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Du coup, ça s’est mis à hurler, mais l’effrontée n’a pas reculé d’un pouce. Au contraire. Gilles Le Gendre, le patron des députés de La République en marche, la menace de poursuites pour des « propos ouvertement racistes ». Elle lui réplique : « Elle représente la France et pas sa seule petite personne ! Alors un peu de décence et de sérieux, merci ! C’est le seul argument que vous avez à la bouche, racisme comme toujours ! Chut... Il ne faut rien dire parce qu’elle noire, c’est ça ? Et supporter ses inepties répétées ! », ajoutant que « c’est à Sibeth Ndiaye de présenter des excuses aux Français ». Celle-ci y est évidemment aussi allée de son petit couplet sur le racisme de Morano, mais a tenté d’élever le débat avec ces hautes considérations : « Quand on est responsable politique [...], en tout temps et en tout lieu, on doit essayer de faire respecter [les valeurs républicaines], et cela implique qu’on ne dise pas du juif qu’il est riche parce qu’il y a un sous-entendu antisémite ; cela implique qu’on ne dise pas de l’arabe qu’il est voleur ou qu’on ne dise pas du Noir qu’il est paresseux et porte des tenues de cirque ». Ni, ajouterons-nous, d’une imbécile que c’est une imbécile.
Et voici qu’un personnage dont on pensait qu’il cherchait à se faire oublier réapparaît ! Alexandre Benalla en personne ! L’ancien garde du corps de Macron a tweeté : « Si “ineptie” était une femme, elle s’appellerait Nadine Morano, vraie clown du cirque politico-médiatique », amenant cette réplique cinglante de Morano : « Le gouvernement est sauvé, Alexandre Benalla assure la protection de la porte-parole ». Elle a aussi fustigé un « tweet minable et dégoulinant de servitude à l’égard de pouvoir en place » à l’adresse du président de l’Assemblée des départements de France Dominique Bussereau (ex-LR), qui avait dénoncé chez elle des « propos imbéciles et choquants ». Gérald Darmanin, ex-LR, ministre du Budget grâce à sa trahison, a bien sûr publié un tweet de soutien à sa collègue Sibeth Ndiaye, tweet qui a provoqué la réaction de Morano : « Ce qui me gêne côté vestimentaire en ce qui te concerne c’est que ta veste soit réversible en fonction de tes intérêts personnels ; on a tous en mémoire tes propos à l’égard de Macron. tu n’as pas hésité à vendre ton âme pour être ministre... » Et pan sur le groin !
Au fait, comment a réagi Marine Le Pen qui ne se laisserait jamais aller à tenir des propos racistes, xénophobes, révisionnistes ? Pas de réaction. Il est vrai que Nadine Morano n’est pas membre du Rassemblement national. Sinon, elle aurait sans doute été convoquée par la commission de discipline et virée sur-le-champ...
Alors que vient d’être votée une loi contre le harcèlement en ligne, un groupuscule d’antifas internationaux répondant au nom douteux de Sleeping Giants se vante de harceler, sur Twitter, les annonceurs de Boulevard Voltairejusqu’à ce que ceux-ci s’engagent à se retirer de notre site.
Alors que l’anonymat sur les réseaux sociaux est pointé du doigt comme vecteur essentiel de la haine, dont il permet l’impunité, ils agissent masqués, cachés derrière d’improbables avatars et de nombreux comptes factices, le courage ne semblant pas les étouffer.
Ils se targuent d’avoir usé du même procédé aux États-Unis avec le site Breitbart responsable, selon eux, de l’élection de Trump. C’est sur Boulevard Voltaire, en lequel ils voient le Breitbart français, qu’il disent avoir choisi de concentrer leurs attaques. C’est faire beaucoup d’honneur à notre site…
Certes, Boulevard Voltaire, c’est plus de 75 millions de pages vues par an, Boulevard voltaire, c’est plus de 400 millions de pages vues depuis sa mise en ligne, Boulevard Voltaire, c’est plus de 8 millions de pages vues par mois, Boulevard Voltaire, c’est plus de 700.000 visiteurs mensuels. Mais Boulevard Voltaire ne prétend pas être faiseur de roi ni de président : Boulevard Voltaire entend simplement – et c’est la seule clé de son succès – donner à ses lecteurs cette information libre et différente à laquelle ils aspirent.
