dans les sondages. Et, comble de l’impolitesse, ce gouvernement italien prend les mesures sociales promises dans le programme de gouvernement… Ainsi, l’idée d’écouter les demandes des peuples, pour plus de liberté, pour le plein respect du consensus sur l’équilibre sociologique et culturel de la nation, pour le respect des travailleurs et la sauvegarde de l’emploi, serait donc extrémiste ?

    http://www.bvoltaire.fr/avanti-italia-grandes-reformes-sociales-en-italie-et-au-fond-a-lextreme-gauche-pres-du-radiateur-public-senat/

  • La mosquée de Poitiers, financée par le Qatar, porte le nom arabe de la bataille de Poitiers

    6a00d83451619c69e2022ad37ed771200d-250wi.jpgC'est sur cette mosquée, encore en construction, que des membres de Génération Identitaire étaient monté.

    Dans une vidéo en arabe, sur la chaîne qatarie Al Rayyan, en 2015, Boubaker Al-Hadj Amor, figure de l’UOIF, révèle le vrai nom de la “Grande Mosquée de Poitiers” : Balat al-Chouhada... le nom islamique de la bataille de Poitiers en 732 !

    « Pourquoi avez-vous nommé cette mosquée “Pavé des Martyrs”? L’avez-vous appelé du nom de la bataille qui a eu lieu ici ? »

    « Oui, grâce à Dieu, cet endroit est sur la ligne principale passée par l’armée islamique. C’était une route pavée par les Romains, et l’armée islamique est passée par cette route. Alors, grâce à Dieu, cet endroit est à côté de la ligne principale. C’est pour cela qu’on l’a nommée “Mosquée Pavé des Martyrs” ».

    La « bataille du Pavé des Martyrs », comme la désignent les historiens arabes, ou bataille de Poitiers, a vu la victoire en 732 de Charles Martel sur l’armée d’Abd er-Rahman, signant la fin des incursions musulmanes au nord des Pyrénées, et préparant la Reconquista au sud.

    « Nous voulons que ce centre soit une mosquée et un centre de rayonnement culturel ». « Le but de ce centre est de créer les conditions d’une rencontre avec l’islam et parler de cette religion sainte et pour qu’il soit un centre de prédication. Inch’Allah. »

    L’imam de Poitiers admet aussi avoir bénéficié de fonds étrangers pour poursuivre la construction de la mosquée, interrompue plusieurs années durant en raison d’un manque de financement par les fidèles locaux.

    « Ce que nous avons construit, c’est grâce à Dieu et avec l’aide de l’organisation “Qatar Charity” ».

    La Qatar Charity a pour objectif de favoriser le prosélytisme religieux, notamment en Afrique, et soutient soutient dans le monde entier des projets de mosquées, d’écoles coraniques et d’instituts de mémorisation du Coran. Qatar Charity a été accusée par les Etats-Unis, Israel et plusieurs pays du Golfe de soutenir le terrorisme. Oussama Ben Laden a utilisé l’organisation pour financer les activités de sa nébuleuse Al-Qaida dans les années 90. Des groupes djihadistes au sein de l'opposition syrienne ont aussi bénéficié de son soutien.  

    L’imam de Poitiers évoque aussi soutien du maire PS :

    « Bien sûr, le maire, grâce à Dieu, est mon collègue à l’université. Il a encouragé la construction de ce centre, et nous avons pu, grâce à Dieu, obtenir la licence. Le problème est que la licence est de dix ans et a expiré en 2013. Mais, grâce à la relation de fraternité et d’amitié entre le maire et moi, il m’incite toujours à accélérer l’achèvement du projet. Que Dieu nous bénisse. Inch'Allah. »

    Son successeur socialiste Alain Claeys faisait lui partie des personnalités, qui ont soutenu l’imam et ses fidèles à la suite de l’occupation, en 2012, du chantier de la mosquée par des membres de Génération identitaire. 

    Boubaker El-Hadj Amor est le grand architecte du projet de la Grande mosquée, bâtie sur un terrain de 7 000 m2 et dotée d’une salle de prière pour 700 fidèles et d’un minaret haut de 22 mètres, pour un coût global de plus de 3 million d’euros. Cet ingénieur a mobilisé tous les réseaux de l’union islamiste, vitrine légale des Frères musulmans en France, pour participer à son financement. Son argument pour les convaincre :

    « J'ai fait valoir l'histoire de Poitiers. Un lieu de culte et de paix sur les ruines de la bataille de 732 : tout un symbole ».

