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  • La mort du Politique ?

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    Partis. Cinquante ans après 1968, le constat s’impose : il n’y a plus rien ni dans l’ordre de la politique, ni dans l’ordre de la pensée. Le temps des idéologies contestatrices aboutit au règne de la pensée unique.

    « Appelons de nos vœux les sceptiques, s’ils doivent éteindre les fanatismes », écrivait Raymond Aron à la fin de L’Opium des intellectuels, en 1968. Admirable témoignage de sagesse en un monde alors dominé par les idéologies, les utopies, les contestations, les critiques exacerbées de tout y compris des critiques elles-mêmes, exténué par les surenchérissements révolutionnaires dans tous les  domaines. Il n’était alors question que de révolution, non seulement en politique et au sein de la hiérarchie sociale, mais dans la morale, les modes de vie, le langage, l’art et la littérature. L’heure était à la subversion générale et à l’édification du socialisme, dont on débattait inlassablement pour savoir s’il devait être social-démocrate à la scandinave, communiste à la soviétique, communiste à la chinoise, révolutionnaire mais non communiste, libertaire, étatiste ou autogestionnaire. Et, comme nous avions alors le sentiment que les « Trente Glorieuses » allaient durer indéfiniment, on annonçait l’avènement d’une « civilisation des loisirs », stade ultime de la société de consommation.

    La puissance du phénomène idéologique était telle que l’épreuve de la dure réalité, à partir du milieu des années 1970, ne l’entama pas. Ainsi, en 1981, au moment où nous nous débattions dans ce qu’on appelait alors « la crise », nos compatriotes crurent, que parce qu’ils venaient de porter Mitterrand et le PS au pouvoir, ils allaient sortir de la période de difficultés des années Giscard-Barre grâce à la mise en œuvre du canulardesque « socialisme à la française ».

    L’avènement de la pensée unique

    On sait ce qu’il advint de ce « socialisme à la française », qui se changea, à partir de 1984, en social-libéralisme, puis en libéralisme tout court, le PS s’alignant sur le nouvel ordre économique mondial sans frontières, fondé sur les seules lois du marché – et de la spéculation. Simultanément, le pouvoir socialiste organisa une véritable révolution culturelle tout ensemble droit-de-l’hommiste, universaliste, hostile aux nations, polyethnique, pluriculturelle, moralement relativiste, individualiste, hédoniste, sur laquelle la droite la plus bête du monde s’aligna, jetant par-dessus bord ses idées et jurant ses grands dieux qu’elle professait les mêmes « valeurs » que ses adversaires. L’idéologie devenait pensée unique et conditionnait toute la société, s’érigeant en justification et en supplément d’âme de l’ordre existant. Un ordre économique mondial indifférencié, individualiste, libéral, fondé sur des principes prétendument humanistes et universels, considérés comme les seules valeurs en dehors de celles du marché, tel se présente notre monde actuel, et tel est l’aboutissement, en France, du « grand mouvement » de mai 1968, si cher à notre président de la République.

    Daniel Cohn-Bendit, libéral libertaire, chantre de l’Europe fédérale, adulateur du capitalisme sans patrie ni frontières ni complexe, contempteur de toute morale, prompt à persifler la gauche « ringarde » comme la droite conservatrice, plus enclin à la promotion du mariage homosexuel et de la GPA qu’à la défense des victimes ou des laissés pour compte du marché – ces ratés, ces inadaptés, souvent vieux et aigris –, est le roi de la fête. Très controversé et critiqué à vingt-trois ans, il fait figure de miroir moral de notre société à soixante-treize.

    105643615.2.jpgPlus de grandes causes, désormais, plus de grandes idées ou d’idéaux. La politique, aujourd’hui, en France comme en Europe et en Amérique du Nord, se ramène à la gestion du nouvel ordre économique qui ne connaît d’autre principe que la loi du marché et d’autres valeurs que celles cotées en Bourse. Depuis longtemps, nos compatriotes ont répudié les valeurs fondatrices de notre civilisation : la religion chrétienne, la famille, l’amour de la terre natale, le respect de notre culture et de notre identité, bref, tout ce que d’aucuns considèrent comme les vieilles lunes de la vieille droite. Mais ils ont également pris la mesure de la vanité du socialisme qu’ils avaient tant chéri. Ne leur restent que leurs yeux pour pleurer et leur fameux « héritage » des « Lumières » et de la Révolution : les droits de l’homme et la démocratie, à quoi ils s’accrochent, comme l’y invitent en permanence leur École, leurs médias et leur intelligentsia. Aussi, nos hommes et femmes politiques, et les plumitifs et discoureurs d’émissions télévisées exaltent-ils sans arrêt « les valeurs de la République », car, en dehors de ces mots creux, plus rien n’existe. Ils vont même jusqu’à se chamailler pour la propriété de ces mots : rappelons-nous que toute la gauche, il y a trois ans, a essayé de faire interdire à l’UMP, par voie de justice, l’appellation « Les Républicains », alors qu’en 1977, personne n’avait vu d’inconvénient à ce que les giscardiens décidassent des’appeler « parti républicain », cependant que leurs élus allaient devenir des « députés républicains » ; ceux de notre actuelle droite se voient imposer, quant à eux, le label de « députés Les Républicains » ou LR. En s’appelant « Les Républicains », la droite commettait le crime de paraître dénier aux autres leur légitimité républicaine. Cela dit, ses adversaires ont indirectement raison en ceci que cette appellation ne veut pas dire grand-chose.