Pourquoi parler, aujourd’hui, de ce groupuscule qui sévit régulièrement contre nous depuis 2016 ? Parce qu’il a, semble-t-il, décidé de se faire connaître par une campagne dans la presse, relayée ces derniers jours par des médias bien aimables – pour ne pas dire complaisants – de faire caisse de résonance à une opération de si faible envergure, au bilan invérifiable. Ils font indirectement de la publicité à Boulevard Voltaire, qu’ils en soient remerciés. En revanche, leurs informations erronées nuisent à la crédibilité de leur support. Cela a d’abord été un article sur FranceSoir : si Pierre Plottu, le journaliste qui en est l’auteur, avait pris la peine de nous appeler, il aurait évité de reproduire sans vérifier le chiffre – revendiqué par les Sleeping Giants – de « 1.000 annonceurs » manquant à l’appel. Sur leur compte Twitter, les Sleeping Giants ne cessent de rappeler à l’ordre des marques qui n’auraient pas tenu leur engagement, preuve que nombre d’annonceurs qu’ils croyaient avoir convaincus de partir sont, à leur grand dam, revenus ! Puis il y a eu une dépêche de l’AFP reprise, comme d’habitude, paresseusement, presque au mot près, par nombre de médias : La Croix, Libération, TV5 Monde, RMC, Le Point, jeanmarcmorandini.com. La journaliste de l’AFP Anne Renaut, elle – cet effort mérite d’être salué -, nous a contactés, mais livre malheureusement, in fine, une dépêche partiale et inexacte : Boulevard Voltaire aurait été « fondé en 2012 par le maire de Béziers Robert Ménard, élu avec le soutien du RN ». C’est faux. En 2012, Robert Ménard était journaliste ; ce n’est qu’en 2014, et alors qu’il avait déjà quitté Boulevard Voltaire depuis plusieurs mois – afin, précisément, de se lancer librement dans la campagne électorale -, qu’il a été élu. Ou alors, il faut écrire aussi que « Reporters sans frontières a été créé en 1985 par le maire de Béziers, élu avec le soutien du RN ». Le comité directeur de Reporter sans frontières apprécierait. Par ailleurs, comme par hasard, n’est cité nulle part Dominique Jamet, cofondateur au même titre que Robert Ménard.
« Boulevard Voltaire s’est retrouvé quasi-sans annonces fin 2018 » : c’est faux. Il faut s’y connaître comme ma grand-mère en matière de pub sur Internet pour ignorer que, dans ce domaine, « un clou chasse l’autre », et que chaque annonceur se retirant est aussitôt remplacé par un autre, peut-être moins prestigieux, mais le volume publicitaire reste identique. Les annonceurs qui le souhaitent peuvent, du reste, nous contacter en cliquant ici.
La vérité est que la campagne de harcèlement des Sleeping Giants, en dépit de leurs fanfaronnades, n’a eu que peu d’incidence sur le développement de Boulevard Voltaire. Au-delà du tonneau des Danaïdes que représente le vivier des annonceurs sur Internet, la prudence et la volonté d’indépendance ont toujours poussé Boulevard Voltaire à ne considérer les revenus publicitaires que comme un appoint marginal : Boulevard Voltaire (qui ne reçoit pas de subventions) vit essentiellement des dons de ses lecteurs, sur lesquels la propagande antifa n’a aucun effet… Ceux qui le souhaitent peuvent nous aider en cliquant ici.
Ce qui est omis, en revanche, dans tous ces articles est que, concomitamment à cette campagne de harcèlement, notre site a fait l’objet d’attaques informatiques sévères, le rendant inaccessible durant plusieurs heures, des attaques revendiquées par des antifas anonymes et saluées sur Twitter par ceux-là mêmes qui relaient les Sleeping Giants. Convenons que la coïncidence est troublante… Nous avons décidé, il y a deux mois, de porter plainte. Ces cyber-corbeaux ne doivent plus sévir en toute impunité. Notre site voit sa liberté de parole menacée par des individus qui prétendent la museler et l’étrangler financièrement. Demain, d’autres médias que le nôtre seront visés. Il est temps d’identifier individuellement les auteurs de ce harcèlement, ceux qui les relaient, et de les faire condamner pour leurs agissements.
La lettre STRATEGIES de juillet consacrée à l’effondrement est en ligne dans vos espaces lecteurs ici.
