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Trop chic dans sa robe belle époque, elle est refoulée du château de Versailles
Satanée république qui s’est approprié des lieux et y impose les pires horreurs en y refusant le beau :
“Interdiction d’entrer. C’est ce que s’est entendu dire Paloma Bernot lors d’une visite avortée ce mercredi au Château de Versailles. Le tort de cette jeune femme de 25 ans ? S’être présentée aux grilles du Château avec une tenue digne du XIXe siècle.
Paloma Bernot venait de prendre quelques jours de congé en région parisienne pour se rendre dans le plus célèbre château de France accompagnée de son mari. « C’était un rêve de petite fille de pouvoir le visiter », confie la jeune femme. Un rêve, qui malheureusement ne se réalisera pas.
Créatrice de vêtements du XVIII et XIXe siècle, Paloma Bernot a l’habitude de porter ses propres créations, souvent de longues robes à la Marie-Antoinette. « Je suis toujours habillée comme ça. Je n’ai que ce type de tenue dans ma valise », affirme la jeune styliste. Habillée de cette façon pour sa première visite au Château de Versailles, la jeune femme s’est vue refuser l’entrée. « Le vigile commence par me dire que je n’ai pas le droit de rentrer à cause de mon déguisement, raconte Paloma Bernot. Je lui ai expliqué que ce n’était pas un costume et que j’en porte quotidiennement ». L’agent de sécurité finit par la laisser passer, mais après quelques heures de queue, c’est l’un des guides du Château qui exclut la créatrice. « Je n’ai pas eu plus d’explications. J’en ai pleuré toute la journée… »
Le scandale a poussé les responsables du château à présenter ses excuses.
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Emmanuel Macron peut-il encore éviter un annus horribilis en 2019
Les fins d’année sont propices aux bilans et aux prophéties sur l’année à venir. On se souvient des célèbres vœux de De Gaulle en 1967 : « Que sera 1968 ? L’avenir n’appartient à personne et je ne le prédis pas. » On connaît la suite de ses vœux bonhommes. Et de l’histoire… Pour Emmanuel Macron, au contraire, l’année se finit mal. Et l’on peut légitimement se livrer à quelques hypothèses, surtout quand, régulièrement, tout au long de l’année 2018, on a alerté sur la colère qui couvait et que ni lui ni son gouvernement ni sa majorité ne daignaient voir. Et, sans être alarmiste, force est de reconnaître que 2019 se présente très mal pour Emmanuel Macron.
Économiquement, la croissance qui devait ruisseler grâce aux premiers de cordée s’est envolée. L’INSEE a revu celle de 2018 à la baisse (1,5 %) et annonce, dans le meilleur des cas, un 1,3 % pour 2019… Ce qui rend les prévisions budgétaires du gouvernement peu crédibles.
Socialement, le mouvement des gilets jaunes a fait basculer le quinquennat. Le Président et le Premier ministre ont reculé. Ils ont cédé à la rue, à ceux qu’ils n’ont pas hésité à appeler des « séditieux ». Comment imposer, alors, des réformes – et des efforts – aux futurs retraités, c’est-à-dire aux actifs d’aujourd’hui ? Avant le mouvement des gilets jaunes, la stratégie tout en rondeur de Jean-Paul Delevoye avait consisté à repousser cette réforme difficile après les européennes, histoire de ne point trop fâcher l’électeur. Édouard Philippe, qui a mangé son chapeau, peut bien claironner, en mode boxeur, dans le JDD : « Je prends des coups mais je peux en donner. »Personne n’est dupe : à la prochaine alerte sociale, même inférieure à celle de 2018, il risque de tomber.
