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  • Michel Onfray : "Mon péché mortel ? Être resté aux côtés du peuple".

    Michel Onfray, chez lui à Chambois, dans l'Orne, en 2019. Photo12 via AFP

    Source : https://www.lexpress.fr/

    Souverainisme, Le Pen, Raoult, BHL, De Villiers... Dans un grand entretien musclé, le philosophe s'explique sur sa revue Front Populaire et fustige les médias.

    Il est l'intellectuel qui entend réunir les souverainistes de tous bords à travers sa nouvelle revue Front populaire, où l'on retrouve Jean-Pierre Chevènement comme Philippe de Villiers. Il est aussi celui qui concentre les critiques violentes sur sa supposée dérive idéologique qui l'aurait vu passer de la gauche libertaire de Proudhon à l'extrême-droite d'Eric Zemmour.

    Au coeur des polémiques, Michel Onfray publie également l'ultime volume de sa monumentale Contre-histoire de la philosophie (Grasset). Dans La résistance au nihilisme, on retrouve ce que le philosophe Onfray a de meilleur et, parfois, de plus caricatural : d'un côté, un populisme au sens noble du terme qui en fait un formidable pédagogue sur la pensée d'après mai-68 (avec des belles pages sur Pierre Hadot ou Robert Misrahi) comme un critique impitoyable d'une gauche intellectuelle qui a souvent préféré les jargons obscurs aux masses populaires ; de l'autre le pamphlétaire manichéen et antilibéral à qui l'outrance fait perdre le sens des nuances... 

    Dans un long entretien accordé à l'Express dans lequel il ne nous épargne pas, le philosophe s'explique sur cette nouvelle revue, mais aussi sur l'évolution de ses positions sur l'immigration, Didier Raoult, BHL, ses soutiens dans la droite radicale et son parcours personnel. 

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  • Report des régionales en 2022 : si Trump ou Orban osaient, ils seraient vilipendés

    Report des régionales en 2022 : si Trump ou Orban osaient, ils seraient vilipendés

    Mais comme il s’agit de Macron, c’est parfaitement démocratique…

    Alors que les élections régionales sont prévues en mars 2021, la perspective d’un report du scrutin à 2022 – donc après la présidentielle – est sur la table de l’exécutif.

    Lundi, le président de la République aurait profité d’un déjeuner avec Renaud Muselier, président des Régions de France, pour lui proposer une aide financière de l’État en échange du soutien des Régions de France.

     «Je vous aide (financièrement) si vous m’aidez à reporter les régionales après la présidentielle car j’ai des opposants politiques parmi vous».

    Une manière de renvoyer aux ambitions politiques de certains présidents de régions qui louchent sur la présidentielle, comme Xavier Bertrand (Hauts-de-France), Valérie Pécresse (Île-de-France) ou Laurent Wauquiez (Auvergne-Rhône-Alpes).

    https://www.lesalonbeige.fr/report-des-regionales-en-2022-si-trump-ou-orban-osaient-ils-seraient-vilipendes/

  • SOS Racisme, CRAN, Indigénistes et autres associations racialistes ne peuvent plus parler au nom de tous les Noirs, ça suffit !

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    Quel bonheur de voir l’ex-ministre de Mitterrand, , dire, dans une interview : « Je ne crois pas qu’il y ait un problème noir en France… La France n’est pas raciste, je ne comprends pas les actions des mouvements comme le CRAN, le PIR. »

    Ça fait du bien de voir qu’une personnalité noire de gauche ose prendre une position aussi claire dans une période où cracher sur la France, cracher sur l’autorité est un passeport d’acceptation par la communauté noire.

    Ça fait du bien de savoir que nous autres, Noirs conservateurs de droite, n’avons pas tort de défendre vaille que vaille, coûte que coûte, ce pays qui est le nôtre, la France.

    Et si les barrières commençaient à tomber ?

    Et si, finalement, la majorité dans les minorités visibles avait enfin le courage de prendre des positions conservatrices et les assumer ?

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  • Les nouveaux talents – Covid-19 : crise sanitaire ou crise de nerfs ?