Comme promis, je voulais achever cette série de l’été sur l’effondrement par une petite vidéo, dans laquelle je voulais répondre aux deux objections les plus souvent rencontrées lorsque l’on évoque l’idée d’effondrement.
La première, c’est que le progrès nous sauvera.
La seconde ? Cela fait 20 ans que l’on parle d’effondrement, 20 ans que rien ne s’est effondré, alors il n’y aura pas plus d’effondrement demain qu’il n’y en a eu hier.
Ces deux arguments peuvent sembler bons et pertinents et c’est parce qu’ils semblent « intelligents » qu’avec bonne foi il sont prononcés.
Pourtant, ils ne résistent pas à plus de 5 minutes d’analyses intellectuelles solides.
Sur le progrès, par exemple, ce dernier est indéniable. La baisse de la mortalité infantile par exemple est souvent citée en exemple pour bénir les progrès. Tel n’est pas en réalité le sujet. Le progrès n’est pas la baisse de la mortalité infantile ou générale d’ailleurs. Nous parlons ici d’une conséquence de ce progrès. Une conséquence évidemment positive. Personne de censé ne pouvant être opposé à la baisse de la mortalité chez les enfants.
Mais encore une fois c’est une conséquence, et pour obtenir cette conséquence positive, nous avons du mettre en place tout un système productif, médical, technique, d’infrastructures qui permet d’arriver à ce résultat. Il faut construire des hôpitaux, des machines, des IRM avec des sources radioactives, des métaux rares, il faut transporter les malades par ambulances qui nécessitent du pétrole, il faut des chaînes de fabrication de médicaments délocalisées en Inde et appelés génériques, transportés par bateaux qui émettent des particules ultra-polluantes.
Ce que je veux vous démontrer, c’est que le progrès ne peut pas nous sauver, car la nature même du progrès nécessite d’utiliser beaucoup de ressources, beaucoup d’énergie. Si nous pouvons considérer qu’il faut utiliser nos ressources pour préserver la vie peut-être faudrait-il réduire nos utilisations pour d’autres type de progrès… les voitures, les écrans, et tous nos bidules que nous consommons en masse, sont appelés bien souvent progrès… mais le progrès est terriblement consommateur de ressources. Pas de progrès sans une utilisation massive d’énergie et de ressources !
Je ne vous parle même pas du progrès qui a donné Hiroshima, Nagasaki, Tchernobyl ou Fukushima. Je ne vous parle pas du progrès agricole qui permet de « nourrir » 10 milliards de personnes pour le moment car demain… avec des sols morts et stériles, avec des intrants, des pesticides et toute la chimie déversée, il y a un prix à l’agriculture intensive, qui se paiera demain par un effondrement de notre capacité productive. La population agricole est passée de 80% à 2% en deux siècles, uniquement grâce à la mécanisation. Pour le moment, le tracteur solaire n’existe pas plus que la fusée spatiale à l’éolienne !
Le progrès ne peut donc pas être l’alpha et l’oméga de l’espoir de l’humanité pour le futur. Il nous faut même changer notre conception du progrès et dans cette vidéo, je donne la définition actuelle du progrès, une définition en réalité mortifère !
Puis, après vient cette idée que l’effondrement est une peur irrationnelle qui ne viendra jamais.
Il est important de dire que l’absence de preuve, n’est pas la preuve de l’absence.
Il est important de dire, qu’effectivement, cela fait 20 ans que l’on en parle… et personne ne parlait d’effondrement dans les années 30, dans les années 40, même pendant la Seconde guerre mondiale qui fût une boucherie et une barbarie sans nom. Personne ne parlait d’effondrement dans les années 50 ou 60 et pourtant c’était la décolonisation et l’effondrement des empires coloniaux français ou britannique. Personne ne parlait d’effondrement dans les années 70 ou même 80.
Tout cela a commencé à la fin des années 90 et l’ex-URSS s’était effondrée, mais personne n’avait peur que tout le système ne s’effondre.
Vous savez pourquoi ?
Parce que la planète nous semblait grande.
Nos ressources immenses.
Notre capacité à augmenter sans cesse notre production infinie.
Vous savez ce qui vient de changer ?
L’humanité est comme un enfant qui comprend sa « finitude ». Il comprend qu’il peut perdre la vie, qu’il peut se blesser, il comprend qu’il est fragile, qu’il n’est pas éternel.
