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  • Entretien avec Loup Mautin (forum Terres de France): “Agriculture : promouvons le localisme !”

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    Loup Mautin est père de famille et agriculteur dans le Perche. Il exerce son activité dans les domaines de la polyculture et de l’élevage depuis 22 ans. Au sein du Rassemblement national, il a lancé le forum Terres de France en novembre 2018. Le journal Présent l’a rencontré à l’occasion du 56e Salon International de l’Agriculture qui a fermé ses portes ce dimanche.

    — Que vous inspire cette vitrine du monde agricole qu’est le Salon de l’agriculture ?

    — Comme toujours, ce salon est une réussite. La grande vitrine des campagnes de France s’offre au monde entier comme un instrument diplomatique et commercial de premier plan. C’est le salon de l’excellence française et quelque part aussi celui de la fierté française, de la fierté de nos productions et de nos terroirs. Ce sont les produits de siècles de labeur dont les façons ont produit les fruits les plus savoureux.

    — Pourtant le monde agricole souffre et la réalité est parfois difficile ?

    — La vitrine est un peu trop belle quand on connaît la vraie vie des campagnes, quand on côtoie la misère du bout des chemins ou que l’on partage le quotidien du fin fond du bocage. C’est pourtant une bonne chose qu’une fois par an, la plus grande ferme de France se mette sur son 31 pour montrer le meilleur d’elle-même parce qu’elle sait que les Français l’attendent, que le monde entier la regarde. Il n’y a jamais eu un tel attachement pour le monde agricole. Les citadins sont fiers de leurs terroirs et de leurs paysans. Et c’est bien là le paradoxe car dans l’arrière-boutique, la réalité est très différente.

    La dérégulation en cours actuellement favorise les ambitions affichées des Etats-Unis, du Brésil et de la Chine qui ont la capacité de pratiquer des prix issus d’un dumping social ou environnemental sur lequel il est impossible de nous aligner. C’est la raison pour laquelle notre agriculture est grandement fragilisée, y compris vis-à-vis de certains pays au sein même de l’UE en raison de l’absence d’harmonisation fiscale et sociale, et de charges salariales plus élevées en France. De plus, le démantèlement de la Politique Agricole Commune en cours actuellement, a largement fragilisé la position des agriculteurs français et européens par une exposition plus forte à la volatilité des prix.

    En conséquence de quoi, le monde rural souffre et nos agriculteurs n’arrivent plus à vivre de leur travail. Personne n’ignore le drame des suicides (un tous les deux jours en France) et la misère des revenus toutes filières confondues. Nous avons le sentiment d’être la variable d’ajustement de choix politiques dont le pouvoir n’a plus les moyens.

    — Cette réalité de la mondialisation, comment se manifeste-t-elle dans votre profession ?

    — Les défis des prochaines années sont colossaux. En 2050, il y aura 10 milliards de bouches à nourrir et notre agriculture est grisonnante. Certains l’ont bien compris, ce qui attise d’ores et déjà les convoitises. Un immense mouvement de financiarisation du foncier est à l’œuvre : 40% de nos terres agricoles sont détenues par le biais de sociétés par actions, contre 10% il y a seulement une dizaine d’années. Les Chinois (20% de la population mondiale pour 10% des terres arables) s’intéressent de plus en plus à nos exploitations agricoles. Des milliers d’hectares leur ont été vendus. L’envol du prix des terres rend de plus en plus difficile l’installation des jeunes agriculteurs qui ne peuvent soutenir la concurrence. Dans ce domaine, un protectionnisme ciblé est vital. L’alimentation est trop stratégique pour répondre aux règles classiques du libre-échange. C’est notre souveraineté et notre sécurité alimentaires qui sont en jeu.

    D’autre part, d’ici dix ans, la moitié des agriculteurs cesseront leur activité et un exploitant sur deux ne sera pas remplacé. Qu’allons-nous transmettre ? Que deviendra le modèle d’agriculture familial français qui a façonné le monde rural ? Nos savoir-faire ? Nos traditions ? Ce patrimoine a besoin d’être protégé.

    — Mais l’agriculture française possède déjà de nombreuses marques et appellations reconnues ?

    — Nos produits sont d’une qualité exceptionnelle. Malheureusement, les produits importés en vertu des accords de libre-échange signés avec la terre entière par l’UE inondent nos marchés et font chuter les cours. De surcroît, nos concurrents ne respectent pas les normes sanitaires et environnementales que nous nous imposons. C’est une distorsion de concurrence déloyale très préjudiciable aux producteurs que nous sommes et c’est un danger pour le consommateur dont la sécurité alimentaire peut être menacée.

