Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 13

  • Éric Zemmour : « Quand le brasier de Notre-Dame enflamme les mémoires »

    3088907669.jpg

    L’incendie de Notre-Dame a bouleversé les Français comme les étrangers - Photo Starface   

    En introduction à ce très bel article Le Figaro écrit : Face à Notre-Dame de Paris en flammes, toutes les querelles sur « les racines chrétiennes de la France » sont vaines et ridicules. (Figaro Magazine du 19.04).

    « ceux qui ne pleuraient pas sur la flèche en flammes n’étaient pas français. » 

    « Qu’il aille ou non à l’église, le Français a les Évangiles dans le sang. » En contemplant le spectacle dantesque de la cathédrale Notre-Dame de Paris en flammes, cette formule d’André Suarès prenait soudain tout son sens.

    C’était la France qui brûlait devant nos yeux incrédules et bouleversés. Notre histoire millénaire, notre « fille aînée de l’Eglise », des générations d’ouvriers français qui avaient mis des siècles à édifier cette œuvre d’art, tous nos rois qui défilaient en humbles pénitents, et notre Empereur qui s’y faisait sacrer ; et nos républiques qui venaient y quérir le secours de la Providence pour nos armées. Soudain, toutes les querelles sur «les racines chrétiennes de la France» devenaient vaines et ridicules. Si évidentes que tout argument paraissait superflu. Pour les étrangers qui se lamentaient, c’était une réalité qui ne se discutait pas. Pour paraphraser la formule de Marc Bloch, qui expliquait que ceux qui ne vibraient ni au sacre de Reims ni à la fête de la Fédération ne comprendraient jamais l’histoire de France, on pouvait dire que ceux qui ne pleuraient pas sur la flèche en flammes n’étaient pas français.

    La plupart l’ont compris. Pourtant, certains essayaient de biaiser, à l’instar de Jean-Luc Mélenchon qui, avec son habituel talent de rhéteur, emportait la cathédrale loin de sa foi catholique pour insister sur le rationalisme de ses ingénieurs qui, par le génie des calculs mathématiques, s’arrachaient à la tutelle de la superstition. Faire de la cathédrale le symbole de la lutte des hommes contre l’opium du peuple, il fallait le faire! Mélenchon l’a fait, en occultant soigneusement les ravages causés par la piétaille révolutionnaire ; en ne comprenant pas surtout, ou en faisant mine de ne pas comprendre, que ce style gothique, qui monte fièrement vers le ciel, incarne justement la quintessence de la synthèse chrétienne du Moyen Âge, qui met la raison au service de la foi, pendant que, de l’autre côté de la Méditerranée, à la même époque, on refusait que la raison vînt interférer dans la foi. Les deux civilisations s’éloignaient irrémédiablement l’une de l’autre.

    Sur les réseaux sociaux justement, des musulmans exultaient sans pudeur, en appelaient à la vengeance d’Allah sur ces infidèles qui, quelques jours plus tôt, s’étaient, paraît-il, moqués de La Mecque. Il faut préciser que certains de leurs coreligionnaires les sommaient de se taire. L’Union des mosquées de France appelait les musulmans à prier pour la cathédrale. Cette ambiance tendue nous rappelait que l’incendie de Notre-Dame n’était pas le premier, mais l’apothéose d’une succession de saccages d’églises intervenus depuis des mois et qui ne scandalisaient personne. Un Pakistanais était arrêté et condamné pour des destructions d’objets sacrés de la cathédrale Saint-Denis ; la police suivait une piste criminelle après l’incendie de Saint-Sulpice ; la justice condamnait une djihadiste, Inès Madani, qui avait tenté de mettre le feu à une voiture remplie d’explosifs devant la cathédrale Notre-Dame de Paris. C’était en 2016. Déjà.   

