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  • Grande puissance agricole mondiale pendant longtemps, la France est désormais en déclin dans ce domaine. Voici comment elle en est arrivée là.

     En 2023, la France importera davantage de produits agricoles qu’elle n’en exporte.
    En 2023, la France importera davantage de produits agricoles qu’elle n’en exporte. (Reuters) 
    Il semble bien loin le temps où la France était la grande puissance agricole et agroalimentaire mondiale, aux côtés des États-Unis.
    De deuxième exportateur dans les années 1990, le pays est passé à la quatrième place, derrière les États-Unis, l’Allemagne et les Pays-Bas, voire à la sixième aujourd’hui, hors produits transformés.
    À ce rythme, en 2023, la France importera davantage de produits agricoles qu’elle n’en exporte, pointe un récent rapport du Sénat.
    Même tendance dans l’agroalimentaire.
    Pour la première fois depuis la guerre, notre balance commerciale avec les pays européens a été négative en 2018!
    Comment expliquer un tel recul? 
    Le déclin de notre compétitivité est une des réponses. 
    Les charges salariales ont bondi ces dernières années, tandis que des distorsions de concurrence majeures se sont instaurées avec nos voisins. 
    Dans le secteur de la viande, l’Allemagne n’avait pas de salaire minimum jusqu’en 2015. 
    Grâce à la main-d’œuvre bon marché, le pays s’est hissé en tête de la production européenne en quinze ans, reléguant la France au huitième rang, souligne le cabinet Xerfi. 
    Même phénomène pour les fruits et légumes, avec l’Espagne, devenu le champion dans ce domaine. Résultat, pour compenser leurs coûts, les Français ont coupé dans les investissements, entraînant retards techniques et absence d’innovations. Un cercle vicieux.
    Un manque de stratégie
    Ce déclin s’explique aussi par un manque de stratégie. 
    Longtemps, les Français n’ont pas eu de politique à l’export, se contentant de vendre le surplus de leurs productions sans se soucier des attentes. 
    Dans le secteur du porc, la France est restée sur du milieu de gamme, quand le marché s’est tourné vers le premium. 
    Le Danemark est devenu leader du bio, tandis que l’Espagne a misé sur le haut de gamme avec le jambon ibérique ou pata negra. 
    Les vins et spiritueux, les céréales et le sucre sont encore notre force à l’international.
    Mais pour combien de temps ? 
    Depuis peu, nos vins souffrent à l’export, pâtissant de leurs appellations complexes et de leurs prix élevés, nos blés font face à une redoutable concurrence des pays de la mer Noire et notre production de betteraves sucrières sera amputée de quatre usines l’an prochain.
    lejdd

  • Municipales : une étude de la Fondation Jean-Jaurès prédit un beau score au RN et à ses alliés

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    Les élections municipales constituent le prochain test de la progression « populiste » et identitaire. C’est un test un peu biaisé, pour plusieurs raisons.

    Il y a d’abord une prime aux maires sortants. C’est cette prime qui pourrait permettre, par exemple, la réélection de Patrick Balkany à Levallois, s’il n’est pas frappé d’inéligibilité. Les administrés distinguent le maire et l’homme. Il arrive qu’ils continuent à plébisciter le maire, même s’ils émettent des réserves à l’égard de l’homme. Les maires RN ou d’esprit proche (les Bompard, Robert Ménard et quelques autres) bénéficieront de cette prime aux sortants. Un sondage de l’IFOP – bien peu commenté dans les grands médias – réalisé en 2015 montrait qu’un an après l’élection d’un maire FN ou de mouvance proche, « le niveau de satisfaction dans ces villes était plus élevé que dans la moyenne des villes françaises » (74 % de satisfaits). Mais ils sont peu nombreux.