    — Comment notre modèle agricole pourrait survivre dans ces conditions ?

    — Si rien n’est fait, ce modèle mourra et le productivisme produira son œuvre de destruction et de déracinement. Il faudrait réduire le déséquilibre entre un amont atomisé, avec des centaines de milliers d’agriculteurs, des dizaines de milliers de PME de l’agro-alimentaire, et un aval extrêmement concentré, avec cinq centrales d’achats qui tiennent la distribution. Ce rapport de force doit être corrigé. Il faudrait pouvoir revenir à des choses simples qui étaient saines. Le plus simple doit être de faire ses courses chez les commerçants de proximité, de son village. Le plus simple, ce doit être de pouvoir habiter où l’on a ses racines, sa famille, ses engagements de vie. C’est la clé de la revitalisation de nos territoires ruraux. Le localisme est la réponse appropriée au nomadisme forcé induit par les règles européennes de libre circulation et de libre-échange. 

    — Que propose le RN sur ces sujets dans son programme pour les européennes ?

    — Il faut avant tout extraire l’agriculture des traités de libre-échange qui mettent en péril notre sécurité alimentaire, sanitaire et menacent notre modèle agricole. Nous préconisons l’exception agri-culturelle. Le RN souhaite mettre en place un patriotisme économique qui privilégiera la consommation de nos propres produits dans la commande publique. La consommation locale doit devenir la norme et l’importation, l’exception. La traçabilité doit être améliorée afin que chaque Français sache ce qu’il consomme réellement dans son assiette.

    Le localisme doit permettre de restructurer nos filières et d’assurer la sécurité alimentaire de nos compatriotes tout en préservant l’environnement dont la circulation anarchique des biens et des personnes est devenue le principal destructeur. Enfin, mettre en place les conditions fiscales et législatives qui faciliteront la reprise et l’installation des jeunes générations d’agriculteurs.

    — Peut-on envisager une France sans paysans ?

    — Le monde rural est l’âme de notre pays. Il l’a façonné. Nous y avons tous des racines et nous en vivons quotidiennement, que nous le voulions ou non. La défense de l’agriculture et du monde rural devrait être le socle du redressement de notre pays. C’est la raison pour laquelle la politique agricole a absolument besoin d’être sanctuarisée et préservée.

    Notre métier ne devrait pas être considéré uniquement sous l’angle économique. Paysan, c’est bien plus que cela. C’est une passion et la vérité, c’est qu’il faut de l’amour pour élever des veaux ou faire pousser des betteraves. Le monde agricole est dur au mal et nous sommes plutôt des taiseux. Nous partageons dans la discrétion l’effort du quotidien, le rythme des saisons et des aléas climatiques. Notre emploi du temps est tout fait. C’est le travail qui commande, le temps qui décide et en fin de compte, la nature qui l’emporte toujours. Il en est bien ainsi… préservons-le pour les générations futures et le bien de tous !

    Propos recueillis par Hélène Rochefort

    Article paru dans Présent daté du 4 mars 2019

    https://fr.novopress.info/213803/entretien-avec-loup-mautin-forum-terres-de-france-agriculture-promouvons-le-localisme/