    Les-pompiers-annoncent-que-la-structure-de-Notre-Dame-de-Paris-est-sauvee.jpg

    Éric Zemmour

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Deux millions de migrants pourraient avoir reçu des cartes bancaires de l’UE

    Près de deux millions de migrants illégaux en route vers l’Europe pourraient avoir reçu jusqu’à présent des cartes bancaires de l’UE, d'une manière totalement anonyme, distribuées par le HCR.
    Ceci est très dangereux, car des projets d’attentats de grande envergure pourraient être financés par ce biais, sans parler du fait que les contribuables européens financent eux-mêmes l’invasion de leur continent et soutiennent sans le vouloir les graves conséquences qui en découleraient.
    Sources en hongrois : Nation Hongroise via 888.hu
    Rappels :
    Comment un terroriste syrien a reçu de l’argent de Bruxelles
    Ministre hongrois des affaires étrangères : « Il est inacceptable que l’on distribue ainsi aux migrants des cartes de crédit anonymes »
    L’Union européenne attire les immigrants avec une carte de crédit prépayée
    France : la carte de retrait que vous n’aurez jamais : la carte ADA (Allocation pour Demandeur d’Asile) réservée aux migrants, permettant de retirer de l’argent tous les mois [vidéo]
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/04/deux-millions-de-migrants-pourraient.html

  • La pédophilie..., une “orientation sexuelle” ? Nous y voilà !

    Cardinal_Joseph_Tobin_810_500_75_s_c1.jpg

    Le cardinal Joseph Tobin, archevêque de Newark, Etats-Unis, aimerait bien que l'on  modifie le Catéchisme de l'Eglise catholique. En qualifiant l'attraction homosexuelle d’« intrinsèquement désordonnée », a-t-il déclaré lors d'une interview sur une chaîne nationale, l’Eglise se rend coupable d’une formulation « très malencontreuse », et il espère qu'elle saura tenir à l'avenir un discours moins « blessant », quels que soient les résultats de sa réflexion sur les relations homosexuelles en elle-mêmes.

    Sans doute le cardinal « gay-friendly » ne pensait-il point justifier ainsi la pédophilie.
    Mais les mots ont un sens et les concepts des prolongements logiques.
    Rien ne l'illustre mieux que cette autre information, rapportée par l’excellent Newman Report sur les aberrations pédagogiques aux Etats-Unis, aussi présentes outre-Atlantique qu'en France.
    Les responsables gouvernementaux des écoles publiques en Californie estiment « vraiment important » d'apprendre aux collégiens ce que sont la pédophilie et la pédérastie parce qu’il s'agit d'une « orientation sexuelle ». C'est ce qu'a reconnu une responsable du district scolaire de Brea Olinda, sur interpellation de parents indignés. Et pas question de mettre un terme à cet enseignement dans les classes, a-t-elle ajouté.
    C’est donc en classe de troisième (le « 9th grade américain ») que les élèves des écoles publiques seront amenés à découvrir les relations sexuelles entre adultes et adolescents comme une possibilité culturelle. «  Nous faisons cela parce que il est question ici de perspectives historiques ; ne savoir comment les relations entre genres et des différents types d'orientation sexuelle ont existé au cours de l’histoire », a déclaré la vice-surveillante des programmes, Kerrie Torres.
    C'était au cours d'une réunion avec les parents d'élèves et on comprend que cet aveu ait provoqué des réactions indignées. Une mère d’élève a aussitôt demandé : « Alors des relations sexuelles entre un homme et un garçon, c'est une orientation sexuelle ? »
    Réponse de Torres, qui s'est bien gardé de démentir : « C'est une chose qui  s'est produite au cours de l'histoire, et donc, c'est très important pour nous de l'inclure dans les programmes. »
    Des programmes américains par ailleurs formidablement indigents en ce qui concerne d'autres faits historiques, comme par exemple « la naissance, la vie, la mort et la résurrection de Jésus-Christ ou le texte complet du traité du Mayflower », ironise Alex Newman.
    L'orientation sexuelle est aujourd’hui de plus en plus protégée par des déclarations de droits et autres chartes de non-discrimination. L’enseignement en Californie prépare objectivement le chemin à une reconnaissance de la pédophilie comme une « orientation sexuelle » parmi d'autres, ce qui devrait interdire en toute logique de qualifier les pulsions sexuelles à l'égard des enfants ou des adolescents comme intrinsèquement désordonnées.
    C'est exactement de cette manière que l'on protège « l'orientation sexuelle » constituée par des pulsions sexuelles vis-à-vis de personnes du même sexe. Le simple fait de les considérer « désordonnées » est déjà « blessant », n'est-ce pas, Votre Eminence, Joseph cardinal Tobin ?
    En fait, c'est la notion de consentement qui s'est substituée à celle de moralité, pour ce qui est des actes, et l'idée d’une inclination naturelle en elle-même moralement neutre qui remplace l’existence de désirs non conformes à la nature de l’homme.
    Cette logique de la neutralité morale de l'attirance homosexuelle s’applique déjà dans des écoles américaines à la neutralité morale de l'attirance pédophile, ou plus exactement à l'attirance éphébophile éprouvée par certains homosexuels. En s'interdisant tout jugement de valeur sur l'attirance homosexuelle, on ouvre la porte à une appréciation analogue d'autres attirances, dès lors que le critère de référence se réduit à la possibilité du libre consentement.
  • Paris samedi 11 mai 2019 • Colloque : Vers la désunion européenne ?