Cette prise de conscience est imposée par la réalité du massacre environnemental qui a lieu, du pillage de nos ressources. Internet, et les avions ont également considérablement participer à la taille « perçue » de notre planète. Elle nous semble bien plus petite qu’à l’époque où il nous fallait 3 mois pour traverser un océan !
L’effondrement en réalité a déjà commencé !
Je vous donne même la date dans cette vidéo. L’effondrement a commencé le 15 septembre 2008. Très exactement.
Et depuis, il est masqué par plusieurs éléments. Masqué par les guerres que nous menons, et par l’impression monétaire que nous réalisons. C’est tout cela que je vous démontre dans cette vidéo.
L’effondrement a déjà commencé et il va s’accélérer progressivement. Les tensions vont monter inexorablement.
Il faudrait partager. Rationner. Compter. Choisir ce que l’on peut continuer à faire croître (notre médecine, nos sciences etc) et faire décroître comme notre consommation souvent absurde. Comme nous n’en prenons pas le chemin, nous ferons sans doute l’inverse. Nous irons jusqu’à nous entre-tuer pour les dernières gouttes de pétrole.
Bref, l’effondrement a déjà commencé, il se poursuit, s’accélère et s’amplifie. Il deviendra de plus en plus palpable dans nos vies quotidiennes. C’est pour cette raison qu’il faut s’adapter.
J’ai consacré tout un dossier à cet effondrement et à la façon dont on peut individuellement renforcer ou développer sa résilience personnelle. Le salut ne viendra pas de l’État. l’État est une partie du problème.
La solution ne viendra pas du système. Le système est le problème.
Le progrès ne nous sauvera pas.
La réponse c’est vous et uniquement vous. C’est parce que nous serons de plus en plus nombreux à vouloir devenir résilients que la société dans son ensemble deviendra plus robuste. C’est vous qui allez devoir décider de vos propres préparatifs. Ce sera à vous seul de décider. C’est cela que symbolise la solitude de cet individu qui illustre la couverture de ce dossier spécial consacré à l’effondrement.
Je souhaite une excellente lecture à tous mes abonnés, pour ceux qui veulent le devenir et en savoir plus c’est ici. Sachez que vous aurez accès à la totalité des 45 lettres et dossiers déjà édités pour tout abonnement à la lettre STRATEGIES. Tous les renseignements ici.
Je vous laisse pour les vacances et je vous retrouve début septembre.
A bientôt mes amis et fidèles lecteurs. Merci à vous toutes et tous pour l’intérêt que vous portez à mon travail. Merci.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin Pour m’écrire charles@insolentiae.com Pour écrire à ma femme helene@insolentiae.com
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Fraîchement élu, Boris Johnson ne perd pas de temps pour préparer le Brexit. Le nouveau premier ministre britannique a entamé une tournée officielle au Royaume-Uni pour fédérer derrière lui. L’objectif : faire taire les détracteurs qui font planer le spectre d’une sortie sans accord.
2) La France championne du monde de l’abandon d’animaux
Plus de 8 000 animaux abandonnés par leurs maîtres ! Comme tous les ans, des milliers d’individus partent en vacances ou profitent de l’été pour abandonner leurs bêtes. Les associations tirent une nouvelle fois la sonnette d’alarme.
3) Boko Haram : 10 ans de terreur
10 ans après l’insurrection, le groupe terroriste Boko Haram fait toujours régner la terreur au Nigéria. Attentats, enlèvements, meurtres… face aux menaces, la population fuit et les bidonvilles continuent de prospérer.
« La France est humaine », paraît-il ? Mais pour qui ? Pour tous ces migrants, jeunes, en pleine santé, que l’on loge, nourrit, soigne, divertit, dans des conditions qu’apprécieraient beaucoup de nos « vieux ».
Ce débat se discute depuis plusieurs années à l’Assemblée Nationale et au Sénat et il occupe les parlementaires sur un sujet qui, certes, les interpelle ; « Comment mourir dans la dignité ? ».
Il est évident qu’il s’agit là d’un sujet de haut niveau philosophique qui mérite que l’on s’interroge longuement et c’est ce que l’on fait.
Mais il est un autre débat, qui lui n’interroge personne, du moins jusqu’à aujourd’hui : « Comment vivre ses dernières années dans la dignité ? ».
La loi de la nature veut qu’avant de mourir, il nous faille vivre quelques années et dans quelles conditions ? Cela ne dépend pas, – hélas – de notre volonté !
