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Le Plus d’Eléments n°10 : le laboratoire du populisme, des Gilets Jaunes à l’Italie
Rassemblée autour d’Olivier François, l’équipe du magazine Eléments évoquera le populisme italien, sa rencontre avec le cinéaste Pascal Thomas, les films de Hayao Miyasaki et l’œuvre d’Arthur de Gobineau.
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L’Education Nationale à l’heure de l’Epuration
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Un jeune professeur d’histoire-géographie, remplaçant dans un lycée catholique de Strasbourg, s’est vu notifier au vu de son appartenance au Bastion Social, le non-renouvellement de son contrat. L’enseignement public suit comme un seul homme, au nom de la « déontologie du métier ». Le commencement de la purge ? La rédaction de Nous Sommes Partout a interpellé la Direction Diocésaine de l’enseignement de l’Académie de Strasbourg et attend ses explications.
La purge a commencé et le processus est toujours le même : délation, menaces, épuration. Des parents d’élèves bien-pensants n’ont pas hésité à jouer les corbeaux pour dénoncer l’engagement social et patriote d’un des enseignants d’un lycée catholique de Strasbourg. Aussitôt, la cabale s’est mise en place, bravant sans crainte l’article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme adoptée en 1948 à Paris, article sur la liberté d’opinion (1).
L’enseignant a toujours été bien noté, est parfaitement irréprochable et a naturellement refusé de présenter sa démission lorsque son chef d’établissement le lui a demandé. Il n’a jamais fait état de ses opinions politiques en classe et devant ses élèves et a donc parfaitement respecté la déontologie de la profession, contrairement à la plupart de nombre de collègues gauchisants qui n’hésitent pas dans toute la France à étaler leurs sympathies mélenchonistes ou immigrationnistes en classe sans encourir les foudres de l’Education Nationale.
Le directeur d’établissement a cependant cherché, avec le Rectorat- employeur et complice de la purge- un moyen de se débarrasser du malheureux enseignant, l’accusant ni plus ni moins de délit d’opinion, comme aux heures les plus sombres de notre histoire. La police politique de la Déséducation Nationale a fouillé les cahiers, scruté les cours et interrogé les élèves ! On appelle cela une « enquête interne »… Et naturellement, les enquêteurs se sont particulièrement penchés sur la séquence de cours sur la Shoah car l’accusation d’antisémitisme est de nos jours une véritable accusation d’hérésie et aurait valu au professeur un renvoi immédiat. Pas de chance, l’enseignant est irréprochable sur le sujet et respecte parfaitement les programmes ce qui, avouons-le n’est pas toujours le cas des professeurs pro-palestiniens sur ce sujet sensible. Mais, eux, les « inquisiteurs » ne leur cherchent pas de poux dans la tête. On ne sait jamais, ils pourraient attraper le typhus …
La dictature de la pensée frappe fort : le directeur de l’établissement concerné a, bien entendu et sans états d’âme, dénoncé le malheureux enseignant afin qu’il ne puisse plus jamais être embauché dans l’enseignement privé et la Déséducation Nationale, laïque, républicaine, garante de la liberté d’expression et de la tolérance a déjà décidé de lui fermer ses portes au nom de la « déontologie » alors qu’il n’a commis aucune faute professionnelle ! Encore plus grave … Les accusations sur son physique : « coupe de cheveux, tatouages, marque de vêtement néofasciste (sic) ». Imaginez vous ce genre de remarque pour un professeur ayant des dreadlocks, des vêtements dits ethniques et des tatouages tribaux ? Le port de la djellaba eût été plus respectable ? Gaussons-nous, Gaussons-nous, Gaussons-nous .
En France, l’Epuration a commencé. Les délateurs sont au pouvoir et peuvent ruiner la vie de ceux qui pensent différemment. Quelle sera la prochaine étape ? Le bûcher ?
En 2019, ne pas penser comme la République, c’est désobéir et être voué à la mort sociale et professionnelle.
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Synthèse nationale : une revue et une maison d'éditions au service du combat national
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Éric Drouet et Maxime Nicolle scandalisés par la liste gilets jaunes aux Européennes : « Voter Gilets Jaunes, c’est voter Macron »
Mercredi, Ingrid Levavasseur a annoncé son intention de présenter et de mener une liste issue du mouvement en vue des élections européennes. Mais l’idée d’une liste se revendiquant “gilets jaunes” est loin de faire l’unanimité.