    Mais ce sont les Identitaires qui sont condamnés par les collaborateurs de l'envahisseur.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La croisade anti-gender des vrais écologistes

    decroissance-antigender-juin2014.jpgLes écologistes « officiels », ceux d’Europe-Ecologie Les Verts, les Barbara Pompili et autres Cécile Duflot, sont à la pointe de tous les combats pour la destruction de l’humanité. PMA et GPA, enseignement du gender, libéralisation totale de l’immigration, etc. Et c’est sans compter l’histoire des Verts allemands avec la pédophilie… 
    Mais les vrais écologistes, aussi différents des écologistes d’Etat que le pays réel l’est du pays légal, sont de furieux opposants aux offensives libertaires des Cohn-Bendistes. Au nom de l’écologie justement, la vraie ! 
    En janvier, à propos de l’adoption plénière et de la suppression légale de la filiation biologique, le rédacteur en chef de L’Ecologiste Thierry Jacaud condamne « un mensonge anthropologique officiel incroyable dont on imagine aisément les ravages sur les enfants ». Il voit dans les projets du gouvernement « une négation sidérante de la nature, l’aboutissement consternant de notre société industrielle qui détruit la nature non seulement dans la réalité mais aussi dans les esprits »
    En mars, mêmes critiques radicales dans La Décroissance contre la « puissance de la technoscience » et « la folie du “droit à” ». En juin, La Décroissance publie une bande-dessinée qui ridiculise les libertaires (« Appelez moi Mondame ! Il n’y a plus de “il” et de “elle” mais un “ille”. Tout doit être neutre ! Le sexe c’est nul ! C’est mal ! Beuurk ! ») et leur terrorisme de la pensée. C’est d’anthologie. Et la conclusion est magistrale… 
    Selon le rédacteur en chef Vincent Cheynet, « la déconstruction culturelle, notamment des représentations sexuelles, est l’identité et la locomotive de la gauche ». Or, « la casse des identités, à commencer par la première d’entre elles, l’identité sexuelle, livre la personne en position de proie idéale au marché » (page 5). 
    Dans L’Ecologiste (avril-mai-juin 2014), Cheynet montre que « l’idéologie des genders est l’ultime produit du libéralisme »« il est très logique que le système médiatique à la botte des intérêts de la mégamachine ait pris fait et cause pour elle ». Il renverse les accusations habituelles des pro-gender : « Si la “réaction” consiste à refuser l’apport de la science pour céder à une approche émotive, affective et archaïque, on peut alors considérer les tenants des “gender studies” comme de véritables réactionnaires ». Son interrogation finale se passe de réponse : « Le Meilleur des mondes avance-t-il aussi masqué sous les trais de l’écologie libérale-libertaire ? » 
    En 1980, dans Le Feu vert, Bernard Charbonneau (1910-1996), grand penseur écologiste, dénonce les tares de son courant de pensée avec un rare courage pour l’un de ses fondateurs. « En niant la différence [homme-femme] (…), obéit-on à une passion de liberté et d’égalité ou au contraire est-on dupe du développement d’une société qui devient une vaste fabrique d’ersatz standardisés ? » À propos de la « condamnation de la famille »« chez les écologistes, elle a lieu en général sans débat, ceux qui ne sont pas d’accord se contentent de se taire »
    Les anti-gender de droite et les catholiques trouveront dans les arguments écologistes une critique radicale de l’indifférentisme sexuel de la gauche. « Radicale », c’est-à-dire qui attaque le problème à la racine : le libéralisme, dont les deux discours, l’un économique (revendiqué à droite par ignorance du sens du mot « libéral »), l’autre culturel (celui de la gauche), ne sont que les deux faces d’une même pièce. Si les anti-gender de droite et les catholiques n’intègrent pas cette critique écologiste à leurs réflexions, leur combat est d’ores et déjà perdu, condamné à apparaître comme une réaction épidermique, un « Non ! » stérile et isolé de tout projet politique plus vaste de ré-enracinement de l’homme. Car l’indifférentisme sexuel de la gauche n’est que l’une des flammes du brasier mondialiste qui veut réduire en cendres toutes les différences : sexuelle, ethno-culturelle et politique. 
     

  • Le prétendu "complot de l'ultra droite" : les suspects remis en liberté

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    Le chef de file présumé d'un groupe d'"ultradroite", dont les autorités redoutaient "un passage à l'acte violent" contre des musulmans, a finalement été remis en liberté (sous contrôle judiciaire) tout comme un autre suspect. Une fois de plus, nous avons donc là une affaire qui accouche d'un pêt de lapin.

    Le "terrible groupe" intitulé "Action des forces opérationnelles" (AFO), dont personne dans notre milieu n'avait jamais entendu parler jusqu'aux arrestations ultra-médiatisées, il y a quelques jours, de ses membres présumés est donc hors d'état de nuire aux Système.  Ouf ! Les bobos peuvent partir en vacances tranquillisés...  

    En fait de "dangereux groupe terroriste", il s'agissait de neuf hommes et d'une femme, âgés de 32 à 69 ans, dispersés dans toute la France, auxquels on prêtait l'ambition de lutter les armes à la main contre l'islamisation de notre pays. Pour confirmer sa thèse, le Pouvoir s'appuyait sur quelques armes (anciennes pour la plupart) retrouvées, fort opportunément, chez quelques-uns des suspects. Rien que du classique... 

    Evidemment, après ces arrestations, des responsables religieux et associatifs musulmans en France avaient exprimé leur "profonde préoccupation".