Il y a actuellement 1.300.000 « vieux dépendants » chez nous.
Or, ces « vieux », dont on ne sait plus quoi faire, participent bien malgré eux à la vie de la Nation. Ils perçoivent une pension sur laquelle l’Etat prélève des impôts. Impôts qui viennent d’être augmenté de 1,70% de CSG pour les plus riches, ceux qui perçoivent plus de 1200 euros/mois, les veinards ! Retraites dont ils ne peuvent plus, hélas, profiter dans l’état de santé qui est le leur à présent !
Cet Etat, qui les pourchasse jusqu’à leur dernier souffle de vie, en leur confisquant jusqu’à « leurs successions », quand il en reste une, devrait se pencher sur leur triste sort et non pas les abandonner dans des « mouroirs », sans soins bien souvent (uniquement des cachets, des gouttes, des injections et des perfusions, pour les faire « dormir » toute la journée afin qu’ils ne dérangent pas !)
Il est vrai qu’avec le 0,4% du PIB qui leur est réservé ils n’ont pas le droit de vivre trop longtemps, cela ne se fait pas. Et ce n’est pas le « pourboire » ridicule de 50 millions d’euros qui changera la donne.
On ne demande pas à l’Etat d’aller jusqu’à 1%, ce serait bien trop (alors que certains pays, tel le Danemark par exemple, réservent 2% du PIB et que tous « leurs vieux » bénéficient d’une fin de vie honorable, dans des résidences conviviales et que cela ne coûte que 1800 euros/mois pour tous (2800 euros/mois en France, en moyenne) encadrés par 10 soignantes pour 10 « résidents », alors qu’en France on n’en compte que 5 pour 10).
A moins que, comme cela s’est passé à la triste époque nazie, et se passe encore de nos jours, dans quelques très rares pays, il suffise d’euthanasier les « vieux », dépendants, impotents ou grabataires, ce qui, après tout, est une solution comme une autre et qui vaut la peine d’être débattue, surtout quand il nous est donné de constater dans quelles conditions finissent quelquefois leurs misérables vies, à ces « vieux » dépendants, impotents, grabataires… et gênants !
N’est-ce pas le cas déjà dans un pays aussi civilisé que l’Angleterre où l’accès à certains services de réanimation, de dialyse rénale ou d’actes chirurgicaux, ne sont plus autorisés après 70 ans !
Après tout, pourquoi ne pas interrompre des vies qui ne valent plus la peine d’être vécues ?
« La France est humaine », paraît-il ? Mais pour qui ? Pour tous ces migrants, jeunes, en pleine santé, « qui connaissent Victor Hugo sur le bout des doigts », que l’on loge, nourrit, soigne, divertit, dans des conditions qu’apprécieraient beaucoup de nos « vieux », vos parents, vos grands-parents, votre famille, ceux que vous abandonnez, que vous préférez oublier, parce qu’ils gênent vos habitudes, qu’ils perturbent vos loisirs, ces loisirs dont vous disposez bien davantage qu’ils en ont disposé, eux, toute leur vie durant, pour vous élever et vous conduire où vous êtes !
Ces vieux, dont certains guettent le départ vers leur fin de vie pour « squatter » l’appartement, puisqu’ils ne pourront plus revenir, qu’ils sont partis pour toujours, et le mettre à la disposition de ces « exilés », comme certains les nomment aujourd’hui et qui nous envahissent !
Ces vieux qui n’ont pas encore atteint le dernier stade, qui ne sont pas sur la ligne de départ, et qui se demandent comment ils vont pouvoir régler des sommes ahurissantes, bien plus de 2500 euros/mois, avec leur 1200 euros, pour les plus riches, et cela pour obtenir une place, et ne parlons pas des autres, ceux qui n’ont pas « cette chance », parce qu’ils vivent et meurent en France !
Quel chef d’état, quel ministre, aura le courage et la volonté de s’atteler à cette tâche : donner à nos vieux un endroit digne où finir leur vie, avec les soins, l’accompagnement et la nourriture qu’ils méritent, quel que soit le montant de la pension qu’ils perçoivent ?
La Cour des comptes leur indiquera où trouver les milliards nécessaires pour appliquer cette « nouvelle taxe », une de plus, quitte à réduire les dividendes perçus par les actionnaires (plus de 43 milliards cette année) pour s’intéresser à ceux qui n’en perçoivent pas.
Certaines « fins de vies » sont-elles indignes ?
