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  • -D'accord avec Gabriel Robin : Booba et Kaaris doivent migrer définitivement vers Miami !

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    Crédit : @DR  

    Filmé par des touristes ébahis, et certains plus opportunistes qui n’ont pas hésité à monétiser leurs vidéos dans le plus pur esprit « start up nation » cher à Emmanuel Macron, le « combat » entre les deux groupes de vedettes a eu lieu dans une salle d’embarquement du hall 1 du terminal ouest de l’aéroport d’Orly, provoquant les retards de sept vols et de nombreux dégâts matériels dans un duty-free, ainsi que le transfert de voyageurs vers une autre salle d’embarquement. Le groupe gérant l’aéroport a d’ailleurs décidé de porter plainte en réaction pour« trouble à l’ordre public » avec préjudice d’image et financier, mais aussi « mise en danger de la vie d’autrui », les événements ayant empêché la mise en place d’un périmètre de sécurité autour d’un bagage abandonné… À côté de la plaque comme toujours, Gérard Collomb a déclaré, confit de mollesse : « Si deux rappeurs peuvent éviter de provoquer un embouteillage dans tout un aéroport, ce serait bien ».

    2577613612.jpgOuba Booba Ouba Booba ! Les images parlent d’elles-mêmes, rendant futiles les analyses sur les motivations des protagonistes. Pourquoi s’abaisser à déterminer ce qui a provoqué l’explosion de violence ? Pourquoi tenter de savoir qui des deux rappeurs étaient en état de légitime défense et qui est l’agresseur ? Manifestement, les deux hommes « s’affrontent » tant pour de lamentables motifs d’égo que pour des raisons bassement mercantiles, la « street cred » étant un critère de qualité dans ce genre vulgaire et commercial de rap que « Booba et Kaaris » affectionnent. Le personnage de « gangster » – carnavalesque, cela va de soi – importe donc tout autant que la « musique » binaire et les paroles des « artistes ».

    Le commentaire de cette « affaire » aurait pu se limiter à ces quelques observations factuelles, si nous ne vivions pas dans l’Occident 2.0 où tout semble se valoir et où la hiérarchie n’existe plus. Ainsi, on a lu, ça et là, parfois dans de grands titres de presse et sous la plume de personnalités prétendument « sérieuses », que cette bagarre générale de collégiens n’était pas sans rappeler des précédents, comme le coup de feu tiré par Verlaine sur Rimbaud, qui inspira à ce dernier Une saison en enfer, chef d’œuvre du patrimoine littéraire français. D’aucuns ont même comparé la rivalité entre « Booba et Kaaris » – deux surnoms que je n’oserais pas donner à des animaux domestiques sans rougir – aux grandes rivalités entre musiciens du passé, faisant des deux portiers de bar les Mozart et Salieri de la France de 2018 ! 

    Sommes-nous tombés si bas que nous confondions la musique avec des hymnes pour adolescents décérébrés qu’on passe sur les parkings de supermarchés ? Souvenons-nous que dans son numéro 567, La Nouvelle Revue française n’hésitait pas à convoquer Genet et Céline pour « décortiquer » la prose de Booba, preuve d’une méconnaissance insigne du rap et d’un mépris tout germanoprantin de l’ordre et des ordres, l’écriture une chanson n’étant pas un travail aussi fastidieux que l’écriture d’un roman. Pauvre Céline dont l’œuvre est sans cesse évaluée à l’aune de celles d’abrutis qui utilisent trois mots d’argots dans leurs textes…

    Pour prendre un peu d’altitude en ce mois d’août, on essaiera d’éviter Booba. Pourquoi ne pas aborder le Tripitaka ou la vie de Bouddha, racontée par Hermann Hesse dans son roman Siddhartha (dont le héros n’est pas le Bouddha Gautama mais un émule et un homonyme suivant un cheminement spirituel sensiblement similaire) destiné aux Européens méconnaissant l’histoire de ce fondateur d’une hérésie majeure de l’hindouisme ? Les deux religions nées dans le sous-continent indien partagent une doctrine – trop complexe et trop vaste pour qu’il soit possible ici d’en donner une juste définition – que feraient bien de méditer « Booba et Kaaris » : l’ahimsa, soit l’action ou le fait de ne causer nuisance à nulle vie. Qu’ils soient bienveillants avec la France et nous épargnent leur présence en migrant définitivement à Miami.    