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    L’année 2020 s’annonce mouvementée et la pandémie de covid-19, dont nous questionnerons ici la gestion, ne semble être que l’alarme avant la catastrophe. Les pénuries de masques, de gels, de respirateurs, la montée en épingle de l’épidémie par les journalistes et les politiques, les mesures prises bien souvent floues et contradictoires, l’interdiction du traitement à l’hydroxychloroquine, tout ceci nous laisse à penser que la situation fut volontairement aggravée. Les conséquences économiques sont et seront très importantes, l’artisanat (premier employeur de France) va notamment prendre un sacré coup. Mais ce sont nos libertés qui sont également en jeu puisque, nous le rappelons, nous n’avons toujours pas retrouvé le droit de réunion. Ainsi, le pire semble devant nous et cette crise, probablement montée de toute pièce, doit nous mettre la puce à l’oreille sur ce qui se prépare. Il va falloir être prêt à payer les pots cassés.


    https://www.tvlibertes.com/les-nouveaux-talents-covid-19-crise-sanitaire-ou-crise-de-nerfs

  • Parution prochaine du nouveau numéro de la revue Réfléchir & Agir (n°66)

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    Chez votre marchand de journaux : 7 euros

    ou en ligne ici

  • Ce pouvoir et notre Président ont peur…

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    On a les intérêts, les préoccupations, voire les obsessions de ses compétences. L’avocat général que j’ai été focalise sur l’importance du régalien – autorité de l’État, forces de l’ordre, sécurité, justice, tranquillité publique, respect de la loi, défense de l’État de droit, égalité entre les citoyens, etc. – dans une vision et pratique présidentielles.

    Quels que soient les mérites de l’intervention du Président – et je ne doute pas qu’elle sera largement commentée par les spécialistes, notamment pour ce qu’il a annoncé sur les plans économique et social et les perspectives qu’il a dessinées pour demain -, je persiste : je suis toujours déçu par sa manière de traiter du régalien, d’affronter le terrible gouffre entre une majorité silencieuse, discrète et profondément indignée – qu’on regarde le soutien qu’elle apporte à la police dans les sondages – et une minorité gangrenée par le communautarisme, qui tient le haut du pavé politique, médiatique et même judiciaire en n’ayant aucune raison de rentrer dans le rang puisqu’on lui permet tout.

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  • "Sales Juifs !" Les militants de Génération Identitaire conspués lors de la manifestation interdite "Justice pour Adama"

    Ce samedi 13 juin, à Paris, lors de la manifestation, non déclarée et interdite (comme tout rassemblement de plus de 10 personnes), organisée par le comité Adama Traoré, des militants de Génération Identitaire ont déployé une banderole dénonçant le racisme anti-Blancs. En réaction, plusieurs manifestants ont hurlé "sales Juifs !", sans susciter la moindre réprobation autour d'eux. Préoccupant...

    Des débordements antisémites qui n'empêchent pas le journaliste Pierre Plottu, qui officie à Libération et Slate, de parler de "manifestants calmes et bon enfant"...

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  • Les Bourses ont perdu les pédales : vers un effondrement à terme, par Marc Rousset.

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

    On assiste à un brutal retour de la volatilité sur les marchés avec des craintes d’une seconde vague de Covid-19 aux Etats-Unis. Le CAC 40 a reperdu près de 7 % sur la semaine, après une séquence de rebonds la semaine précédente et des pertes sur les secteurs qui s’étaient bien repris comme les banques, les foncières, l’automobile, l’aéronautique. La hausse de 40 % de Wall Street depuis la mi-mars est toujours aussi aberrante, face à un taux de chômage de 20 % et au risque d’une grande dépression, style les années 1930.

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  • Chasse aux blancs dans les médias américains, les têtes tombent

    Pendant la grande chasse aux blancs du printemps 2020, sous prétexte d’anti-racisme, au milieu des génuflexions, des repentances, des larmes, des excuses, des soupirs, des prosternations, les résultats ne se font pas attendre dans les médias américains. Les têtes tombent, toutes blanches.

    Tempête au New York Times

    Le New York Times publie le 3 juin 2020, une tribune libre d’un sénateur républicain américain dans la rubrique « Opinions » du journal. Il y qualifie les manifestants d’« émeutiers, insurgés, casseurs ». Soulignons qu’il s’agit d’une tribune libre, pas d’ un article et encore moins d’un éditorial. Branle-bas au quotidien, plusieurs centaines de journalistes dénoncent la tribune ; mieux quelques dizaines publient sur Twitter un texte protestant contre une tribune qui « met en danger les salariés noirs du NYT » (sic).

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