    Il y a ensuite le fait que les plus grandes villes sont en général celles où sont concentrés les hauts revenus. Ces villes votent Macron. Les votes identitaires, souverainistes et protestataires concernent surtout les villes périphériques, de province, et les communes rurales. Bien souvent, dans ces villes, du moins dans les plus petites d’entre elles, les listes sont sans étiquette, même si la tête de listes est connue pour ses engagements ou ses sympathies du côté de la droite nationale.

    Enfin le RN, qui a surgi dans le paysage français il y a maintenant près d’un demi-siècle, peut être considéré comme le plus jeune des grands partis politiques, car il n’a commencé à avoir ses premiers élus de terrain qu’aux municipales de 1989. Le contre-exemple est le PC : vieux parti (congrès de Tours en 1920), devenu inexistant (2,5 % aux européennes), n’en finissant pas de mourir, avec un recul plus lent aux municipales.

    Du baume au cœur des militants

    Pour toutes ces raisons, les élections de mars prochain ne sont pas considérées comme favorables au RN. Mais une étude de Jérôme Fourquet, pour la fondation Jean-Jaurès, va cependant donner du baume au cœur des militants. Elle nous apprend en effet que de très nombreuses villes moyennes pourraient basculer, entraînant alors des bouleversements politiques radicaux en région Nord-Pas-de-Calais, et dans tous les départements du pourtour méditerranéen.

    Certes le score du RN décroît en fonction de la taille des villes, et les communes de plus de 100 000 habitants restent difficiles à conquérir, Paris étant de ce point de vue une ville emblématique. Mais dans les régions de forte implantation RN, Fourquet évoque « un effet domino », spécialement identifiable autour d’Hénin-Beaumont, Orange et Béziers. La dynamique électorale est dans le camp du RN, et ses implantations constituent autant de points d’ancrage non seulement pour les communes voisines, mais aussi pour les mandats locaux et régionaux.

    Quant au seul point noir, celui des grandes villes, Jean Messiha, le responsable des études et argumentaires au RN, ne cachait pas samedi son optimisme, commentant l’étude de Fourquet : « Des villes de plus en plus importantes sont à la portée du Rassemblement national ! »

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 26 août 2019

    https://fr.novopress.info/215242/municipales-une-etude-de-la-fondation-jean-jaures-predit-un-beau-score-au-rn-et-a-ses-allies/

  • Macron ne cesse de recadrer, et de se faire recadrer en retour...

    Quand le singe veut monter au cocotier, il faut qu’il ait les fesses propres, dit le proverbe africain. Macron ne cesse de donner des leçons au monde entier, mais il ne cesse pas non plus d'en recevoir, et de cinglantes, en retour. Et, là, c'est l'image de la France sur la scène internationale qui est écornée...

    Après Trump et Poutine il y a peu, voilà qu'il fait la leçon à Bolsonaro, au demeurant fort critiquable sur son action à propos de l'Amazonie, tout le monde en convient.

    Fort bien.

    Mais cela lui a valu une réplique cinglante - et, elle aussi, tout à fait juste - du Grand conseil coutumier des peuples amérindien et bushinengé, qui a dénoncé l'hypocrisie des gouvernements brésilien et français ce dimanche, sur France info, par la voix de son président, Christophe Pierre...

    Extraits :

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    Christophe Pierre s'est illustré dans le bon combat contre "la montagne d'or", projet fou auquel Macron a finalement renoncé; mais pourquoi, alors, livrer la forêt, sous d'autres formes, à la destruction ?...

    "...Le gouvernement français déplore la destruction de l'Amazonie brésilienne, mais parallèlement octroie des permis d'exploration aux multinationales minières en Amazonie française...

    ...En Guyane, ce sont plus de 360.000 hectares qui ont été cédés aux multinationales minières. C'est énorme. C'est la moitié de la surface de forêt qui a brûlé en Bolivie ! On dénonce le fait de vouloir donner des leçons à l'international, alors que sur le territoire guyanais français, ce gouvernement fait des non-sens, des choses qui ne vont pas dans le sens de la préservation de la biodiversité et de l'Amazonie...