Politiquement, enfin, si Emmanuel Macron a refusé jusqu’à présent une initiative significative, il ne pourra pas en faire l’économie, surtout si son parti perd les élections européennes de mai, qui auront valeur de test. Le départ d’Édouard Philippe, donc. Mais le macronisme en berne n’attirera guère les têtes d’affiche de la droite centriste et sociale, comme ce Xavier Bertrand dont Le Mondecroit voir l’étoile monter : pourquoi aller se démonétiser auprès d’un Président aussi impopulaire ? Finalement, la meilleure solution pour Emmanuel Macron serait une dissolution qui lui apporterait une cohabitation bienvenue, soit qu’elle lui permette de se refaire une santé dans le rôle de l’opposant, comme Mitterrand et Chirac, soit qu’il choisisse, pour donner une autre consistance à sa ligne centriste du « en même temps », de soutenir une majorité d’union nationale LREM-LR en bonne et due forme.
Bon, finalement, pas si horribilis que ça, 2019 ?
Mais vous aurez compris que – conte de Noël oblige – ces esquisses ne tenaient pas compte de la remontée des taux, de l’envolée de la dette, des risques de krach, des ratés du prélèvement de l’impôt à la source dès janvier, du malaise des classes moyennes et des fonctionnaires, du mécontentement de la police, de la réforme du bac, de la politique de Trump, de la libération de 450 djihadistes. Pas compte, non plus, du fait que Christophe Castaner est ministre de l’Intérieur, Benjamin Grivaux porte-parole du gouvernement et… Emmanuel Macron président de la République.
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Gilets Jaunes : un acte VII avant le nouvel an – Journal du vendredi 28 décembre 2018
Social / Gilets Jaunes : un acte VII avant le nouvel an
Il y aura bien un Acte VII pour les gilets jaunes. Samedi, les manifestants battront une nouvelle fois le pavé avant une mobilisation spéciale du mouvement pour le nouvel an. Une septième épreuve de force pour un gouvernement à bout de souffle.
Société / Mosquées radicales : le casse-tête de la bien-pensance
Comme après chaque attentat, le problème des mosquées qui prêchent un islam salafiste revient sur le devant de la scène. En France, on compterait quelque 130 lieux de cultes musulmans rigoristes. Une véritable bombe à retardement que les politiques successives n’ont pas le courage d’étouffer.
International / Afrique : Nigéria, la GPA sans frontières
L’actualité en bref
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L’Etat offre plus de deux milliards aux medias menteurs ! Qu’en pensent les Gilets Jaunes ?
Voici un nouveau communiqué de Civitas sur les dépenses de l’Etat. Cette fois, ce sont les subventions et cadeaux fiscaux aux médias aux ordres qui sont pointés. Sans avoir réalisé un travail exhaustif en ce domaine, Civitas signale en quelques exemples un montant déjà pharaonique de deux milliards d’euros.
Payer des impôts pour financer les médiamenteurs OU faire un don déductible à Civitas pour financer vos idées, à vous de choisir !
Il est difficile de connaître le montant total des subventions et autres cadeaux fiscaux accordés aux médiamenteurs. Nous avons néanmoins trouvé trois informations significatives.1) Le rapport annuel de la Cour des comptes, publié en mars 2018, signalait qu’en 2017, le montant total des aides de l’Etat attribuées à la presse écrite s’élevait entre 580 millions d’euros et 1,8 milliard d’euros – une fourchette importante justifiée par une “définition large” des aides à la presse.
2) Le 27 novembre, entre deux grandes mobilisations des Gilets Jaunes, les parlementaires ont voté la suppression de trois taxes payées par les stations de radio et les chaînes de télévision.
. Chaque spot publicitaire diffusé à la télé dans la tranche facturée entre 1.520 euros et 9.150 euros était frappé d’une taxe de 20,60 euros. Taxe supprimée.
. Les radios qui réalisaient 10 M€ de chiffre d’affaires publicitaire par trimestre (Europe 1, NRJ, RTL) payaient une taxe de 54.435 euros. Taxe supprimée.
. Les chaînes de télévision qui réalisaient 100 millions de recettes publicitaires tous les trois mois (c’est le cas de TF1 et de M6) payaient une taxe de 894.500 euros. Taxe supprimée.
Ces trois taxes sur les grands médias audiovisuels rapportaient 50 millions d’euros à l’Etat.
Comment la Macronie justifie-t-elle ce cadeau fait à des grands médias audiovisuels appartenant à quelques milliardaires ?