    La désaffection des Français à l’égard de la politique

    Cette insignifiance, ce vide intellectuel, moral et politique, caractérisent d’ailleurs les dénominations de la plupart des partis actuels : le Front national va devenir le « Rassemblement national », cependant que Florian Philippot fonde, pour le concurrencer, une formation dénommée « Les Patriotes » ; à l’autre extrémité de l’éventail politique, on trouve « le Parti de Gauche », inclus dans « La France insoumise ». Tous ces gens semblent vouloir rivaliser de fadeur, d’inconsistance, et, finalement, de médiocrité.

    Il est vrai que la désaffection de l’électorat à l’égard de grandes idées qui se sont fracassées contre le réel – le socialisme sous ses diverses formes – ou qu’il a rejetées depuis longtemps au point de les avoir complètement oubliées – les valeurs de la civilisation chrétienne, l’amour de la patrie, l’attachement à une société organique forte et naturellement solidaire – les oblige à se tenir « au plus près des gens », comme ils aiment à dire, et de leurs préoccupations concrètes. D’où ces appellations sans prétention qui paraissent vouloir dire qu’on se bat pour la défense des intérêts concrets des Français, et non pour des chimères… avec le succès que l’on constate : lors du deuxième tour de la présidentielle de 2017, seuls 43% des électeurs inscrits ont daigné voter ; et ce chiffre a encore régressé à 42,65% au second tour des législatives qui ont suivi. Les Français ne croient plus du tout en la politique, ni aux idées. 

    Des politiciens sans conviction et terre à terre

    1645705062.jpgDès lors, nos politiciens n’ont de cesse de vouloir démontrer leur souci de relever notre pays et de redresser sa situation économique et financière dans l’intérêt de ses habitants. Et, grands seigneurs, ils acceptent le concours des bonnes volontés de tous bords. Foin des convictions, faisons-les rentrer dans le champ privé de la conscience individuelle, et attelons-nous à la grande œuvre de reconstruction. C’est ce que disait Sarkozy lorsqu’au tout début de son quinquennat, il invitait des socialistes de cœur à se joindre à lui pour opérer cette dernière tout en conservant leurs convictions propres. C’est ce que fait Macron, grand bénéficiaire de la désaffectation des Français pour les vieux partis, et dont la LREM et le gouvernement mêlent gens de gauche et de droite.

    L’échec prévisible de Macron

    Notre président se pose en nouveau Napoléon appelé à moderniser notre pays afin de restaurer sa grandeur et sa prospérité. Mais il ne restaurera rien du tout, pour la simple raison dirimante qu’il ne peut s’affranchir des contraintes du monde où il évolue, et dont il est d’ailleurs l’un des plus beaux fleurons, comme le montre tout son parcours de haut fonctionnaire, puis de banquier. Son rôle historique ne peut être autre chose que celui d’adaptateur de notre pays à l’ordre économique mondial. C’est parce qu’ils l’ont cru capable de l’assumer que les chefs de gouvernement occidentaux l’ont encensé peu après son entrée à l’Élysée. Et ils entendent bien qu’il n’en sorte pas. Ainsi, Angela Merkel, comblée par l’arrivée d’un président capable enfin de réformer la France pour la plier aux exigences budgétaires de l’Europe, regimbe lorsque Macron prétend, en outre, donner un nouveau souffle à la construction européenne, notamment dans le sens d’une plus grande solidarité entre ses membres. C’est que, pour elle comme pour la plupart des dirigeants européens, l’Europe n’est qu’une zone de libre-échange, et pour les pays du sud et de l’est de notre sous-continent, une manne et un filet de sécurité. Macron, en l’occurrence, s’attache à un idéal auquel plus personne ne croit, et s’accroche à cette lubie française consistant à considérer l’Europe comme le moyen pour la France de recouvrer sa puissance en en prenant la tête et ce, alors qu’elle a en perdu le leadership depuis plus de deux décennies. Sa volonté de relancer l’Europe est vouée à l’échec. Quant à sa volonté de transformer la France pour la sauver, elle n’aura d’autre résultat que de la soumettre encore un peu plus aux lois du marché. Telle est la fonction objective et indépassable de toutes ses réformes en cours ou annoncées, qu’il s’agisse de celles du Code du Travail, de celle de la SNCF ou de celle des retraites. Macron l’avoue d’ailleurs quelquefois à mots couverts. Ainsi, en 2016, alors ministre de l’Économie, il récusait le protectionnisme préconisé par Philippot, durant un débat l’opposant à celui-ci, et préconisait implicitement la soumission au libre-échange total en essayant d’y tirer notre épingle du jeu, mais en sachant très bien les dommages qu’il infligeait à notre économie. Se rêvant en moderne Bonaparte, Macron n’est que le président d’une France qui rentre dans le rang de la mondialisation et, toujours plus, abdique sa souveraineté et sacrifie l’intérêt national et les droits sociaux des Français. Et il tire avantage de l’absence d’une opposition qui ne saurait être crédible, dans la mesure où elle s’étaie sur le rejet des fondements mêmes de notre civilisation et l’enracinement obsessionnel en une conception de l’homme et du monde foncièrement matérialiste et, par là même, de nature à priver nos compatriotes de l’élan spirituel nécessaire à l’affrontement des grands défis de l’histoire.