  • Victor Orban évoque la génération anti-communiste, chrétienne et nationaliste

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    Le premier ministre hongrois, Victor Orban, en participant en Roumanie à la 21e édition de l’événement annuel appelé Bálványos Summer Open University and Student Camp, aénoncé ses idées pour l’Europe et la Hongrie.

    Il a exprimé son souhait de faire de la Hongrie d’ici 2030 « un des cinq meilleurs pays de l’UE où vivre et travailler » et d’arrêter le « déclin démographique » de son pays.

    Sa recette pour faire croître l’Europe centrale n’est pas la globalisation mais une alliance libre fondée sur les principes fondamentaux :

    « Défendre sa propre culture chrétienne et refuser l’idéologie du multi-culturalisme, défendre le modèle traditionnel de la famille et affirmer que chaque enfant a le droit d’avoir un père et une mère, défendre les secteurs et les marchés économiques stratégiques au niveau national qui sont d’importance cruciale, défendre ses propres frontières et refuser l’immigration. »

    Orban a en outre dénoncé le déclin de la civilisation européenne qui a modelé le monde en le reliant à l’Europe bruxelloise qui a rejeté les racines chrétiennes du Vieux continentimposé dans les arts « le politiquement correct », « l’esprit de bureaucratie » à la place de l’esprit d’entreprendre. Pour le ministre hongrois, « il y a une faillite de l’élite européenne » spécialement sur la gestion de la crise des migrants. Les chefs européens « sont décalés et la Commission européenne est le symbole de cette faillite mais ses jours sont comptés. »

    « Notre devoir, a-t-il déclaré, n’est pas de défendre des articles de foi, mais la dignité humaine, la famille et la nation, parce que le christianisme ne cherche pas à rejoindre l’universalité à travers l’abolition des nations, mais à travers la conservation des nations. » « La génération des années 90 est en train d’arriver pour remplacer la génération de 68. Pour la politique européenne, c’est le tour de la génération anti-communiste, qui a des convictions chrétiennes et des engagements pour la nation. »

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/victor-orban-evoque-la-generation-anti-communiste-chretienne-et-nationaliste/96203/

  • LA RÉPUBLIQUE BARBOUZARDE

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    Pierre Vial Président de Terre et peuple

    Seuls les naïfs ou les faux-culs peuvent s’étonner de l’affaire Benalla. En effet les privilèges exorbitants dont bénéficiait ce Franco-Marocain (dont le nom signifie en arabe « fils d’Allah »…) s’expliquent fort bien par son statut de barbouze de haut niveau voué à mettre ses talents au service rapproché, très rapproché, d’un Macron qu’il côtoyait en permanence et de très près y compris dans le cadre de sa vie privée. Macron, qui avait assuré installer une République toute nouvelle, pure et dure, a en fait repris à son compte les bonnes vieilles habitudes barbouzardes de ses prédécesseurs.

    La bonne question est : comment et pourquoi l’ascension si rapide de la barbouze Benalla ? Nous n’aurons bien sûr jamais la réponse.

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/08/08/la-republique-barbouzarde-6071162.html

  • LA VÉRITÉ SUR LA LIBERTÉ D'EXPRESSION EN FRANCE

  • Et maintenant, l’affaire Kohler ?