Dans son communiqué partagé sur Facebook, le groupe “La France en colère !!!” a notamment rappelé que le mouvement “n’appartient à personne”. “Chaque décision doit être approuvée par une majorité absolue, pas relative”, est-il écrit. Le document, qui présente Eric Drouet comme “initiateur du mouvement des gilets jaunes”, soutient que dans leur grande majorité, les gilets jaunes ne veulent pas d’une liste qui puissent les représenter aux élections européennes.
Selon un vote mentionné par le communiqué, 98% de 18.000 personnes qui se seraient exprimées sur Facebook auraient d’ailleurs dit “non” à une telle liste. Pour cette frange du mouvement, être candidat aux élections européennes serait contre-productif.
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Nouvelle baisse de la confiance dans les médias
Qui est vraiment étonné ?
Les indicateurs du 32e Baromètre de la confiance dans les médias réalisé par le groupe Kantar pour La Croix sont en berne.
- Les journalistes sont jugés indépendants par seulement un quart des sondés.
- La radio est à 50 % de niveau de confiance, – 6 points sur un an,
- la presse écrite à 44 %, – 8 points,
- la télévision à 38 %, – 10 points
- Internet à 25 %, comme en 2018, c’est-à-dire que ça ne baisse pas.
Selon ce baromètre, « le mouvement des gilets jaunes a eu un effet dévastateur sur la télévision, qui est à son plus bas niveau historique ».
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Le grand débat est tronqué sur l’immigration
FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Finalement, Emmanuel Macron a abordé le thème de l’immigration dans sa lettre aux Français qui introduit le grand débat. Cependant, il ne s’agit pas d’une question ouverte, mais d’une formule interrogative soigneusement rédigée par le gouvernement. La voici : « En matière d’immigration, une fois nos obligations d’asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ? ».Le site Polémia a décortiqué cette question pour dénoncer sa malhonnêteté.
En matière d’asile, accepter nos soi-disant obligations, c’est déjà accepter une voie d’immigration. En outre, les étrangers déboutés continuent le plus souvent de séjourner clandestinement en France.
Par ailleurs, les conventions internationales et la jurisprudence du Conseil constitutionnel empêchent d’appliquer des quotas aux mineurs étrangers ou aux titres de séjour consécutifs au regroupement familial. Quant aux étudiants étrangers, il n’est pas sûr que le gouvernement soit prêt à en réduire significativement le nombre.
Dès lors, seule l’immigration économique serait impactée par les objectifs évoqués par le président de la République. Un nouveau pied de nez aux Français exaspérés par l’immigration !
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MACRON OU L'ORGIE DES ULTRA-RICHES - MONIQUE PINÇON-CHARLOT
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Pour Emmanuel Macron, l’accueil des migrants est inconditionnel !
La semaine dernière, plus de six heures d’entre-soi, entre messieurs et mesdames les maires invités par des préfets aux ordres qui, comme par hasard, ont oublié Robert Ménard et Julien Sanchez, et une phrase passée presque inaperçue concernant l’immigration.
Emmanuel Macron a, en effet, prononcé une phrase qui devrait rester historique, et qui montre, s’il était besoin de preuves, combien il se moque de ce que le peuple a à dire et ce, quoi que ce peuple ait à dire. Il fera comme bon lui semble puisque ce même peuple – réduit, il faut le rappeler, à moins du quart des électeurs – lui a donné les pleins pouvoirs. Cette phrase répondait à une question sur l’immigration du maire de Montauban. Je cite cette phrase : « L’accueil et l’hébergement des migrants sont inconditionnels, c’est un vrai investissement de l’État et il a encore augmenté, c’est environ deux milliards d’euros, mais il faut s’en féliciter ! » Fermez le ban. Il aurait pu rajouter : « Non seulement je vais maintenir le cap, mais je vais ouvrir les vannes, comme me le conseille le pacte de Marrakech que j’ai signé avec énergie. »
Il faudrait analyser chacun des mots de cette déclaration pour bien comprendre l’idéologie qui anime le personnage. Par exemple, l’adjectif « inconditionnel ». La définition en est « qui n’est soumis à aucune condition », c’est-à-dire total et sans réserve. La traduction de cet adjectif est que toute personne arrivant en France en totale illégalité est non seulement la bienvenue mais elle y sera choyée, hébergée, payée, soignée sans aucune contrepartie. Et Macron de se réjouir et de se féliciter inconditionnellement que l’investissement migratoire a encore augmenté jusqu’à environ deux petits milliards d’euros.