    La situation politique actuelle nous montre avec éclat que, privée de transcendance, la politique devient impuissante lors des grandes épreuves. Car, dès lors que les idéologies ont fait faillite, elle s’amenuise jusqu’à s’identifier à la simple gestion de l’existant. À cet égard, notre avachissement politique actuel est riche d’enseignements.  

    Jean-Luc Mélenchon : l'opposition au système qui renforce le système. Politique magazine

    Jean-Luc Mélenchon : l’opposition au système qui renforce le système.  

     Yves Morel

    Docteur ès-lettres, écrivain, spécialiste de l'histoire de l'enseignement en France, collaborateur de la Nouvelle Revue universelle 
  • Dans le nouveau numéro du Harfang, le magazine identitaire québécois, un article sur le CHN n°13 consacré à Ramiro Ledesma Ramos

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    Le Harfang cliquez ici

    Le CHN 13 consacré à

    Ramiro Ledesma Ramos cliquez là

  • Loi contre les violences sexuelles: forte avec les faibles, faible avec les forts

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    Marlène Schiappa a accouché d'un texte brouillon
    En ne voulant fâcher personne, la secrétaire d’Etat à l’égalité homme/femme Marlène Schiappa mécontente tout le monde. Malgré quelques rares avancées positives, sa loi contre les violences sexuelles risque de criminaliser la drague sans pour autant sanctionner la montée des agressions sexuelles. 
    Dans le contexte tragi-comique de cette fin de session parlementaire, sur fond d’affaire Benalla/Macron et de canicule propice à l’échauffement des esprits, le projet de loi renforçant la lutte contre les violences sexuelles ou sexistes porté par la très médiatique Marlène Schiappa a finalement été approuvé à l’Assemblée nationale.

  • Le cancer social des divorces et des ruptures

    Lu ici :

    "Comme le diabète, le divorce et la rupture sont des tueurs silencieux : ils sont tellement communs dans nos sociétés qu’on a fini par s’y habituer. La France est particulièrement touchée par ce fléau social : près de 45% des mariages finissent par un divorce. On enregistre chaque année environ 1 divorce pour 2 mariages – dont 20% sont des remariages. Mariés, pacsés ou en cohabitation, le nombre de couples qui rompent a bondi de 63% en 15 ans : 155 000 séparations de couples par an en moyenne dans les années 90, 253 000 depuis 2010 ! Une personne sur trois âgée de 26 à 65 ans ayant vécu en couple a connu une séparation après une première union. Les couples se défont de plus en plus vite : cinq ans après le début de la vie commune, 20% des couples sont séparés, 27% au bout de 10 ans, 50% des unions n'iront pas au-delà de 35 ans de vie commune, selon l’INSEE. Le nombre de mineurs qui subissent la séparation de leurs parents augmente en proportion : 145 000 enfants de divorcés par an en moyenne dans les années 90, quelque 191 000 chaque année depuis 2010.

    Du même coup ont été multipliées les familles dites « recomposées » et « monoparentales » - c’est-à-dire la plupart du temps dirigées par des mères seules, avec le cortège de fléaux affectifs et sociaux qu’entraînent cette « recomposition » ou cette solitude, à commencer par le vide éducatif laissé par les pères et par l’appauvrissement du foyer : on compte aujourd’hui en France environ deux millions de familles « monoparentales », deux fois plus qu’il y a 25 ans, et 40% de ces familles vivent en deçà du seuil de pauvreté.

    Loin de prendre en compte ce cancer social des divorces et des ruptures, les autorités s’acharnent à saper l’union conjugale au nom de l’individualisme libertaire triomphant. L’an dernier, le mariage a été encore fragilisé par la réforme du divorce : depuis le 1er janvier 2017, les divorces par consentement mutuel peuvent être conclus en 15 jours, sans passer devant un juge des affaires familiales (loi adoptée par l'Assemblée nationale en octobre 2016 sous couvert de « modernisation de la justice du XXIe siècle »). A présent, les époux désireux de se séparer d'un commun accord ne sont plus soumis à la décision d'un juge se préoccupant notamment du sort des enfants. Une simple signature apposée devant notaire officialise leur rupture. Le mariage devient un simple arrangement révocable."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.htmlhttp://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Stéphane Ravier : « Calanques investies par les bandes des cités : il n’y a pas que Sormiou ! Et les Marseillais n’en peuvent plus ! »

    Stéphane Ravier, sénateur RN des Bouches-du-Rhône, explique les dessous de la guerre des bandes dans la calanque de Sormiou et déplore l’inaction et le déni des élus LR sur ce dossier.

