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  • Batdaf 1 : Je présente la liste Gavé Bordelais aux élections municipales de Bordeaux

  • Stéphane Ravier (RN) : « Le peuple historique de Marseille est remplacé parce qu’il y a un taux de natalité très important dans les quartiers nord et une immigration qui continue à déferler sur la ville »

    « Le peuple historique de Marseille s’en va et il est remplacé parce qu’il y a un taux de natalité très important dans les quartiers nord et une immigration qui continue à déferler sur la ville », déclare Stéphane Ravier (RN) évoquant même une hémorragie. Selon lui, les enfants nés dans les quartiers nord de « Français mais par le droit du sol, qu’il faudra réformer le moment venu« .

    La réalité différente des statistiques

    « Les statistiques du ministère de l’Intérieur sont une chose, la réalité de l’insécurité en est une autre. Si les règlements de comptes sont moins nombreux, le trafic de drogue est lui en train de miner la quasi totalité de la ville », selon Stéphane Ravier. La ville est « en péril parce que les moyens ne sont pas donnés« . Le plan de géolocalisation des points de deal est inutile parce qu’ils sont connus des policiers et des habitants. Ce qui manque ce sont « des policiers sur le terrain, des magistrats qui condamnent, des centres pénitentiaires qui incarcèrent et une police de l’air et des frontières qui expulsent« .

    Stéphane Ravier propose notamment de contrôler « ces fameux kebab » et « épiceries de nuit » qui servent à blanchir l’argent de la drogue et d’expulser des logements sociaux les parents de mineurs impliqués dans le trafic de drogue : « Il s’agit de responsabiliser pas de stigmatiser », affirme-t-il.

    FDS

    https://www.tvlibertes.com/actus/stephane-ravier-rn-le-peuple-historique-de-marseille-est-remplace-parce-quil-y-a-un-taux-de-natalite-tres-important-dans-les-quartiers-nord-et-une-immigration-qui-continue-a-deferl

  • L’immigration, source majeure de nos maux

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    Le billet de Patrick Parment

    Le climat est morose et le bateau prend l’eau de toute part. Le gouvernement s’est engagé dans un train de réformes qui irrite tout le monde et plus encore cette France périphérique des Gilets jaunes et des classes moyennes. Partout souffle un vent de révolte : chez les pompiers, dans la police, à l’hôpital, dans l’enseignement, dans la justice, etc. La seule réforme des retraites qui mobilise la SNCF le 5 décembre prochain risque fort de cristalliser tous les mécontentements. Quand bien même les syndicats ne représentent-ils plus le monde des travailleurs, le patron de la CFDT, Laurent Berger, le confirme, les fractures territoriales et sociales sont loin d’être réduites.

    Nul besoin d’être grand clerc pour en connaître la raison majeure : l’immigration qu’elle soit clandestine ou pas.

    Si les gouvernements de gauche comme de droite s’étaient employés à la juguler et à contenir l’islam nous n’en serions pas là aujourd’hui. C’est que l’immigration impacte tous les secteurs de la société, économiquement d’une part et, plus grave encore, culturellement. Le gouvernement doit faire face à un marché du travail très étroit quand par ailleurs il s’est largement employé à désindustrialiser notre pays et à créer du chômage. Dernier exemple en date, la vente d’Alstom à l’américain General Electric sur les conseils d’une certaine énarque Clara Gaymard, vendu aux Américains depuis belle lurette et de son irresponsable patron d’alors, un certain Patrick Kron. En cause également, un certain patronat français toujours à l’affût d’une main d’œuvre bon marché histoire de faire la nique aux revendications syndicales. 

    Bref, à tous les échelons de la société française on bute sur les effets pervers d’une immigration largement incontrôlée, malgré quelques efforts ridicules (15 794 soi-disant reconduites à la frontière en métropole). Il est donc urgent de repenser nos politiques migratoires et d’arrêter en urgence outre le regroupement familial, d’octroyer la nationalité française ou d’accorder le droit d’asile. D’autant que l’on sait très bien que ceux qui se le voit refuser demeure en France malgré tout.

    Mais il y a surtout urgence culturellement. Car les Français – pas nos pseudo élites gaucho-bobos aussi imbéciles qu’aveugles mais acharnées à défendre leur casse-croûte -, ont le sentiment largement partagé qu’ils n’habitent plus leur propre pays. A cela une raison majeure, la déliquescence de notre système éducatif, la veulerie de notre classe politique agenouillée devant le Veau d’Or des droits de l’homme, le laxisme de certains juges, la trouille de passer pour raciste et la soumission au libéralisme anglo-saxon. Paradoxalement, ce sont les pays de l’ex-Europe de l’Est – sans compter la Russie -, qui nous donnent l’exemple par la défense acharnée de leur identité. D’où les conflits avec cette galéjade qu’est l’Union européenne. Un traitement à la paille de fer s’impose. Mais y-a-t-il encore sur ce continent un homme capable de porter les espérances des peuples européens ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/11/03/l-immigration-source-majeure-de-nos-maux-6187542.html

  • Patrick Sébastien : »le gouvernement a organisé des choses pour décrédibiliser le mouvement des Gilets Jaunes. »

    Sur le plateau de C à Vous ce vendredi 1er novembre, Patrick Sébastien a fait quelques confidences sur sa relation avec les gilets jaunes. Il a notamment expliqué comment le gouvernement a organisé des choses pour décrédibiliser le mouvement.