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    Alexis Kohler, le collaborateur le plus proche d’Emmanuel Macron, secrétaire général de l’Elysée, aurait sans doute préféré continuer à travailler dans l’ombre. Mais voilà, l’embauche inconsidérée de M. Benalla par son ami de Président et la pitoyable affaire qui porte son nom, l’ont propulsé il y a dix jours en pleine lumière : auditionné par la Commission d’enquête du Sénat, son intelligence sur la défensive a dû affronter celle d’un autre secrétaire général de l’Elysée, Philippe Bas, qui l’avait précédé à ce poste sous Jacques Chirac.

    Mais Alexis Kohler a aussi, depuis la plainte déposée en mai dernier par l’association Anticor pour « prise illégale d’intérêts » et « trafic d’influence », en raison de ses liens avec l’armateur italo-suisse MSC, un autre caillou dans sa chaussure. Une information judiciaire avait alors été ouverte par le parquet national financier. Mais, depuis ce lundi et les révélations de Mediapart, le caillou s’est remis à bouger.

    Mediapart révèle en effet que, contrairement à la défense de l’Elysée prétendant que M. Kohler s’était toujours « déporté » quand des décisions concernaient cette entreprise liée à sa famille, il a approuvé en 2010 et 2011 des contrats entre le port du Havre (GPHM), dont il était alors membre du conseil de surveillance, et l’armateur MSC, fondé et dirigé par des cousins de sa mère.

    Mediapart est formel :

    « Les procès-verbaux du conseil de GPMH ne laissent aucun doute : Alexis Kohler ne s’est jamais déporté quand MSC était concerné. Il a participé à toutes les délibérations, y compris celles concernant l’armateur italo-suisse. Une fois au moins, il a même voté une disposition, mettant en jeu de l’argent public, favorable à MSC ».

    Le Monde précise que « lors de deux réunions, en septembre 2010 et 2011, M. Kohler a pris la parole et voté en faveur de contrats à venir entre GPMH et Terminal Normandie MSC (TNMSC) »

    M. Kohler siégeait à ce conseil en tant que représentant de l’Agence des participations de l’Etat (APE) aux côtés du maire de la ville, l’actuel premier ministre, Edouard Philippe. Tiens, une vieille connaissance…

    Mediapart révèle aussi que certains membres du conseil de surveillance du port du Havre ont avoué « qu’ils ignoraient tout de la situation familiale d’Alexis Kohler et qu’ils sont tombés des nues quand ils ont découvert très récemment ses liens avec MSC ».

    Comme l’on dit en pareilles circonstances, si toutes ces informations sont avérées, cela devient vraiment gênant.

    Il paraît que le drone qui survolait Brégançon est tombé à l’eau. Il semblerait que ce ne soit pas le cas des affaires embarrassantes qui s’accumulent pour l’Elysée. Celle-ci risque de faire des vagues jusque dans la piscine présidentielle. Quand cela implique le port du Havre et l’un des premiers armateurs mondiaux et que cela concerne le secrétaire général de l’Elysée lui-même, et non un subalterne à qui on a juste eu le tort de laisser faire n’importe quoi, les dimensions ne sont plus celles du verre d’eau.

    Frédéric Sirgant

    http://www.bvoltaire.fr/et-maintenant-laffaire-kohler/

  • Une journaliste danoise : «Je vois des femmes en Hijab tous les jours et elles me regardent comme si j’étais une prostituée. Je ne veux pas de ça dans mon pays !»

    La journaliste danoise Ingrid Carlqvist approuve l’interdiction de la Burqa entrée en vigueur fin juillet au Danemark et qui vient de voir une première amende prononcée : « Cette question est très importante parce qu’au début quand nous avons commencé à voir des femmes en Hijab, nous nous sommes dits “Elles ne sont pas si nombreuses, c’est pas un problème”. Je veux dire, je vois ces femmes tous les jours et elles me regardent comme si j’étais une prostituée. Je n’aime vraiment pas ça. Je n’aime pas quand dans mon propre pays, on me regarde comme si j’étais une prostituée. Et ensuite, on a eu ce problème avec le Niqab, la Burqa, et si nous nous disons qu’elles ne sont pas si nombreuses et que cela ne pose aucun problème, je ne suis pas d’accord. Je pense que c’est un problème si nous voulons garder nos pays occidentaux dans l’état dans lequel ils sont. Nous sommes un pays scandinave, nous avons toujours eu l’égalité entre les femmes et les hommes, même depuis les Vikings. Je ne veux pas de ça dans mon pays! »
    – RT France, 7 août 2018, 17h11