  • Adrien Pérez. « Trop seul pour qu’on te craigne, trop pâle pour qu’on te plaigne »

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    Par Julien Dir, contributeur de Breizh-Info ♦ La terrible agression mortelle du jeune Adrien Perez, 26 ans, à Grenoble par deux individus issus de l’immigration extra-européenne n’en finit pas de faire réagir dans les médias. Nous partageons avec vous la tribune libre de Julien Dir, parue dans Breizh-Info. Si les mots sont parfois violents, il n’en reste pas moins que les propos de ce contributeur du site de réinformation régional traduisent un ras-le-bol général que les pouvoirs publics seraient bien inspirés d’entendre.
    Polémia

    « Ton cas est bien trop banal pour qu’on s’intéresse à toi, tu es né au mauvais endroit le tout sur fond de crise sociale » chantait le groupe de rock identitaire Vae Victis, dans les années 90, dans sa chanson « Casse sociale ». Une chanson dont le refrain illustre parfaitement, tragiquement même, le destin d’Adrien Perez, 26 ans, assassiné par des racailles immigrées au sortir d’une boîte de nuit, lui qui a voulu défendre un de ses amis qui était agressé par ce groupe de crapules.

    « Trop seul pour qu’on te craigne, trop pâle pour qu’on te plaigne » nous disait le refrain de Vae Victis, refrain qui a marqué toute une génération politique. Celle de ceux qui ont décidé, depuis bien longtemps déjà, de ne plus baisser la tête, et de refuser de mourir pour une cigarette, une embrouille, ou tout simplement parce qu’ils sont blancs et non respectés dans leur propre pays, leur seul pays.

    Adrien est mort, assassiné d’un couteau planté dans le cœur, et les cris de douleurs de sa famille retentissent dans le pays. Ses assassins présumés ne sont pas que des « racailles » de 19 et 20 ans, comme le disent de façon totalement hypocrite Eric Ciotti ou Marine Le Pen qui n’osent pas franchir le Rubicon.

    Ce sont des extra-Européens. Ils ne sont présents sur le sol français que parce que des personnalités politiques comme Martine Aubry ont encouragé, depuis des décennies, l’installation de ces communautés sur notre sol.

    Adrien n’aurait pas été assassiné si les parents ou les grands-parents de ces deux individus n’avaient pas été autorisés à venir s’installer sur notre territoire.

    Dans dix ans, dans vingt ans, si nous ne faisons rien, combien d’Adrien maculeront le trottoir de leur sang, victimes des descendants de ceux qui, en quelques générations, ont conquis des pans entiers de nos villes avec les encouragements des autorités ? Combien de nos enfants rencontreront la sauvagerie au coin d’une rue, le viol ou le réflexe très oriental du couteau dans la poche, tout cela parce qu’une minorité criminelle d’illuminés « républicains » aura décidé qu’il était juste et généreux d’accueillir toute la misère du monde dans nos contrées ?

    On aura beau relayer sur Facebook, s’indigner, taper du pied, cela continuera, cela s’aggravera

    On aura beau relayer sur Facebook, s’indigner, taper du pied, cela continuera, cela s’aggravera : un jour ce seront nos enfants ou nos amis qui tomberont, à la sortie d’une boite ou dans la rue.

    Pendant ce temps, les décideurs politiques nous restreignent le droit de posséder des armes et ainsi de nous défendre. Ils continuent de faire venir en masse ceux qu’ils appellent des ingénieurs et du « sang neuf » (comme si le sang des Européens était pourri) mais parmi lesquels on retrouve également peut être – et cela ils ne vous le disent pas – les futurs assassins et les violeurs de nos enfants.

    Pendant ce temps, policiers et gendarmes, obéissant aux instructions du gouvernement, vérifient à la jumelle que vous roulez bien à 80km/h, sous peine de vous retirer votre permis, de vous coller une amende et de vous faire la morale, l’esprit républicain chevillé au corps.

    Policiers et gendarmes qui n’hésitent pas à faire du zèle lorsqu’ils tombent sur une proie facile « trop seule pour qu’on la craigne, trop pâle pour qu’on la plaigne ». Aux ordres d’un pouvoir qui préfère les occuper ainsi plutôt que de les envoyer rétablir l’ordre dans les quartiers multi ethniques. C’est moins risqué.

    Pendant ce temps, les rues de nos villes changent. C’est de plus en plus visible pour quiconque ouvre les yeux. Ce n’est pas pour rien que les Hongrois, que les Autrichiens, que les Polonais, que les Slovaques, que les Italiens ne veulent pas que leur pays ressemble ethniquement à ce que sont devenues certaines villes françaises. Ce n’est pas pour rien qu’ils veulent rester qui ils sont et continuer à vivre dans une société apaisée.

