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  • Lévi-Strauss et la civilisation cannibale

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    par Nicolas Bonnal

    Ex: http://www.dedefensa.org

    Les voyages, la mondialisation, la civilisation, la science, le progrès ? Voici ce que cet élégant marginal écrivait au début de ses fameux et si peu lus tropiques :

    « Est-ce alors que j’ai, pour la première fois, compris ce qu’en d’autres régions du monde, d’aussi démoralisantes circonstances m’ont définitivement enseigné ? Voyages, coffrets magiques aux promesses rêveuses, vous ne livrerez plus vos trésors intacts. Une civilisation proliférante et surexcitée trouble à jamais le silence des mers. Les parfums des tropiques et la fraîcheur des êtres sont viciés par une fermentation aux relents suspects, qui mortifie nos désirs et nous voue à cueillir des souvenirs à demi corrompus. »

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  • Réponse à Omar SY : violences policières, racisme et tout le tintouin

  • Démocratie et scandales financiers ou de l'affaire Strauss-Kahn aux faux lingots d'or de Fort Knox 2/3

    Le 5 février 2007, au cours de l'émission de Thierry Ardisson 93, faubourg Saint-Honoré, Tristane Banon exposa comment Strauss-Kahn aurait tenté de la violer. Un son strident rendait inaudible le nom du violeur. En 2002, elle rendait visite à Strauss-Kahn dans le cadre d'un entretien. Il était alors ministre des Finances et un ami de la famille. Il lui prit soudain la main et le bras. Tout dégénéra dans un combat violent où la victime dut se défendre au sol, contre une personne transformée en « chimpanzé en chaleur ». Étant donné que l'auteur de ces viols demeurait inconnu, les accusations monstrueuses passèrent inaperçues et tombèrent dans l'oubli. On prétexte que T Banon n'a jamais porté plainte peu après les faits. La jeune femme voulait faire la lumière sur cette affaire. En 2002, elle avait constitué un dossier pour saisir la justice. Mais sa mère, vice-présidente socialiste du Conseil général de l'Eure, lui déconseilla d'entamer toute procédure, ayant peur pour sa fille. Peut-être cette mère se trouvait-elle soumise au chantage du politicien. Lors d'une rencontre, elle demanda raison à Strauss-Kahn. Celui-ci répondit qu’il ne savait pas ce qui « lui était arrivé ». Les avocats généraux et les journalistes pourtant pétris de morale et animés d'infaillibles sentiments démocratiques ne dirent rien. Bien au contraire, informées depuis longtemps des problèmes de Strauss-Kahn, les rédactions parisiennes lui avaient taillé une réputation honteuse de « grand séducteur ».

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  • Oui, Macron morcelle un peu plus la France, par Ivan Rioufol

    Emmanuel Macron dira sans doute, ce dimanche soir, tout le bien qu’il pense de la police, accusée d’être raciste et violente par des minorités ethniques revanchardes. Il mettra en garde, probablement, contre le séparatisme qu’elles veulent politiquement imposer en France. Le président de la République ne peut, certes, être tenu pour responsable de quarante ans de somnambulisme d’Etat. Cela fait des décennies que le ver du racialisme a été introduit dans le discours dominant par l’idéologie antiraciste. Celle-ci ne juge qu’en fonction de la couleur de la peau et de l’origine. Le Noir et l’Arabe sont victimes, forcément victimes.

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  • François Rebsamen a une passion : l’immigration.

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    Un communiqué de Thomas Joly,
    président du Parti de la France :
    En 2012, il critiquait Nicolas Sarkozy qui voulait une loi ”visant à imposer un examen de langue française à tout candidat au regroupement familial.”
    En 2018, il voulait que la France accueille plus de réfugiés “en régularisant notamment les ni expulsables, ni régularisables.” Il se vantait d’ailleurs d’en avoir accueilli : "Il faut aujourd’hui faire clairement les choses, il faut accueillir les réfugiés. C’est un devoir et ils ont le droit d’être accueillis. Il faut les accueillir dignement, c’est ce que j’ai fait dans ma ville”, glissait le maire socialiste de Dijon.
    Hasard ou coïncidence, après avoir accueilli ces réfugiés en 2018, la situation à Dijon s’est fortement dégradée. A tel point que, en octobre 2019, François Rebsamen se plaignait dans les médias “d’actes criminels insupportables” dans la métropole dijonnaise.
    Mais, depuis 2 jours, Dijon fait la Une de tous les médias avec la guerre entre Maghrébins et Tchétchènes. Et François Rebsamen est désormais en mode panique.
    Il appelle au calme et dénonce des violences “inacceptables”. Et il s’en prend à la police et la justice qui ne font pas bien leur travail : "On manque de sanctions. La justice arrive beaucoup trop tard, elle arrive 9 mois, 1 an après. […] La police n’a pas fait convenablement son travail. Le renseignement territorial est censé informer les autorités sur ce qui peut advenir. Or, ces Tchétchènes sont passés à travers les filets d’informations."
    « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes » Bossuet
  • Dénoncer « la réécriture haineuse et fausse du passé » après avoir qualifié la colonisation de « crime contre l’humanité »… il l’a fait !