Pourquoi la présence de ces « personnes âgées » embarrasse tellement ceux qui sont, pour le moment, moins âgés ? Justement parce que les conditions désespérantes de ces « fins de vies » leur donnent une angoissante « peur de vieillir » dans des conditions identiques !
Je me rends parfaitement compte, en terminant cet article, que j’ai perdu une fois de plus mon temps, qu’il ne servira à rien, que tout continuera comme avant, comme aujourd’hui, comme demain, et que les « vieux » continueront à disparaître dans l’indifférence la plus totale et que nous aurons toujours « peur de vieillir » !
Le cancer de la « correction politique », qui sème ses métastases dans tous les secteurs de la société, a contaminé désormais les institutions les plus brillantes de la nation. Des étudiants préparant l’agrégation de lettres modernes avaient, il y a deux ans, rédigé une demande comminatoire au jury de l’épreuve, où on le sommait de définir « l’attitude à adopter et le vocabulaire à utiliser pour décrire ces textes ». Ces textes sont des œuvres « classiques », soupçonnées de véhiculer des « discours oppressifs », c’est-à-dire promouvant apparemment le sexisme, la misogynie, l’antisémitisme, le racisme, l’homophobie, etc. En l’occurrence, « Oaristys », œuvrette de jeunesse d’André Chénier, présentait prétendument une « scène de viol ».
Sur son site Transitions, revue et séminaire, Hélène Merlin-Kajman, de la Sorbonne nouvelle, vient d’exprimer ce qui est sans aucun doute l’indignation d’une grande partie des membres de l’Université en arguant que la littérature est fondamentalement une convention, c’est-à-dire une forme fondée sur un travail de l’imagination, destinée à susciter des effets de plaisir, d’admiration (et sans doute de rejet), dont l’interprétation est un jeu subtil et complexe de références, de rapprochements, de mise à distance. Or, en ravalant l’œuvre de jeunesse, inspirée du poète grec antique Théocrite, à une apologie du viol, on s’interdit toute analyse authentique.
On ajoutera qu’on se moule dans l’uniforme de la maréchaussée de la pensée, vocation dont semble éprise toute une bande de terroristes intellectuels qui voudraient reconduire ici les dérives de l’Université américaine, où le « trigger warning », qui consiste à « avertir » les étudiants de la « nocivité » idéologique d’un contenu, impose une censure dont sont l’objet les professeurs.
Marc Hersant, professeur, lui aussi, de la Sorbonne nouvelle, qui publiera bientôt un essai sur cette affaire, souligne combien, maintenant, la littérature, y compris celle des Temps anciens, qu’il s’agirait de mettre à distance, est fragilisée et soumise à une inquisition réductrice, niant la notion de code (du reste, la vie, ce roman, est elle-même imprégnée de conventions).
On veut faire de la littérature un canal propagandiste en oubliant que l’humain y est interrogé, par-delà le bien et le mal (les œuvres édifiantes ayant disparu dans les oubliettes de la mémoire culturelle).
Et ce chantage n’est pas seulement intellectuel : il peut aboutir à la violence, comme la séquestration, par exemple, en mars dernier, d’une partie des comédiens qui voulaient jouer, à la Sorbonne, Les Suppliantes, d’Eschyle, dont certains devaient arborer des masques noirs.
Rappelons qu’André Chénier fut emprisonné par les jacobins et guillotiné deux jours avant la chute de Robespierre (lisez Stello, d’Alfred de Vigny !). Le sinistre Fouquier-Tinville aurait déclaré : « La République n’a pas besoin de poète. » Ses héritiers semblent ranimer son programme.
Tout va très bien… mais à Singapour (plaque tournante des échanges internationaux), signe avant-coureur : les exportations ont plongé de 17,3 % au mois de juin. Après la saignée en cours de 20.000 emplois chez Deutsche Bank, c’est au tour de la banque italienne UniCredit, soit 10.000 emplois, et du constructeur automobile Nissan, soit 12.500 emplois.
Si ces titres sont sanctionnés en Bourse, il n’en demeure pas moins que, dans le monde de l’économie financière, les mauvaises nouvelles de l’économie réelle déclinante telles que le PMI Flash de l’industrie manufacturière en zone euro – qui vient de tomber, le 24 juillet 2019, à 46,4, soit un plus bas de 79 mois – sont de bonnes nouvelles pour les boursiers. Les banques centrales sont, en effet, amenées à baisser les taux de crédit, à créer de la « monnaie de singe », à pratiquer la course à la dévaluation compétitive entre le dollar, l’euro, le yen et le yuan.