    http://www.fdesouche.com/1054631-une-journaliste-danoise-je-vois-des-femmes-en-hijab-tous-les-jours-et-elles-me-regardent-comme-si-jetais-une-prostituee-je-ne-veux-pas-de-ca-dans-mon-pays

  • L’heure de la libération ?

    caspar-david-friedrich.jpgLa bêtise, la basse propagande, la partialité ne prennent décidément pas de vacances.  Dans Le Point, Fabien Roland Lévy relatait il ya quelques jours  que Lucette Destouches, née Lucie  Almansor, âgée de 106 ans et  veuve de Louis-Ferdinand Destouches, alias Louis-Ferdinand Céline, venait de vendre leur maison de Meudon (Hauts-de-Seine)  en viager afin d’éponger ses dettes et de pouvoir y finir ses jours. Le journaliste  indique que  « le pavillon Second Empire, passablement décati, ne devrait donc pas se transformer un jour en musée Céline. D’autant qu’il ne reste rien à montrer, ni objets ni souvenirs de l’écrivain, après les ravages causés par deux incendies.» «Une manière aussi d’éviter» , tient-il à préciser, « que le lieu ne devienne un but de pèlerinage pour des admirateurs du pamphlétaire antisémite de Bagatelles pour un massacre ou Les Beaux Draps.»  Une réflexion caricaturale et pavlovienne, comme le fut l’attitude récente du ministre de la Culture  ( voir  ici et ici) ,   qui consiste très bêtement à  réduire Céline,  un  des plus grands écrivains français, aux trois pamphlets susnommés et le cercle de ses admirateurs à des nostalgiques des heures les plus sombres.  D’une  indignation l’autre, la gauche , les ONG politisées, Soros, les médias progressistes, bref le camp du bien, se sont émus de ce qu’un navire commercial italien (le ravitailleur Asso Ventotto) aurait enfreint le 31 juillet les règles du droit international en ramenant sur les côtes libyennes 108 immigrés clandestins (« migrants ») recueillis dans les eaux internationales au large de Tripoli.

    «La Libye n’est pas un port sûr et cela peut conduire à une violation du droit international», a affirmé le Haut-commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR).  Bref, il eut fallu  débarquer  ces immigrés illégaux  en Europe ont assuré  les pleureuses et autres donneurs de leçon(s)  professionnels qui tentent de donner mauvaise conscience aux Européens. Les Italiens, comme les autres habitants de la rive nord de la Méditerranée,  sont eux  très majoritairement en phase avec les propos du ministre de l’Intérieur  et chef de la Ligue Matteo Salvini qui s’est félicité la semaine dernière  sur twitter   « les garde-côtes libyens (aient) secouru et  ramené 611 migrants en Libye. » «Les ONG protestent et les trafiquants perdent leur business? C’est bien, nous continuons. »

    M. Salvini est bien évidemment dans le vrai affirme Bruno Gollnisch et Marine Le Pen rapportait  à bon escient en fin de semaine le cri d’alarme devant l’immigration illégale hors-contrôle, poussé  par  José Ignacio Landaluce Calleja, membre du Parti Populaire, député de Cadix,   maire de la ville espagnole d’Algésiras,  située à l’extrémité est du détroit de Gibraltar. M.  Landaluce Calleja a lancé   « un  appel au secours et pense que sa ville est en train de devenir le nouveau Lampedusa  : le seul moyen de mettre fin à cette embolie migratoire, c’est la fermeté totale, à l’italienne ou à l’australienne !»  a rappelé la présidente du RN.