    4220302385.jpg

    Thème

    La montée des populismes, formule préférée des éditorialistes en mal d'analyses subtiles, cache des réalités très différentes mais qui convergent. Les Européens veulent moins d'Union européenne et plus de nations européennes. Moins de discours moralisants, plus d'actions efficaces. Moins de sentiments, plus de puissance. Moins de proclamations, plus de preuves. L'influence de la Chine, les relations avec les États-Unis, la question de l'immigration, la politique de l'Allemagne, autant de sujets où l'Union européenne, balbutie, se montre incapable de décider, fait la preuve de son impuissance et donc de son incompétence.

    Peut-elle se contenter de détester les expressions populaires, de disqualifier les gouvernements illibéraux, de traiter tous ses opposants comme la France traite ses Gilets jaunes ? Et ne pourrait-elle pas courir le risque du concert des nations européennes plutôt que de courir le risque de la désunion ?

    Programme

    Détails à venir.

    Infos pratiques

    Samedi 11 mai 2019 à partir de 14 heures
    Espace Charenton : 327, rue de Charenton 75012 Paris

    Tarifs

    Pour assister au colloque :

     adhérents : 10 euros

     non adhérents : 12 euros

    Pour assister au colloque et au banquet qui suivra :

     adhérents : 25 euros

     non adhérents : 30 euros

    Pour vous associer au développement de la Restauration nationale, vous pouvez choisir le tarif « soutien » : il vous donne la possibilité de déterminer vous-même le montant de votre participation.

    56931967_2237025966352026_972058052360404992_n (1).png

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Grand remplacement : on peut évaluer à 20 %, la part de la population qui n’est pas originaire de France ou d’Europe

    Grand remplacement : on peut évaluer à 20 %, la part de la population qui n’est pas originaire de France ou d’Europe

    Excellente synthèse de Jean-Yves Le Gallou sur la réalité du grand remplacement :

    I – « Le grand remplacement n’existe pas »

    Pour discréditer ceux qui affirment l’existence du grand remplacement, les médias utilisent, là encore des arguments contradictoires puisqu’ils soutiennent d’une part que la France a toujours été une terre d’immigration mais, d’autre part, que la structure de la population n’a pas fondamentalement changé.

    « La France a toujours été une terre d’immigration »

    Comme il ressort de la monumentale étude[1] dirigée par Dupâquier[2], c’est une contre-vérité. En réalité, pendant 5 000 ans, la population française issue d’un peuplement indo-européen a très peu varié : quelques pourcents en quelques siècles. L’essentiel des mouvements migratoires s’est fait à l’intérieur du continent européen, y compris ce que l’on a nommé « les grandes invasions ». Il est vrai qu’à la fin du XIX° et au début du XX° la France a connu des phénomènes d’immigration mais il s’agissait pour l’essentiel de populations catholiques venues de Pologne, d’Italie, d’Espagne ou du Portugal. Cela est resté vrai jusqu’aux années 1960.

    « La population immigrée est stable »

    Même à s’en tenir aux statistiques officielles, c’est faux. En 1911, la population étrangère représentait 3 %, aujourd’hui 5 à 6 %. Cette évolution pourrait sembler minime mais, en réalité, ce chiffre – dont les immigrationnistes se plaisent à souligner la constance au cours des dernières décennies – dissimule une réalité bien différente. A chaque fois qu’arrivent sur le sol français 100 ou 150 000 étrangers, autant sont naturalisés.