« On est dans une logique de simplification et de rationalisation des petites taxes qui pèsent sur les télés. C’est le fruit d’une discussion avec Bercy et le ministère de la Culture, dans les projets de simplification de la vie des entreprises ».
3) Et ce n’est pas tout ! Dans la nuit du 18 au 19 décembre, l’Assemblée Nationale a voté, sans débat, une hausse de 4 millions d’euros de la dotation allouée à l’Agence France-Presse au titre de ses missions d’intérêt général.
Ce vote nocturne s’est déroulé dans le cadre de l’examen du projet de budget 2019 en nouvelle lecture, sur base d’un amendement du gouvernement destiné à augmenter de 4 millions d’euros la dotation allouée à l’AFP qui était déjà de « 111,8 millions d’euros », rappelle l’exposé des motifs de l’amendement.
Et qui paye ? Les contribuables, dindons de cette mauvaise farce.
Allez-vous, sans rechigner, payer vos impôts à cet Etat républicain et financer les médiamenteurs à ses ordres ? Ou allez-vous préférer faire à Civitas un don déductible de vos impôts et financer ainsi vos idées ? A vous de choisir avant le 31 décembre 2018.
Précision importante : la déduction fiscale de vos dons reste inchangée avec le prélèvement à la source.
Nous avons besoin que vos encouragements se transforment en actes.
ATTENTION, le don en ligne via paypal n’est plus autorisé, selon une note du ministère de l’Intérieur basée sur une règlementation qui pénalise uniquement les structures dissidentes comme la nôtre.
Dès lors, votre don doit impérativement se faire :
. par virement bancaire avec mention obligatoire de votre adresse postale et du motif de votre virement (adhésion) à :Banque postale – FR02 2004 1010 1251 9584 8B03 351 – PSSTFRPPSCE
. ou par chèque, à l’ordre d’ADF et envoyé à Civitas – La Bossivière – 53290 Argenton Notre Dame
Le don – permet l’obtention d’un reçu fiscal (réduction d’impôt de 66%) (Déclaration Préfecture du Val d’Oise, Agrément 1166 du 18 mai 2016). Le don fait par chèque doit être à l’ordre d’ADF.
Civitas est la seule formation politique qui respecte la doctrine catholique et se soucie de la défense de nos valeurs civilisationnelles, sans compromission ni reniement.Les Français doivent se réhabituer à entendre parler de la loi naturelle, de principes catholiques, de France catholique. Ce discours doit être martelé publiquement encore et encore, jusqu’à ce que cela finisse par devenir, pour nos contemporains, une hypothèse méritant réflexion puis qui leur apparaisse comme LA solution.
Ce travail nécessite que nous développions solidement nos implantations locales, par un travail régulier et persévérant sur le terrain, par voie de tracts, d’affiches, de rencontre avec les gens, de réseaux tissés localement pour un travail de reconquête.
Nous comptons donc sur votre soutien et engagement pour poursuivre ce nécessaire combat.
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Dis-moi de combien tu fraudes, je te dirais qui tu es…
La chronique de Philippe Randa
Quand toute communication téléphonique ne dépendait pas d’un « forfait illimité » comme aujourd’hui, la moindre communication personnelle depuis son lieu de travail était, de la part d’un monsieur Dupont, simple employé, un vol de sa société… et pour le dirigeant de celle-ci, un abus de bien social. Hé oui !
Qui peut alors dire qu’il n’a jamais « profité » d’une telle facilité, sans parler, pour certaines professions, des « notes de frais » parfois un peu – et même un peu beaucoup –… « arrangées » ?
Qui vole un œuf, vole un bœuf, selon l’adage populaire. Certes, mais peut-on vraiment comparer un monsieur Dupont, contribuable lambda aux fins de mois difficiles qui gruge le fisc de quelques centaines ou milliers d’euros avec un Carlos Ghosn (rémunérations en tant que PDG en 2017 : 13 millions d’euros), soupçonné d’avoir dissimulé environ 38 millions d’euros de revenus sur cinq années de 2010 à 2015 ? Ou encore avec une Shakira (chanteuse la mieux payée au monde en 2018 avec des revenus estimés à près de 46 millions d’euros) – soupçonnée par la justice espagnole de s’être fictivement domiciliée aux Bahamas et ainsi d’avoir fraudée le fisc espagnol à hauteur de 14,5 millions d’euros ?