En Chine, la croissance est au plus bas depuis 1992, soit 6,2 % au premier trimestre, malgré l’injection, par la banque centrale, de 125 milliards de dollars dans le système financier. De son côté, le gouvernement chinois s’est engagé, en mars, à baisser de 265 milliards d’euros la pression fiscale et sociale sur les entreprises. La banque mongole Baoshang a dû être restructurée et placée, en mai dernier, sous le contrôle de la banque centrale et de la China Construction Bank, une première depuis 1999 qui amène à s’interroger sur le caractère bancal du secteur.
José Ángel Gurría, le secrétaire général de l’OCDE, a déclaré, le vendredi 12 juillet, à la CNBC, que sans les stimulations des banques centrales de ces dix dernières années, la planète serait « dans une posture bien pire aujourd’hui, mais elles sont aujourd’hui à court de munitions ». Mais, en fait, cette déclaration est fausse car lorsque les taux remonteront ou face à une récession qui s’annonce, les banques centrales n’auront d’autre solution que de créer des munitions artificielles en prêtant aux banques italiennes, en augmentant la masse monétaire, en déclenchant alors une inflation des produits quotidiens et non plus seulement des actifs boursiers et immobiliers. Aujourd’hui, le bilan de la Fed représente déjà 20 % du PIB américain, celui de la BCE, 35 % du PIB de la zone euro, et 100 % pour la Banque du Japon par rapport au PIB japonais.
Le FMI, la Banque mondiale et l’OMC, 75 ans après les accords de Bretton Woods du 22 juillet 1944, sont en pleine crise et doivent se réinventer. Les raisons sont les suivantes : déclin de la production des pays avancés amenée à passer de 50 %, aujourd’hui, de la production mondiale à environ un tiers, dans les 25 prochaines années, montée en puissance de la Chine impérialiste, décision catastrophique du président Nixon de mettre fin à la convertibilité du dollar en or, le 15 août 1971, conséquences calamiteuses pour l’emploi du libre-échange mondialiste en Occident. La dénonciation du traité TPP par l’Amérique en 2017 est le symbole du renoncement par le monde anglo-saxon au libre-échange, qui avait commencé en octobre 1947, lors de la signature du fameux accord « GATT ».
L’inflation avec remontée des taux d’intérêt et l’explosion immédiate de l’endettement peut aussi être générée par un embrasement dans le golfe Persique. La dette des entreprises, et non plus seulement des ménages et des gouvernements, n’a jamais été aussi élevée partout dans le monde. En France, elle représente 175 % du PIB, contre 135 % en 2008.
« Savoir pour prévoir et prévoir pour pouvoir », disait Auguste Comte. Il se trouve que nous sommes dirigés par des naïfs, des incapables, des peureux et des technocrates en matière économique, migratoire et climatique. La pantomime de l’adolescente Greta Thunberg ne pèse rien face au manifeste du professeur Uberto Crescenti, signé par 83 des plus brillants scientifiques italiens, nous annonçant que le CO2 n’est pas polluant mais nécessaire à la vie sur Terre, qu’il ne contribue en rien au réchauffement climatique provoqué exclusivement par la Lune, le Soleil et les oscillations océaniques. En matière économique, seule la misère humaine de l’explosion sociale à venir et l’or, sur le point de connaître un nouveau cycle haussier semblable à ceux de 1960-1980 et de 1990-2011, seront à même de démasquer l’irréalisme, la stupidité et la trahison des élites.
Emmanuel Macron excelle dans l’art de phagocyter tant au PS que chez les Républicains. Les prochaines élections municipales devraient encore accentuer les choses. La rumeur semble ainsi se confirmer, selon laquelle, pour Nice, le maire LR Christian Estrosi serait estampillé “Macron-compatible” pour le prochain scrutin.
Le contexte est particulier : Eric Ciotti, député LR des Alpes-Maritimes, rêve de s’emparer de la mairie de Nice. Pour cela, il cherche à obtenir que les instances dirigeantes du parti Les Républicains désavouent l’actuel maire LR, Christian Estrosi. Un choix cornélien pour un parti délabré et sans chef.