    Dès lors, si la réalité administrative ne change pas (la proportion d’étrangers) il est une autre réalité qui change considérablement : la réalité culturelle, politique, sentimentale, civilisationnelle. Aujourd’hui le terme « Français » a perdu beaucoup de son contenu, car on peut avoir la nationalité française sans avoir le moindre attachement à la France, en tous cas en ne participant guère à sa civilisation.

    On peut évaluer à 20 %, la part de la population qui n’est pas originaire de France ou d’Europe. Chiffre que plusieurs sources viennent confirmer. Ainsi, le CSA a reproché aux médias de ne faire apparaître dans les émissions de télévision « la diversité » que pour 18,5%, preuve qu’il considère qu’en réalité son poids démographique est bien supérieur ! De même l’INED et l’INSEE chiffrent à 19,5 % les étrangers et descendants d’étrangers. Certes, ces chiffres prennent en compte les descendants d’européens parfaitement assimilés et donc ce chiffre devrait, dans une certaine mesure, être revu à la baisse. En fait, pour l’essentiel, c’est à la hausse qu’il doit être revu ! D’abord parce que l’étude en question remonte à la période 2008-2011 et que depuis la situation s’est aggravée. Ensuite parce que la population d’origine extra européenne est mal connue. Un rapport parlementaire admet qu’à 30 % près, on ne connaît pas la population de Seine-Saint-Denis ! Enfin parce que cette étude ne prend en compte que trois générations : les parents, les enfants et les petits enfants d’immigrés, supposant qu’après l’assimilation est complète. Cela était assurément vrai dans le contexte d’une immigration européenne, cela l’est beaucoup moins s’agissant d’une immigration extra-européenne.

    On prétend également que les entrées sont stables alors qu’en 2008 on a recensé 210 000 entrées et en 2018 410 000[3]entrées soit près du double !

    Ce chiffre de 20 % que j’évoquais plus haut est également corroboré par Jérôme Fourquet dans son dernier livre au titre d’ailleurs très révélateur : L’Archipel français – Naissance d’une nation multiple et divisée[4]Le directeur du département Opinion et Stratégies d’Entreprise de l’institut de sondages IFOP constate que 18,5 % des nouveau-nés de sexe masculin ont un prénom musulman. Ce chiffre, il faut le souligner, ne tient pas compte des prénoms ambigus et ne donne une idée que de l’immigration musulmane et non pas extra-européenne dans son ensemble, tant il est vrai que celle-ci n’est pas exclusivement musulmane.

    Autre indicateur : le test de la drépanocytose intéressant parce qu’il est effectué à la naissance et qu’il s’agit d’une maladie concernant essentiellement les extra-européens. Ce chiffre assurément est à prendre avec prudence car nos compatriotes antillais et une petite minorité de nouveau-nés européens peuvent être concernés, mais à l’inverse les Chinois par exemple ne le sont pas. Ce qu’il faut retenir, c’est que ce test qui était positif pour 20 % des nouveau-nés en 2001 en concerne 38 % en 2017.

    Toutefois les chiffres de la démographie, assurément très révélateurs, sont loin de dire toute la réalité du grand remplacement. Ce n’est pas seulement une partie de la population qui change, c’est notre civilisation : la part croissante du ramadan dans la société, la charia qui devient la loi dans certains quartiers, la progression du port du voile, la généralisation du halal (50 % des animaux de boucherie qui sont abattus selon ce rite).

    II – « Le grand remplacement n’est pas voulu »

    Les médias, tout en niant l’existence du grand remplacement, affirment que l’immigration massive n’est pas la conséquence d’une volonté politique, ce qui serait une vision « complotiste ».