S’il est certain qu’enfreindre la loi, quelle que soit la modicité ou non des sommes, reste bien évidemment condamnable moralement – sauf pour les anarchistes qui condamnent tout ordre établi par principe –, un bon sens tout aussi populaire parce qu’humain, trop humain, reconnaissons-le tout de même, permet à tout à chacun de fermer les yeux sur certains, comment dire… « accommodements » !
À condition de ne pas se faire prendre… sinon, c’est bien la seule égalité qui puisse alors exister entre un monsieur Dupont, un monsieur Ghosn et une madame Shakira.
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I-Média n°230 – Les médias veulent siffler la fin de la partie
Les médias veulent siffler la fin de la partie
Mobilisation en baisse, violence et même accusations d’antisémitisme… Tous les moyens semblent bons pour tenter d’endiguer la révolte populaire des Gilets Jaunes !
Zapping
Macron se maquille les mains mais n’hésite pas à les exhiber au Tchad. Pendant ce temps, les Gilets Jaunes continuent de se révolter, allant jusqu’à rester sur leur rond-point pour Noël !
Menu de fête pour les médias : intox sur lit de propagande
Période de fête oblige, les médias ont décidé de nous repasser quelques films cultes… revisités !
Au programme : Un métro nommé délire, grand classique, et L’Expert (avec Sylvain Boulouque à la place de Stallone).
En plus, ils nous ont offert un drôle de spectacle son et lumières avec des policiers voltigeurs n’hésitant pas à allumer eux-mêmes les feux d’artifices.Tweets
Alors que LVMH verse 80 millions d’euros au Parisien pour éponger des dettes abyssales, la jeune Fiorina a reçu 50 000 € de la part de milliers d’internautes. Chacun sa solidarité !
Journaliste primé, articles truqués
En Allemagne, c’est un énorme scandale médiatique. L’un des jeunes journalistes les plus récompensés avait falsifié de nombreux articles !
https://www.tvlibertes.com/les-medias-veulent-siffler-la-fin-de-la-partie
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En soutien aux gilets jaunes, un entrepreneur se paye la tête de la police et de BFMTV
Michel-Ange Flori, patron de la société varoise d’affichage Flori, s’est fait plaisir. Sur une route du Var, à la Seyne-Sur-Mer, l’un de ses panneaux publicitaires affiche le message : « 150 euros de plus par mois par policier, et nous ? La matraque dans la gueule ? ».
Un message en soutien aux Gilets Jaunes qui a rapidement commencé à faire le tour des réseaux sociaux.
Un second panneau publicitaire a fait son apparition. Avec cette fois pour message : « Les syndicats de Police et BFM vous souhaitent un bon enfumage 2019 ».
Après les attentats du 13 novembre 2015, cet entrepreneur d’origine corse avait déjà utilisé un de ses panneaux pour réclamer la peine de mort « pour les terroristes et leurs complices ».
« C’est mon avis et je l’affiche à la place d’une publicité pour le supermarché du coin. J’investis pour communiquer mon opinion », avait-il déclaré à Franceinfo.
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« On a mis un gamin à L’Elysée et on va le payer très cher»
Luc Ferry s’en est pris de façon virulente à Emmanuel Macron :
« On a mis un gamin à L’Elysée et on va le payer très cher »
Il ne comprend absolument rien à ce qu’il se passe en France. Ce n’est pas un mauvais homme, il n’est pas bête, mais il n’a absolument pas le sentiment de la France qui permet à un président de la République d’être président de façon légitime.
En janvier, il avait déjà exprimé de vives critiques envers Emmanuel Macron :
« On est vraiment dans la mégalomanie et le narcissisme qui atteignent des proportions hallucinantes ! »
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Samedi 19 janvier : Carl Lang à Castres (81)