Dans une série d’articles sur les nouveaux partis conservateurs susceptibles de prendre des sièges dans les élections européennes l’an prochain et aux élections internes de leur propre pays, cette colonne se concentre sur le grand patriote qu’est Failos Kranidiotis de Nea Dexia (la nouvelle droite).
J’ai rencontré Failos et ses collègues lorsqu’ils ont demandé à se joindre au partie européen de l’ENF, le Mouvement pour la liberté et des Nations (MENL).
Je me suis rendu à Athènes pour la première fois, une ville merveilleuse avec tant d’histoire, un endroit où les Européens doivent la fondation de la démocratie.
Dans l’ombre de l’Acropole, j’ai rencontré ces gens merveilleux, qui essaient de défendre leur grand pays de l’emprise du socialisme.
Des centaines de partisans emballés pour entendre mon collègue du PVV néerlandais.
J’ai entendu leurs histoires personnelles, la façon dont la Troïka avait détruit l’économie de la Grèce et leur tissu social.
- Pourquoi avez-vous créé un nouveau parti politique conservateur?
Le sous-titre de notre déclaration est NATION ET LIBERTÉ. Tout est dit. Jusqu’au 13 mai 2016, il n’y avait pas un parti sérieux et démocratique prônant un patriotisme fort contre l’eurocratie corrompue, les banquiers et la colonisation islamique de notre pays et en Europe, sans aucun plan face au totalitarisme.
Il n’y avait pas de parti politique défendant notre si ancienne et forte identité nationale, les valeurs familiales et le christianisme, une partie importante de notre existence, et même l’une des pierres angulaires de l’Europe. Ainsi, 226 citoyens ont répondu à l’« appel aux armes » que nous avons créé avec Nea Dexia.