    Ces Européens ne veulent simplement pas d’une société dans laquelle un gamin de 26 ans meurt poignardé au cœur par le fruit de 40 ans de défaillance éducative, de laxisme et de portes ouvertes.

    Pendant ce temps, à l’Ouest, nous dormons, profondément.

    Congratulez-vous braves gens, comme vous avez été des millions à le faire, de la victoire de l’équipe de France de football, 6ème équipe africaine selon les médias de ce continent. Glorifiez ces « enfants de l’immigration qui réussissent », pendant que le sang encore chaud d’Adrien, assassiné par d’autres « enfants de l’immigration », coule sur le trottoir de Grenoble.

    Congratulez-vous, baissez la tête, fermez les yeux, mentez vous à vous même. Continuez d’éviter certaines lignes de métro le soir, certaines rues. Continuez vos mauvaises blagues sulfureuses en petit comité et votre politiquement correct en public. Continuez d’avoir honte en silence, continuez de condamner à mort vos enfants et votre civilisation.

    Ou bien réveillez-vous, et réagissez, réagissons, tous ensemble.

    Adrien s’est comporté en homme dans une société lâche et individualiste

    Il faut comprendre que le Système ne vous veut pas du bien à vous, les mâles blancs, les Desouches. Ce pays n’est plus seulement le vôtre, ils vous le répètent toute l’année, avant de vous abandonner à votre sort. Il faut se prendre en main, en finir avec cette mentalité très française d’assistanat, et désormais, ne plus compter que sur vous même, votre famille, vos proches, et sur votre communauté.

    C’est d’ailleurs ce qu’a fait Adrien, qui a fait preuve  – tragiquement – d’héroïsme en venant prêter main forte à son ami agressé. Par amour des siens et sans calcul. Il s’est comporté en homme dans une société lâche et individualiste. Il est tombé au champ d’honneur face à des individus qui devraient aujourd’hui se trouver à sa place si un réflexe de rage collective et communautaire avait permis de mettre fin à leurs agissements. C’est ce qui serait arrivé dans n’importe quelle société saine.

    Agissons ensemble pour que tout cela cesse !

    En mémoire d’Adrien, jeune Français sans histoire poignardé à mort le 29 juillet 2018 par des enfants de l’immigration subie.

    Julien Dir 05/08/2018

    Source : Breizh-Info.com

    Crédit photo : DR

    https://www.polemia.com/adrien-perez-trop-seul-pour-quon-te-craigne-trop-pale-pour-quon-te-plaigne/

  • Le « vivre ensemble » : un mensonge, doublé d’une absurdité

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    Un récent article de Mediapart« Artistes de la diversité, exemplarité et engagement », profite de la bagarre entre rappeurs, à l’aéroport d’Orly, pour faire la promotion de toutes les personnes issues de la « diversité » qui « ont accompli, par [leurs] gestes positifs, un Jihad, pour le bien-vivre ensemble ». Au-delà de cet énième article dénonçant « l’esprit esclavagiste et colonialiste, et notamment la culture dite de l’assimilation », arrêtons-nous sur ce terme de « vivre ensemble ».

    De nos jours, les grandes déclarations sur les « projets de société » sonnent systématiquement creux. Ces derniers ne désignent que des façons de produire (le « développement durable ») ou des façons de coexister (le « vivre ensemble »). Ils proposent des modèles de société, mais jamais la finalité de cette société. Ils confondent le moyen (le modèle de société) et la fin (ce que la société doit accomplir).

    Car le « vivre ensemble » n’est jamais que la condition minimale d’existence pour une société ; une société du vivre ensemble est une tautologie. Or, cette condition minimale d’existence est devenue – officiellement – la finalité du politique. Même si le « vivre ensemble » n’est, souvent, que le cache-sexe d’une authentique politique révolutionnaire : le Grand Remplacement.

    Or, cette version du projet de société des progressistes – le vivre ensemble — est parfaitement compatible avec les exigences des conservateurs. Pour eux, l’État ne saurait donner aucune orientation à la société. La société civile doit être libre de s’organiser, d’entreprendre et de créer, sans qu’aucune institution étatique ne mobilise les énergies dans une direction particulière. Les conservateurs ne condamnent pas le « vivre ensemble » comme idéal – Renan parlait, lui aussi, de « vivre ensemble » – mais critiquent le projet multiculturaliste qui rend le vivre ensemble impossible.

    Les conservateurs ne cessent de parler de « projet commun », sans jamais lui donner de contenu autre que des valeurs et une culture commune. Or, ni la culture ni les valeurs ne forment de projet véritable. Elles déterminent seulement le cadre moral et spirituel au sein duquel un projet – directionnel – peut émerger. Le conservatisme est intrinsèquement adirectionnel.