  • Le retour des djihadistes

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    Ils sont partis en Syrie faire ce qu’ils appelaient le Djihad. 
    C’est quoi le djihad ? 
    C’est une lutte impitoyable contre la démocratie, contre la liberté en général et contre celle des femmes en particulier. 
    Mais aussi contre les apostats, contre les homosexuels, pour la soumission des chrétiens et leur conversion forcée, contre les athées et les agnostiques qu’ils appellent des mécréants et n’ayant même pas le droit de vivre. 
    Finalement presque contre tout ce qui fait notre civilisation.
    Avant de partir en Syrie, ils connaissaient parfaitement les méthodes barbares et ce mot ne suffit pas à décrire la monstruosité dans le raffinement sadique de ces fanatiques. 
    Par le biais d’internet et des sites islamistes ils prenaient régulièrement conscience de ces horreurs. Plus ils en envoyaient, plus ils en redemandaient, au point d’en faire de la propagande et de recruter de nouveaux adeptes. 
    La France, ils la méprisaient de bon cœur, ils la détestaient et voulaient sa perte. 
    Les attentats les réjouissaient ; à Nice, au Bataclan, à Strasbourg. 
    Comment faire pour en préparer d’autres encore plus terribles ? 
    La bas en Syrie l’occasion se présentera pour eux de tuer des Kouffars et quand on reviendra on sera des combattants affirmés prêts à faire la guerre sainte dans cette France qui doit devenir musulmane ou être exterminée.
    Maintenant Daesh s’écroule mais n’a rien perdu de sa nocivité. 
    Mais un problème se pose. 
    Ces combattants du diable doivent ils rester place ou entrer sur notre territoire pour y être jugés ? Pour Castaner « ils sont français et doivent être jugés en France » 
    Non Monsieur Castaner, ils ne sont plus français, pour la raison majeure qu’ils ont brûlé leurs papiers d’identité en partant. 
    Pour Nicole Belloubet, ils ont droit à un procès équitable et « nous veillerons à ce que les droits de la défense soient assurés » . 
    Mais un procès équitable Madame, alors que « comme vous le dites » notre pays n’accepte pas la peine capitale signifie qu’un jour ils sortiront de prison dans 10 ans 15 ans avec les remises de peine et que le problème de leur dangerosité se posera à nouveau. 
    Mais restons encore, je crois dans la culture de l’excuse. 
    On connait le refrain « Les délinquants sont victimes de la Société »
    Propos faussement chrétiens, assaisonnés à la sauce bisounours. 
    Ces criminels là ne sont plus des délinquants ordinaires mais des hommes et des femmes transformés en bêtes féroces . 
    N’oublions pas que cette idéologie mortifère prospère sur la faiblesse de nos démocraties. 
    Nous sommes en guerre et l’on ne peut répondre à la guerre qu’à travers des lois correspondantes.
    Je pense qu’ils et elles doivent s’acquitter de leurs actes auprès des autorités judiciaires syriennes ou Irakiennes. 
    La peine capitale ne devrait pas leur faire peur puisqu’ils voulaient mourir en martyrs . 
    Il n’est pas inhumain de leur donner satisfaction.
    La raison devrait dans ce cas-là triompher de la passion et de l’idée de vengeance.
    Onyx

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/03/le-retour-des-djihadistes.html#more

  • Voile islamique en entreprise : la complaisance d’Emmanuel Macron

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    Soyons clair : petit 1, Emmanuel Macron ne l’est pas sur la question du voile islamique ; petit 2, il est en campagne électorale. Et en campagne, toute voix est bonne à prendre. 
    Jeudi soir, à Pessac (Gironde), le grand débat national avait pris des couleurs de soirée privée : pour participer, il fallait être une femme (voilée ou pas), président de la République ou garde du corps.
    Ça doit être ce qu’on appelle une société inclusive. Pour ça, peut-être aussi que la salle était tellement peu remplie que les caméras n’ont même pas pu le cacher aux téléspectateurs.
    Alors, nous avons eu droit à la scène touchante de cette dame voilée qui a dénoncé la discrimination dont elle serait victime. Là, Marlène Schiappa frémit et tend l’oreille : on est au cœur de son sujet, vu que le Président, au dernier remaniement, lui a refilé en sus le dossier des discriminations. « Je ne trouve pas de travail car le gouvernement a fait une circulaire pour m’interdire de travailler, tout simplement, parce que je porte un foulard », explique la dame voilée. On notera la manière quelque peu biaisée de présenter le « dossier » : c’est ce qu’on doit appeler l’accroche. À l’écouter un peu vite, cette femme serait victime d’une mesure individuelle. Elle précise, néanmoins son cas : « J’ai fait le choix de mettre un foulard, donc je n’ai pas le droit de travailler dans l’administration. » Eh oui, car les agents publics qui travaillent au service et au contact des usagers sont soumis à une obligation de neutralité. Voici ce que dit la loi du 13 juillet 1983, modifiée par celle du 20 avril 2016 : le fonctionnaire « dans l’exercice de ses fonctions est tenu à l’obligation de neutralité. Le fonctionnaire exerce ses fonctions dans le respect du principe de laïcité. À ce titre, il s’abstient notamment de manifester, dans l’exercice de ses fonctions, ses opinions religieuses. » Sauf à changer la loi, la messe est dite, oserions-nous dire à cette dame. Ce que, objectivement, Emmanuel a rappelé très clairement.
    Mais c’est après que cela s’est gâté. La dame voilée d’ajouter : « Cette interdiction est arrivée aussi dans les entreprises, toutes les entreprises. On n’a plus le droit de travailler parce qu’on a un foulard. Donc, on nous empêche de travailler, du coup, on fait de nous des assistés… On nous rejette de la société, on nous exclut… » Et là, Emmanuel Macron, très sûr de lui, est parti, bille en tête, sur la grand-route des approximations. D’aucuns ont même parlé de « fake news » ! « La loi, il n’y a aucune loi qui prévoit que, dans une entreprise, on n’a pas le droit d’être embauché parce qu’on a un signe de religion… Je veux tout simplement, ici, rétablir la vérité. »
    Sauf que la vérité, ce n’est pas tout à fait cela. La loi Travail, dite El Khomri, de 2016 qui fut discutée, votée, promulguée alors qu’Emmanuel Macron était encore ministre de l’Économie (mais il avait, sans doute, déjà la tête ailleurs…) reconnaît aux entreprises le droit de restreindre « la manifestation des convictions des salariés » à travers une clause de neutralité dans le règlement intérieur. La loi offre donc une certaine liberté en ce domaine aux entreprises : ce qui devrait pourtant plaire à Emmanuel Macron ! Du reste, la Cour de cassation, en novembre 2017, avait rendu une décision qui permet à un employeur de licencier un employé pour port du voile, sous certaines conditions, notamment que le règlement intérieur prévoie la « clause de neutralité ».
    Emmanuel Macron est en campagne, disions-nous. Le 5 février 2017, dans un discours, il évoquait une rencontre faite à la gare :  » …une jeune femme est venue me voir en me disant “Moi, on m’empêche de travailler avec le voile”. Ce ne sont pas les règles de la République. Et accepter qu’elle perde un peu de cette liberté, c’est accepter que nous perdions de la nôtre. » C’était à Lyon, premier grand discours de campagne. Déjà en campagne, déjà approximatif, déjà très compréhensif, aussi, envers le port du voile…
    Georges Michel pour bvoltaire.fr
  • Jean Messiha : «Le Parti populaire européen n’a pas intérêt politiquement à se séparer de Viktor Orban»