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    « Son problème, c’est qu’il adore les déguisements : en militaire, en aviateur, etc. Il ne faudrait pas que les Français finissent par croire qu’il s’est déguisé en Président », raillait un proche du Président – désireux de rester anonyme, on le comprend un peu – dans les colonnes du Parisien, le 5 avril dernier.

    C’est donc le blazer de Nicolas Sarkozy qu’ a sorti, dimanche soir, de sa penderie… déterminé, un poil conservateur, propre à rasséréner son électorat vieillissant et épris d’ordre qui, bien qu’habitué à avaler beaucoup de couleuvres, le soir aux infos, avec un petit whisky, peine à digérer ce qui ressemble cette fois à un boa constrictor : mieux que la chloroquine, l’indigénisme incarné par la très vertueuse et pacifique famille Traoré (en fais-je assez comme ça ?) a fait disparaître miraculeusement le Covid-19, en tout cas des écrans télé, et on peut le remercier bien bas car c’est sans doute grâce à lui, le deux poids deux mesures commençant à devenir géant, que nous pourrons nous rassembler tranquillement cet été sans devoir rendre compte du moindre château de sable ou pique-nique entre amis.

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  • Démocratie et scandales financiers ou de l'affaire Strauss-Kahn aux faux lingots d'or de Fort Knox 1/3

    L’Île de Rikers Island de New York abrite un des plus grands centres carcéraux des États-Unis. Il se situe sous les couloirs aériens de La Guardia, le plus petit aéroport new-yorkais. À cinq heures, la lumière éclaire les cellules des quatorze mille détenus. Le président du Fonds monétaire international (FMI) a passé cinq jours dans cet univers sordide comme un vulgaire malfrat. Son identité et la raison de sa présence se déclinent en quelques mots : N° d'immatriculation 122 57 82, nom Dominique Strauss-Kahn, sexe masculin, situation familiale marié, profession politicien. Il était soupçonné de crime sexuel, de tentative de viol et d'atteinte à la liberté individuelle. La victime, Nafissatou Diallo, était une Guinéenne musulmane, femme de chambre du Sofitel à New York. Le président du FMI l'aurait violée le 14 mai 2011 dans une des suites de l'hôtel. Telle était la version retenue avant le 1er juillet, date à laquelle on apprenait que la plaignante aurait peut-être menti et que le procès Strauss-Kahn s'acheminerait éventuellement vers un non-lieu. À Rikers Island, le petit-déjeuner du prisonnier se composait de Cornflakes, de lait, de deux tranches de pain, de fruits, de café ou de thé. Le midi, Rickers Island servait des légumes avec du riz et des haricots. À dix-sept heures, le dîner se limitait à du poulet et à de la purée. À vingt-trois heures, c'était l'extinction des feux, à l'exception de la grande cellule de trois mètres quarante sur quatre mètres que Strauss-Kahn occupait seul. Elle était normalement réservée aux prisonniers atteints de maladies contagieuses. Strauss-Kahn était soumis au régime de sûreté n° 101 concernant les détenus sujets à des tentatives de suicide : la lumière est allumée en permanence, un maton passe chaque quart d'heure, un appareil contrôle la respiration, et des chaussures sans lacet et une blouse bleue indéchirable habillaient cet hôte de choix.

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  • Castaner, Belloubet, Ndiaye : dehors, pour bêtise !, par Christian Vanneste.