    Cette question mérite assurément le débat, même s’il existe des indices difficilement contestables. En premier lieu, chacun peut constater que, à rebours de l’opinion publique (ainsi que le révèlent tous les sondages), le pays légal est infiniment plus favorable aux partisans de l’immigration qu’à ses adversaires. Ces derniers n’auront pas beaucoup accès aux principaux médias ni aux grands éditeurs. En revanche, ils seront souvent accueillis devant les juridictions notamment la fameuse XVII° chambre correctionnelle ! L’actualité fourmille d’exemples révélateurs. Ainsi, récemment, des identitaires se retrouvent 48 heures en garde à vue pour avoir manifesté pacifiquement. À l’inverse, pour un militant favorisant des entrées illégale sur le territoire, le Conseil constitutionnel fait obstacle à la loi pénale en donnant valeur constitutionnelle au principe de fraternité !

    La comparaison des moyens dont disposent les différents acteurs est également très révélatrice. L’agence européenne Frontex, en charge de la protection des frontières de l’Europe se voit attribuer moins de 500 millions d’euros, somme inférieure à celle dont disposent les associations immigrationnistes subventionnées par des milliardaires comme Soros mais aussi par des institutions publiques, comme l’Union européenne, des États et des régions.

    Alors, qui veut ce grand remplacement ? Il est vrai que de plus en plus de responsables politiques affirment publiquement vouloir limiter l’immigration mais, en la matière, le droit est pour l’essentiel de nature jurisprudentielle. Il relève donc de la Cour européenne des droits de l’homme, du Conseil constitutionnel, du Conseil d’État, de la Cour de cassation ou encore de la Cour nationale du droit d’asile. Cette supériorité des juridictions sur le pouvoir politique a été particulièrement bien illustrée par la question du regroupement familial : instauré par le gouvernement Chirac en 1976, le gouvernement suivant a tenté de l’abroger ; en vain, car le nouveau décret a été annulé par le Conseil d’État. Ainsi, depuis quarante ans, le regroupement familial continue de s’appliquer. De même concernant le droit d’asile prévu à l’origine pour protéger des petites minorités persécutées dans leurs pays. Il est devenu un moyen commode pour s’installer en France car les juridictions construisent, décision après décision, un droit extrêmement favorable aux étrangers. C’est ainsi que contrairement au droit commun, ils n’ont pas à faire la preuve de leurs allégations que ce soit concernant leur identité, ou pour établir la réalité des persécutions dont ils se prétendent victimes dans leurs pays d’origine.

    Est-ce à dire que les pouvoirs politiques sont impuissants ? En réalité, sur la question de l’immigration des mesures énergiques sont indispensables : il faut privilégier non plus les droits individuels de l’homme, mais le droit des peuples à leur continuité historique et à leur civilisation ; l’État doit cesser de subventionner les associations immigrationnistes et abroger les lois Pleven et autres qui empêchent le libre débat sur une question aussi vitale pour l’avenir de notre peuple.

    En refusant de prendre de telles mesures, gouvernement et parlement permettent, qu’ils le veuillent ou non, la poursuite du Grand Remplacement.

    https://www.lesalonbeige.fr/grand-remplacement-on-peut-evaluer-a-20-la-part-de-la-population-qui-nest-pas-originaire-de-france-ou-deurope/

  • Ces convertis de l’islam qui dérangent l’Eglise qui est en France

    Ces convertis de l’islam qui dérangent l’Eglise qui est en France

    Dans Ils ont choisi le Christ, Jean-François Chemain évoque de nombreux cas de conversions de musulmans en France. Les témoignages réunis dans ce livre sont perturbants sur la volonté de l’Eglise à faire connaître Jésus-Christ, à évangéliser comme le demandent les papes, et à accueillir ces nouveaux croyants.

    Ces convertis de l’islam connaissent une vie douloureuse car ils sont rejetés, parfois jusqu’à en mourir, par leur communauté d’origine, leur famille même, et hélas sont souvent mal accueillis par l’Église. Par ailleurs, ces convertis à la foi catholique se convertissent toujours du même mouvement à la France, s’assimilant à une culture et une terre.