    Mais cette prise de conscience là par les peuples de notre continent est-elle seulement permise et envisageable par les gardiens du dogme cosmopolite?  A l’heure ou Le Figaro relayait une étude réalisée par trois économistes d’Harvard  tendant à prouver que les Français auraient une vision   plus juste de la réalité quantitative de l’immigration musulmane,  dont l’ampleur serait exagérée par les autres occidentaux, l’Italie plongerait dans la violence raciste. Pour preuve  emblématique de ce climat dégradé, les médias français et internationaux ont abondamment commenté  le fait que les exactions contre les immigrés auraient augmenté chez nos voisins transalpins  de 10% par rapport à l’an dernier.  A l’appui de cette thèse,  a été évoqué ce triste fait divers qui a vu  l’athlète d’origine nigériane  Daisy Osakue,  lanceuse de disque dans l’équipe d’Italie, très méchamment blessée à l’œil par un jet d’ œuf lancé depuis une voiture près de Turin. Le Huffington Post qui cite deux autres cas  d’agressions,  indique que pour la  jeune femme de 22 ans « il n’y a pas de doute: son ou ses agresseurs cherchaient une cible noire car l’attaque a eu lieu dans une zone fréquentée par des prostituées africaines,  des femmes sans défense qu’ils pensaient viser selon elle.»

    Ce même article donne aussi la parole à Matteo Salvini qui a apporté son soutien à cette jeune athlète lui souhaitant un prompt rétablissement et indiqué  sa volonté très ferme de faire respecter  l’état de droit:  «Toute agression sera punie et condamnée, je serai toujours au côté de qui subit des violences. »  L’ensemble du gouvernement italien a fait bloc derrière le ministre de l’Intérieur qui a rappelé un  certain nombre de vérités:  «Alerte au racisme en Italie? Ne disons pas de bêtises! La nouveauté c’est que les médias évoquent les épisodes de ce genre même si le nombre d’agressions n’a pas évolué (…). Qui les utilise contre le gouvernement ne s’attaque pas vraiment au problème du racisme. » « Je rappelle qu’il y a environ 700 délits commis chaque jour en Italie par des immigrés, soit près d’un tiers du total, et ceci est la seule vraie urgence pour laquelle je me bats en tant que ministre. »

    « Son ministère a confirmé lundi: sur les quelque 857.000 personnes arrêtées et/ou dénoncées depuis le début de l’année, tous chefs confondus, 30% étaient de nationalité étrangère (33% des détenus au 30 juin (pour plus de la moitié Marocains, Albanais, Roumains ou Tunisiens), alors que les étrangers représentent 8,3% de la population en Italie.»

    Oui mais voilà est-il encore indiqué,  « le discours antimigrants de Salvini lui vaut aussi les foudres catholiques, résumées par la une du magazine Famiglia Cristiana la semaine dernière: Vade retro Salvini. Mais l’intéressé, adepte des provocations constantes sur les réseaux sociaux, a répondu à ces critiques à sa manière: Beaucoup d’ennemis, beaucoup d’honneur (Molti nemici, molto onore, NDLR)  a-t-il écrit  (le 29 juillet), en ajoutant l’émoticône d’un baiser. Cette variante d’un slogan de Benito Mussolini très connu des Italiens, utilisée le jour de l’anniversaire de la naissance du Duce, a fait sensation. » 

    Rappelons pour l’anecdote qu’il fut  reproché  à Jean-Marie Le Pen d’avoir lui aussi utilisé cette devise en févier 2012 ce qui l’avait contraint, s’adressant aux « aux incultes et aux ignares », d’expliquer que « la paternité » de celle-ci  «  n’est pas attribuable à Mussolini mais,  quatre  siècles plus tôt, au chevalier Georg Von Freundsberg, au service de l’Armée d’Espagne, qui la prononça lors de la bataille de Vicence en 1513 ». « Que cette maxime devenue populaire depuis lors ait été reprise par Mussolini lui en donne-t-il l’exclusivité et l’empêcherait-elle d’être citée jusqu’à la fin des temps ?»