    ...Il n'est jamais indiqué, à aucun moment, que les peuples autochtones ont toujours su préserver leur milieu, à travers leur mode de vie. C'est un savoir-faire précieux aujourd'hui... la priorité, c'est aussi de reconnaître les droits des peuples autochtones et leur rapport à la terre. C'est un élément fondamental du combat contre la crise climatique...

    ...Pour nous, la forêt, ce n'est pas seulement un ensemble d'arbres, d'animaux et d'êtres. C'est notre maison, c'est le territoire qui nous a tout donné, de notre identité jusqu'à quasiment la nourriture quotidienne. Voir la forêt brûler, c'est voir brûler tout cela", rappelle Christophe Pierre.

    Il a raison, il a bien parlé.

    Et, pour Macron, c'est encore un "pan sur le bec" !

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/26/macron-ne-cesse-de-recadrer-et-de-se-faire-recadrer-en-retou-6171971.html#more

  • Quelque chose de Soljénitsyne chez Viktor Orban

    Quelque chose de Soljénitsyne chez Viktor Orban

    Viktor Orban, Premier ministre de la Hongrie, tient chaque année et paraît-il depuis 30 ans un discours de philosophie politique à l’université d’été de Bálványos en Transylvanie (Roumanie)  – région anciennement hongroise, dont certaines parties sont toujours peuplées majoritairement de hongrois.

    Chaque année, il y a développé différents thèmes, tels que le concept de démocratie illibérale, l’importance du V4 (groupe de Visegrád, groupe informel réunissant Hongrie, Pologne, République tchèque et Slovaquie), la nécessité de défendre la civilisation chrétienne ou encore de combattre l’immigration massive et illégale ainsi que les réseaux Soros.

    Le 29 juillet 2019, il a détaillé la période récente passée et les combats à venir. Ce faisant, il a repris beaucoup des thèmes qui avaient été développés par Alexandre Soljénitsyne lors de son fameux discours appelé Discours de Harvard (Le déclin du courage Les Belles Lettres. Préface de Claude Durand) en juin 1978.

    Prix Nobel de littérature, expulsé d’Union Soviétique en 1974 au début de la parution des trois tomes de L’Archipel du Goulag, arrivé depuis deux ans aux USA, Alexandre Soljénitsyne n’était pas encore sorti de son silence. A l’invitation de l’Université de Harvard, il prononce en juin 1978 le discours solennel pour la fin des cours. Et à la surprise de ses auditeurs, il ne s’acharne pas sur le communisme mais détaille une dénonciation du système occidental.

    Quatre convergences majeures se dégagent de l’analyse comparée des deux discours, à quarante ans de distance (1978-2019).

    1° Une même remise en cause du libéralisme démocratique comme sens ultime de l’histoire 

    A.Soljénitsyne comme V.Orban mettent à nu ce sentiment de supériorité, cette sorte d’arrogance ontologique, de l’Occident pour le premier, de l’Union européenne pour le second, amenant ces ensembles à considérer qu’ils apportent au monde et à l’humanité tout entière le salut, la paix et le bien-être.

    Pour V.Orban,

    https://www.lesalonbeige.fr/quelque-chose-de-soljenitsyne-chez-viktor-orban/

  • Vague populiste : un rêve qui s’achève ?

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    « Le populisme menace nos démocraties », « L’Europe face à la montée populiste » : certains parlant même de lèpre, vous l’aurez compris, pour nos élites intellectuelles, médiatiques, économiques, culturelles et politiques, la menace existentielle n’a d’autre nom que cet adjectif méprisant la volonté populaire de plusieurs pays occidentaux. Mais que ce beau monde se rassure, le cauchemar est peut-être en passe de se terminer.