L’opposition avait, jusqu’alors, avancé que le coût de cette immigration clandestine était d’un gros milliard ; et bien le chef de l’État vient de révéler qu’il n’en était rien, qu’elle nous coûtait le double et que, en vérité, cela ne ferait qu’augmenter puisqu’il s’agissait d’un bon investissement. En quoi ? On peut se poser la question ?
Notre Président reste persuadé que l’intégration est un défi. C’est pourtant, depuis des années, un échec dû à des injustices et à du ressentiment. Vous noterez que, dans sa lettre, il ne parle pas d’assimilation mais d’intégration. Cette nouvelle déclaration du Président devant une assemblée de maires, parmi laquelle certains ont osé huer le courageux maire de Montauban, est une vraie provocation au regard de ce que l’immigration représente.
Il suffit de parcourir l’épais livre que Laurent Obertone a consacré à l’immigration pour avoir le cafard de réaliser ce qui attend nos enfants et petits-enfants. Nous aimerions que la lecture de La France interdite, la vérité sur l’immigration (https://www.amazon.fr/France-Interdite-Laurent-Obertone/dp/B07C5K541N) serve à nos gouvernants pour qu’ils comprennent le danger de leur politique immigrationniste. Voici ce que M. Macron y aurait appris : aujourd’hui, cent mille natifs sont remplacés par 150.000 « divers ». En 2040, quatre Français sur dix seront issus de la diversité, qui sera majoritaire en 2060. Autrement dit demain.
Pourtant, M. Macron, comme ses prédécesseurs, hélas, nous entraîne dans cette perspective peu réjouissante pour notre culture, notre civilisation que, du reste, Emmanuel Macron n’évoque pas dans sa lettre, guide-âne du débat. Alors, oser parler d’investissement pour la France en encourageant l’immigration est un propos indigne d’un Président qui s’est vu confier les clefs de la maison France.
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UN MOUVEMENT QUI REFUSE DE MOURIR
Les tous derniers événements confirment la perte de légitimité du pouvoir actuel.
À peine Macron a-t-il annoncé, dans son discours de fin d’année, l’ouverture d’un « grand débat national » cadré par une Lettre aux Français à paraître au milieu de ce mois, que le collectif des Gilets jaunes, La France en colère, lui écrit une lettre ouverte, datée du 3 janvier, destinée à expliquer que non seulement son propos ne les a en rien convaincus, mais qu’ils restent plus que jamais déterminés à poursuivre leur action, persuadés qu’ils sont de sa légitimité, nonobstant les sondages. Ce fléchissement, d’ailleurs, quoique important, est relatif, puisque les Gilets jaunes peuvent encore compter sur 55% d’approbations, selon un sondage tout récent (4 janvier) d’Odoxa Dentsu consulting. Sous la plume de Priscilla Ludovsky, Éric Drouet et Maxime Nicolle, le collectif accuse le pouvoir de chercher à endormir les Français, et affirme sa résolution de relancer le mouvement, prévoyant la possible transformation en « haine » de la « colère » populaire, au cas où le président persisterait à ignorer leurs revendications. Et de relancer, dans la foulée, l’exigence de la tenue du fameux référendum d’initiative citoyenne, dont nous avons dit, plus haut, ce que nous en pensions.
Qualifiant de « mesurettes » les concessions annoncées le 11 décembre (hausse du SMIC, défiscalisation des heures supplémentaires, baisse de la CSG pour les retraités percevant une pension inférieure à 2 000 euros mensuels, annulation des hausses des carburants… en 2019), les Gilets demandent « une baisse significative de toutes les taxes et impôts sur les produits de première nécessité », ce qui exprime leur détresse et leur révolte face à une situation matérielle qui ne cesse d’empirer, et « une baisse significative de toutes les rentes, salaires, privilèges, et retraites courantes et futures des élus et hauts fonctionnaires d’État », ce qui traduit une exaspération face aux faveurs dont jouit la nomenklatura qui nous dirige. Ces avantages sont perçus comme une inégalité de condition jugée non seulement injuste, mais profondément humiliante à l’égard de la masse de nos compatriotes. Le ton de la lettre ouverte est particulièrement virulent, les Gilets jaunes taxant de « piège » la consultation nationale prévue, dénonçant la répression exercée à leur encontre, stigmatisant le mépris du président à l’égard du peuple, et exprimant leur rejet total des dirigeants actuels en exigeant l’intervention, dans les discussions, d’une personnalité non politique et exempte de tout soupçon au plan judiciaire et financier.
Le mouvement s’essouffle peut-être, mais apparemment, la braise continue à couver sous la cendre, et il n’est pas impossible qu’elle provoque un incendie.