    Lire la suite sur Les moutons rebelles

  • DE NAPOLÉON À LOUIS XVIII

    En 1814, Talleyrand gagne le tsar au retour des Bourbons.

         Le 31 mars 1814, il y a deux cents ans, Alexandre Ier, tsar de toutes les Russies, entrait dans Paris en vainqueur. La veille encore, on s’était battu à Pantin et à Montmartre. C’était la fin de la campagne de France. Deux mois durant, Autrichiens, Prussiens, Russes, Britanniques et Suédois avaient affronté un Napoléon qui avait retrouvé l’énergie et le génie stratégique de sa jeunesse, comme le rappellent les témoignages réunis par l’historien Jean-Joël Brégeon (1). Vaincus à Montmirail, à Champaubert, à Montereau et à Reims, les coalisés l’avaient quand même emporté, leurs troupes ayant pour elles le nombre et l’expérience, et la volonté d’en finir, tandis que l’Empereur s’était battu avec les débris de la Grande Armée et des conscrits inexpérimentés, et que la lassitude pointait dans un pays qui, à l’issue de vingt années de guerre, aspirait à la paix.
         La suite n’était pas écrite d’avance : les souverains alliés n’étaient pas d’accord entre eux sur le sort à réserver à la puissance occupée. Talleyrand, ancien ministre des Relations extérieures, désormais brouillé avec Napoléon, estime que le rétablissement des Bourbons serait accepté par les vainqueurs comme par les Français, une fois leurs réticences dissipées. Le diplomate commence par en convaincre le tsar qui loge chez lui, rue Saint-Florentin, tout en lui exposant que cette nouvelle orientation politique ne doit pas émaner de l’étranger. Le 3 avril, le Sénat vote donc la déchéance de Napoléon et, deux jours plus tard, fait appel au comte de Provence (Louis XVIII), qui est invité à devenir « roi des Français (…) par le voeu de la nation ».
         Talleyrand a imposé une solution française, mais Alexandre Ier s’y est rallié, et amènera les autres souverains à cette solution, parce que le tsar, homme des Lumières, a reçu l’assurance que la Restauration ne serait pas la restauration de l’Ancien Régime. Cet épisode est connu, mais Marie-Pierrre Rey, une spécialiste de la Russie, l’éclaire d’un jour nouveau (2). C’est un paradoxe : l’institution d’une monarchie libérale, en France, en 1814, a été rendue possible par la rencontre du Diable boiteux, qui avait servi tous les régimes, et du tsar, qui était un autocrate.

    Jean Sévillia

    (1) Histoire de la campagne de France. La chute de Napoléon, de Jean-Joël Brégeon, Perrin, 400 p., 21 €.

    (2) 1814. Un tsar à Paris, de Marie-Pierre Rey, Flammarion, 332 p., 22 €.

    https://www.jeansevillia.com/2015/04/11/de-napoleon-a-louis-xviii/

  • La campagne de promotion du livre "Ordre nouveau raconté par ses militants" bat son plein

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    Après Angers la semaine dernière où Jacques Mayadoux, accompagné de Jean-François Santacroce, de Franck Timmermans et de Véronique Péan, étaient reçus par l'Alvarium animé par Jean-Eude Gannat (plus de 80 participants), ce sera Strasbourg qui marquera à sa façon le cinquantième anniversaire d'Ordre nouveau le 9 novembre prochain. Une réunion sera animée par Jacques Mayadoux, André Chanclu et par Robert Spieler, ancien député et ancien vice-président de l'Alsace, chroniqueur à Rivarol et fondateur, à l'époque, de la section locale d'Ordre nouveau.

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  • Le macronisme, doctrine du suivisme par anticipation

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    Dans un récent entretien accordé à Valeurs Actuelles, le président Macron a invoqué publiquement la difficulté de gérer une « France archipel », récupérant au passage la popularité de l’ouvrage éponyme à succès de Jérôme Fourquet. Si c’est pour s’en tenir à reconnaître ce que chacun constate au quotidien, c’est un peu court et on en attend bien davantage. On peut d’ailleurs se demander quel est le sens et l’avenir d’une « nation multiple et divisée », tant la contradiction dans les termes est flagrante. Mais cet aveu d’impuissance cache une incapacité plus grave.

    Laborantin politique, Emmanuel Macron, soutenu et conseillé par de puissants et discrets lobbies mondialistes, relayé par des épigones et des lucioles opportunistes de tous bords, a inauguré une nouvelle doctrine politique de “suivisme par anticipation”. Sa méthode consiste à observer ce qui se passe et à se déterminer au moment opportun sur tous sujets en fonction du vent porteur qui se lève, sans jamais avoir à trancher.