    En effet, le 24 juillet dernier, Boris Johnson accédait au 10 Downing Street ; parallèlement, le ministre de l’Intérieur et vice-président du conseil italien Matteo Salvini annonçait, le 8 août dernier, son souhait de revenir aux urnes. À ce moment précis, tous les voyants semblaient au vert, Johnson étant en passe d’accomplir sa promesse, à savoir mener à bien le Brexit le 31 octobre. De l’autre côté des Alpes, la Lega culminant à 38 % d’intentions de vote, le mouvement Fratelli Italia à 8 %, les deux partis franchissant à eux deux la barre des 40 %, celle-ci accordant une prime majoritaire, pour la première fois depuis 1945, un pays d’Europe se dirigeait vers un gouvernement 100 % « extrême droite ».

    Mais depuis, rien ne s’est passé comme prévu, une législative partielle au Royaume-Uni ayant amoindri la majorité de Boris Johnson à seulement une voix. Une partie des députés Tories étant opposés à un Brexit sans accord, notamment l’ex-chancelier de l’Échiquier Philip Hammond, ou encore la désormais simple députée… Theresa May. Autrement dit, face à la volonté des parlementaires de stopper un Brexit sans accord, l’opposition n’a besoin que de quelques défections au sein de la majorité pour faire tomber le gouvernement, ce qui, avouons-le, mènerait tout droit à un report du Brexit aux calendes grecques ou bien à pas de Brexit du tout.

    La bataille perdue outre-Manche, à Rome, Matteo Salvini ayant sous-estimé ses anciens alliés du M5S, ces derniers pourraient se diriger vers une coalition avec le Parti démocrate susceptible de durer jusqu’à la fin de la législature soit… 2023. Une catastrophe pour la droite italienne, qui verrait alors probablement son capital de popularité s’effriter, un récent sondage Gpf Poll attribuant seulement 31 % à la Lega, soit une perte de sept points en seulement un mois. Pendant ce temps, la nouvelle coalition s’inscrirait dans un agenda résolument pro-européen, rouvrant ses portes aux migrants, nommant un commissaire européen parfaitement europhile, et réformant la loi électorale, supprimant ainsi la prime majoritaire. Le rêve de Matteo Salvini d’obtenir « seul » une majorité, voire avec ses amis de Fratelli Italia, s’arrêterait net, d’autant que la prochaine élection présidentielle de 2022 accoucherait d’un président hostile à la Lega (tel est le cas actuellement).

    Les rêves de Johnson et Salvini qui s’amenuisent, la récession qui menace outre-Atlantique, pouvant annihiler une potentielle réélection de Donald Trump, sonneraient la défaite historique du « populisme », achevant ainsi le cycle entamé en 2016.

    Les heures et jours à venir seront probablement déterminants : qui sait, la coalition s’annonçant en Italie ne verra peut-être jamais le jour et, dans ce cas, le palais Chigi serait occupé par Matteo Salvini d’ici deux mois ! Le Brexit étant devenu une réalité, Boris Johnson, rapatriant les électeurs déçus partis au Brexit Party de Nigel Farage, deviendrait alors maître des lieux pour au moins dix ans. La réussite britannique entraînerait alors un effet domino au sein de l’UE et la fin de l’organisation multilatérale la plus hostile aux États Nations qui subsiste actuellement. Un an après ces péripéties, le président américain sortant ayant anticipé la récession à venir par des baisses d’impôts, accompagné de taux directeurs avantageux serait alors triomphalement réélu, le populisme devenant alors non pas une parenthèse de l’histoire, mais bien la fin de la « Fin de l’histoire » et le retour à l’histoire. L’avenir du monde occidental, qui se joue probablement dans les prochains mois, s’annonce palpitant.

    Pierre Louis

    https://www.bvoltaire.fr/vague-populiste-un-reve-qui-sacheve/

  • Pour une convergence LMPT-Gilets jaunes, par Philippe Suvigny

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    Le printemps 2013 et l’automne 2018 resteront attachés au souvenir de deux mouvements populaires aux espoirs déçus. Chacun a pensé pouvoir faire reculer le gouvernement, voire l’abattre. Chaque fois le gouvernement a résisté.