    On ne peut terminer ce paragraphe sur les persécutions de quartier sans évoquer la douleur de tous ceux qui, convertis, ont dû fuir leur pays d’origine pour échapper à une persécution légale, et se retrouvent de nouveau persécutés en France par leur cité, leur immeuble. Leur cas est très difficilement audible par les autorités. […]

    D’une façon générale, nombre de convertis disent souffrir de la lourdeur de llislacmophilie affichée de l’Eglise, à son plus haut niveau.

    https://www.lesalonbeige.fr/ces-convertis-de-lislam-qui-derangent-leglise-qui-est-en-france/

  • Les Brigandes viennent de sortir un nouvel album : CONTRE LE TEMPS

    CDCLT-ALBMV2.png

    En savoir plus, pour l'acheter cliquez ici

    12 nouvelles chansons, 20,00 € (+ 5,00 € de port)

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Lilian Thuram s’indigne qu’on pleure plus sur Notre-Dame que sur les morts en Méditerranée

    pour-lilian-thuram-letat-desprit-dune-equipe-est-essentiel-0407-youtube-thumb-600x450.jpg

    Lilian Thuram est plus convaincant quand il joue au ballon rond que quand il joue au moraliste. Selon L’Équipe, à l’issue de rencontres avec des collégiens et lycéens corses, il s’est étonné devant la presse que « des hiérarchies s’installent dans l’émotion ». S’il trouve normal que l’incendie de Notre-Dame de Paris ait suscité une vague immense de solidarité, il regrette que, lorsque « des gens […] meurent en voulant traverser la Méditerranée », le monde ne soit pas aussi ému.

    On ne savait pas que l’émotion pouvait aussi être un objet de compétition. Encore que le rapprochement entre ces deux événements ne soit pas évident. D’un côté, une cathédrale presque millénaire, ravagée par un incendie, un symbole de la religion chrétienne, une partie de l’Histoire de France ; de l’autre, des migrants fuyant la guerre ou en quête d’une vie meilleure. Faut-il peser au gramme près l’émotion que méritent ces deux tragédies ? L’une est comme un signe du destin ou un avertissement de Dieu, l’autre est le résultat de la politique internationale des pays occidentaux et de la cupidité des passeurs.

    D’aucuns diront que, pour donner des leçons, il faut soi-même donner l’exemple. Le grand combat de Thuram, c’est aujourd’hui le combat contre le racisme, sous toutes ses formes. Depuis plusieurs années – avec le soutien du ministère de l’Éducation nationale –, il appelle les élèves à s’interroger sur les « injustices » et les « hiérarchies » construites entre les sexes, les couleurs de peau ou les religions. Mais lui-même semble faire des distinctions.

    Il aime inviter son public à « sortir de [ses] prisons identitaires », répéter qu’« on ne naît pas raciste, on le devient ». Oubliant que l’antiracisme peut se métamorphoser dans son contraire. S’il est prompt à dénoncer le racisme, le sexisme ou l’homophobie, sa dénonciation est à sens unique. Ainsi, quand il déclare, comme l’an dernier, sur LCI, qu’« on parle des personnes qui sont discriminées mais on oublie de dire que par voie de conséquence certains sont avantagés, et qu’ils ont tout intérêt à faire en sorte que cela ne change jamais », il présente une vision binaire de la société, divisée en exploitants et exploités, qui n’est pas sans rappeler la vision marxiste.

    En 2010, il avait signé un « manifeste pour une République multiculturelle et postraciale ». Avec Rokhaya Diallo, déjà ! Tout un programme, qu’Éric Zemmour nommait, à l’époque, « Vers une France multiraciale, mais post-culturelle ». Le grand fautif, vous l’avez compris, c’est l’homme blanc, ce colonialiste, cet esclavagiste, ce coupable de tous les maux ! Il faut réparer cela, donner mauvaise conscience à l’homme occidental. D’où la nécessité de la repentance, de la discrimination positive, de tous ces lieux communs à la mode qui ont perverti les esprits.

    On aimerait que Lilian Thuram combattît avec autant de détermination le racisme anti-blanc, antichrétien ou antijuif. Puisqu’il intervient dans des établissements scolaires, le ministre devrait vérifier ses compétences. N’est-il pas urgent qu’il complète sa culture ? Qu’il sache, notamment, que les Arabes ont pratiqué la colonisation et l’esclavage, bien avant les Occidentaux. Et que des États africains reconnaissent les progrès que la colonisation leur a permis d’accomplir. Ce n’est pas avec du parti pris et de l’inculture qu’on corrige des préjugés.

    Philippe Kerlouan

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/