    Certes, le Français Jean-Marie Le Pen n’est pas  l’Italien Salvini et dans la bouche du ministre de l’Intérieur  le clin  d’œil aux années mussoliniennes est lui très certain et évident. Il peut surprendre ou choquer si l’on ne connait pas le sentiment souvent  très ambivalent des Italiens sur l’ex instituteur  socialiste  qui joua le rôle que l’on sait entre sa prise de pouvoir en 1922 et son assassinat en 1945.

    On rappellera  à  ce sujet cette réflexion (en janvier 2013)   de Silvio Berlusconi , ancien président du conseil italien et chef de file du parti «Peuple de la Liberté» (PDL) qui avait horrifié les grandes consciences bruxelloises. En marge d’une cérémonie à Milan à l’occasion de la journée (internationale) de la mémoire de l’holocauste, M. Berlusconi avait dénoncé  les « lois raciales » antisémites, « la pire faute de Benito Mussolini », édictées par le pouvoir fasciste en Italie en 1938.  Mais il avait tenu à préciser   que l’Italie « (n’avait) pas les mêmes responsabilités que l’Allemagne », et que « Mussolini (avait) aussi  fait de bonnes choses dans tant d’autres domaines. »

    Un sentiment partagé par une nette majorité  d’Italiens  comme en attestent des sondages récurrents.  Italiens qui mettent notamment  au crédit des années noires du fascisme  les  politiques  sociales, familiales qui furent alors édictées,  certes beaucoup plus avancées que celles conduites en France par un Front Populaire au bilan très majoritairement négatif, mais toujours chez nous  très largement mythifié.

     Nous l’avons déjà écrit sur ce blogue, coller le mistigri du totalitarisme noir, brun, voire rouge-brun   aux   défenseurs des identités, des souverainetés nationales, des valeurs traditionnelles,dénoncer leur inhumanité,   reste une méthode éprouvée  de diabolisation. Il s’agit de  rendre infréquentables et illégitimes les courants patriotiques. Une démonisation de l’adversaire politique qui est d’ailleurs le ressort de tous les totalitarismes…Stigmatisation qui touche ainsi en premier lieu les opposants au totalitarisme bruxellois. Dénoncer les ravages de l’idéologie mondialiste, aimer son peuple, défendre l’authentique civilisation européenne, c’est de facto être suspect de  fascisme belliciste.

    Tout sursaut identitaire doit donc être frappé d’infamie, et les Européens qui entendent le rester sont invités à faire leur autocritique et à se laisser « châtrer » sans moufter…Oui mais voilà, les peuples se réveillent et les Père fouettard du microcosme politico-médiatique qui agitent de mauvais fantasmes pour leur faire plier l’échine et les faire rentrer dans le rang  sont  de moins en moins craints et  écoutés.Nous pouvons encore gagner cette course contre la montre… l’heure de la libération est peut-être plus proche qu’on ne le croit! 

    https://gollnisch.com/2018/08/07/lheure-de-la-liberation/

  • Éric Piolle, le maire « rouge-vert » de Grenoble, n’a pas eu un mot pour Adrien

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    Mercredi 8 août, une marche blanche pour Adrien Perez est prévue, organisée par ses amis place de Verdun, pour dénoncer son meurtre et l’insécurité de plus en plus présente dans l’agglomération grenobloise et en France.

    Pourquoi pas, plutôt, une manifestation de colère devant la mairie ? Car Grenoble, aujourd’hui, c’est le Chicago des années 30 : dans la nuit de samedi à dimanche, un adolescent âgé de 16 ans s’est involontairement brûlé en tentant d’incendier une voiture. France Bleu ajoutait naïvement dans son article : « La faute sans doute au liquide inflammable qui s’est répandu sur lui. » Non, messieurs de la radio d’État : la faute à lui-même. Cette radio indiquait que, la même nuit, un jeune homme de 27 ans avait été retrouvé gravement blessé à l’arme blanche dans le parc Mistral. Son pronostic vital était engagé. Un suspect s’est rendu à la police, il est actuellement en garde à vue, cela, juste une semaine après la mort d’Adrien.