    Rêvons un instant et transportons-nous en octobre prochain. À ce moment-là, le débat sur la PMA battra son plein, tandis que les gilets jaunes n’auront pas désarmé. Imaginons alors une foule additionnant les deux manifestations. Imaginons Paris avec deux millions de Français très en colère face à un gouvernement aux abois. Tout serait alors possible.

    Revenons sur terre : un tel rassemblement est-il seulement envisageable ? Qu’y a-t-il de commun entre une France « beauf » noyautée par une extrême gauche ultra-violente et une bourgeoisie catho BCBG aussi attachée à son portefeuille qu’aux bonnes mœurs ?

    Le piège est justement de tomber dans ces caricatures, volontairement véhiculées par l’oligarchie politique et médiatique. Les gilets jaunes « authentiques » des premières manifestations n’ont rien à voir avec l’extrême gauche. Quant aux cathos qui ont préféré voter Macron au mépris de leurs propres principes, ils seront absents des mobilisations contre la PMA.

    En fait, et en dépit des apparences, opposants à la loi Taubira et gilets jaunes « historiques » constituent deux populations très proches, trop proches pour que l’oligarchie ait intérêt à le montrer.

    La classe moyenne est la composante essentielle de chacun de ces mouvements. Certes, elle est plus rurale chez les gilets jaunes, plus citadine dans la manif pour tous. Les premiers vivent plus modestement, les seconds plus confortablement (provisoirement !). Mais, dans les deux cas, c’est cette même France qui croule sous les charges et les prélèvements. C’est cette même France qui sert de vache à lait à des millions d’assistés qui n’ont aucune volonté de s’insérer et vivent d’allocations et de trafics en tous genres. Et c’est cette même France qui supporte de plus en plus mal de voir les plus riches et les élites se dérober à leurs devoirs.

    Que faut-il pour que la convergence se fasse ?

    Les deux partis doivent d’abord comprendre qu’isolés, la victoire leur restera inaccessible. L’extrême gauche, avec la complicité du gouvernement, continuera à faire peser sa dictature chez les gilets jaunes. Quant à la manif pour tous, elle ne peut espérer l’emporter en se basant sur les mêmes méthodes qu’il y a cinq ans.

    Chaque camp doit intégrer, au moins partiellement, les revendications de l’autre.

    Les gilets jaunes doivent remonter à la cause la plus profonde des effets qu’ils déplorent, à savoir la décadence morale du pays. Les injustices matérielles qu’ils subissent ont leur source dans l’égoïsme et l’absence de principes moraux de l’oligarchie. Cette absence de principes est cause à la fois du système économique injuste de notre pays et des lois détruisant ses repères moraux et familiaux.

    La bourgeoisie patriotique, fer de lance de la manif pour tous, doit être conséquente et prête à sacrifier ce qu’elle pense être ses intérêts matériels immédiats aux principes supérieurs qu’elle défend. Il est impossible de continuer à soutenir le modèle économique mondialiste et ultralibéral qui domine. En effet, ce modèle est cause d’injustices intolérables dont l’immoralité n’a rien à envier aux lois contre la famille.

    Tous doivent comprendre que le remède fondamental est dans un retour aux racines chrétiennes et culturelles de notre pays.

    L’oligarchie macronienne cherche délibérément à éloigner deux faces d’un même mouvement qui s’oppose à sa politique d’assassinat de la nation. Et pour cause : elle sait que leur union lui sera fatale !

    À chacun d’agir en conséquence. Opposants à la PMA : tous en gilets jaunes les samedis ! Gilets jaunes : tous à Paris le 6 octobre !

    Philippe Suvigny

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/215221/pour-une-convergence-lmpt-gilets-jaunes-par-philippe-suvigny/