
Voici un message d'espoir et de paix afin que les #Maghrebins et #Tchetchenes se réconcilient. #Dijon
Comme le dit cette dame : "Entre frères, entre Musulmans, ça se passe pas comme ça normalement. On peut attaquer un chrétien, mais on peut pas attaquer un frère musulman"
De fait, entre les communautés tchétchène et maghrébine, l’armistice s’est négocié… à la mosquée de la Fraternité, à Quétigny, près de Dijon.
Et selon la journaliste Anne Nivat, il n’y a pas eu d’arrestation de Tchétchène :
Il n’y a eu AUCUNE arrestation de #tchétchène à #Dijon. Les Tchétchènes avaient eux mêmes prévenu les forces de l’ordres locales de leurs intentions. Ces dernieres ont laissé faire tant qu’il n’y avait pas de casse.




Tirs de kalachnikov, explosions, voitures fonçant dans la foule, véhicules incendiés… Depuis quatre jours, c’est une véritable guerre qui oppose chaque soir des centaines de Tchétchènes et de Maghrébins dans la capitale des ducs de Bourgogne, sur fond de trafic de drogue. Une situation totalement ahurissante qui, bien qu’étant d’une gravité et d’une ampleur inédites, ne semble pourtant pas inquiéter plus que cela ce gouvernement lamentable avant tout préoccupé par le désarmement moral et physique de ses policiers.