    Roger Scruton (conservateur britannique) écrit que « la société existe bel et bien, mais elle se compose d’individus. Et les individus doivent être libres, c’est-à-dire libres de l’insolente prétention de ceux qui souhaitent les reconfigurer. » Comme nombre de conservateurs, Scruton est en fait un libéral, adepte de la théorie du contrat : les individus préexistent à la société, et s’ils font société c’est qu’il en va de leur intérêt (« La société est composée de personnes, qui s’associent librement et forment des communautés d’intérêt… »).

    Il n’y a, là, rien d’étonnant : les conservateurs sont toujours les élèves des progressistes du passé. Pour Enzo Traverso, « dès le départ, les anti-Lumières doivent adapter leurs valeurs antimodernes aux transformations de la modernité ». Même Edmund Burke (pourfendeur de la Révolution française, mais nullement réactionnaire) « recherchait […] une conciliation entre les valeurs conservatrices et la société de marché ».

    Le « projet de société » des conservateurs – bâtir et conserver la société – se mord la queue. Un véritable projet est nécessairement extérieur à la société. Il pourrait, par exemple, viser des conquêtes scientifiques et techniques (comme la course à l’espace), militaires (même si l’époque ne le permet plus), artistique, voire anthropologique (dépasser l’homme). Tout sauf ces faux projets qui ne se projettent, précisément, nulle part.

    Car, comme l’écrit Julien Freund, « une civilisation décadente n’a plus d’autre projet que celui de se conserver ».

    Romain d’Aspremont

    http://www.bvoltaire.fr/le-vivre-ensemble-un-mensonge-double-dune-absurdite/

  • Plaidoyer pour le rétablissement de la peine de mort

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    Bernard Plouvier

    Le 15 octobre 2015, un petit garçon d’âge pré-pubère avait été poignardé à mort par un psychotique dans une cité lorraine. Fin juillet 2018, un jeune homme est tué par deux rejetons de l’immigration extra-européenne. Depuis 2015, des assassins djihadistes ont tué plus de deux cents Français : à l’arme blanche, à l’arme à feu et à la voiture-bélier.

    Au-delà de l’actualité et des réactions de colère & d’indignations qu’elle génère, il convient de réfléchir à un grave problème de société pour lequel le peuple souverain de France (et celui d’autres pays européens, d’ailleurs) n’a jamais été consulté : l’injustice profonde représentée par l’abolition de la peine de mort.

    Il est devenu monnaie courante de voir sortir d’hôpital psychiatrique, nantis pour l’occasion de l’étiquette « équilibrés », des fous dangereux : psychotiques enfermés pour cause de délire, sociopathes, psychopathes violents.  De fait, à l’heure des antipsychotiques, tout malade chez lequel un diagnostic a été posé suffisamment tôt peut être stabilisé par son traitement… à condition qu’il soit régulièrement pris et c’est là que le bât blesse.

    Le psychotique de forte conscience morale (ou éthique, comme on voudra) prend son traitement, à la fois parce qu’il se sent mieux avec lui que sans lui, même s’il endure d’inévitables effets secondaires, et parce qu’il ne veut pas ou plus nuire à autrui : ses proches, ses collègues de travail, etc.

    Le psychopathe violent (tous ne le sont pas), le sociopathe, le psychotique dépourvu de conscience sociale abandonnent vite leur traitement, parce que cela leur plait de terroriser autrui, de faire mal, de blesser physiquement ou moralement. Tous les médecins le savent, mais nul dans le monde merveilleux des politiciens ne demande l’avis des vrais praticiens, se contentant de celui, inexpert ou intéressé, d’avocats ou de médecins de papier, membres d’une secte, d’un parti politique ou piliers de salon parisien.

    Quant aux terroristes, quelle que soit leur motivation – politique ou religieuse -, ce sont des adeptes de la pure joie de nuire. Leur foi ne sert que d’alibi moral à l’épanouissement de leur perversité.

    De toute antiquité et dans toute civilisation orientée vers le « Bien commun », on admet comme légitime la défense de qui est réellement et immédiatement menacé dans sa vie ainsi que le principe de la protection des citoyens honnêtes par les forces de l’ordre. C’est en grande partie pour que soit assurée la sécurité des personnes que l’on paie des impôts.

    Il est parfaitement légitime de se moquer des éjaculations verbales d’avocats sur la non-exemplarité de la peine de mort et pour une excellente raison : aucune étude scientifique n’a jamais été réalisée sur le sujet. Bien au contraire, de nombreuses études éthologiques et sociologiques (notamment celles menées sur des jumeaux éduqués séparément) ont démontré l’innéité – pour au moins 80% - des comportements animaux, dont ceux des humains.

    Qu’on veuille le reconnaître ou non importe peu : la récidive est génétiquement programmée chez les assassins et les violeurs, après qu’on les ait libérés de prison, souvent de façon anticipée pour raison de « bonne conduite ».