Saisissant cette opportunité, le parti macroniste la République en Marche propose à Estrosi l’investiture de la majorité présidentielle pour le scrutin. Le JDD a révélé que le délégué général de La République en Marche, Stanislas Guerini, a rencontré Christian Estrosi pour “un dialogue” allant dans le sens d’une alliance. Le JDD ajoute : “La ministre de l’Enseignement supérieur, Frédérique Vidal, a été chargée d’une mission, officieuse, de médiation avec le maire de Nice. Niçoise et présidente de l’université Nice-Sophia-Antipolis jusqu’en 2017, elle connaît bien l’homme, qui l’apprécie”.
Même François Bayrou, pourtant en froid avec LREM pour les municipales, aurait rencontré le maire de Nice.
Quant à Christian Estrosi, fort de cette abondance de sollicitations, il a également rencontré Christian Jacob, donné favori de la course à la présidence des Républicains. Finaud, Estrosi essayerait de jouer sur les deux tableaux, au nom de la nécessité de “faire rempart” au candidat du Rassemblement National.
Voici quelques noms figurant dans le "livre noir" d'Epstein (tous ne sont bien sûr pas forcément impliqués dans ses activités illégales mais on trouve un certain nombre de violeurs et pédophiles connus).William Astor : membre de la Chambre des lords Anthony Bamford : membre de la Chambre des lords Alec Baldwin: acteur qui considérait comme «triste et injuste» la campagne contre Woody Allen. Mike Bloomberg: ancien maire de NY Tony Blair: ancien Premier ministre du Royaume-Uni Flavio Briatore: homme d'affaires italien, ex-directeur commercial de Benetton, fondateur de Billionaire Couture, manager et directeur de l'écurie de Formule 1 Benetton Formula de 1989 à 1997 et ancien directeur de l'écurie de Formule 1 Renault F1 Team. Louis Albert de Broglie: militant écologiste français. Chris Brown: chanteur R&B récemment accusé de viol aggravé. Jean Luc Brunel: directeur de l'agence de modèles MC2 qui sautait sur les gamines qu’il avait sous sa responsabilité dans son agence de mannequins. Servirait de rabatteur pour Epstein. Naomi Campbell: mannequin Prince Pierre d'Arenberg Prince Andrew: Une jeune femme assure avoir eu, mineure, des rapports sexuels avec Andrew, sur ordre d'Epstein Chris Evans: acteur Ralph Fiennes: acteur Bill Cosby: accusé par 13 femmes de viol. Dustin Hoffman: acteur accusé accusé d'agressions sexuelles à plusieurs reprises Mick Jagger: chanteur Michael Jackson: condamné pour pédophilie. Edward Kennedy: Sénateur Henry Kissinger: Ancien secrétaire d'État des États-Unis, membre permanent du Bilderberg Rupert Murdoch Evelyn de Rothschild Edouard de Rothschild David Rockefeller Prince Salman Kevin Spacey: pédophile ayant voyagé dans le "lolita express" d'Epstein. John Gutfreund: Banquier, PDG de Salomon Brothers. David Koch: homme d'affaire, propriétaire de Koch Industries, 8ème fortune au monde. Ehud Barak: Ancien premier ministre d’Israël. Ehud Olmert: Ancien premier ministre d’Israël. Leslie Wexner: Milliardaire, PDG de L Brands. Bruce King: Ancien gouverneur du Nouveau-Mexique. Bill Richardson: Ancien gouverneur du Nouveau-Mexique et candidat démocrate à la présidence. Peter Soros, le neveu de George Soros. Ivana, Ivanka, Robert et Donald Trump (accusé de viol sur mineur dans un manoir d'Epstein) Bill Clinton: violeur en série. Chris Tucker: acteur qui a voyagé dans le "lolita express" d'Epstein. Prince Michel de Yougoslavie Alan Dershowitz: avocat d'Epstein, également accusé de pédophilie. John Kerry Henry Kravis: Comité de direction du Bilderberg. George Mitchell: Ancien sénateur américain, président de The Walt Disney Company de mars 2004 à janvier 2007 et envoyé spécial au Proche-Orient, travaillant sous la présidence de Barack Obama et la secrétaire d'État Hillary Clinton. Journalistes et médias: Charlie Rose (CBS) , Mike Wallace (CBS), Barbara Walters (ABC), Mortimer Zuckerman (propriétaire du New York Daily News), Richard Branson: fondateur de Virgin group, 261e personne la plus riche du monde.