    Il serait peut-être temps d'arrêter de délirer sur ces prétendus complots terroristes d'extrême droite. Chacun sait que la réalité est toute autre. Depuis trois ans les vrais terroristes, ceux qui tuent vraiment, ne sont pas bretons, ni poitevins, ni berrichons. Il n'y pas besoin d'être un fin limier pour s'en rendre compte. Et même si parfois certains illuminés de chez nous se répandent de manière débile sur les réseaux sociaux, cela ne justifie en rien l'arrestation arbitraire de patriotes sincères...  

    La vérité, c'est que pendant que l'on s'égosille sur un prétendu "terrorisme" nationaliste, on laisse s'installer en France des hordes de vrais terroristes islamistes qui un jour ou l'autre, eux, n'hésiteront pas à passer à l'acte comme ils l'ont d'ailleurs déjà fait à plusieurs reprises. Et cela, ce n'est pas du bidon... Hélas.

    Synthèse nationale

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Attentats du 13-Novembre 2015 : “les victimes veulent savoir la vérité”

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    Le tribunal administratif s”est penché mercredi 4 juillet sur un recours déposé par une trentaine de victimes des attentats du 13-Novembre 2015 concernant les “défaillances” de l’État.

    L’avocate Samia Maktouf, qui défend plusieurs familles de victimes, explique leur démarche sur l’antenne de France 24.

    https://fr.novopress.info/211468/attentats-du-13-novembre-2015-les-victimes-veulent-savoir-la-verite/

  • Tandis que les démocrates se divisent, les Républicains se renforcent

    6a00d83451619c69e2022ad3587890200c-800wi.pngDe Christian Daisug dans Présent :

    "Deux tendances diamétralement opposées animent les partis républicain et démocrate à quatre mois des élections législatives. D’une part, une force centripète tend à solidifier les fidèles républicains autour des valeurs d’un national-populisme de plus en plus protéiforme et omniprésent. D’autre part, une poussée centrifuge contribue à disperser les militants démocrates autour des principes d’un libéralisme de plus en plus désorienté et combattu. Les deux structures qui ont pour vocation d’encadrer et de conduire le peuple vers ses mandataires donnent l’impression de se déliter sous l’action de forces extérieures et pratiquement incontrôlables. Dans les deux cas, le président Donald Trump reste le personnage central. Il a réussi à aspirer presque toute la substance républicaine en imposant à la hiérarchie du parti et à ses troupes au Congrès à la fois ses idées, ses intuitions et son style. Mais il est parvenu également, dans le même laps de temps, à brouiller le jeu oppositionnel en fractionnant les rangs démocrates en deux grands courants antagonistes et pour l’instant irréconciliables. Bref, les républicains tendent vers l’unité, les démocrates vers la désunion. [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Et si l’on donnait la parole aux Français ? (XXIII)

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    Chronique de Michel Geoffroy, essayiste, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples

    Présidence Macron : la défiance en continu

    • 74 % des personnes interrogées estiment que la politique de l’exécutif est injuste, 77 % qu’elle ne rassemble pas les Français, 57 % qu’elle est inefficace économiquement et 58 % qu’elle est conforme aux engagements de campagne d’Emmanuel Macron (sondage Elabe BFMTV des 20 et 21 mars 2018).
    • 40 % des personnes interrogées seulement (- 3 points) font confiance à Emmanuel Macron pour résoudre les problèmes qui se posent en France actuellement (sondage Kantar Sofres One Point /Le Figaro Magazine des 28 au 31 mars 2018).
    • La cote de popularité d’Emmanuel Macron est retombée à son plus bas niveau depuis son arrivée au pouvoir. Seules 40 % des personnes interrogées sont actuellement satisfaites, soit une baisse d’un point par rapport au mois de mai. Sa cote de popularité avait déjà atteint ce minimum en août 2017 (sondage réalisé par l’Ifop pour le Journal du Dimanche du 15 au 23 juin 2018).

    Immigration et terrorisme : la coupure entre le pays légal et le pays réel

    • 58 % des personnes interrogées estiment qu’Emmanuel Macron et le gouvernement d’Edouard Philippe ne mettent pas tout en œuvre pour lutter contre le terrorisme ; 80 % sont favorables à l’expulsion des individus fichés S de nationalité étrangère (sondage Elable BFM TV des 27 et 28 mars 2018).

    • 54 % des personnes interrogées réclament le « départ d’un grand nombre d’immigrés » ; 71 %estiment qu’à l’égard des petits délinquants les juges sont « trop indulgents » (sondage Kantar Sofres-Onepoint / L’Obs du 4 avril 2018).

    • 76 % des personnes interrogées souhaitent être consultées par référendum pour donner leur avis sur la politique migratoire de la France (sondage IFOP Valeurs Actuelles des 19 et 20 avril 2018).

    • 56 % des personnes interrogées s’opposent à l’accueil de l’Aquarius dans un port Français ; 61 %désapprouvent les déclarations d’Emmanuel Macron contre l’Italie, dénonçant « le cynisme et l’irresponsabilité » de la décision de son gouvernement de refuser l’accès à ses côtes de l’Aquarius (sondage Opinion Way, Public Sénat, Les Echos et Radio Classique des 13 au 15 juin 2018).

    Crédit photo : George Hodan via Public Domain

    https://www.polemia.com/et-si-on-donnait-parole-francais-xxiii/