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    Jean Messiha, délégué national aux études du Rassemblement national, était l’invité de RT France.

    Il est notamment intervenu au sujet de la potentielle exclusion du Premier ministre hongrois Viktor Orban du Parti populaire européen (PPE).

    https://fr.novopress.info/213794/jean-messiha-le-parti-populaire-europeen-na-pas-interet-politiquement-a-se-separer-de-viktor-orban/

  • Macron : la bulle médiatique repart pour les européennes – Journal du lundi 4 mars 2019

     

    Macron : la bulle médiatique repart pour les européennes

    A moins de trois mois des élections européennes, Emmanuel Macron a donné le départ de la campagne. A coup de tribunes dans la presse des 28 pays de l’UE, le président français compte sur ses appuis médiatiques pour redorer son blason sur la scène nationale.

    Bouteflika : Un mandat pour rien ?

    La candidature d’Abdelaziz Bouteflika a bien été déposée. Le président algérien, malade et grabataire a assuré vouloir briguer un cinquième mandat afin d’organiser une transition pacifique dans le pays.

    Gilets Jaunes : les manifs se suivent et se ressemblent

    Les Gilets Jaunes poursuivent les grandes manoeuvres. Avec un Acte XVI à l’image des précédents rassemblements, le mouvement commence peu à peu à perdre de l’espoir et pourrait se retrouver noyé dans les européennes.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/macron-la-bulle-mediatique-repart-pour-les-europeennes-journal-du-lundi-4-mars-2019

  • Si Bellamy peut faire fuir quelques gauchistes de LR, ce sera cela de pris

    Si Bellamy peut faire fuir quelques gauchistes de LR, ce sera cela de pris

    Alors qu’il est toujours officiellement membre de LR, l’ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin envisage d’apporter son soutien à la liste soutenue par Emmanuel Macron lors des élections Européennes.

    Aussi Laurent Wauquiez aurait adressé un courrier à Jean-Pierre Raffarin pour qu’il s’explique devant le bureau politique de LR organisé le 12 mars :

    « Notre bureau politique […] mérite d’entendre vos suggestions et de connaître directement votre position sur la campagne des élections européennes. Je ne doute pas que vous partagiez cette exigence d’une explication claire devant la première instance de notre mouvement. Nous la devons à tous les soutiens fidèles de notre famille et à tous ces Français auxquels nous voulons redonner goût à la politique ».

    « Jusqu’à présent, hormis dans vos interventions médiatiques, vous n’avez pas souhaité exprimer votre analyse au sein des instances de notre mouvement ou contribuer à l’élaboration de notre projet européen, malgré toutes nos invitations à participer à nos travaux ».

    https://www.lesalonbeige.fr/si-bellamy-peut-faire-fuir-quelques-gauchistes-de-lr-ce-sera-cela-de-pris/

  • Débat Alain Minc - Alain de Benoist

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    Pour télécharger, cliquez ICI

  • JEUDI 7 MARS, SUR RADIO LIBERTÉS : ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR LA LÉGION ÉTRANGÈRE AVEC PHILIPPE DE PARSEVAL

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