    L’ego surdimensionné et les professions de foi de pénalistes vexés par la condamnation à mort d’un de leurs clients (et par la mauvaise publicité qu’ils en ont ressentie) ne pèsent rien, absolument rien, en comparaison de vies d’innocents gâchées par des fous criminels, des pervers dangereux (tels les violeurs-assassins), des grossiums du trafic de stupéfiants, des criminels par fanatisme religieux ou politique.

    On se moque d’une éventuelle « rééducation », illusoire du fait de leur génétique défavorable, des assassins, violeurs, fanatiques dangereux, sociopathes etc. La peine de mort a pour but d’éliminer la pire des bêtes féroces : l’homme génétiquement programmé pour assouvir ses pulsions criminelles.

    Il ne faut plus s’intéresser au débat stérile sur l’exemplarité de la peine de mort ou au dogme antique, mais hautement périlleux pour la société, de l’irresponsabilité des « fous ». En période d’absurde expansion démographique, éliminer les grands criminels, c’est une mesure de salubrité publique, soit ce qu’en d’autres temps on dénommait une mesure de Salut public.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le sud de la Syrie entièrement reconquis par l’armée

    Analyse d'Antoine de Lacoste :

    "La résistance a cessé dans le sud de la Syrie. Les trois provinces de Deraa, Qouneitra et Soueïda ont été entièrement reconquises par l’armée et cette victoire est une étape importante dans cette guerre qui ravage la Syrie depuis sept ans.

    La dernière poche islamiste était tenue par Daech à proximité du plateau du Golan. C’est à cause d’elle que d’autres combattants de l’État islamique venus de l’est avaient lancé un raid spectaculaire contre des villages druzes la semaine dernière, faisant plus de 250 morts. Surtout, une quarantaine de femmes et d’enfants ont été emmenés en otages afin de servir de monnaie d’échange.

    Mais Russes et Syriens ont refusé toute négociation et la reconquête s’est achevée par la mort ou la fuite de centaines de combattants de Daech.

    Un incident important s’est produit au cours de cette fuite : sept islamistes ont escaladé le plateau du Golan vers la frontière israélienne. Très vite repérés, ils ont été aussitôt abattus par des tirs de missiles de l’aviation de l’État hébreu. Ils étaient armés de fusils d’assaut, de grenades et de ceintures d’explosifs. En commentant cet événement, qui est une première, Israël a déclaré que, selon toute vraisemblance, ces hommes voulaient s’infiltrer dans le pays pour y commettre des attentats. Rien n’est moins sûr, en réalité. Jamais, jusqu’à présent, Israël ne s’était attaqué aux islamistes, quels qu’ils soient. De plus, chacun sait que les frontières israéliennes sont totalement infranchissables. Ils n’avaient donc aucune chance. Dès lors, il semble plus probable que ces sept combattants, fuyant l’avancée des troupes syriennes, aient espéré pouvoir compter, comme par le passé, sur la mansuétude d’Israël.

    Mais les temps ont changé. Lieberman, le ministre de la Défense israélien, vient de se réjouir du retour des institutions syriennes le long du Golan et affirmé que Bachar el-Assad était le représentant de la Syrie. Il y a deux ans, le même Lieberman traitait Bachar de « boucher »…

    Ce revirement israélien marque le succès spectaculaire de la diplomatie de Poutine. Il a reçu Netanyahou le 11 juillet et Sergueï Lavrov, son ministre des Affaires étrangères, a beaucoup parlé avec son homologue israélien.

    Ce n’est donc pas un hasard si les Russes ont annoncé la création de plusieurs postes militaires sur le Golan, qui seront tenus par leur armée. C’est probablement Israël qui a exigé cela, certain, alors, que ni le Hezbollah libanais ni les Iraniens n’oseront aller contre la présence russe. Des Casques bleus de l’ONU vont également faire leur retour. On sait qu’ils ne servent généralement à rien, mais le symbole est là.

    Dans le même temps, on parle d’un recul de 80 kilomètres des forces iraniennes. Israël juge cet effort insuffisant mais, là aussi, personne n’aurait parié sur une telle souplesse de l’Iran.

    Le très délicat dossier du Golan est donc en passe d’être réglé. Trois sujets brûlants attendent maintenant Poutine : Idleb et ses milliers d’islamistes au nord-ouest, la présence turque et la présence américaine."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Redoine au petit-dèj, Benalla à midi, Mbappé en soirée… Et l’on s’endort ensuite sur de beaux rêves d’avenir… fin

    Sur l’école

    (Parcoursup) Il suffit d’être bon élève et d’avoir travaillé pour être sûr d’être pris là où on le souhaite…

    Sur l’économie, le social, l’assistanat

    La grève se justifie dans le secteur privé. Elle est illégitime dans le service public, où elle correspond à une prise en otage des usagers

    Chaque grande région d’Europe a son paradis fiscal : îles anglo-normandes, Luxembourg… Pour la France c’est Monaco

    (l’économie française n’occupe plus que la 7e place) Aucune importance… Le fait que les Français deviennent étrangers dans leur propre pays, en revanche…

    L’assistanat est, avec l’immigration, le plus sûr moyen de détruire une société

    Sur l’environnement

    Selon la SNCF, 3 trains sur 4 circuleront : , l’un sera en grève, l’autre en panne, le troisième en retard…

    (la Grèce va mieux) Aaah… !  le bétonnage et le tourisme de masse vont pouvoir reprendre leur oeuvre de destruction…

    Canicules, incendies, inondations… Eh oui… L’industrialisation, le progrès technique et la société de consommation ont entraîné un enrichissement formidable… Mais aussi une explosion démographique et une dégradation de l’environnement…. Et maintenant il va falloir commencer à payer.