    A l’inverse du principe « diviser pour régner », il s’agit là de coaguler les minorités pour s’imposer en rassembleur, tout en laissant les courants dominants se confronter, pour s’imposer comme solution alternative. Or, on ne crée pas une nation avec des minorités. Benjamin Constant et Alexis de Tocqueville nous ont décrit au XIXe siècle la tyrannie de la majorité comme conséquence indésirable de la démocratie. Il nous faut maintenant affronter la tyrannie des minorités.

    La fameuse expression « en même temps » que beaucoup déplorent, révèle une stratégie de communication bien rodée mais lassante car improductive, finalement contreproductive. Entre prudentes non-prises de position et prises affirmées de non-positions, selon le contexte et la détermination de ses interlocuteurs, à vouloir séduire chacun il déçoit et exaspère tout le monde. L’attitude affichée de recul et de hauteur masque mal l’absence de “plan B” de société.

    Car de deux choses l’une. Soit Macron le savait déjà quand il s’est lancé dans la dernière corrida présidentielle avec un succès inattendu au terme du lynchage médiatico-judiciaire de son principal concurrent alors en tête, et alors il aurait dû préparer un projet de société en privilégiant la stabilité et la conservation des fondamentaux. Soit il ne le savait pas, coupé du monde réel dans sa bulle merveilleuse de “happy few“, et il devrait moralement reconnaître son incapacité à relever le défi. Dans les deux cas, on ne va pas le plaindre d’avoir réussi un holdup électoral en exploitant le suicide politique, orchestré, de son concurrent.

    Mais la question est de savoir si Macron est capable de ressouder la nation française et de la guider vers un modèle nouveau et soutenable de société. Vide de projet sociétal, sa “politique de la culture brûlée” montre qu’il n’en a pas la vision, ni l’envergure. Or, il suffit d’une génération déracinée pour rompre le fil continu d’une civilisation pérennisée par la transmission contiguë des savoirs et des valeurs. C’est ce sur quoi comptent les islamistes, qui préparent leurs bataillons d’enfants endoctrinés à prendre la relève. L’expérience de nombreuses guerres civiles montre que la bombe démographique à retardement est un investissement sur le long terme, à fort taux de rendement garanti.

    Fort de son aplomb de débutant, Macron sait par Cocteau que “le talent de l’audace, c’est de savoir jusqu’où on peut aller trop loin”. Il en applique une deuxième maxime: “Ces choses-là nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs”. Ça ne suffira pas et les urnes devront vite parler en conséquence.

    Jean-Michel Lavoizard

    https://www.bvoltaire.fr/le-macronisme-doctrine-du-suivisme-par-anticipation/

  • Le premier radar tourelle de Bretagne est (déjà) tombé !

    Breizh Info – Le Gouvernement entend poursuivre sa politique de matraquage intensif des Français sur les routes . Son arme ultime : le radar tourelle. Ainsi, 1 200 radars tourelles seraient déployés pour la fin de l’année 2020. Actuellement 150 à 200 radars de ce type sont déjà déployés en France, dont un, à Plémet (22) qui vient de tomber. Le premier en Bretagne (pour cette  nouvelle « collection » de radars).

    Ce robot policier (il contrôle vitesse, mais aussi potentiellement assurance, dépassement, téléphone au volant). n’aura ainsi pas eu le temps de flasher beaucoup d’automobilistes entre Loudéac et Merdrignac sur la RN 164. Il a été manifestement découpé à la meuleuse, signe que tous les moyens seront bons chez certains usagers en colère pour mettre fin à cette politique répressive en matière de sécurité routière.

    Une politique lucrative qui rapporte, si bien que lorsque 75% du parc était endommagé en juillet, la Sécurité routière a estimé un manque à gagner en contraventions à 300 millions d’euros depuis novembre 2018, date du début de la contestation sociale des Gilets jaunes, date à laquelle une grosse partie des radars de Bretagne et d’ailleurs ont commencé à être mis hors service.

    Dans le Morbihan, un premier radar tourelle a été installé cette année à Locqueltas, sur la D778 où la vitesse est limitée à 70 km/h. L’appareil flashe dans les deux sens. Dans les Côtes-d’Armor, le préfet du département a prévenu que tous les radars vandalisés seront remplacés par ces appareils nouvelle génération. Deux zones seront particulièrement visées : la D14, entre Lamballe et Collinée, et la D165, entre Yffiniac et Moncontour. Enfin, près de la Baule, sur la route de Guérande, c’est près d’un passage à niveau où la vitesse est limitée à 70 km/h qu’un radar tourelle a été installé, en juin dernier.

    Reste à savoir désormais si le Gouvernement est prêt à créer une brigade policière spéciale pour faire des gardes permanentes devant les radars tourelles dans, plutôt que d’envoyer les policiers rétablir l’ordre dans les cités, et dans les centre-villes des métropoles en proie aux violences et aux trafics en tout genre. C’est tout de même en général plus facile de s’attaquer aux automobilistes !

    Breizh Info / Crédit photos : DR

    https://www.tvlibertes.com/actus/le-premier-radar-tourelle-de-bretagne-est-deja-tombe