    Ce qui est terrifiant, c’est l’effondrement de l’intelligence collective dans notre pays ! L’exemple est donné en haut par le gouvernement le plus lamentable que la France ait eu à subir : d’abord, il y a Castaner, ce personnage au passé douteux occupant la Place Beauvau uniquement en raison de sa faiblesse et de sa totale dépendance à l’égard de celui qui l’y a mis en dehors de tout critère objectif, au point qu’on a du le doubler d’un vrai policier. Castaner n’est pas le chien de garde de la société, comme il devrait l’être, mais uniquement celui de son maître, dont il aboie les ordres en écho avec la maladresse d’un Ran-Tan-Plan !

    Ainsi donc, l’émotion peut l’emporter sur la loi, si, bien sûr, elle est d’extrême-gauche et importée des Etats-Unis au profit des délinquants : le ministre de l’Intérieur est clairement du côté du désordre et baigne dans son idéologie superficielle de socialiste dont la réflexion n’a jamais dépassé le niveau des slogans. L’antiracisme, c’est bien, le racisme, c’est mal. Quand les Gilets Jaunes manifestaient, avec en queue de cortège les Blacks-blocs chargés comme par hasard de créer les « tensions » en fin de journée, afin qu’on puisse généreusement interpeller, gazer, éborgner les premiers en oubliant les seconds, les potes de Castaner, c’étaient les flics ! Maintenant que les cortèges sont suscités par la mort d’un délinquant noir, Castaner ne veut plus qu’on touche à ses vrais potes : il a remis la petite main jaune à la boutonnière. Les policiers, objets d’un « soupçon avéré » de racisme seront sanctionnés, les techniques d’arrestation une fois de plus restreintes. Des vidéos inondent la toile qui montrent des policiers en train de fuir devant des loubards, et au contraire des « malfaisants », comme disait Audiard, réduire la tête de ceux qui les regardent de travers. Dignité, respect, mais pas pour le « petit blanc », seulement pour celui qui cogne le plus vite et le plus fort, mais qui est une victime puisqu’il est arrière-petit-fils de colonisé ! Racisme inversé et slogan américain sont devenus le langage courant, quasi obligatoire du politiquement correct dans un pays doublement colonisé, par ses anciennes colonies, comme disait Poutine, et par un bain de culture américain, que nous devrions laisser se dissoudre au milieu de l’Atlantique !

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  • A Dijon, affrontements entre Arabes et Tchétchènes. Armes automatiques brandies (video)

    Des images atterrantes mais qui deviendront banales dans les prochaines années.

    Toutes les prévisions des nationalistes depuis 50 ans se réalisent une à une, puisqu’ils n’ont pas été écoutés.

    A Dijon, capitale de la Bourgogne et il y a peu l’une des villes les plus agréables de France, dans le quartier colonisé des Grésilles, on a vu ces derniers jours des affrontements violents entre populations immigrées, mais « Français comme-vouzémoi » bien sûr, selon la République en tout cas.
    Tout a démarré après qu’un adolescent tchétchène a été frappé par des Arabes sur fond de trafic de drogue.
    Les Tchétchènes, de plus en plus nombreux en France – ce qui est normal, puisqu’elle est ouverte à tous désormais –, sont plus discrets que les Arabes par exemple ; mais, pour rester dans le cadre de la loi, disons que souvent ils ne s’embarrassent pas de celui-ci justement. Réputés pour leur violence, ils ont voulu venger leur jeune congénère.

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  • Nous, les vrais indigènes d’ici...

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    Georges Feltin-Tracol

    L’américanisation de la France et de l’Europe vient de prendre en une quinzaine de jours un tournant préoccupant. La mort de l’Étatsunien George Floyd aux États-Unis permet la mobilisation dans l’Hexagone d’une foule bigarrée d’experts en agitation et de jeunes nigauds blancs, adeptes précoces de l’ethno-masochisme. De la crèche jusqu’à l’université, l’institution scolaire peut se satisfaire de son bourrage de crâne quadridécennal.

    Comparant sans la moindre raison valable les actions policières aux États-Unis et en France, des groupuscules haineux qui recrutent antifas, gendéristes et clients du réseau diplomatique de subversion yankee, accusent les forces de police et dénigrent des personnalités historiques. Le 22 mai dernier, en Martinique, une bande d’excités gauchistes fait tomber deux statues d’un néo-nazi notoire du XIXe siècle, Victor Schœlcher, à l’initiative du crime inexpiable d’avoir fait voter l’abolition de l’esclavage dans toutes les colonies françaises en 1848. On comprend mieux l’exaspération de ces vandales…

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