    Disons-le, la dégradation progressive de la qualité de vie à Grenoble est patente. Comme l’expliquaient des Grenoblois sur un site de collectif citoyen :

    « La place Condorcet est devenue, depuis quelque temps déjà, le lieu de réunion favori d’un groupe de jeunes peu sympathiques qui, sous prétexte de ne rien avoir à faire et de s’ennuyer, empêchent tout le monde de dormir : scooter, musique, cris… jusque très tard dans la nuit. Les menaces sont courantes, on vous demande de descendre vous battre, on vous dit qu’on voit où vous habitez et que vous allez le payer. Les habitants terrorisés se plaignent à la police mais rien ne change. »

    « De même les façades et garages sont tagués, les vitrines des commerces ont été cassées, le quartier est jonché de détritus et, dans certains coins, les déchets et encombrants abandonnés s’entassent pendant des semaines. »

    Toujours sur le même site, on peut lire :

    « Place des Géants, excédé par le bruit la nuit, un habitant a répandu de l’huile partout où on pouvait s’asseoir, y compris sur les jeux d’enfants. Piscine Jean-Bron, les familles ont dû abandonner les bassins parce qu’une rixe avait éclaté entre une vingtaine de personnes. Quartier Hoche, un restaurateur a été dans l’obligation de fermer, ne pouvant plus faire face aux menaces. Rue de Strasbourg, un commerçant a donné sa caisse à un homme armé. Rue Dr-Mazet, pendant des semaines, une bande pénétrait dans les magasins pour voler de la marchandise. Grenoble bat des records de délinquance. Déjà, en 2014, le niveau était supérieur de 63 % à la moyenne nationale. »

    Le père d’Adrien Perez ne disait pas autre chose :

    « Le niveau de violence dans l’agglomération grenobloise est inadmissible. »

    Mais que fait alors la mairie ?

    Elle s’oppose… à la pose de caméras de vidéoprotection et refuse d’augmenter les effectifs policiers (103 agents pour 160.000 habitants) et de les armer. Même Jean-Yves Coquillat, le procureur de la République, a publiquement déclaré qu’il n’avait « jamais vu une ville aussi pourrie et gangrenée ». Par contre, « Piolle Pot », comme on appelle le maire ici, est prêt à accueillir tous les migrants et les « étrangers » du monde. Entre 2006 et 2014, il y a eu 2.243 Français de plus à Grenoble, contre 2.429 étrangers (aujourd’hui, c’est certainement plus d’étrangers).

    Le plus monstrueux est que notre Khmer vert, deux mois avant l’assassinat d’Adrien (qu’il n’a à notre connaissance, d’ailleurs, officiellement pas condamné, comme le montre son compte twitter qui ne parle que de pic de pollution et d’éco-mobilité…), remettait, contre l’avis du préfet, la médaille de la ville à Cédric Herrou, jugé pour passage illégal de migrants dans la vallée de la Roya : Tout un symbole !

    http://www.bvoltaire.fr/eric-piolle-le-maire-rouge-vert-de-grenoble-na-pas-eu-un-mot-pour-adrien/

  • Dans Présent d'aujourd'hui : un article sur "le Guide sulfureux du Paris réac et facho" de Patrick Parment

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  • Les Bestofes – Livre-Libre

    TV Libertés a repris les meilleurs moments de son magazine “Livre-Libre”, animé par Gilbert Collard. L’avocat et homme politique reçoit célébrités et inconnus du grand public pour mettre en lumière leur ouvrage.

    Pour revoir les épisodes de livre libre, cliquez ici

    https://www.tvlibertes.com/2018/08/07/24616/bestofes-livre-libre