    Voitures, électriques ou non, camions, bus, motos, scooters, vélos, trottinettes, skates… Les mille-et-une manières de gâcher la vie du piéton…

    (trottinettes Uber)  Une nuisance supplémentaire pour les piétons, auxquels la ville devrait seuls appartenir

    (trottinettes Uber) Les tinettes en ville, oui. Les trottinettes, non

    Depuis 40 ans, à la demande du patronat et des bétonneurs, les pouvoirs publics ont sacrifié le transport de marchandises par rail au profit du camion… Pollution, dégradation des routes, insécurité routière, conditions de travail dégradées des chauffeurs…

    Eoliennes, TGV, autoroutes, aéroports, zones commerciales, lotissements, agriculture à l’américaine : lorsque les paysages auront tous été détruits, il restera pour s’en souvenir les archives et les musées

    Eh oui : la décision de remplacer, dès l’après-guerre, l’agriculture traditionnelle par une agriculture à l’américaine a été une catastrophe (pollution, désertification d’une partie du territoire, saccage des paysages, disparition d’emplois, malbouffe, cancer…).

    Grèves, pannes, retards, accidents… Et Pépy est toujours en place… Il faut dire qu’il appartient à certains réseaux (non ferrés) parmi les plus influents…

    (extinction du koala) Les hommes sont bientôt 7 milliards : il n’y a de place pour personne d’autre qu’eux

    Sur le féminisme, les homos, les mœurs 

    (les Argentines luttent pour l’IVG) Mon but dans la vie ? Avorter

    (en Espagne congé de maternité et congé de paternité ont désormais la même durée) Prochaine étape vers l’égalité : l’accouchement paternel

    Pour limiter la reproduction du quart-monde au fil des générations, il faudrait remplacer les allocations familiales par des bons d’achat directement liés à l’éducation des enfants

    (Sida et MST) Eh oui : mener une vie conforme à la morale traditionnelle est certes parfaitement ringard et ridicule mais présente toute de même certains avantages…

    Autorisé : « Fier d’être homosexuel ». Interdit : « Fier de ne pas être homosexuel »

    Sur la modernité, la république, la démocratie, la bourgeoisie

    Le populisme consiste à s’efforcer de  respecter les voeux du peuple. La démocratie c’est l’inverse

    Pourquoi le scoutisme a-t-il du succès ? Parce que la société moderne, individualiste et matérialiste, est vide de sens

    Les démocrates sont favorables à la démocratie tant que le peuple vote pour eux

    (démontage du mausolée de Franco en Espagne) Et ils peuvent aussi maquiller les photos, rayer les noms, brûler les livres… 1984 donne toutes les recettes

    Pour ce qui me concerne, entre une dictature de type franquiste et le totalitarisme communiste, la première me paraît de loin la moins nocive

    Les athées détestent la religion catholique mais aime visiter les cathédrales, les abbayes, les monastères… Ils devraient plutôt visiter et célébrer les lieux créés par la modernité athée : centres commerciaux, barres d’HLM, Beaubourg.. 

    Sur l’international

    Trump est ridicule. Trump est grotesque. Trump est odieux. Trump est stupide. Il est d’ailleurs milliardaire et président des Etats-Unis : c’est dire à quel point il est bête…

    Quel tyran ce Trump : il a osé nommer un juge dont les idées sont proches des siennes !

    (pendaison des membres de la secte Aum) Le Japon est un vrai pays, qui existera toujours dans cent ans: et nous les bisounours européens, nous aurons disparu depuis longtemps

    Les Anglais ont voté pour le Brexit non tellement pour sortir de l’UE mais dans l’espoir d’arrêter l’invasion migratoire

    Pour les Européens, la Turquie n’est ni un ami ni un allié

    Les Israéliens veulent vivre, et s’en donnent les moyens… Et nous, les Européens, nous croyons pouvoir vivre dans le monde des bisous…

    (Les peuples autochtones en danger) Il y a des peuples autochtones dans toutes les régions du monde. Sauf en Europe…

    (Le Mozambique peine à contenir l’explosion démographique) Bah pour régler le problème il suffit d’envahir l’Europe

    L’explosion démographique, crime contre l’humanité

    Fin

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2018/08/06/redoine-au-petit-dej-benalla-a-midi-mbappe-en-soiree-et-lon-sendort-ensuite-sur-de-beaux-reves-davenir/